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[2019] Que signifie le désir ?

Cesar
Invité
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Rp abandonné (tout public)
Dim 31 Mar - 1:52
Cesar
Cesar Sanchez
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J'ai entendu une blague un jour : un homme va chez le toubib, dit qu'il est déprimé, la vie lui parait dure et cruelle. Il dit qu'il se sent tout seul dans un monde menaçant. Le toubib dit : « le remède est simple, le grand clown est en ville. Allez le voir, ça vous remontera le moral. » L'homme éclate en sanglots : « mais docteur, qu'il dit, je suis ce clown. » Bonne blague, tout le monde rigole, roulements de tambour, rideau.

Bref ! Vous savez dans la vie, il y a proverbe qui dit « que peu importe ce qu’on est ou ce qu’on fait, il y aura toujours des gens pour vous haïr. » Ah ça ! Je m’y connais en matière de haine, le nombre de personnes qui me haïssent et souhaitent ma mort ! Ah ! Même si j’avais le temps, il faudrait au moins toute une journée pour que je les énumère tous. De même pour les personnes que je souhaite effacer de ce monde. Il y a des mauvaises journées et puis, il y a des mauvaises journées légendaires. Le genre de mauvaise journée qu’on se souviendra toute notre vie. Bien par où commencer déjà ? Vous vous demandez sûrement qui je suis ? C’est quoi mon nom tout ça ? Et mon histoire ? Bon, on va faire un rapide rappel ...

Je me nomme Cesar Sanchez, on me connaissait aussi sous bien d’autres noms ou surnoms lorsque je bossais pour le Cartel House, « le Chasseur », « l’Index de la Main », « Le Hiboux d’House », « Le Corbac » et je ne sais quel autre surnom à rallonge. Bref, cessons la frime et venons-en à l’essentiel. Avant que l’on m’envoie dans cette piaule, j’étais un agent, plus exactement ce que vous appelez habituellement un nettoyeur ou bien un tueur à gage. Je bossais pour le compte du Cartel House, une espèce de super organisation, une sorte de mafia multinationale présent dans les 4 coins de la planète. Le gars, le type qui dirigeait toute cette organisation ou plutôt cette confédération rassemblant aussi bien des cartels de drogues que des sociétés privées, se nomme Monsieur House. En vrai personne ne sait qui est réellement ce type, personne ne sait, même au sein du Cartel son véritable visage, ni son prénom, ni même son sexe. À vrai dire, on n’est pas sûr si ce pseudonyme cache en réalité l’identité de plusieurs individus. Néanmoins, ayant été élevé, entrainé et endoctriné par l’organisation pour être une arme depuis mon enfance, je ne me posais pas de question et je me contentais d’obéir aux ordres dictés par House et ses sbires. J’ai cru pendant longtemps appartenir à une famille, d’être avec des personnes dignes tout comme moi, j’ai cru accomplir un projet visant à nettoyer la vermine de l’humanité et de la libérer de ses codes moralisateurs. Putain, quand j’y repense, je ne peux m’empêcher de rire tellement la chute a été énorme.

Maintenant, depuis début Février, me voilà en taule à cause de mon ancienne famille qui m’a abandonné et laissé pour mort. Les autorités et les gars du MI6 étaient satisfaits de m’avoir choppé. Mais, paradoxalement je ne leur en veux pas à ces derniers. Après tout, ils n’ont fait que leurs jobs. J’aurais pu leur échapper si mes camarades et mes maîtres ne m’avaient pas laissé tomber. Être abandonner et trahir par les siens, c’est dur d’avaler la pilule. Pendant, plusieurs jours, j’avais même pété les plombs, c’était toute ma vie qui venait de s’effondrer. J’ai passé mes premiers jours à crier dans ma chambre d’isolement et à insulter mes anciens maîtres, ainsi que House. Par ailleurs, je ne sais combien d’infirmiers ou de gardes, il a fallu pour ne serait-ce m’immobiliser, j’étais même parvenu à mettre K.O plusieurs d’entre eux. Ils m’ont bourré de calmants, pendant tout le long du mois de Février jusqu’à début Mars, j’ai passé toutes mes journées et soirées dans une piaule d’isolement. C’est en réalité bien plus tard qu’on m’envoya dans ce lieu infâme que l’on a pour habitude d’appeler école. Mais, même les calmants ne faisaient pas tout. En seulement, un mois, je me suis fait une belle réputation au sein de l’établissement. Mais, en réalité ce qui m’a rendu plus ou moins célèbre, ce n’était pas les premiers jours où j’ai complètement perdu la tête et que je passais mes journées à crier et insulter « House. » Non, c’était surtout pour ceci :

« Hey ! T’es au courant, y parait qu’y a un gars qui a tenté de s’évader de multiples fois. Bon, il se rate à chaque fois, mais le pire, c’est qu’une fois, il était presque parvenu à le faire. »

Forcément, un type comme ça, il se fait connaître et finit par attirer les ennuis. Voilà chers lecteurs, on va désormais pouvoir revenir dans le présent maintenant que vous avez saisi les bases. Nous sommes le Lundi 18 Mars, il est midi et j’ai faim. Alors que je prenais tranquillement mon déjeune à la cafétaria, voilà que des types me voient. Intrigués, ces gars viennent vers moi en mode :

« Hey Cesar ! Alors, ça veut s’enfuir, mais ça échoue lamentablement. Putain, le dernier coup que tu nous as fait y a deux jours, c’était magique. »

La dernière tentative d’évasion, je me souviens parfaitement. Ouais, c’est celle où j’étais presque parvenu à m’enfuir. Ce serait bien trop long pour vous expliquer, mais pour vous la faire courte, j’étais parvenu à me débarrasser de mon bracelet électronique. Profitant de la situation, j’ai emprunté les conduits d’aérations pour tenter de quitter en douce la prison. Manque de bol, dès que je suis arrivé à la cour, les gars m’ont sauté dessus et m’ont choppé alors que j’étais à seulement quelques mètres du portail. J’ai passé un sale quart d’heure par la suite. Désormais, je suis davantage plus surveillé, ce qui est ballot.

Les petits qui sont venus vers moi, tentaient de me provoquer avec diverses moqueries et intimidations. Bof ! Ce n’est pas ça qui va me gêner. Mais, alors que je mangeais tranquillement, voilà que l’un de ces cons a eu la mauvaise idée de prendre un verre d’eau et de me jeter à la gueule pour me dire :

« Hey ! Maintenant, c’est l’heure de se réveiller, tu vas nous écouter ou sinon … »

« Ou sinon quoi ? Lui dis-je avec un regard noir devant sa sale gueule de morpion. »

Le gars tentait me menacer avec un couteau, c’est mignon. Enlevant ma chaussure, sortant ma chaussette de mon pied droit pour lui annoncer tranquillement :

« Okay, tu veux cherchez les noises. Je te propose un duel, ton couteau contre ma chaussette. »

A ce moment-là, tous les gars de la cantine nous regardaient. Même si ce genre d’altercation pouvait arriver, c’était souvent les quelques rares pastant et occupations de l’établissement. Du coup, le type charge vers moi avec son couteau. Trop facile, trop prévisible, j’ai ainsi aisément esquivé sur la gauche pour par la suite lui foutre un poing dans la gueule, avant de l’étrangler depuis une table avec ma chaussette. Cependant, le combat a été très vite expédié puisque les gars de la sécu sont venus nous mettre à terre.

Maintenant, me voilà assorti avec une double peine après le jugement. Quelques heures après le jugement du principal et les cours en classe, je marchais tout simplement à travers le long des couloirs de l’établissement, je devais tout simplement me rendre vers ma chambre d’isolement. Mais, alors que tout se passait bien, voilà que quelqu’un me bouscule. Instinctivement, je me retournais vers la personne en question pour lui annoncer mes excuses par pure politesse :

« Oups, désolé mademoiselle. »

À ce moment-là, je ne me rendais pas compte que j’allais faire la connaissance avec une personne particulière …
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Lun 6 Mai - 16:37
Invité
Eri Tanaka
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CLASSE : 3°A



Que signifie le désir?

ft. Nitem, le 18 mars
"Le désir déconnecte de la raison"  Maryse Wolinski



Dans cette école de fous, il y a des rumeurs qui circulent. Sur tout le monde. Sur n'importe qui. Sur moi, probablement. Mais aujourd'hui, j'entends une rumeur sur un fou. Un type enfermé, comme moi. Mais lui, veut VRAIMENT pas d'aides. Il hurle, crie comme un forcené et cherche à s'enfuir par tous les moyens. Je pense, sincèrement, que ce n'est plus sa faute à ce stade-là. Enfin, je ne vais pas juger plus que ça, je n'ai pas les informations suffisantes pour me permettre de le faire. Après tout, il a sûrement une bonne raison de réfuter l'école à ce point.

- Hey ! T’es au courant, y parait qu’y a un gars qui a tenté de s’évader plusieurs fois ! La prochaine fois faut que je le voies.

- Et alors ? Tu veux pas juste le laisser tranquille ? Sérieusement... Pourquoi tu te la joues commère ?

Ce comportement me rappelle bien trop celui des paparazzis.  Et je n'aimais pas ça avant, je n'apprécie toujours pas. J'imagine qu'on doit l'embêter souvent. Le pauvre... Enfin, à force de faire parler de lui, j'en sais plus sur lui que ce que j'aurais aimé. Comme sa dernière et « fabuleuse » tentative d'évasion. À croire qu'il se prend pour un héros de blockbuster américain... Rha la la. Et après on me trouve pas assez mature... J'y crois pas.

Pour l'heure, je l'ai croisé une seule fois, ce « fou ». Il ne m'a pas parut si fou que ça. Plutôt... Agacé. Il était dans le réfectoire. Je ne sais pas d'où c'est parti, mais je me souviens de sa quiétude lorsqu'il a lancé un combat entre son couteau et sa propre chaussette. Comme bien d'autres, je suis restée à regarder, plateau dans les mains. Je ne jugeais pas vraiment... J'observais. J'ai regardé son esquive, la fluidité de ses mouvements. On aurait dit une danse. Courte et intense. Juste avant qu'on nous disperse pour les séparer. Moi, je suis allée dans mon coin, manger en silence avant de poursuivre ma petite vie. J'ignorais qu'on pouvait désarmer quelqu'un avec une chaussette... Je me posais pas mal de questions. C'était rare de voir quelque chose comme ça je pense... Mais... Je voulais savoir. Je n'aurais jamais été jusqu'à le voir pour lui poser mon interrogation. Ce n'était pas comme ça que ça se passait. Ce n'était pas comme ça que je deviendrais une demoiselle. Je ne devais pas entrer dans la vie privée des gens... Enfin, pas de cette façon...

Je l'ai croisé une seconde fois. On était seul et lui dans la lune. Il n'a pas fait attention à moi. Il m'a bousculé et s'est excusé. Mon regard a papillonné doucement avant que je ne secoue la tête avec une lenteur qui m'était commune.

- Ce n'est pas grave. Tu es... Cesar non ? Le garçon qui se bat avec sa chaussette. C'était un joli combat d'ailleurs. Mais... Tu aurais pu juste lui prendre son couteau non ? Enfin c'était une jolie esquive. Même si elle manquait un peu de grâce je trouve.

Trop de franchise probablement. Mais cela faisait partie de ce que j'étais. Je ne changerais pas. Après tout... C'était ainsi que j'avais été éduqué. Je ne mâchais que rarement mes mots. Je sais le faire, ne vous trompez pas. Néanmoins j'avais du mal avec le « politiquement correct ». Face à un employeur quelconque oui, mais comme tout le monde. Avec lui... C'était un élève, je n'avais pas à me soucier de son avis sur moi.

- Peut-être aussi que pour sortir d'ici... Tu dois faire preuve de laisser-aller. Enfin... Pas de laisser-aller... Mais... Faire  profil bas. Si tu ne te rebelles pas aussi violemment... Tu pourrais avoir une autorisation de sortie. Et pourquoi pas en profiter pour t'échapper. Mais il faut jouer le jeu.

Je hausse des épaules lentement. C'est idiot de se rebeller autant. C'est encore plus idiot de pas réfléchir. Enfin... Ce n'est pas vraiment mon problème. Ma main se tend et je souris, comme avec un patron, professionnelle.

- Je m'appelle Eri. Enchantée.
 

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Cesar
Invité
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Lun 20 Mai - 17:20
Cesar
Cesar Sanchez
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- Ce n'est pas grave. Tu es... Cesar non ? Le garçon qui se bat avec sa chaussette. C'était un joli combat d'ailleurs. Mais... Tu aurais pu juste lui prendre son couteau non ? Enfin c'était une jolie esquive. Même si elle manquait un peu de grâce je trouve, déclara la jeune fille.

Un peu surpris par sa réponse, je répondis tout simplement avec un petit sourire :

« Si j’avais pris son couteau, j’aurais eu plus d’emmerde avec l’administration. Ce gamin aboyait juste comme un vrai petit chiwawa. Ça ne sert à rien de lui donner ne serait-ce un de la crédibilité en prenant son couteau. Une petite correction avec une simple chaussette suffit amplement pour le remettre à sa place. »

Tient ! Mais, elle me dit quelque chose cette jeune fille ? En la regardant un peu plus de près, cette chevelure, ce dos droit, ce grain de beauté sous la lèvre, ces yeux bleus et bridés. Je crois savoir qui est cette personne. Enfin, je ne la connais pas en personne, mais j’ai entendu parler beaucoup d’elle. En même temps, dans un lieu pénitencier où tout le monde se connaît plus ou moins et où les rumeurs avaient tendance à très vite circuler. Quelques échanges par-ci ou par-là que ça soit dans les couloirs, la cour ou les vestiaires avec d’autres élèves disaient à propos d’une ex-idole japonaise :

« Hey mec ! T’es au courant sur l’ex-star japonaise de l’école ? »

« Ouais ! Elle est complètement nymphomane. »

« Je voudrais bien la rencontrer pour atterrir là où tu sais où je pense. »

« Mec, cette meuf est surveillée par toute l’admin et leur clique. Si tu la touches, tu vas être dans la merde. D’ailleurs, les surveillants lui ont interdit de s’approcher de tous les mecs de l’établissement. »

« Ouais, mais tu sais une altercation par hasard dans un couloir seuls entre nous, ça peut … »

« Bon, je suis désolé mec, mais faut descendre sur Terre. Allez ! Faut vite qu’on se ramène à la cantine, avant que ça soit blindé. »

Finalement, il a fallu que ça soit sur moi que ça tombe. Mais, bon j’ai beau apprécier aussi les jeux de dragues et les plaisirs de la chaire. Une nymphomane, c’est une proie bien trop facile. De toute façon, je n’ai pas l’humeur pour penser au cul, je me suis déjà torché quand j’étais seul dans ma chambre. Toutefois, voilà que la petite reprit la parole pour déclarer de nouveau :

- Peut-être aussi que pour sortir d'ici... Tu dois faire preuve de laisser-aller. Enfin... Pas de laisser-aller... Mais... Faire profil bas. Si tu ne te rebelles pas aussi violemment... Tu pourrais avoir une autorisation de sortie. Et pourquoi pas en profiter pour t'échapper. Mais il faut jouer le jeu.

Soupirant pendant un bref instant, je déclarais tout simplement avec un petit sourire :

« Décidément, les rumeurs circulent vite ici. Après, fallait s’y attendre … »

Reprenant à nouveau mon souffle, je repris à nouveau la parole en déclarant d’un air un peu enjoué :

« Vous n’avez pas tout à fait tort. Bon, l’idée de m’abaisser pour … être … le petit élève sage, ça m’énerve. Après, s’il faut en arriver là pour avoir une autorisation pour sortir de cette piaule et se barrer d’ici. Ben … je marche. Quoi que, se mettre juste en retrait et se faire discret, ça peut suffire aussi. »

En effet, la gamine n’avait pas tout à fait tort. Depuis plusieurs jours, j’essaye comme un con de me barrer d’ici en utilisant ma seule force. Le problème, c’est que je me suis très vite fait remarquer que ça soit par les élèves et l’administration. Maintenant, je suis plus surveillé qu’à mon arrivé. Ça m’énerve et ça me fait d’autant plus chier que je n’avais pas pensé ça auparavant. Je me sens désormais encore plus con. Au vu de la gueule que je tire, la gamine doit sans doute remarquer que je n’ai pas pensé à cette idée si simple, se fondre tout simplement dans la masse.

Souriant à mon égard et tendant sa main de manière étrangement « professionnel » (même si le vocabulaire n’est pas adéquat) vers moi, elle déclara :

- Je m'appelle Eri. Enchantée.

« Cesar Sanchez, répondis-je en serrant sa main pendant un bref instant. Question un peu embarrassante, on ne t’a pas interdit de t’approcher seul d’un autre élève surtout si c’est un garçon ? »
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Ven 7 Juin - 11:07
Invité
Eri Tanaka
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Que signifie le désir?

ft. Nitem, le 18 mars
"Le désir déconnecte de la raison"  Maryse Wolinski


- Si j’avais pris son couteau, j’aurais eu plus d’emmerde avec l’administration. Ce gamin aboyait juste comme un vrai petit chiwawa. Ça ne sert à rien de lui donner ne serait-ce un de la crédibilité en prenant son couteau. Une petite correction avec une simple chaussette suffit amplement pour le remettre à sa place.

Effectivement. C'était une pensée qui se tenait. Je n'étais pas vraiment d'accord cependant. La grâce n'aurait rien retiré. Mais bon. Si les rumeurs étaient vraies, s'il hurlait comme un forcené, lui demander de la douceur dans ses combats était sûrement idiot. Mais je suis d'accord avec lui. S'il avait prit le couteau, il aurait sûrement eu bien plus de soucis que juste avec un combat. Enfin, il avait l'air d'être le genre à foncer et réfléchir après. Tout le contraire de m... Non. Non j'étais comme ça aussi. Je sais réfléchir... Mais de base j'ai tendance à tenté puis à réfléchir... Ah la la...

J'ai vu son regard. Il m'a détaillé, comme s'il me connaissait. On me connaît ici ? Oui, ce serait pas étonnant. Au nombre de commères qu'on a dans l'école... On devait savoir qui j'étais... Tant pis. J'assume ce que je suis. Plutôt ce que j'étais. Mais c'est un détail.

- Vous n’avez pas tout à fait tort. Bon, l’idée de m’abaisser pour … être … le petit élève sage, ça m’énerve. Après, s’il faut en arriver là pour avoir une autorisation pour sortir de cette piaule et se barrer d’ici. Ben … je marche. Quoi que, se mettre juste en retrait et se faire discret, ça peut suffire aussi. 

Vous ? Outch. Ça fait mal ça. J'ai l'impression d'être une adulte. Alors je sais que je me comporte comme telle... mais j'ai l'habitude d'être tutoyée. Je suis jeune encore. Une jeune adulte pourquoi pas. Mais je n'ai même pas vingt ans. « Vous » est peut-être de trop non ? Et lorsqu'il se présente, je me sens papillonner des paupières sous sa question inattendue. Ou trop attendue, je ne sais pas trop.

- Cesar Sanchez. Question un peu embarrassante, on ne t’a pas interdit de t’approcher seul d’un autre élève surtout si c’est un garçon ?  

- Enchantée , répond ma voix doucement. Tu peux me tutoyer hein. Le vouvoiement n'est pas obligatoire. Tu n'es pas mon patron. Et oui. Je ne dois pas être seule, dans une pièce close, avec un garçon. Peur que je le viole je suppose. Enfin. Si tu maîtrises un mec avec une chaussette, je devrais pas vraiment te poser de soucis ? Et vraiment, là, j'ai aucune envie de sexe. Ce n'est pas parce que je suis malade que je suis folle. T'es mignon je le conçois. Ce n'est pas pour autant que je vais te sauter dessus.

Ma main remue sous mes propos, comme pour chasser l'idée que je verbalise. Je n'aurais rien contre le fait de l'avoir dans mon lit... mais pas là. L'idée me tente pas des masses.

- C'est plus sympa de papoter. Tu veux partir et visiblement, ce qui me semble logique ne te l'est pas. On peut peut-être juste s'aider ? À moins que tu ne préfères t'éloigner. Je comprendrais.

Même avec mes quelques pas de précautions, je n'ai rien à dire. Les nymphomanes fascinent pour une raison que je peine à comprendre ou terrifient. Reste à voir ce que lui en pense. Peut-être qu'il me montrera une autre réaction ?

 



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Cesar
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Mer 19 Juin - 18:57
Cesar
Cesar Sanchez
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- Enchantée. Tu peux me tutoyer hein. Le vouvoiement n'est pas obligatoire. Tu n'es pas mon patron. Et oui. Je ne dois pas être seule, dans une pièce close, avec un garçon. Peur que je le viole je suppose. Enfin. Si tu maîtrises un mec avec une chaussette, je devrais pas vraiment te poser de soucis ? Et vraiment, là, j'ai aucune envie de sexe. Ce n'est pas parce que je suis malade que je suis folle. T'es mignon je le conçois. Ce n'est pas pour autant que je vais te sauter dessus.

« Vouvoyer est déjà la moindre des choses lorsqu’on parle à quelqu’un qu’on ne connaît pas surtout à une demoiselle comme toi. »

Reprenant mon souffle pour jeter de rapides coup d’œil dans les couloirs pour voir si personne ne viendrait nous causer des soucis. Une fois rassuré, je repris par la suite d’une voix bien plus détendue et amicale :

« De même, tu es plutôt jolie, mais je ne vais pas pour autant te sauter dessus et écouter mes bas-instincts, sans ton consentement. Si je m’en rappel bien, ce genre de comportement est puni par la loi. »

Alors que je venais prononcer ces quelques paroles teintées d’une forme d’ironie à peine dissimulée, je repris immédiatement d’une intonation plus sereine :

« Tu dis être malade, mais tu demeures plutôt mignonne, voir même innocente en apparence. Ironique de voir de mes propres yeux, le mythe de la jeune vierge pure et sage voler en éclat par ta simple présence. Si certains conservateurs assez limités intellectuellement, trouveraient ça horrible, je suis au contraire plutôt charmé. Mais, bon le mythe de la jeune vierge est en soit, une chimère qui n’existe que dans les contes et légendes. L’être humain est un obsédé sexuel de base qui ne pense qu’à satisfaire ses désirs incontrôlables, le degré varie juste en fonction des individus. La société est présente pour contrôler et limiter ses pulsions. Ce qui est en soit ni foncièrement bon ou mal. »

Bon, je suis plutôt mal placé pour juger ça, au cours de ma pitoyable existence, je ne sais combien de fois, j’ai transgressé et bafoué la morale, l’éthique et les règles humains. Si je fouille un peu plus dans ma mémoire, j’ai dû sûrement faire des choses qui horrifieraient même le détenu moyen de l’IRS.

Alors plongé profondément dans mes quelques souvenirs dont certains éveillaient une certaine nostalgique, les quelques questions posés par la jeune Eri m’obligeait de revenir à nouveau sur Terre :

- C'est plus sympa de papoter. Tu veux partir et visiblement, ce qui me semble logique ne te l'est pas. On peut peut-être juste s'aider ? À moins que tu ne préfères t'éloigner. Je comprendrais.

Une aide, ça serait la bienvenue, mais je n’aimerais pas voir son si joli visage être salis par ma faute. Mais, je ne suis point le maître de son destin, libre à elle d’en décider. Cependant, la prudence était de même demander, qui c’est si cette fille ne me lâchera pas ? En allant par exemple cafter aux profs ou tout simplement en me laissant tomber. Surtout, si elle m’aide, elle risque d’avoir de gros soucis et de pénétrer dans le monde souterrain. À peine, elle posera les pieds, elle ne pourra plus jamais reprendre sa vie « normale. » Mais, bon elle semblait sûr d’elle, je lui répondis avec le sourire, mais une intonation bien plus sérieuse que les autres :

« C’est sympa de ta part, mais c’est … compliqué. Je veux m’évader d’ici non pas que je déteste tant cet endroit, si je me comportais bien, je pourrais même recommencer une nouvelle vie. Mais, j’ai des comptes à régler à quelques personnes à l’extérieurs, des personnes que j’aimais autrefois appeler ma famille et qui malheureusement m’ont trahi.
Je ne te cache que je suis plutôt sceptique à l'idée de faire cette coopération, mais si on doit s’aider, ça serait pourquoi de ton côté ?»
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Sam 29 Juin - 16:04
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Eri Tanaka
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"Le désir déconnecte de la raison"  Maryse Wolinski


- Vouvoyer est déjà la moindre des choses lorsqu’on parle à quelqu’un qu’on ne connaît pas surtout à une demoiselle comme toi.

Comment ça « surtout à une demoiselle comme toi » ? Il sait qui je suis ? Et... ça change quelque chose ? Je veux dire... Ici... Je ne suis qu'Eri. Une étudiante comme tant d'autres. Je n'ai rien de particulier si ce n'est un passé chargé. Je n'ai pas à recevoir de traitement particulier alors que même les professeurs ignorent qui je suis. On aurait été au Japon, j'aurais compris. Mais ici... C'était un petit miracle qu'on me connaisse. Ou alors tout le monde savait et se taisait. C'était une possibilité. Je n'ai pas le temps de le questionner qu'il reprend. Il me complimente et fait du sarcasme sur les lois anglaises. Comme s'il y avait des notions drôles dans les lois anti-viols. Notion que je n'ai pas. Le viol est puni et c'est normal. Mais peu importe... Enfin. Non. C'est important. Mais je ne suis ni politicienne ni apte à changer les lois. Alors autant dire qu'y penser n'y changera pas grand chose.

Il se laisse réfléchir à voix haute d’éthique et de mythe. Vraiment ? D'après lui je pourrais passer pour vierge et innocente. Je trouve ça bien trop ironique. Je ne suis ni vierge, ni innocente et encore moins pure ou sage. Et il enquille sur une question tout à fait légitime : qu'est-ce que je gagne à l'aider ? Je me laisse y réfléchir un peu avant de répondre doucement.

- Pourquoi ? Je n'ai pas de vraies raisons. Parce que j'aime l'idée d'être utile à quelqu'un. Parce que je suis certaine que je ne risque pas de te faire du mal si jamais ma maladie revient en force. Peut-être aussi parce que je ne te comprends pas. Tu fais des choses qui, pour moi, n'ont pas de sens. Je veux dire... Tu n'as pas l'air idiot mais pas une seconde tu n'as pensé à faire semblant pour t'échapper d'ici. C'est une façon de penser que je ne comprends pas. Trop enfantine pour moi. Par contre, vu ton caractère, ou tout du moins ce que je devine, je me dis qu'être avec toi salirait un peu mon image. Et ça, c'est précisément ce que je cherche. Des salissures que ma mère ne pourra cacher.

J'hausse des épaules. C'est vrai que c'est enfantin. Mais je ne vois pas vraiment où est le mal. Certains le prendraient mal, tant pis pour eux. Personnellement, j'ai été conditionné pour voir le monde comme une adulte. Alors oui, être entourée de gamins de mon âge me rappelle à quel point je ne suis pas comme eux.

- quant à ce que tu vois... Et bien les français ont un dicton qui dit « L'habit ne fait pas le moine ». Je n'ai pas l'air malade mais je le suis quand même. Que ce soit volontaire ou non, je ne changerais pas mes pensées. À me demander les goûts, les cris, la douceur ou la violence de la personne en face de moi. Comme pour toi en ce moment même.

Ce n'est pas une maladie. C'est une punition. Une punition pour quelque chose que je n'ai pas choisi. Je n'ai pas choisi d'être une Tanaka. Je n'ai pas choisi d'être une enfant-star. Je n'ai pas choisi d'être reconnue ou manipulée par mes producteurs. Je n'ai pas choisi d'être ici pour quelconques raisons que ce soit. J'ai choisi... Peu de choses en fin de compte.

- J'aimerais juste rebondir sur une chose que tu as dite... Tu as dis « L'être humain est un obsédé sexuel qui ne pense qu'à satisfaire ses désirs incontrôlables ». Rien n'est incontrôlable. C'est nous qui sommes faibles. Sinon je ne serais pas malade. Et toi tu ne serais pas obsédé par ta vengeance. Nous sommes des insectes qui nous prenons pour des êtres supérieurs sous prétexte qu'on a trouvé le moyen de tuer toutes les autres espèces présentes.

 



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Cesar
Invité
Anonymous

Rp abandonné (tout public)
Mar 17 Sep - 23:16
Cesar
Cesar Sanchez
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TAILLE / POIDS : 1m78 / 67 kg
CLASSE : 3°A
Pour une gamine, elle était plutôt perspicace, remarque en y réfléchissant, elle était clairement plus mâture que moi. Prenant un ton quelque peu calme, elle répondit tout simplement :
- Pourquoi ? Je n'ai pas de vraies raisons. Parce que j'aime l'idée d'être utile à quelqu'un. Parce que je suis certaine que je ne risque pas de te faire du mal si jamais ma maladie revient en force. Peut-être aussi parce que je ne te comprends pas. Tu fais des choses qui, pour moi, n'ont pas de sens. Je veux dire... Tu n'as pas l'air idiot mais pas une seconde tu n'as pensé à faire semblant pour t'échapper d'ici. C'est une façon de penser que je ne comprends pas. Trop enfantine pour moi. Par contre, vu ton caractère, ou tout du moins ce que je devine, je me dis qu'être avec toi salirait un peu mon image. Et ça, c'est précisément ce que je cherche. Des salissures que ma mère ne pourra cacher.

Enchaînant par la suite de la même intonation, la japonaise déclara :
- quant à ce que tu vois... Et bien les français ont un dicton qui dit « L'habit ne fait pas le moine ». Je n'ai pas l'air malade mais je le suis quand même. Que ce soit volontaire ou non, je ne changerais pas mes pensées. À me demander les goûts, les cris, la douceur ou la violence de la personne en face de moi. Comme pour toi en ce moment même.

Bon, je ne vais pas le cacher, j’étais assez surpris, alors comme ça, elle cherche à se rendre utile et à salir son image. Vu qu’elle était incarcérée dans ce trou à rat, elle ne l’était pas assez ? Me demandais-je. Par contre, ce que je n’aimais pas, c’est qu’elle y mettait aussi un certain jugement, pourquoi je n’ai pas cherché à faire l’élève modèle ? Je répondis tout simplement à ses propos d’une voix nonchalante :
- Pourquoi, j’ai pas cherché à faire semblant de jouer le sage pour me tirer d’ici ? Déjà, quand j’y suis arrivé ici, j’avais quelque peu perdu les boules, donc ça aide pas à la réflexion, mais en plus, me rabaisser pour jouer le sage, c’était pas dans mes corde. Bon, t’es jape ! Je sais que la culture du pays met en avant la politesse et la courtoisie, si je me trompe, corrige-moi. Mais, dans le mien ou du moins dans le milieu où j’ai grandi, se rabaisser devant l’ennemi, c’est faire preuve de faiblesse. Voilà pourquoi, j’y ai pas passé ou plutôt, c’était concevable pour moi. Mais, si la seule solution, c’est être un gentil toutou, j’essayerais de le faire, même si ça me fait profondément chier.

M’arrêtant juste un instant pour respirer, je lui annonçais calmement à sa proposition de coopération :
- Tu veux qu’on travaille ensemble, très bien, mais ça à tes risques et périls. En tout cas, bienvenue dans le club !

Alors que je venais de prononcer ces quelques mots, voilà qu’elle reprit en rétorquant sur un propos que j’ai énoncé quelques instants :
- J'aimerais juste rebondir sur une chose que tu as dite... Tu as dis « L'être humain est un obsédé sexuel qui ne pense qu'à satisfaire ses désirs incontrôlables ». Rien n'est incontrôlable. C'est nous qui sommes faibles. Sinon je ne serais pas malade. Et toi tu ne serais pas obsédé par ta vengeance. Nous sommes des insectes qui nous prenons pour des êtres supérieurs sous prétexte qu'on a trouvé le moyen de tuer toutes les autres espèces présentes.

Ça sent la misanthropie ça, je me trompe ? Bon, je provoque, mais elle n’a pas tout à fait tort la gamine. Néanmoins, si cette situation la dégoûtait quelque peu, je répondis d’une tonalité nonchalante, quelque peu amusé avec mon fort accent mexicain :
- Tu philosophes, c’est amusant. Il est vrai que tu marques un point, mais personnellement, je trouve que ces faiblesses rendent l’humain intéressants et j’aime jouer là-dessus. Si tout le monde était parfait, on se ferait chier, no ? Oui les autres espèces, la planète, tout ça. Bon … je vais faire mon connard d’égoïste, mais déjà que je me fiche de la vie d’un être humain en soit, comment tu veux que je m’intéresse à celle d’une autre espèce. Bon, remarque, je préfère les animaux aux humains, sauf ... les moustiques, les mouches et les frelons. En bref ! La vie n’est qu’un long combat où les faibles sont dévorés et les forts survivent. C’est comme ça dans la nature. Après, j’ai vécu au Mexique, pas le genre d’endroit où on promeut des valeurs égalitaires et progressistes. Mais, par contre, j’y écarte pas la possibilité que les forts peuvent devenir les faibles de demain et disparaître.

Bon, j’ai assez philosophé, c’était amusant, mais je n’avais plus la tête à ça. Jetant un coup d’œil devant et vers l’arrière, pour voir si un prof ou un surveillant ne va pas se ramener, histoire d’éviter que ma camarade et moi, nous finissions en cellule d’isolement. Je demandais calmement à la petite Eri :
- Est-ce qu’y a moyen d’aller ailleurs, si un prof ou un surveillant nous voit, on est cuit.
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