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It's my turn to shine ! [Solo]

Damen Irridval
ISS |:| Quatrième année
Damen Irridval
Sexe : Homme
Identité de genre : Gender-fluid
Orientation sexuelle : Pansexuel
Messages : 260
Age : 20
Taille / Poids : 1m70 / 67kg
Né(e) le : 26/03/2004
Date d'inscription : 29/04/2019
Pays d'origine : Angleterre
Nationalité : Britannique
Famille : Personne qui vaille plus qu'un coup d'oeil
Situation amoureuse : S'approprier les gens, c'est vulgaire
Personnage sur l'avatar : Adrien Agreste - Miraculous Ladybug
Couleur(s) de parole : Damen : #669966 ||| Charles : #cc6600 ||| Natalia : #3399ff ||| L'assistante : #ff99ff |||
Doubles comptes : Tessa Buchanan
Commentaires/Citations : Entre ciel et terre c’est le diable qui me tend la main, donc j’me sers un dernier verre quitte à finir dans le ravin.
https://indare-division.forumactif.com/t1949-

Rp terminé (tout public)
Mar 5 Jan - 19:23
Damen Irridval
5 janvier 2021. Une journée comme les autres… peut-être pour le reste du monde. Mais aujourd’hui, c'est l'anniversaire de Charles Irridval. Pourquoi tout le monde en fait-il tout un plat ? Il a 41 ans, ce n'est pas un "cap", ce n'est pas un chiffre rond, ce n'est rien de spécial, mais comme il est maire de la ville, il faut faire quelque chose. Une petite fête déguisée en levée de fonds. Tu parles. Damen aurait pu être de mauvaise humeur, comme à la plupart des anniversaires de son père, mais pas cette année. Cette année, il va aussi lui gâcher ça. Aucun jour ne lui sera entièrement consacré tant que son fils existera sur cette planète.

Les mains dans les poches, Damen en sort une clé qu'il fait sautiller au-dessus de sa paume, glissant entre les passants. Il est de bonne humeur, ce qui n'est jamais bon signe pour ceux qui le connaissent un peu. Comme ce gars, au coin d'une rue, qui vient subtilement de changer de trottoir. Cette fille qui le fixe comme si elle se demandait ce qu'il allait faire et n'avait aucune envie de le rater. Le paparazzi dont il vient d'apercevoir le flash ; il fait un petit signe accompagné d'un clin d’œil dans la direction générale de la photo.

Il finit par arriver à sa destination, glisse la clé dans la serrure, pousse la porte arrière. Le bâtiment est plongé dans l'obscurité mais il n'allume pas tout de suite la lumière. Au lieu de ça, il sautille le long de l'étroit couloir jusqu'à atteindre la porte qui l'intéresse vraiment. Il pose sa main sur la poignée avec un délice évident, avant de tirer le battant vers lui et de se glisser à l'intérieur.

Le pas dansant, il s'approche de la scène, qu'il effleure du bout des doigts. Pas la moindre trace de poussière, juste un parquet étincelant et plus propre qu'il ne le sera jamais à l'avenir. Des fauteuils de velours noir sont alignés le long de l'allée parquetée, d'autres un peu partout dans la pièce. Damen jette un œil à son téléphone, fouillant les magazines à la recherche de l'information qu'il y a fait fuiter. Quelqu'un finira bien par la trouver… Ah ! Un article a déjà été écrit basé sur les informations qu'il a glissées au bon moment. Il sourit d'un air satisfait. Son père ne devrait pas tarder à se pointer.

Il sautille sur la scène, referme ses doigts sur l'une des barres, tourne lentement sur la pointe d'un de ses pieds, puis ricane et redescend au niveau du sol. Il fait quelques pas pour rejoindre le bar et s'allonge sur la surface marbré, le regard rivé vers le plafond. Il attend. Il attend patiemment sa petite heure de gloire. Combien de temps avant qu'il n'arrive en ouvrant la porte à coup de pied ? Les minutes passent et Damen ferme les yeux. Il viendra. Il ne pourra pas s'en empêcher, il voudra essayer de tout arrêter avant que ça ne prenne trop d'ampleur, mais ça sera déjà trop tard. C'est déjà trop tard.

» DAMEN !

Le sourire de l'adolescent s'élargit et il jette un œil à l'écran de son téléphone. Une heure. Bien plus rapide que ce qu'il aurait pensé. Il entend des coups forts frappés sur la porte, puis le battant qui s'ouvre à la volée une fois que les personnes de l'autre côté réalisent que ce n'est pas verrouillé. Le groupe entre comme une bande de furie mais tout le monde reste à la porte, sauf l'homme furieux qui marche à pas rapides vers le bar.

» Tu te fous de ma gueule ?

Damen ne prend même pas la peine de se lever, tournant simplement la tête vers son père, hors de lui. Il fallait donc ça pour le mettre en rage ? C'est l'idée d'avoir une tache indélébile sur son existence qui le met dans cet état ? Sûrement.

» Ton petit manège ne durera pas longtemps !
» Tu crois ? Pourtant tu ne peux rien faire, ce n'est pas entièrement à ton nom.

Il agite son téléphone qui affiche une copie des contrats de location et d'ouverture de l'endroit. À deux noms, celui de son père et celui de sa mère. L'ère du numérique rend ça tellement plus facile. Leurs comptes en banque, leurs signatures, leur assurance. Aux yeux de la ville, le maire vient d'ouvrir un strip-club dans la capitale. Et ça, c'est une très bonne manière de faire sombrer son image. D'autant plus que le nom de sa mère apparaît sur les papiers, mais nulle part ailleurs, et qu'elle ne sera pas mêlée à tout ça.

» Parce que tu penses vraiment que ta mère acceptera ça ?!
» Pourquoi pas ? C'est ce que tu voulais, non ? Je deviens un adulte, j'ai même ouvert mon propre business. Le fait qu'il soit à ton nom n'est que temporaire, on ne m'aurait pas laissé le faire sans ça.
» Et ça ne te fait pas comprendre que c'est une idée stupide ?!

Damen ricane un peu puis pose son téléphone sous le comptoir. Les bras désormais croisés derrière sa tête, il observe le plafond et les petites loupiottes qui y font office d'étoiles.

» Il me fallait un cadeau d'anniversaire à ta mesure.
» Arrête ta comédie et annule ces papiers tout de suite, Damen.
» Non.

Il entend des pas secs, sent une main saisir son col pour le forcer à se redresser, et il se laisse emporter sans vraiment chercher à résister, un air toujours aussi satisfait sur le visage. Il ne pourra pas lui enlever cette victoire, cet endroit. L'exposer, ce serait admettre que ses comptes et son nom sont accessibles à un gamin d'à peine dix-sept ans. Il ne peut forcer de son statut de maire pour le faire fermer sans prendre le risque que l'implication de sa femme, ou celle de son fils, soit révélée. Et il ne peut pas le faire fermer sans demander à Natalia de signer aussi, or Damen s'est déjà arrangé pour qu'elle refuse.

» Tu ne tiendras pas.
» Cite-moi une seule chose que j'ai abandonnée.
» La décence humaine ?

L'adolescent éclate de rire, indifférent à la main qui se serre plus fortement sur son col. C'est que son père commence à avoir de la répartie, maintenant. Pour cette fois, il pourrait même admettre qu'il a raison. Mais n'allons pas jusque là.

» Cet endroit vient de naître, tu n'es pas cruel au point d'étouffer un bébé, père ?
» Ne compare pas ta débauche à quelque chose d'innocent.

Les doigts de Damen se posent sur le poignet de son père.

» Ce n'est pas prêt de fermer.
» La première inspection qui découvrira qu'il y a des mineurs ici te fera fermer bien assez tôt.
» Je ne suis pas si idiot.

Des mineurs ? Non, il sera le seul. Il n'a pas besoin de cet endroit pour propager la corruption et la débauche chez les gens de son âge. Et il s'arrangera toujours pour ne pas être visible sur place, il a déjà embauché quelqu'un pour servir de manager. Il gérera dans l'ombre jusqu'à avoir l'âge de récupérer "l'entreprise familiale". La main se desserre, le relâche, et Damen continue de sourire.

» Tu ne veux pas boire un verre avant de partir ?
» Je fermerai cet endroit.
» Ne le fais pas trop ouvertement.

Un chuchotement, l'index sur les lèvres, suivi d'un petit clin d’œil. Puis il regarde son père et son escorte quitter les lieux. Sait-il seulement qu'il vient de renforcer les rumeurs ? Que les paparazzis dans la rue se sont sûrement arrangés pour le prendre en photo sur place, ou au moins sa voiture et ses gardes du corps ? C'est presque trop facile, quand il s'énerve.

» Acte 2, scène 1. Nous avons un nouveau spectacle à jouer.

Il récupère son téléphone avant de poser pied à terre. Il a du monde à contacter avant de véritablement pouvoir ouvrir.
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