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Ici c'est moi qui mène la danse [Ouvert à tous]

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Timaé Amber
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Timaé Amber
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Rp en cours (-18)
Dim 23 Mai - 15:38
Timaé Amber

Ici c'est moi qui mène la danse

Ne pas toujours savoir dans quel genre d'événement on s'engage, la clé servant à l'obtention d'une dose d'adrénaline assurée. En ayant ainsi introduit ma main dans le creux de la sienne, et avec comme comportement celui du provocateur arrogant, je m'avance au sein même d'un terrain dont les issues demeurent floues et dont les ficelles ne me reviennent pas de droit. Tout ça, je l'ai rapidement compris en étant devenu la proie du jeune Irridval, du blondinet aux pupilles émeraudes dont les cartes servant à un retournement de situation semblent inépuisables.

Sachant que tôt ou tard, en fonction de l'évolution du jeu s'étant installé entre nous, je finirai par complètement nager dans un inconnu dont seul lui en sera le maître, je profite pleinement des potentiels derniers instants qu'il me reste où j'ai encore cette possibilité de retomber, tel un chat, sur mes pattes en prenant un appui certain sur quelque domaine que je maîtrise, que ce soit dans sa totalité ou partiellement, dès lors gorgé de petits impairs ne me coûtant rien de plus que l'installation de challenges.

Seulement, mes taquineries commencent à avoir raison de ce cher Damen me faisant face, rien qu'en étant témoin des réponses qui me sont données. Plus impatientes, plus féroces, un tantinet menaçantes et pourtant terriblement envoûtantes. Rien qui ne me fasse reculer ou regretter ma prise de décision qui, visiblement, ne trouve pas de retour en arrière. Je viens de pénétrer la demeure dont on ne semble ressortir qu'après entretien avec son gardien.

Je n'ai même pas le temps de répliquer qu'il m'entraîne déjà avec lui, commençant ainsi une marche jusqu'aux escaliers longeant l'une des façades de la maison. Ils sont parsemés d'invités qui s'écartent ou nous regardent avec curiosité. Sur l'instant, les seules choses qui me viennent à l'esprit sont les derniers échanges venant d'avoir lieu avant que nous ne nous mettions en route vers un endroit encore tenu secret. Ces dires, à moitié entendus et à moitié interprétés sont aussi puissants que la première vague de frissons s'étant installés lors du contact de nos deux paumes encore unies en ce moment-même. Elles se gorgent d'interprétations et laissent parler l'imagination, qu'elle se veuille terrifiante, amusante, tentante ou pénétrante.

La tension résidant dans sa prise est sujette à interrogation, faisant peu à peu naître un autre sourire emprunt à la satisfaction sur mon visage ayant pourtant frôlé l'inquiétude d'une montée aussi rapide d'excitation et de compréhension qu'un moment intime dont tout contrôle m'échappe est sur le point de pointer le bout de son nez. Dans ces instants de doute, ma plus grande arme reste et restera toujours mon côté provocateur, présent pour distraire les foules et éloigner la concentration qui pourrait être faite sur les petits instants où ma faiblesse est visible. C'est une fois à l'intérieur de cette impressionnante maison que je reprends de plus belle mes attaques qui, pourtant, et j'en suis sûr, trouveront répercutions dans l'avenir.

- Fais attention, mon chou... on pourrait croire que tu débordes d'impatience vu la force que tu mets dans cette poignée. Je serais toi, je la garderais peut-être pour plus tard.

Comment toujours plus s'attirer des ennuis ou comment définitivement titiller dans ses plus grandes limites le garçon m'ayant pourtant déjà prouvé à maintes reprises sa supériorité au sein d'un domaine ne se limitant, pour ma part, qu'au plaisir le plus strictement intime dont je viens de faire référence dans ma petite pique.

Nous montons un autre escalier tandis que les sensations grignotent petit à petit ma chair s'éveillant à certains endroits, à certains moments tandis que je gagne légèrement en température corporelle.
Finalement, nous arrivons à une parte contre laquelle je suis poussé avec une étrange délicatesse dénotant clairement avec l'ardeur dont avait preuve la poigne nous ayant accompagnée durant toute notre montée. Doigts sur la poignée et lèvres proches des miennes, il reprend aussitôt ce qui avait été si longuement mis en suspens, ce petit jeu dont nous ne pourrions pas nous passer sans qu'il n'y ait une fin officielle à cette trame démarrée en début de soirée.

Mon souffle aussi, se fait lourd et vient sensuellement s'écraser contre ses lèvres alors que j'écoute attentivement ce qu'il est en train de me dire jusqu'à ce que la pression de son corps contre le mien, mêlée au susurre trouvant son cheminement jusqu'à mon oreille électrise la totalité de mon corps. Un autre gémissement inspiré, autant par la surprise que par l'envie virevolte presque comme le chuchotement m'étant destiné, mais à la vue de la distance qu'il nous reste, il fut suffisamment sonore pour que nous puissions tous largement en profiter.


Lui prouver que j'en ai envie ? Un instant de réalisation, puis de réflexion et voilà que je commence à me perdre quant à l'attitude à adopter. Ça y est, nous arrivons à la limite de mon aisance et des mes connaissances. Ce qui suivra après ça n'incarnera que de la découverte et de l'improvisation sur tous les points. Après cet ultime moment, mes sens prendront le dessus sur ma raison, très certainement pour le plus grand plaisir du chasseur.

Quelque peu hésitant, j'avance mon visage tout en l'inclinant légèrement sur le côté, près à déposer mes lèvres contre les siennes, mais alors qu'elles s'apprêtent à se toucher, une autre idée me vient, mettant ainsi un terme à mon avancée. D'une main, je détache la bretelle qu'il me reste jusqu'à ce que celle-ci rejoigne l'état de la première, après quoi je me saisis d'un de ses poignets pour faire avancer sa main jusqu'à mon corps, reprenant là où il s'était arrêté la dernière fois. Seulement, c'est désormais moi qui dirige l'opération, m'assurant qu'il prenne pleine possession d'une sensibilité s'étant développée au fil des minutes. A travers le tissu, certes, mais l'intensité étant différente, les sensations le sont aussi, d'une part ou d'une autre. J'hoquète déjà doucement, frissonnant à cette paume qui me fait rêver, je déglutis même déjà d'un plaisir certain alors que je ne suis même pas mis à nu.

Hachurant les quelques mots qu'il me reste, je chuchote:

- A-Alors... Est-ce une preuve suffisante quant à mon envie... "maître" ?

Il faut tout de même bien rester surprenant et le petit surnom ajouté à la fin de ma phrase, alors en complète opposition avec cette fébrilité qui me gagne, fait encore office d'une provocation dont moi seul détient cette capacité ultime de continuellement vouloir tenter quelques offensives. C'est dangereux. Donc, par extension, c'est amusant.


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Jesse MacPherson
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Jesse MacPherson
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Rp en cours (-18)
Sam 29 Mai - 23:18
Jesse MacPherson

Ici c'est moi qui mène la danse
- Rp groupé -
Aucun des deux ne semblait déterminé à céder d'indices à l'autre. En même temps, quel aurait été l'intérêt de jouer à ce genre de chose s'ils obtenaient les réponses sans avoir à chercher ? Jesse rit légèrement quand il reçut globalement la même répartie à sa propre demande d'informations. Bon, qu'est-ce qui pouvait bien marcher sur elle...

Il en était encore à chercher où attaquer quand elle s'approcha de lui pour lui mordiller l'oreille, lui tirant un nouveau frisson. D'accord, c'était beaucoup trop facile, en fait. Mais le même ________
genre de choses devait bien marcher sur elle... Il pianota du bout des doigts le long de sa hanche, remontant de la ligne de sa taille à celle de ses côtes, jusqu'à ce que la question s'invite à son oreille.

- Hm...

Ses limites, hein... il ne les connaissait pas vraiment lui-même, c'était plutôt de l'ordre de l'expérience. Il sentait quand il s'en approchait, et il s'arrangeait pour prévenir l'autre avant de les dépasser. Enfin, ça ne lui était qu'arrivé une seule fois, avec Will ; le reste du temps, ses contacts allaient rarement assez loin pour qu'il se pose ce genre de question.

- On verra, j'imagine.

Ce n'était pas la réponse la plus claire du monde, certes, mais c'était la seule qu'il avait en réserve. Il se pencha pour l'embrasser à nouveau. Mais dans la fraction de seconde avant qu'il ferme les yeux, son regard capta un mouvement au niveau des escaliers, deux silhouettes qui disparaissaient à l'étage.
Des silhouettes qu'il avait assez vues pour les reconnaître.

Une part de lui se crispa. Damen et Timaé, hein... Ça n'aurait pas dû l'étonner tant que ça... si ? Un peu. Mais ça n'avait aucune raison de l'affecter. Pourtant, il sentit une pointe de jalousie se ficher dans sa poitrine. Parce que lui n'avait jamais eu droit à autre chose qu'une répartie glaciale. Il chassa sa frustration en plaquant ses lèvres sur celles de Nia, avec un peu plus de précipitation que ce qu'il avait prévu. Damen pouvait faire ce qu'il voulait, Timaé aussi. Ça ne valait vraiment pas la peine de se prendre la tête là-dessus.

Jesse parle en #993399 (anglais) et en #663399 (coréen)
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Damen Irridval
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Rp en cours (-18)
Lun 31 Mai - 17:39
Damen Irridval
Est-ce qu'il a laissé filtrer un peu trop de sa précipitation dans cette poigne ? Sûrement. Est-ce que ça le dérange ? Peut-être un peu. Mais toute la patience du monde finit par céder face à la force de certaines pulsions et celles-ci, en particulier, sont de celles dont il est si facile de perdre le contrôle. Trop d'imagination, de promesses, de contact inachevés ; trop de possibilités, de frustrations, d'intensité. Ce petit commentaire, cette provocation qui semble n'avoir comme but que de titiller davantage son orgueil trop sollicité, n'est qu'une pierre de plus à l'édifice... ou un coup de plus dans son ego. Du genre qu'il est agréable de venger.

Il ne dit rien, ne répond pas ; il n'a rien à dire pour le moment mais il compte bien lui faire regretter cette petite pique autant que les autres, lui rendre la monnaie de sa pièce, faire naître en lui cette même impatience qu'il se permet si nonchalamment de souligner. Il est des sourires et des mimiques qu'il est plus qu'agréable de voir se briser.

Atteindre la porte paraît une éternité et pourtant, il a encore suffisamment d'orgueil, de maîtrise, de provocation dans le sang pour se contenter de le pousser contre elle, de susurrer des tentations et des ordres à son oreilles. Le corps collé au sien est tentant, très tentant. Mais pas trop tentant, et c'est là l'essentiel, la différence qui le maintient dans cet état d'attente, croisant leurs souffles là où il pourrait croiser leurs lèvres. Bientôt, pas tout de suite. D'abord, il veut le forcer à lui céder quelque chose, une preuve, un signe de passion pour enflammer leurs veines avant de pouvoir dompter les flammes. Ça aurait pu n'être qu'un baiser, un souffle, le petit gémissement que sa simple demande a fait naître entre les lèvres qui s'approchent ensuite des siennes sans les toucher. Mais c'est, au final, bien plus que ça. C'est une bretelle qui se défait alors qu'il ne parvient pas à en détacher son regard, qu'il suit le mouvement si anodin sans l'être le moins du monde. C'est une main qui se referme sur son poignet, l'entraîne. C'est un effleurement qui emporte une part de sa respiration.

Certaines personnes jouent à des jeux dangereux, mais c'est dans le danger que vivent les meilleures sensations. Sans doute. Guidée par cette poigne étrangère, sa paume s'invite sur ce relief par trop similaire à celui qui s'est invité sur son propre corps. Ses doigts se joignent à la danse dans un instant d'égarement, une seconde où son esprit semble s'évaporer au profit d'un violent souffle de tentation. Il cherche un gémissement de plus, un hoquet de plus. Ses lèvres plongent dans son cou pour étouffer son propre soupir d'expectative, autant à ses mots qu'à ce qu'il devine du bout des doigts. Il y a encore trop de tissu sous sa main. Beaucoup trop.

» Largement...

L'effort de volonté qui parvient à l'écarter de son terrain de jeu mobilise bien plus de ressources qu'il ne l'aurait cru. Ce n'est pourtant qu'un petit geste, une courte distance pour que sa paume glisse dans le bas de son dos, non sans se permettre de longer sans inhibition le galbe de ses fesses.
Un soutien tandis que l'autre fait tourner la poignée. La porte se recule en même temps qu'il le pousse en arrière, il la referme distraitement du talon, sans prendre la peine de chercher la lumière. Elle s'allumera toute seule à un moment ou un autre, de toute façon.

Il connaît cette pièce par cœur même dans l'obscurité. Les miroirs sur chaque mur comme une ode au narcissisme et à la vanité. Les quelques meubles qui osent timidement s'y faire une place, dont la commode qui finit par interrompre sa petite poussée dans la pièce, un peu avant que les lumières finissent enfin par réaliser leur présence. La différence n'est pas flagrante : son père a toujours eu un faible pour les lumières tamisées. Parfois, ça peut s'avérer utile. Question d'ambiance.

Les doigts de Damen glissent un peu, longent à nouveau les courbes qu'ils s'étaient permis d'explorer, s'invitent derrière sa cuisse tandis qu'il se colle à nouveau contre lui, comme une invitation à finir à sa place le mouvement qu'il a entamé. Il n'a ni la force, ni l'envie de le soulever sur les quelques centimètres qui le séparent du plateau de cette commode. Ce qu'il veut, c'est goûter à nouveau à la ligne de son cou, à celle de ses lèvres, sentir encore sous ses doigts ces formes qu'il n'a pu qu'explorer. Patience. Il lui en reste un peu, quelque part.

» Tu avais commencé quelque chose, tout à l'heure...

La main qui lui a servi à ouvrir la porte se referme sur celle de son partenaire de l'instant, imitation presque involontaire du geste qui lui a offert sa délicieuse preuve. Il la guide avec une lenteur aussi sulfureuse que frustrante pour la glisser sous son t-shirt, la faire remonter sur son torse, jusqu'à une petite pointe qu'il s'était permis d'effleurer à travers le tissu.

» Ne t'arrête pas en si bon chemin...

D'un côté comme de l'autre, il faut nourrir les flammes pour ne pas qu'elles s'éteignent.
Et il aime peut-être un peu trop donner des ordres.
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Timaé Amber
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Timaé Amber
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Rp en cours (-18)
Dim 6 Juin - 21:21
Timaé Amber

Ici c'est moi qui mène la danse

Une prise volontaire et dictée ayant eu comme but initial l'ultime provocation s'écroule petit à petit pour se métamorphoser en une arme pointée à contre-sens dont son possesseur en devient l'ironique victime. Un contact, désiré et obtenu par une approche trop directe du dépôt de cette paume dont l'unique contact contre la mienne m'a déjà laissé imaginer tant de scénarios possibles et plus que réalisables. Une montée d'adrénaline, le tour rapidement exécuté du sang dans mes veines, des lèvres s'accrochant à mon cou comme si elles en dépendaient, la solution parfaite pour finir en beauté sur un gémissement une nouvelle fois expiré. Ni retenue, ni lucidité ne sont là pour empêcher au blondinet de prendre possession de mes sens et de les guider à travers ces tentations les plus folles. Il les lime et détient cette tendance trop fâcheuse de les pousser dans leurs retranchements jusqu'à ce qu'un arrêt leur soit imposé, laissant à ces petites billes frôlant de trop près l'explosion cette frustration ne donnant que plus envie de reprendre leur dû. Et en l'occurrence, trop de choses ont été promises. Des deux côtés, certes, je l'admets... mais quoi de mieux que de s'amuser avec son tortionnaire pour toujours plus attirer son attention et attiser sa passion.

Ses doigts s'invitent à cette danse, me laissant complètement ébahi par cette montée de sensations venant jusqu'à électriser la totalité de mon corps, réveillant mes instincts... bestiaux avec lesquels il est si difficile de lutter. Cet art que possède ce cher Damen de toujours réussir à prendre l'ascendant sur moi ne fait qu'intensifier cette volonté de lui rendre la pareille en jouant de mes provocations et de mes taquineries afin de lui en faire voir de toutes les couleurs. Après tout, c'est comme ça que ça marche, n'est-ce-pas ?

Le petit commentaire laissé en guise de réponse à ma question en est... plus que satisfaisant. Je dirais même que ce genre de petites attentions n'incarnent finalement que l'élixir dont je me délecte de chaque goutte avec, comme sensation, une extase si puissante qu'elle pourrait presque rivaliser avec cette terrible soif de toujours physiquement en ressentir plus. Une drogue insufflée par des actes, des situations et des paroles, pas de quoi se pourrir la santé, ou presque, dont les dosages ne connaissent pas de limite sauf celles que les moins amusants imposent.

Je souris, comme tant d'autres fois, mais plutôt par fierté dont je me fais le plaisir d'afficher au grand jour et de lui jeter au visage. L'énerver, le titiller, l'embêter, tester ses limites pour devenir la victime de sa vengeance, un défi que je me suis moi-même imposé avec une optique plutôt... incertaine. La découverte du plaisir de la chair, d'accord, mais dans quelles mesures. Là demeure le point d'interrogation marqué en gras sur la page blanche. Celui que je n'ai rencontré qu'au sein de ce domaine-là.

Mais le temps n'est toujours pas aux questionnements puisque je peux d'ores et déjà ressentir cette paume alléchante surfer sur la vague de mes fesses avant que la porte ne finisse par disparaître dans mon dos. Plutôt surpris, je perds légèrement l'équilibre, mais parvient tout de même à ne pas chuter, emmené dans la profondeur de cette pièce sombre et poussé jusqu'aux limites matériellement disposées. Ça serait mentir d'oser affirmer ne pas avoir un léger pincement d'appréhension, mais que voulez-vous, c'est ça de perpétuellement s'embarquer dans des situations aussi loufoques qu'excitantes ! Plaqué contre un meuble que je finis par reconnaître comme étant une commode, je me surprends à devoir prendre un léger élan afin de m'y asseoir dessus, une fois le message passé par les gestes du jeune blond ayant été compris. Plus ou moins au même moment ou peu avant, la lumière s'allume et me laisse à nouveau la possibilité de pleinement déguster les expressions de mon partenaire de soirée. Tant mieux.

Le tout s'enchaîne assez vite et le voilà qu'il invite l'une de mes mains à rejoindre sa peau brûlante de désir, me laissant cette opportunité de m'amuser sous son t-shirt... ou plutôt de continuer ce que je m'étais amusé à faire alors que nous étions encore aux abords de la piscine située à l'extérieur de la maison. J'esquisse un fin sourire afin de souffler du nez et de gentiment pincer entre mon index et mon majeur, cette petite pointe sensible qui ne demande qu'à être chouchoutée. J'approche mon visage du sien et le toise en le narguant rien qu'en faisant agiter mes sourcils ou en faisant en sorte que mon sourire glisse en coin.


- Oh, mais c'est qu'il en redemande...

Bien entendu, la tonalité de ma voix se mêle à la fête servant à pousser à bout celui me fait face simplement parce que... ça reste drôle. Que vais-je pouvoir risquer ? Qu'il s'impatiente et finisse par partir ? Moh, allons... Il y perdrait plus qu'autre chose. M'enfin, je n'aimerais pas en arriver là, non plus.

Rapidement, entre deux prises de parole et toujours avec cette volonté d'extrapoler mes réactions, je plaque rapidement mes lèvres contre les siennes pour quelque peu pimenter la chose, histoire de ne pas demeurer inactif, même hors du t-shirt.

- Tout comme ce téton qui a visiblement grand besoin qu'on s'occupe de lui, qu'en dis-tu ?


Sans me faire prier, je commence déjà à le pincer en douceur, puis à le faire rouler entre mon pouce et mon index, tirant très légèrement dessus, puis de manière plus franche, désireux de voir s'éclaircir sur son visage l'expression de sa plus belle prise de plaisir. Ensuite, seul le doigt le plus épais se permet d'écraser son excroissance de chair afin d'incorporer à mon action quelques mouvements circulaires pouvant être agréables. Ni trop, ni trop peu, mais suffisamment dans un espoir de lui donner envie d'en apprendre plus sur mes compétences.


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Damen Irridval
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Mar 8 Juin - 18:01
Damen Irridval
L'éclairage qui s'installe dans la pièce n'est pas de ceux qui aveuglent mais de ceux qui subliment, soulignent chaque trait avec l'intensité d'un clair-obscur. Tandis que son partenaire du soir répond docilement à sa sollicitation et s'installe de lui-même au sommet du meuble qui a arrêté leur avancée - ou reculée, dans le cas actuel - Damen se rapproche autant qu'il est possible de le faire, colle son corps au sien. Puis il y a cette invitation, cette main qu'il saisit sans brusquerie mais sans délicatesse pour la guider sur son corps, un geste d'une lenteur crispante, à la limite de la frustration, tant il subit aussi ce petit contact électrisant. Mais l'habitude confère trop de maîtrise pour que son sourire ne tremble d'un millimètre ou pour que son regard perde sa supériorité mesurée. S'il l'a appelé "maître" pour jouer de la provocation, autant lui donner ce qu'il a demandé. Après tout, les gens les plus satisfaits ne sont-ils pas aussi les plus généreux ?

Son sourire se fait le reflet de celui du brun, tandis qu'il ne s'autorise comme seule réaction à ce début de contact qu'un petit plissement des paupières trop instinctif pour être retenu. Les yeux pas encore mi-clos mais plus entièrement ouvert pour autant, il vient planter son regard dans les yeux sombres qui lui font face et qui, en n'étant pas encore noyés de désir, d'excitation et de plaisir, ne semblent qu'une provocation supplémentaire.

» Comme tu le feras dans peu de temps.

Murmure, chuchotement prétentieux à la limite de la vanité. Sa voix ne s'élève pas plus haut pour qu'il puisse être assuré d'en garder le contrôle, de conserver l'ascendant que, dans ce jeu, il ne souhaite pas perdre le moins du monde. La flexibilité de ses rôles et de ses intérêts s'est fixée sur une envie - non, un besoin - de mener la danse, de conserver ce trône pour lequel ils paraissent se battre depuis la première phrase qu'ils ont échangée. Mais pour l'instant, il profite. De ces petits gestes discrets, de la chaleur de sa main contre sa peau, puis du baiser qui vient soudainement se plaquer sur ses lèvres et fait cavaler des frissons le long de sa nuque et sa colonne vertébrale. Sa langue, trop tentée et trop habituée à l'exploration, n'a que le temps d'effleurer ces pulpes rosées si tentantes avant qu'elle ne s'arrachent à lui, secouant son cœur d'un nouveau battement sauvage de protestation.

» Il semblerait...

Grand besoin qu'on s'occupe de lui, dit-il. Les mots que Damen a à peine soufflés n'ont même pas le temps de s'installer dans l'air que la petite souris décide de changer ses paroles en actes. Le blondinet plisse un peu plus les yeux, savoure les frémissements qui roulent sur sa peau. Une longue inspiration entre dans ses narines, ressort entre ses lèvres tandis que les doigts qu'il a lui-même guidés jusque là explorent, taquinent, se jouent des petites sensibilités de son torse dans le but évident d'essayer de le faire trembler. Lui arracher son contrôle, peut-être ? Il lui faudra bien plus que ça. Comme pour le prouver, sa main qui était juste là restée sagement posée contre sa jambe s'aventure plus haut sur sa cuisse, les doigts serpentant sur le tissu à la recherche d'un nouvel endroit où se nicher. Recherche qui s'avère fructueuse dès lors que son pouce retrouve cette zone sensible trop peu effleurée, que les deux plus petits doigts de sa main s'accrochent au bord de cette salopette déjà décrochée dans ses jeux de provocations. Ça ne la rendra que plus facile à enlever.

» Mais je crois qu'il n'est pas le seul à vouloir de l'attention...

Malgré l'épaisseur du tissu, il n'a eu aucun mal à sentir et ressentir cette envie de proximité, pendant ces quelques secondes, contre la porte, où il a eu l'occasion de profiter d'un avant-goût. Du bout du pouce, il joue avec les sensations, bien qu'altérées par l'absence de contact direct, qu'il se sait capable de faire naître aisément. De lignes, de cercles et de mouvements indistincts, il se permet de deviner les formes qui lui sont toujours cachées, tirant un peu sur le vêtement par réflexe plus que par volonté consciente.


» ... pas vrai ?

Ses yeux à demi-fermés et sa voix plus proche du murmure que de vocalises affirmées ne dénaturent en rien la provocation qu'il exhibe comme une marque de fabrique, autant dans le regard intense qu'il croise au sien que dans le sourire qui ne se décide pas à quitter ses lèvres.
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Nia Calaway
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Lun 21 Juin - 23:22
Nia Calaway
J’ai l’impression d’être dans une petite bulle. Tout le monde s’éclate à boire, plonger dans la piscine, se cacher dans des lieux isolés pour faire leurs petites affaires, etc. Et puis il y a Jesse et moi qui nous amusons à trouver les faiblesses de l’autre. J’en ai trouvé une, il en a trouvé une aussi et ça ne nous suffit pas. Aucun de nous n’est décidé à lâcher la moindre petite info pour aider l’autre.

J’ai bien l’intention de chercher encore un peu ses points faibles mais avant ça, je préfère m’assurer de ses limites. Je n’ai pas envie de les dépasser.Je n’ai pas envie de perdre un ami que je viens à peine de me faire. Je n’ai pas envie qu’une autre personne s’éloigne de moi parce que je me serais encore foirée une nouvelle fois dans mes relations sociales. Enfin...même si là, la relation n’est pas aussi poussée qu’avec un certain rouquin. Le résultat reste le même, je n’ai pas envie de tout rater.

- Tu vis dangereusement toi.

Enfin il y a plus dangereux que moi quand même. Lui par exemple ? C’est quoi ce baiser ninja ? Ca partait pour être un truc tout gentil et d’un seul coup, c’est comme si tout avait été accéléré. Il a appuyé sur la touche avance rapide ou quoi ? Pas que ça me dérange mais pour le coup, ça m’a bien prise au dépourvu. Je prolonge le contact contre ses lèvres durant quelques instants. Des secondes ou des minutes, je n’en ai pas la moindre idée. Dans les deux cas, c’est trop court à mon goût.

- Toi qui voulais savoir comment me troubler, j’crois que c’est réussi.

Un petit rire s’échappe de ma bouche alors que je continue notre jeu. Les minutes défilent durant lesquelles on discute, on joue, on se teste. Vient finalement l’heure pour moi de partir. Je ne pensais pas rester aussi longtemps à la base. Je ne m’attendais pas à faire une aussi bonne rencontre non plus cela dit.

- J’vais devoir te laisser. J’suis déjà restée plus longtemps que prévu mais j’me suis bien amusée grâce à toi. Merci.

Je lui vole un dernier baiser sur les lèvres pour le taquiner, puis m’en vais en souriant. Je n’oublie toutefois pas l’aide que je lui ai proposé pour l’organisation du bal. S’il a besoin d’un coup de main, je me tiendrai à disposition. Je quitte alors la fête et retourne chez moi, l‘esprit un peu plus tranquille. Ca m’a fait du bien cette rencontre, j’ai une dette envers lui maintenant.
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Timaé Amber
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Mar 6 Juil - 16:00
Timaé Amber

Ici c'est moi qui mène la danse

Devenir le témoin, l'acteur et la victime au sein d'une seule et même scène a quelque chose d'intriguant, pour ainsi dire d'extrêmement spécial. A la fois désireux de me jouer de mon partenaire de l'instant en accédant à la requête qui m'a été si sagement proposée par l'envoie de mes doigts habiles sur une terre promise et sensibilisée par le jeu, je me donne à cœur-joie d'être installé aux premières loges me permettant dès lors de profiter du spectacle dans ses moindres détails. La distance s'étant réduite à son minimum, il est difficile de rater ces quelques plissements de paupières, bien que définitivement subtiles, ou encore de passer à côté de ses expirations qui en disent long sur l'état dans lequel ce contact le transporte. Il serait faux d'avancer comme théorie le fait qu'il soit à ma merci aux vues des faibles réactions qui me sont tendues, mais il ne serait pas complètement erroné de me part d'affirmer que le blondinet est actuellement en proie à des délicieuses sensations. Certes, peut-être moins intenses que celles ressenties de mon côté, mais... on va dire que c'est une question d'habitude.

"Comme tu le feras dans peu de temps", il semble bien sûr de lui en osant avancer de tels propos. Et que ferais-je au juste dans si peu de temps ? Lui supplier de continuer ? De recommencer encore et encore ? Prêt à poser les deux genoux à terre face à lui tandis qu'il me dominerait aisément par le biais de son attitude, de sa gestuelle, mais surtout du regard de prédateur qu'il pourrait glacialement me jeter au visage ? C'est ce qu'on verra... Il faut dire que l'idée est intéressante. Seulement, nous sommes encore loin du compte et tant de choses peuvent encore se produire entre l'instant présent et sa petite provocation.


Sa voix murmurée parvient à mes oreilles comme une douce mélodie déjà prête à recouvrir mon corps de frissons... ou du moins à les intensifier. Naviguant entre ce désir fou de devenir à la fois l'esclave de mes pulsions et instigateur de mes désirs, je ne parviens pas à me décider quant à la façon dont cet échange est censé s'avancer dans la continuité. Après-tout, ai-je vraiment le choix sur ce qui est en train de se produire ? Mon esprit, alors dicté par un ego surpuissant, a tendance à prétendre qu'il faut que ça soit le cas alors que mon corps, lui, n'en est pas si sûr tant la différence entre les réactions de l'homme de la soirée et les miennes se veulent différentes.

Sur ce grain de peau juvénile, aux alentours d'une pointe de chair en crise, mes doigts de couturiers s'amusent à varier les plaisirs, glissant lentement en recouvrant partiellement ce bouton rosé, tournant tout autour avec mon pouce, le saisissant lentement entre mon index et mon majeur, effectuant des mouvements circulaires à même l'épicentre, laissant à mon ongle le plaisir de glisser dessus en faisant bien attention de ne pas lui faire mal. Ce t-shirt commence à être de trop. Il m'empêche de pleinement accéder à cette peau si douce que mes lèvres développent une furieuse envie de la parcourir et de rejoindre les effrontés qui s'amusent à l'abris des regards indiscrets et trop curieux.

Seulement... Seulement, Damen s'est décidé à reprendre du service en mettant au travail la main inactive qui se trouvait toujours sur ma jambe, la faisant remonter jusqu'à un point relais que lui ou elle semble avoir imprimé pour l'éternité depuis l'instant où, adossé contre la porte, je m'en suis servi comme preuve quant à la confirmation de mon désir d'aller toujours plus loin. Je frissonne... un peu plus... plisse les yeux bien plus rapidement que lui, trop facilement sensibilisé par un contact qui ne se fait même pas sur peau nue. Honnêtement, intérieurement, j'avoue avoir un peu honte lorsque je me penche trop longuement sur le sujet, de savoir que je perds naturellement à un jeu qui a été lancé entre un adolescent et moi-même. Est-ce le fait qu'il soit jeune ? Est-ce le fait qu'il me crache presque au visage la facilité déconcertante avec laquelle il me met au tapis sans même sortir l'artillerie lourde ? Un peu des deux... un peu de tout...

Pendant ce temps, un soupir chaud et débordant d'une intense vague de plaisir est arraché de mes lèvres pourtant toujours présentes pour faire le malin. Il commence discrètement pour s'intensifier dans le temps, s'amusant à un peu plus me couvrir de honte lorsqu'arrivé à son aboutissement, ce dernier finit par se moduler en une ébauche de gémissement. Par automatisme, les doigts de ma main libre viennent verticalement recouvrir mes lèvres dans un espoir de les empêcher de commettre d'autres impairs contrairement à mon regard qui, baigné de curiosité, se dirigent instantanément sur l'évolution de cette main prometteuse dont les gestes me tirent diverses réactions autres que celle proposées vocalement comme quelques mouvements de mon corps par le biais de mes jambes qui se meuvent très légèrement ou par une déglutition synonyme de contenance.


Cette provocation... ouvertement affichée par le blond, tandis qu'il attrape le haut de ma salopette afin de dangereusement la faire glisser, me pousse à me défendre, adorant et détestant à la fois cette aisance qu'il arbore en toute circonstance.

- Ferme-la...

La tonalité n'est ni agressive, ni trop audible, simplement naturelle. En même temps, et ce dans un premier temps pour m'aider à prononcer ces mots, mes doigts regagnent mon corps, glissant jusqu'à cette bosse qu'il n'est dorénavant plus possible de cacher, y frottant fermement ma paume, de quoi me provoquer un mordillement de la lèvre inférieure tout en faisant glisser mes doigts du haut du torse à la hanche de mon partenaire, effleurant continuellement sa peau du bout de mes doigts, m'amusant à remonter et à redescendre un certain nombre de fois.


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Damen Irridval
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Mer 14 Juil - 16:40
Damen Irridval
Il ne s'en lassera jamais. Ni des sensations brutes que les doigts sous son t-shirt s'amusent à faire naître dans des jeux exquis qu'il n'a finalement pas tant que ça l'occasion de subir, ni des petits frissons qu'il perçoit sur la peau de sa petite proie du soir. En quelques mots et regards bien placés, il peut créer, amplifier, manipuler entièrement le désir de quelqu'un, sans même avoir à le toucher. En quelques petits gestes, cercles, pincements, effleurement de l'ongle, tout son corps ressent le besoin de s'exprimer, réclamer plus, frémir de chaque grain de peau. Besoin qu'il musèle sans trop de difficulté en ne laissant qu'à quelques souffles le droit de franchir ses lèvres mais tout de même, y a-t-il dans ce monde une forme de pouvoir plus plaisante que celle-ci ? Une forme de faiblesse plus séduisante ? Ses dents effleurent sa lèvre, s'y accrochent un court instant le temps de passer une petite vague de frisson, avant que sa main décide de faire son retour dans la danse et étalage de ses sinueuse capacités de provocation. Sur sa jambe, le long de sa cuisse, jusqu'à une forme marquée sous le tissu, jusqu'au bord de sa salopette, accompagnée, bien entendu, de quelques phrases murmurées de cette intonation dont il a le secret. Qu'est-ce qu'il peut avoir envie de retirer ce vêtement...
Le gémissement maladroitement retenu qui répond à ses caresses vaut largement la peine de jouer dans la langueur.

Un petit rire trop empreint de fierté repousse un instant les soupirs frémissants qui n'avaient cessé de se jouer de son souffle lorsqu'il voit la main de la petite souris se poser contre ses lèvres. Vexé d'avoir admis aussi facilement la tentation brûlante que Damen a pourtant si facilement ressenti sous ses doigts ?
Pas assez pour cesser de le regarder, semble-t-il... ni pour cesser de réagir. Là. Ses petits mouvements de jambes, ses visibles efforts pour avoir l'air calme alors que tout son corps hurle son envie d'ôter ce tissu qui les sépare, ça commence finalement à avoir un petit goût de victoire. Le sourire de Damen s'élargit, encore plus quand la voix de sa proie finit par s'élever dans ce qui ressemble à une tentative désespérée de reprendre une contenance.

» Tu n'aimes pas perdre, hm, petite souris ?

Ses doigts rencontrent sans l'avoir cherchée la main qui s'est posée près d'eux et il plonge son regard dans celui qui lui fait face, attrapant sans la brusquer cette visiteuse qui a choisi le mauvais endroit où s'égarer. Damen resserre sa prise, trop ferme pour que sa captive puisse espérer lui échapper, utilise cette main baladeuse comme arme contre celui qui, en temps normal, peut la manier à sa guise. Sourire toujours vissé sur les lèvres malgré les frissons qui poursuivent les doigts sur sa hanche, il guide sa paume comme la sienne, la pousse à frôler et provoquer elle-même le tissu bombé qu'elle a cru bon de venir effleurer. Si elle a voulu s'aventurer par ici, qu'elle se rende donc utile... et ce sera à son propriétaire d'en assumer les conséquences.

» Mais si tu veux vraiment que je me taise...

Sans cesser son petit jeu intime et infiniment provocateur, il vient glisser son autre main contre son ventre, pinçant son t-shirt entre son pouce et son index avant de le relever, lentement, sans se priver de parcourir sa peau, jusqu'à révéler presque tout ce corps qu'il vient sans la moindre gêne dévorer du regard. Du moins au début, car il ne le fait pas languir longtemps, pour une fois, avant de s'approcher, d'effleurer du bout de la langue une des petites pointes roses restée encore bien trop en sécurité jusqu'ici. Quant à l'autre... l'autre ne tarde pas à subir les assauts de ses doigts, bien déterminés à ne pas se laisser vaincre et à faire naître au moins autant de sensation que les lèvres venues s'affairer de l'autre côté de ce torse à demi-dénudé. Un petit rire amusé s'extirpe dans un souffle de ses narines. Il joue avec lui par de petits mouvements de sa langue, de ses doigts, de la main toujours serrée dans la sienne en contrebas mais, au moins, il ne parle plus.
N'est-ce pas ce qu'il voulait ?
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Timaé Amber
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Mar 3 Aoû - 17:04
Timaé Amber

Ici c'est moi qui mène la danse

Ne pas aimer perdre ? En une seule et même phrase, le blondinet s'amusant avec mes sensations et mon corps, en plus de s'auto-proclamer comme étant le roi de la soirée, s'est transformé en roi de l'euphémisme, bien que cela soit quelque peu plus nuancé qu'une simple aigreur vis-à-vis de la défaite. Perdre simplement n'est pas un problème en soi, mais perdre à un jeu dans lequel l'égo est mis en péril relève de la non-acception de s'imaginer inférieur à un autre, en l'occurrence à un petit adolescent pas vraiment plus grand que je ne le suis et n'ayant même pas atteint la majorité. Pourtant... Pourtant, il parvient à me battre sur un domaine dans lequel je me suis aventuré en ayant eu l'audace de croire, et ce depuis le début, que j'aurais une chance de l'affronter et, qui sait, peut-être même de le battre, non pas sans difficultés, mais de le battre tout de même. Seulement, à chaque fois qu'une légère saveur me faisant croire que je puisse l'espace d'un instant songer à la victoire, il revient en me retournant devant mon visage ébahi une carte joker qu'il semble rejouer à l'infini, quelle que soit la situation, peu importe à quel point on a pu sentir la frustration s'emparer de son petit corps n'ayant même pas encore fini son développement. Tout est une question d'égo. Ça l'a toujours été et ça le sera toujours, dans mon cas. Est-ce de la naïveté de ma part de m'y être collé sans réellement saisir les termes du contrat que je m'apprêtais à signer ou une incroyable bêtise ? La différence est mince, je vous l'accorde. Dans mon cas, presque inexistante, mais maintenant que j'y suis il n'est plus question de reculer. Il n'en est d'ailleurs plus possible étant donné que je me fais prisonnier de mes propres envies qu'il titille, chatouille et s'amuse à malmener en me les amenant à la bouche avant de mes les reprendre, accompagné par son attitude dégoulinant d'arrogance ainsi que son sourire qui mérite simplement une bonne paire de claques.

En attendant, ce qu'il m'offre est... tellement au-delà de ce que je pouvais imaginer... encore plus passionnant que mes rêves les plus fous gorgés de fantasmes ont pu me faire vivre. Presque muni d'une nonchalance défiant toute concurrence, il s'amuse sur les lignes de mes jambes, jouant entre ce qu'il reste de ma salopette et le bout de tissu recouvrant mon torse finement musclé, jouant avec ses quelques mots murmurés muni d'une intonation à en faire vibrer chaque carré de chair.

Visiblement, ma pseudo-rébellion le fait rire puisqu'il s'en amuse en soufflant du nez une première fois jusqu'à ce que cette fameuse question concernant le fait de ne pas aimer perdre finisse par émerger tout en étant visiblement désireux de conserver, par la même occasion, ce surnom ridicule qui ne fait que rendre sa phrase plus provocatrice que jamais. Je fronce les sourcils comme première réaction avant de laisser comme éventuelle possibilité à mes lèvres de prendre la parole. Il faut que je trouve quelque chose et vite... je ne suis toujours pas prêt à me laisser faire sans riposter quelque chose, quoi que ce soit !

- Oh, toi...

A peine commencée, ma phrase est coupée, la sensation de l'une de ses mains venant de faire la rencontre avec celle que j'avais laissée traîner un peu trop proche de cette zone alors en pleine ébullition m'obligeant à m'arrêter, attiré et intrigué par ce qu'il compte faire au moment où je le sens s'en saisir avec une poigne qui ne lui laisse d'autres choix que de suivre son kidnappeur. Que compte-t-il faire ? Avec lui, difficile de tout prédire sachant désormais à quel point il peut être imprévisible.

Inspirant et expirant une première fois lourdement, je ne peux m'empêcher de nicher mon regard dans le sien, désireux de m'affairer à une tentative d'interprétation à l'égard de ses prévisions. Cependant, ce n'est qu'une fois la reprise des caresses effectuées par ma propre main, mais guidée par la sienne aux alentours de cette sensibilité, que je parviens à comprendre qu'elle était le but de cette manœuvre, ma voix s'amusant une nouvelle fois à reproduire des gémissements qui, cette fois-ci, sont dévoilés à nu, étant donné que plus aucun obstacle n'est disponible afin de les atténuer, mes deux mains trop occupées, chacune de leur côté, l'une d'elle se faisant marionnette d'une des siennes et l'autre toujours postée sur son corps à lui.

A plusieurs reprises, je me mords la lèvre plus ou moins intensément en fonction de la sensation ressentie. Puis, mon corps tout entier commence à vibrer, se recouvrant peu à peu de frissons à mesure que mon t-shirt est soulevé, dévoilant ainsi la peau de mon torse dont les pointes roses semblent s'être développées, penchant ma tête en arrière afin d'expirer un peu plus chaudement cette vague de plaisir fraichement ressentie par le biais de ses doigts ayant longés quelques parcelles de peau durant cet ascenseur ramenant sa seconde main jusqu'aux hauteurs de mon torse. Paralysé par l'extase et soudainement foudroyé par le plaisir que me procurent ses doigts ainsi que l'humidité de sa langue sur ces petites parcelles rosées et sensibles, voilà qu'un puissant, mais bref cri soudoyé par le torrent de sensations provoquées par ses soins se fait entendre, mes jambes se relevant légèrement, guidées par un spasme avant de retomber jusqu'à leur position initiale tout comme ma prise sur sa hanche se ressert un instant, ne prenant même pas conscience de l'intensité qui y est allouée.

Hésitant entre masquer ce concert en délaissant son corps ou assumer pleinement que je suis en train de prendre mon pied, seules les petites vocalises harmonisant les gestes effectués à l'encontre de mes excroissances faites de chair sont certaines de la direction qu'elles doivent prendre. Mon corps et mon esprit se mettent presque d'accord pour en réclamer toujours plus tandis que la déformation du tissu semble toujours plus s'intensifier si ce n'est en termes de sensations ressenties.


Et si Damen s'est enfin bel et bien tu... quel a été et quel sera le prix de l'exécution de ce désir ?


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Damen Irridval
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Lun 16 Aoû - 22:03
Damen Irridval
C'est dans sa plus totale vulnérabilité qu'on découvre les vraies couleurs d'une personne. En l'occurrence, pour sa proie du soir, difficile de passer à côté du mélange de frustration et de plaisir que chaque caresse semble faire naître. Le regard et la voix ne s'accordent pas : le premier brille d'une envie mal dissimulée d'écraser l'ego de Damen sous son talon, la seconde n'exprime qu'un besoin allant en s'accentuant de sentir ses mains plus proche de son corps. Difficile de nier que le petit blondinet s'amuse bien trop de cette contradiction, surtout en voyant la facilité avec laquelle il lui coupe la parole. Il suffisait donc de jouer de sa main comme d'une marionnette pour que sa répartie meure dans sa gorge ? D'une caresse auto-infligée, ou presque, pour changer les piques en gémissements satisfaisants, agréables et on ne peut plus tentants ? Petit sourire bien trop fier de lui aux lèvres, Damen continue d'imposer son rythme à sa prisonnière, jusqu'à croiser ses doigts aux siens pour pouvoir la manipuler sous toutes les coutures. Mais il n'oublie pas les mots qui lui ont été adressés, un "ferme-la" un peu trop audacieux pour quelqu'un qui s'est volontairement jeté entre ses griffes. C'est très satisfait de son idée qu'il glisse sa main le long du torse si gentiment offert, trouve de nouveau jouets à titiller du bout des doigts et, surtout, du bout des lèvres, s'imposant le mutisme que la petite souris a réclamé sans réfléchir aux conséquences.

Un cri trop court pour être suffisant réagit à la première prise de ses lèvres, à la première caresse de sa langue. Déterminé à en obtenir plus, bien plus, le petit blond ajoute bien des éléments à la danse, cherchant toujours à surprendre ces petits bouts de sensibilité dont il a pris possession et qu'il ne compte pas lâcher tout de suite, pas avant que son propre corps ne cède à l'appel qui résonne à ses oreilles et fait vibrer toutes les parts de son cerveau capable de le détacher de la réalité. Sa langue effleure, taquine, là où ses lèvres pincent, attirent, repoussent, ouvre la voie à des mordillements légers n'ayant pour but que de rendre sa proie bien plus vulnérable encore, à noyer ses veines d'un désir qu'il peut sentir gonfler sous ses doigts, entremêlés plus bas à ceux qu'il manipule.

Une discrète grimace plisse ses yeux et fait tiquer une seconde le coin de ses lèvres lorsque la prise sur sa hanche s'intensifie vivement. Ses lèvres relâchent leur proie l'espace d'une fraction de seconde, pour lâcher un souffle rendu tremblant autant par la légère douleur que par la montée d'excitation qu'elle a provoquée et qui a, pour une tout aussi brève fraction de seconde, resserré sa prise sur la main de son partenaire de jeu et, par extension, sur le relief de tissu qu'il se plaisait à taquiner plus ou moins ouvertement. C'est qu'il serre fort, ce mignon mauvais perdant, ça donne envie de voir ce qu'il fait quand la tension augmente...

Emportant sa compagne avec elle, la main de Damen obéit sans hésiter à la pulsion qui le traverse alors qu'il reprend ses taquineries un peu plus haut. Elle glisse, malicieuse, le long de la forme qui transparaît sous le tissu, serre et desserre ses doigts et ceux qu'elle retient. Discrètement, son petit doigt s'agrippe au vêtement pour le faire descendre un peu plus, profitant du puissant détournement d'attention provoqué par le reste de ses mouvements. Son sourire revient rapidement sur ses lèvres, alors qu'il ne peut résister à la tentation de relâcher sa cible pour venir planter son regard dans le sien.

» Je me suis assez tu à ton goût ?

Il se passe la langue sous la lèvre avec un rictus satisfait, probablement très agaçant du point de vue de quelqu'un qui semble aussi peu aimer perdre. Un peu plus bas, son pouce n'a, lui, pas cessé de jouer avec sa petite proie et, beaucoup plus bas, le tissu a suffisamment glissé pour laisser apparaître le sous-vêtement qui sépare encore les mains entrecroisées de la cible de leur jeu. Damen approche son visage, assez près pour l'embrasser, mais sans aller jusqu'à le faire. Au lieu de ça, il se contente de l'effleurer à chaque mouvement de lèvres induit par ses paroles, en plus du souffle qui vient s'écraser sur celles d'en face.

» Ou bien tu veux que je me taise encore un peu plus ?

Titillant du bout de la langue les croissants rosés dont il aurait simplement pu s'emparer, il finit par replonger dans son cou, mordille sa peau, descend le long de son torse, ses côtes, son ventre, jusqu'à atteindre la main toujours prisonnière de la sienne. Alors seulement, un air purement fait de provocation dans le regard qu'il lève vers lui, il recule sa main pour la redescendre jusqu'à son poignet. Il ne rend leur liberté de mouvement aux doigts prisonniers que pour s'y attaquer sans entrave, en longe un de la pointe de sa langue sans écarter un seul instant sa captive de la zone qu'elle couvre. Tentation gratuite et message manquant cruellement de subtilité, sans le moindre doute, c'est à l'imagination qu'il s'attaque en prenant son index pour cible, en y passant sa langue ou, pire encore, en saisissant la première phalange entre ses lèvres pour la suçoter et la mordiller, le regard illuminé autant de malice que du désir qui pulse dans ses veines et qu'il peine de plus en plus à contenir pour conserver son sourire prétentieux. Mais la satisfaction de perturber un peu, ou énormément, cette proie qui s'est prise pour un prédateur vaut la peine de résister à ses propres pulsions. Largement.
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Dim 5 Sep - 15:54
Timaé Amber

Ici c'est moi qui mène la danse

Ce gamin est véritablement insupportable. Il me rend fou, et ce dans tous les sens du terme, à user de la provocation pour me déstabiliser et me faire sortir de mes gonds, à utiliser mes propres armes contre moi dans un espoir certain de lentement me voir perdre la moindre parcelle de contrôle. C'est ça. Il s'amuse à détruire mes barrières et à faire voler en éclats mes capacités à tenter une reprise de la situation entre mes mains ainsi que mes facilités à faire bon usage de la provocation afin de lui faire ravaler son rictus de gosse de riche plus qu'irritant. Il parvient à faire tout ça, lui, même pas majeur et m'étant pourtant déjà bien supérieur, du moins en ce qui concerne ce domaine si particulier au sein duquel j'avance désormais à l'aveugle. Ça a le don de m'agacer, de m'énerver très fortement sans pour autant que les sensations en soient désagréables. C'est d'ailleurs ça qui le rend le tout bien plus frustrant qu'à la base. Je ne peux même pas me défendre et prétendant l'absence d'attraits que mon corps et mon esprit sont en train d'apporter à cette situation. Non, dans le fond... ça me plaît qu'il me domine, ça me plaît qu'il parvienne aussi facilement à décider de la moindre action que ce soit vis-à-vis des siennes ou vis-à-vis des miennes.

Je n'ai pas pour habitude de mentir et l'expression qu'affiche mon visage ne trahit pas mes pensées avec ses sourcils froncés et la morsure de ma lèvre inférieure, des éléments définissant à la perfection le combat perpétuel s'effectuant dans ma tête. Entre plaisir et égo, il est difficile de ne pas céder à certaines promesses ou à certaines pulsions surtout lorsque des lèvres et des doigts malicieux s'attaquent à des excroissances de chair déjà redressées par le parcours de frissons. C'est... tellement... agréable... Mes yeux se ferment, désireux de me contenir un maximum avec objectif d'éviter de lui donner ce qu'il attend, ce qu'il recherche avec tout ce manège, toutes ces fioritures. Ses lèvres humides munies d'un soupçon de sauvagerie lorsqu'elles tirent sur leur cible, ses doigts doux, mais légèrement froids qui titillent la jumelle rosée provoquent à eux seuls des sensations déjà bien suffisantes servant à me faire craquer. S'il n'y avait que ça... ça serait encore et toujours sous-estimer mon adversaire, sous-estimer le maître des lieux.

Cependant, je remarque que lui aussi se laisse de temps à autre emporter par un soupir plus lourd que les autres après avoir resserré mes doigts sur sa hanche. C'est une chance à saisir, alors j'en profite pour étirer un sourire aussi prétentieux que le sien, relâchant même un léger rire à la hauteur de ma satisfaction.

- Et bah alors... ? On est sensible de la hanche ?

Néanmoins, n'oublions pas qu'il tient aussi en sa possession l'une de mes mains, la malheureuse ayant eu comme très mauvaise idée de se poster à proximité de la sienne dès lors en pleine promenade sur mon corps qui était, jusqu'alors, toujours recouvert de tissus. Le vicieux s'en est servi et à juger bon de l'utiliser comme bon lui semblait, s'amusant désormais de passer nos doigts liés sur cette bosse ayant déjà atteint apogée, me tirant de petites expirations, tout au plus. Il ne faut pas que je craque, il ne faut pas que je craque. Pourtant, ça m'a l'air mal parti vu les moments de faiblesse qui m'animent dès l'instant où les sensations sont trop fortes et où quelques hoquets de plaisir s'invitent à la danse.

Ma petite heure de gloire se veut donc éphémère et les sensations reprennent l'ascendant, me poussant à pencher une fois de plus la tête en arrière, mes doigts ayant tout de même imprimé l'information parue quelques instants plus tôt, se resserrant une nouvelle fois fortement sur cette même zone ayant servi à tirer ce soupir très mignon.

- T-Tais... t-toi... D-Damen...

En disant ça, je serre les dents. Qu'il est agaçant quand il veut. Je veux... Non, je vais lui faire ravaler sa petite fierté à deux balles à ce blondinet arrogant ! Parti pour le faire, je redresse ma tête, mais finit par tomber nez à nez avec son visage, écarquillant d'abord les yeux de surprise, mais reprenant très aisément l'expression initiale m'ayant presque accompagné depuis le début. Ses lèvres contre les siennes à chaque fois qu'un mot est extirpé d'entre ses lèvres et son souffle écrasé contre le mien, j'hésite à remonter ma main de son bassin à sa nuque pour le forcer à m'embrasser, mais je suis comme paralysé par cette proximité, préférant émettre un bruit émanant du contact subtil entre ma langue et mes dents, donnant naissance à un son synonyme d'agacement. Il ne s'arrête donc jamais.

Et puis, il prend de la distance, se nourrit de mon cou, longeant la partie haute de mon corps avec ses lèvres et ses dents, la curiosité me poussant à le suivre du regard quand bien même les sensations font que des expirations de plaisir se manifestent par intermittence. C'est à ce moment-là que je découvre que ma salopette est presque intégralement retirée, ne voyant plus que mon boxer comme ultime barrière entre ses mains perverses et mon anatomie tandis qu'il s'amuse de sa langue ainsi que de ses lèvres avec mes doigts. Une nouvelle fois, je me mords la lèvre, puis serre les dents, gémissant délicatement, décidé à ne pas lui en offrir plus bien que les sensations, mais surtout la vision de cette phalange pénétrant ses lèvres à une telle proximité de la bosse formée, soient divines. Écho à un passé relativement proche, lorsque je lui avais fait subir le même sort aux alentours de la piscine, demeure aigre pour quelqu'un comme moi. Je vis à nouveau mal le fait qu'il se serve de mes propres armes contre moi.

Un coup de sang me prend, l'air contrarié et je parviens, par je ne sais quel miracle, par rapidement détacher ma main de sa hanche et de la remonter, comme voulue, jusqu'à sa nuque, sur laquelle j'appuie afin que son visage se voit directement collé contre cette zone qu'il semble tant apprécier. Un doux goût de vengeance nourrit mes veines. Il est hors de question que je me fasse plus longtemps mener à la baguette par un p'tit adolescent.

- Puisque tu sembles énormément aimer jouer autour de cette zone, mets le nez dedans.



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Damen Irridval
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Dim 5 Sep - 18:10
Damen Irridval
Qu'il est adorable de le voir essayer de gagner un peu d'ascendant. Bien sûr, difficile pour Damen de nier que la pression inattendue sur sa hanche, presque assez forte pour être douloureuse, a eu de l'effet sur lui, mais le petit commentaire hautain qu'il reçoit en réponse a l'allure d'une tentative, adroite mais malgré tout évidente, de reprendre les rênes. C'est bien mal le connaître que de croire qu'il va se laisser perturber si facilement. Il veut obtenir la réponse à sa question qui n'en est pas une ? Qu'il réessaye donc, s'il parvient à y penser alors qu'il s'efforce de résister aux sensations qui doivent très certainement se bousculer dans sa chair. Ça aussi, c'est évident : les soupirs contrôlés de son mieux, les petits hoquètements qui parviennent tout de même à se faire entendre, tout, absolument tout, témoigne d'une peur de perdre cet avantage qu'il a voulu s'accorder avec sa petite pique. C'est bien l'inconvénient quand on s'attaque à plus fort que soi : les victoires, aussi satisfaisantes soient-elles, ne durent jamais bien longtemps.
Même quand on trouve une arme étonnamment efficace.

La petite souris a eu la présence d'esprit de recommencer, finalement. Malgré lui, Damen sent ses dents s'emparer de sa lèvre alors qu'une nouvelle pression contre sa hanche fait remonter une ligne ardente directement jusqu'aux battements mal contrôlés de son cœur. Ses yeux s'étrécissent un instant, un court instant, avant qu'il reprenne le contrôle de la pulsion qui croyait pouvoir le faire craquer. Certainement pas si facilement. Il y a un jeu ici qu'il a bien l'intention de suivre jusqu'au bout, et de gagner. Alors il vient murmurer contre ces lèvres qui se croient encore autorisée à lui donner des ordres, souriant de l'agacement très perceptible autant dans le regard croisé au sien que dans le claquement de langue qui répond à ses questions. Eh bien, eh bien. Il n'aime vraiment pas se laisser surprendre... ou se laisser contrôler. Une façade : il a l'air d'adorer ça, dans le fond. C'est bien facile à prouver, il suffit de...

Ses lèvres descendent le long du corps de sa trouvaille du jour, se délectent de ce trajet aussi attirant que sa destination. Elles s'emparent de leur nouveau jouet sous le poids du regard qui les dévisage, et que Damen se plaît à détailler sans gêne en relevant les yeux. Cette façon de se mordre la lèvre, les petits gémissements, la lueur agacée dans ses prunelles. C'est presque aussi amusant que toutes les promesses contenues dans leur jeu. Presque, il vivrait quand même mal de n'avoir droit qu'à ça, après l'alignement de provocations qui a ponctué le début de soirée.

Une prise inattendue s'agrippe à sa nuque pour pousser son visage vers l'avant, le privant de son petit jouet du moment. La surprise laisse place à un petit rire amusé alors que Damen vient déposer le haut de sa tête contre le creux de son ventre.

» Oh... Pourquoi tu ne dis pas directement que tu en meures d'envie, hm ? Peur d'admettre ce qui te met dans cet état ?

Il relâche sa prisonnière pour faire courir ses doigts le long du tissu étiré par un désir impossible à dissimuler, surtout d'aussi près, surtout dans cette tenue. Sans perdre son sourire invisible aux yeux de son partenaire du soir, il remonte sa main jusqu'au bord du tissu, l'attrapant avec la même poigne que celle qu'il serrait autour de son poignet un instant plus tôt.

» Mais si tu t'impatientes tant que ça...

Ses doigts tirent sans fantaisie sur leur prise, s'assurant seulement de ne pas lui faire mal, son autre main se joignant à la danse pour libérer ses cuisses, mais surtout ce qui les accompagne, de leur gangue de tissu.

»... il est peut-être temps que je réponde à ta question.

Même lui n'est pas sûr de savoir par quel miracle il parvient à ne pas perdre le fil de ce genre de petits détails, mais il n'a pas oublié comment cette conversation a commencé. Quoique le terme soit un peu faible. Imitant parfaitement consciemment le duel qui l'avait opposé à ce doigt si facile à taquiner, il vient effleurer du bout de la langue puis du bout de lèvres cette zone avec laquelle il semble énormément aimer jouer, pour reprendre les mots si inconscients qui viennent de lui être adressés. Débarrasser de leur mission, ses mains reviennent prendre leur rôle de joueuses, l'une d'elle se glissant sous sa cuisse tandis que la seconde se pose autour de l'autre, l'enserre avec une force crispée un peu mal maîtrisée. Garder le contrôle est une chose, rester impassible en est une autre, et même lui n'est pas capable de feindre entièrement le calme et l'indifférence alors qu'il a entre les mains - ou, en l'occurrence, les lèvres - une emprise presque absolue sur les sensations d'une personne. C'est suffisant pour secouer un peu les siennes mais, malgré tout, il hésite. Le taquiner encore un peu, ou lui arracher toute résistance de force...

C'est son corps, poussé en avant par une pulsion trop téméraire, qui finit par répondre à sa place, pour s'emparer plus pleinement de l'objet de ses désirs, alors que ses ongles s'enfoncent quelque peu dans la peau de sa cuisse. La provocation a perdu du terrain, chassée par une envie palpable de briser son orgueil. Le jeu de sa langue et de ses lèvres sur leur nouvelle cible se défait peu à peu du calme tentateur qui les habitaient pour se faire plus pressant, avide sans être précipité. Avide de gémissements, de regard, d'une victoire qui semble lui échapper toujours de quelques millimètres en refusant de rester à sa portée. Question d'ego, il le fera craquer. Autant de fois que nécessaire.
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Timaé Amber
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Mer 3 Nov - 13:38
Timaé Amber

Ici c'est moi qui mène la danse

Un moment hors du temps, mais qui semble durer une éternité s'invite dans le jeu bien entamé ayant lieu entre ce petit blondinet et moi-même. Et alors que les provocations vont de pair et s'enchaînent comme lors d'une bataille à l'issue de laquelle on couronnera le gagnant, le geste de trop lancé sous le coup d'une émotion, d'une sensation trop forte, mais surtout d'une envie mal dissimulée d'enfin découvrir cet univers si particulier me place une fois de plus dans une posture bien délicate.

Un espoir vain de déstabiliser mon adversaire s'est aussitôt transformé en un mélange complexe de regret et d'admiration face à cette attitude qui déchire absolument tout sur son passage et emporte à chaque fois un peu plus les bribes de contrôle qu'il me reste, me permettant par ailleurs d'encore quelque peu garder la face en sa présence.

Le haut de sa tête contre mon ventre, un rire aussi électrisant que désagréable tant il respire la provocation et l'assurance et puis… il y a ses mains… ses mains qui remontent sur le dernier tissu me séparant de la nudité et viennent s'emparer du rebord de mon boxer avant de le baisser jusqu'à ce qu'il n'y ait plus une seule trace de vêtements présents au niveau de cette zone. Hypnotisé, que ce soit par les sensations perçues par mon esprit et mon corps ou par cette vision sortie de l'univers de la luxure, je ne parviens pas à détourner le regard, cette scène devenue obsédante. Je frissonne, j'inspire et expire longuement, chaudement, remontant la main qui n'est pas nichée dans ses mèches dorées jusque sous mes pectoraux, me caressant doucement la peau, ne le quittant des yeux sous aucun prétexte.

Les mots qu'il a prononcés me restent en travers de la gorge, mais il m'est désormais impossible de rétorquer quoi que ce soit, dès lors sous l'emprise d'une liqueur enrobant certains de mes sens afin de les rendre cobayes de diverses expériences. Face à ma soudaine nudité, je me sens impuissant, plus que jamais… moi qui ne suis pourtant pas prude ou dérangé en perdant ce qui servait à me couvrir le corps. Cependant, le savoir entre ses mains, entre ses griffes… c'est comme entretenir une relation avec un démon personnifié.

Alors je me laisse faire. Je n'ai pas le choix. Non, c'est faux. Nous avons toujours le choix. Je me complais dans un rôle qui n'est pas le mien, celui de la victime prise au dépourvue à qui on a peut-être quelque peu forcée la main or ça n'est pas le cas. J'aurais beau crier que ça n'est pas ce que je désire, ça transpirerait l'hypocrisie. Cette situation, je l'ai voulue, je l'ai choisie et ça m'amuse de faire croire à quiconque le souhaite que je ne me permets pas de me faire arracher quelques gémissements par un garçon.

D'ailleurs, le commencement de cette activité, au premier contact du bout de sa langue, ensuite de ses lèvres me fait légèrement sursauter, m'engourdissant les membres, resserrant fortement mes doigts dans sa chevelure que je tiens comme si c'était moi qui guidais le mouvement. Pourtant, il n'en est rien. Je subis tout en prenant du plaisir, soulevant maladroitement mon bassin, ou plus précisément mes fesses, de la surface sur laquelle je suis depuis maintenant un petit moment, avant de revenir à ma position initiale. Ma peau est couverte de frissons tandis que je déglutis à plusieurs reprises et qu'un excès de chaleur remonte jusqu'à mes tempes.

A côté de ça, mes lèvres reprennent leurs expressions en diffusant de temps en temps une douce mélodie au sein de laquelle nous pouvons trouver plaintes et passion au travers de gémissements en tous genres. Je ne peux plus me retenir… ça devient trop dur, dans tous les sens du terme. Ses mains se posent respectivement sous et sur mes cuisses, intensifiant les sensations ressenties en le voyant et en le sentant progressivement prendre possession de tout mon être. Il ne perd pas de temps. Et il a raison.

Actuellement, je surfe sur une vague que je ne connais pas et découvre petit à petit ce qui encadre certainement ce que beaucoup considèrent comme étant la base d'un échange de ce type. Mais alors que je tente d'habituer mes sens à ce que je suis en train de vivre, la pleine prise de ce qui ne peut plus être caché depuis un bon moment, tout comme l'enfoncement simultané de ses ongles dans ma peau, me saisissent et me crispent à la hauteur de la surprise vécue aux premières loges, me poussant à plaquer mes deux mains sur les bords du plateau sur lequel je suis installé et que je sers à pleine force tout en expulsant un cri auquel toutes les émotions ont été mêlées.

- Aah, putain Damen…

Mes plaintes se font les plus sensuelles possibles sans même que je me force à quoi que ce soit. Naturellement, elles s'immiscent dans mes prises de paroles qui ne se résument pour l'instant qu'à de simples bruitages sans que je ne puisse rien faire pour les empêcher de s'exprimer, si ce n'est en pinçant mes lèvres entre elles dans un espoir de minimiser le volume.

Mais alors que je suis déjà proche de craquer, je me permets une fois de plus de me jouer de mon partenaire d'un moment, décidément trop désireux de toujours plus me mettre dans le pétrin. Sur le coup, je tire légèrement sur ses cheveux, pas assez fort pour lui faire trop mal, mais suffisamment pour lui donner l'indication de relever la tête afin que nos regards se croisent. Rien que ça, ça me fait trembler d'excitation, me donnant cette vague impression de le dominer avec cet acte.

- Ne me dis pas que tu as peur de jouer avec tes mains ?! Obligé d'y aller avec tes lèvres ?!

Une provocation qui n'a pas lieu d'être à la vue de l'état dans lequel cela me plonge. Seulement, je ne suis pas habitué à rester en place et même dans des situations délicates comme celle-ci, je me vois contraint de continuellement pousser le bouchon plus loin qu'il n'est déjà. C'est une de mes mauvaises manies.



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Lun 6 Déc - 13:05
Damen Irridval
Dire que le faire trembler est facile n'aurait pas été lui rendre justice. Même en perdant une partie de son contrôle, le jeune homme qui joue avec des forces trop grandes pour lui a l'air déterminé à résister, ou à le prétendre. Ça se sent à sa façon de s'agripper à ses cheveux malgré ses petits sursauts et les petits bruits incontrôlables qu'émettent ses lèvres. C'est grisant. Oui… jouer avec les autres est toujours grisant, mais cette petite note de résistance théâtrale est un ajout dont il est difficile de nier l'attrait. La petite souris veut garder le contrôle, vraiment ? Alors que son corps réclame sans lui demander son avis ? Alors que c'est lui-même qui est allé faire cette demande ? Allons, un peu de sérieux…

Les mains serrées autour de ses cuisses, Damen s'amuse à enfoncer un peu plus ses ongles dans sa peau, juste assez pour lui faire perdre un peu plus la tête sans risquer de lui faire mal. Il y a des degrés, des étapes à ne pas brûler s'il ne veut pas risquer de perdre sa proie. Le cri qui brise l'espèce de cocon sensuel parvient tout de même à lui arracher un frisson. S'il pouvait sourire et le narguer, il ne s'en serait pas privé, mais il se contente de relâcher un peu la prise d'une de ses mains pour lui caresser presque tendrement la cuisse, glissant vers l'intérieur, effleurant l'aine du bout des doigts jusqu'à frôler la base de ses propres lèvres.

C'est une main venue subitement attirer sa tête vers l'arrière qui l'interrompt dans son petit manège et il relève les yeux, presque docile même si l'air carnassier brillant dans son regard dément totalement la facilité avec laquelle il a obéi à cette injonction. Mais cette expression… ces yeux luisants d'excitation, tous les traits de son visage marqués par le plaisir auquel il a vainement tenté de résister. C'est divin. Rien que pour ça, cette soirée valait la peine d'être organisée. Mais tout de même.

Un petit sourire aux lèvres, Damen écarte son visage en se passant la langue sur les lèvres.

» Dois-je te rappeler qui a tant demandé que je cesse de jouer avec mes mains ~

Un rire visant très clairement à le provoquer vient agrémenter son souffle alors qu'il se redresse, se penchant presque aussitôt vers lui en plaquant ses mains sur le sommet du meuble, de part et d'autres du corps tremblant de sa proie du soir. Pas assez près. Il se rapproche encore, autant qu'il lui est possible de se coller à lui, faufilant volontairement son bassin entre ses cuisses pour appliquer son corps encore trop habillé contre sa peau dénudée. Il aurait pu susurrer à son oreille. Au lieu de ça, il se contente de planter son regard dans le sien, un murmure aguicheur au bout des lèvres.

» Je peux jouer avec autre chose que mes mains si tu es si impatient de crier mon nom, petite souris.

C'est une lutte intérieure de garder ses mains résolument posées contre le meuble, tant il a envie de palper ce corps provoquant si près du sien, mais il faut savoir faire languir ses cibles si on veut qu'elles reviennent et qu'elles réclament. Et il faut dire ce qui est, sa façon de réclamer, à mi-chemin entre la curiosité, la tentative de dominer l'action et la perte de contrôle, est assez délicieuse pour se frustrer quelques secondes ou quelques minutes.
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Timaé Amber
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Lun 3 Jan - 19:17
Timaé Amber

Ici c'est moi qui mène la danse

Commencer à comprendre ce qu'ont pu ressentir certaines personnes lorsqu'elles étaient dominées par mes provocations ou par ma simple présence dans un moment aussi charnel a quelque chose de perturbant. Ou est-ce le fait que ce ne soit qu'un jeunot qui semble me faire payer toutes ces fois où j'ai pu me moquer de la facilité avec laquelle je menais la danse en m'attaque à plus faible que moi ? Tout ce que je sais, c'est que cet éternel combat à la poursuite du dernier mot m'excite presque plus que ma présente posture, dénudé, assis sur ce meuble qui n'est pas destiné à ça, complètement offert au regard, aux paroles et aux gestes de cette petite peste blonde qui s'amuse à m'en faire baver depuis le début de la soirée.

Il reprend mes paroles, me remet sous le nez les incohérences qui ont depuis lors déjà été effacées par les couches dominantes de diverses impulsions curieuses et criardes ressenties par le simple contact de ses paumes, des ses mèches de cheveux ou encore de ses ongles qui s'enfoncent un peu plus dans ma chair. Se donnera-t-il subitement la peine de me dévorer tout entier sans y laisser une seule miette ou continuera-t-il de se complaire dans un languissement plus qu'irritant ?

Je ne le quitte pas des yeux, décidé à ne pas baisser les yeux face à lui, ce qui n'en serait que trop facile. Pourtant, le voilà qui se redresse, se penche dans ma direction, sa présence écrasante coupant un instant ma respiration, et plaque ses mains de part et d'autre de mon corps, que je ne quitte pas une seule seconde dans leur mouvement. La naissance d'une nouvelle obsession douteuse ? L'aveu d'un fétichisme insoupçonné ? Peu importe, elles m'hypnotisent et c'est tout ce qui compte.

Rapidement, je regagne ses pupilles, laissant un frisson court, mais intense parcourir ma peau et m'arracher un petit pincement de ma lèvre inférieure, les mots transportés par sa voix agaçante jouant sur mon corps et sur la tension entretenue en contre-bas. Le fait qu'il se soit ainsi glissé entre mes jambes, qu'il exerce une pression ne pouvant tromper que le plus innocent des Hommes, électrise le grain de ma peau étrangement pure.

- Crier ton nom ? C'est une proposition tentante. Il est peut-être temps de voir si la pratique m'offre d'aussi belles sensations que celles laissées par mon imagination débordante ?

Tout en extirpant ces quelques bribes de mes lèvres relevées en coin par un sourire légèrement provocateur, mes doigts s'accrochant à son pantalon, cherchant tout de même à vérifier que nous sommes bel et bien sur la même longueur d'ondes juste avant de m'oser à le lui ôter. Malgré une absence assez évidente d'un doute trop important concernant la réponse.

- A moins que… tu aies peur de trop me faire crier… ce qui pourrait te faire perdre la tête.

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