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[2021] Elan de générosité

Lawrence Castello
IRS |:| Deuxième année
Lawrence Castello
Sexe : Homme
Identité de genre : Masculin
Orientation sexuelle : Hétéro
Messages : 64
Age : 20
Taille / Poids : 178cm/65 kilos
Né(e) le : 29/02/2004
Date d'inscription : 02/07/2021
Pays d'origine : Italie
Nationalité : Anglo-italienne
Famille : Père et mère
Situation amoureuse : Célibataire
Personnage sur l'avatar : Dazai Osamu (Bungou Stray Dogs)
Couleur(s) de parole : 9900CC
Commentaires/Citations : "On ne choisit pas de naître, ni quand on va mourir, alors à défaut, je vivrais ma vie comme je l'entend"
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Rp abandonné (tout public)
Dim 4 Juil - 13:52
Lawrence Castello


« Soit pas radin »

Ft. Eïmi


C'était quelque peu gênant. Quoi donc ? Oh trois fois rien, simplement qu'il n'avait plus de cigarette, et que de ce fait, il était d'une humeur massacrante, rien de plus. Déjà que de base il n'est pas un rayon de soleil irradiant le monde de sa joie et sa bonne humeur, alors là autant dire qu'il en valait mieux pas l'approcher. Le problème, c'est que parfois, c’est les ennuies qui viennent jusqu'à toi. Franchement, qu'es-ce qui pouvait être pire ? Eh bien que la personne dans son champ de vision fume. Lawrence s'approche donc de cette personne, arborant un grand sourire en passant son bras droit autour de sa nuque.

- Hey mon pote, tu pourrais pas m'en filer une ?

C'est là que l'étudiant pris dans le filet fait la plus grosse erreur de sa vie, refuser. Le sourire sur le visage de Lawrence s’efface alors, tendis qu'il viens lui mettre un coup de pied à l'arrière du genou, lui faisant donc poser un genou au sol. Le fils de mafioso lui offre alors une puissante frappe derrière la tête, pour ensuite donner un coup de pied dans son dos, lui faisant s'enfoncer la tête dans un mur proche.

- Hey, tas de merde... Je crois pas t'avoir demander ton avis ? Mais t'as raison, je suis désolé, j'aurais dût me montrer plus clair.

Il attrape alors les cheveux du jeune homme gémissant de douleur, tirant sa tête en arrière en le regardant dans les yeux. Venant ensuite lui écraser de nouveau le visage dans le mur, tâchant celui-ci du sang de l'homme, le nez s'étant briser au second impact bien plus violent.

- Tu va m'en filer une, pas vrai ?


L'homme hoche alors la tête rapidement, le sourire de Law refaisant surface alors qu'il le remet sur ses pieds, frappant un peu sur ses habits pour les dépoussiérés... avant de lui envoyer un puissant coup de point au ventre, baissant les yeux vers lui. Il était toujours de mauvaise humeur après tout. Il attrapa ensuite le col de celui-ci pour le redresser alors qu'il toussait, venant prendre le paquet de cigarette dans la poche de sa veste, lui mettant deux petites gifles sur la joue droite.

- Tu vois quand tu veut mon pote, c'est cool d'être généreux pas vrai ? Regarde, je suis même sympa, je t'aide à arrêter de fumer.

L'homme baisse les yeux, ce qui énerve un peu plus Lawrence, qui vient alors approcher la flamme de son briquet du visage de l'homme, avant de frapper avec celui-ci sur son front, laissant une bonne marque rouge.

- T'as pas l'air très reconnaissant.

Il le regarde par la suite s'incliner et remercier le mafieux, qui sourit en tapotant le haut de sa tête. Il était satisfait, le problème, c'est qu'il ne semblait pas très sincère dans ses propos. Il recracha la fumée de cigarette au visage de sa proie et lui attrape le visage à pleine main, plissant les yeux, venant ensuite retirer la cigarette de ses lèvres pour pointer le bout rougeoyant et brûlant vers l'homme.

- Ouvre la bouche connard, t'as pas l'air très sincère.


L'homme se secoue un peu, ce qui fait pester Lawrence, qui lui met un coup de genoux au ventre, avant de lui claquer l'arrière de la tête au mur, celui-ci ouvre alors la bouche et Lawrence écrase sa cigarette sur la langue de sa proie, affichant un sourire carnassier
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Mer 7 Juil - 12:55
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Eïmi Cooper
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ÂGE : 16 ans
TAILLE / POIDS : 1m54 / 48 kg
CLASSE : 4°A




















     ❝ Élan de générosité ❞
   
Ft. Lawrence Castello

   

   


   Putain, mais c’est quoi ce bordel. J’ai un de ces maux de crâne, j’ai l’impression que le monde va s’écrouler sous mes pieds. Enfin, ça serait compliqué vu que visiblement, je suis allongé. Il fait complètement noir. Bizarre, pourtant, je ne ferme habituellement jamais les stores. Ah non, j’ai simplement les yeux fermés. Les souvenirs commencent à me revenir lentement, Amélia m’avait laissé la place vers minuit comme notre contrat le stipule, jusque-là aucun problème, après tout, c’est une sainte-nitouche, elle n’oserait pas toucher à de l’alcool et puis ma foutue résidence est fouillée régulièrement de toute façon. Je ne vois aucune raison pour ça sincèrement. Uniquement parce que j’ai un passé de droguée, on farfouille dans ma vie privée. Et si j’ai envie de planquer un vibromasseur sous mon matelas. En quoi ça vous concerne, bande de cons.

Enfin bref, il est temps de se lever non. Enfin d’essayer, car à mon premier mouvement, mes jambes se dérobèrent sous mon corps. Que le monde aille bien se faire enculer, il se passe quoi dans mon corps. Toc Toc Toc, qu’est-ce que tu as foutu Amélia ? Hmm, elle dort comme une souche visiblement. Le carnet où l’on note tous nos retours est bien trop loin pour que je puisse l’atteindre, mais ma patience perd ses limites. L’obscurité de la pièce s’était amoindrie depuis les quelques minutes ou mon cerveau essayait de déterminer le pourquoi du comment je suis complètement en l’air et mon regard se posa sur une chose. Un seul indice permettant à une explosion de souvenir de refaire surface dans ce pauvre cerveau ravagé.

Alors vous voulez essayer de deviner ce qui s’est passé ? Déjà, c’est moi le problème, comme d’habitude j’ai envie de dire après tout, mais là c’est vraiment une de mes particularités. Je n’ai pas bu, je ne me suis pas tué au travail et j’ai encore moins pris de drogue. Raté, je n’ai pas tenté de me suicider non plus même si l’anémie aurait pu être un symptôme de mon manque de force. Le coupable gît sur le sol, me narguant de sa forme particulière, après tout, peu de choses dans ce monde peuvent me mettre à terre. Le coupable c’est un masseur crânien électrique. Un petit appareil munit de trois petites boules vibrantes faisant de petits ronds sur votre cuir chevelu. Vous la sentez venir l’explication maintenant. Je vous rassure moi aussi je me suis senti venir, et bien plus d’une fois. Encore et encore, jusqu’à que mon cerveau me dise stop et se shutdown de lui-même avant que mon corps finisse incapable de bouger. Un black-out de sécurité dû au trop-plein de plaisir. Au final, c’est la faute d’Amélia. C’est elle qui a commandé ça pour les fois où elle fait trop chauffer son cerveau sur la trésorerie de l’école. Exactement, je ne suis qu’une jeune fille innocente et pure. Le problème c’est ma sœur.

Je suppose que j’aie le droit à encore un peu de repos après tout, je n’ai pas encore passé ma nuit et cette dernière risque d’être longue, bloquée sur un sol froid duquel je n’arrive pas à me relever.

Enfin sortie de mon état végétatif, je m’étais décidé à sortir. Je veux dire faut bien que je dégourdisse un peu mes jambes après la sacrée nuit qu’elles ont subie à se tendre et se détendre en permanence. Armé d’un fameux masseur, mais de cette fois pour essayer de pallier mon mal de crâne de façon normale, car oui rappelons tout de mes amours, que la masturbation produite de la dopamine, en cas de mal de tête, c’est un bon moyen de se détendre et de faire passer la douleur. Si votre copine vous sort le fameux "pas ce soir, j’ai mal au crâne", cette excuse de marche pas vraiment ! Pas besoin de morphine, de doliprane ou de cannabis, la solution à tous les mots du monde, que ce soit la douleur, la dépression, l’hyperactivité ou simplement une libido énorme. C’est le sexe. Trouvez-vous un partenaire et envoyez-vous en l’air.

Perdue dans mes pensées, je n’avais même pas remarqué que j’avais continué de marcher sans faire attention à ma destination, j’étais toujours dans la cour, cependant absolument aucune idée de l’endroit. C’était un peu à l’écart, calme, et actuellement sans témoin. Mon regard se porta sur l’objet dans ma main, j’avais encore faim…
Cependant, mon esprit arrêta de vagabonder assez rapidement, une voix. Dommage. Oh non encore plus intéressant, deux personnes, mais qu’êtes-vous en train de faire à l’écart bande de coquins. Vous savez, dans la vie, il y a trois choses pouvant détruire une vie. Le pouvoir, l’argent et le chantage. M’armant de mon téléphone, j’étais bien décidé à récupérer mon ragot du jour sur deux hommes s’abandonnant à un plaisir qui resterait dans leur anal.

OH déception quand tu nous tiens, mon Dieu Eïmi, pourquoi as-tu une imagination aussi salace. La voix me parvint aux oreilles avant la vue de la scène. « Tu vois quand tu veux mon pote, c'est cool d'être généreux pas vrai ? Regarde, je suis même sympa, je t'aide à arrêter de fumer. » Hum sacré élément de générosité en effet, enfin ce ne sont que deux insectes qui jouent ensemble. Une araignée et une fourmi. Enfin, tu lui taxes une clope, donc c’est un peu con de lui faire la morale sur le fait d’arrêter de fumer. Faites ce que je dis, pas ce que je fais. Morale de connard tout ça. Si tu imposes quelque chose, commence par le faire toi-même sinon tes paroles n’ont aucune valeur. Enfin bref, j’aurais pu fermer les yeux et passer mon chemin, mon portable avait déjà filmé ce qu’il me faut pour me défendre en cas de problème contre la racaille. Les forges ce n’est vraiment pas le genre de personne avec qui il faut fricoter. Oh. Attendez une minute. C’est vrai que je suis une forge aussi, mais bon moi, je suis adorable. Je suis ici pour de la légitime défense et un soi-disant fratricide alors qu’elle est encore dans ma tête.

La scène commença à prendre bien plus d’ampleur, le jeune homme aux cheveux de jais commençant à jouer avec le feu, littéralement, je veux dire. Son briquet à deux centimètres du front de sa victime. Et BAM, Surprise attaque. Le bâtard. Aucune pitié. La scène était déprimante. Pauvre petit avec un problème d’infériorité en train de maltraiter un autre élève pour un paquet de cigarettes. Par la suite, il écrasa une cigarette sur la langue de sa victime après l’avoir insulté copieusement. Trop, c’est trop. J’ai la preuve, je vais en parler avec un surveillant, il est bien trop cruel.

Quoi ? C’est ce que vous pensiez que je dirais. Même pas en rêve. Je ne m’embête pas pour des insectes, en revanche, le fait qu’il n’arrête pas de geindre comme des gamins commencent fortement à me taper sur le système. C’est qu’une cigarette sur la langue arrête de gueuler, bordel de merde ! Et toi l’autre connard brun là, tu sais faire autre chose que jurer sur un trou du cul sans dignité ! Si c’est le cas tu devrais t’en acheter une aussi. Bien évidemment tout ça, c’est ce qui se passe dans ma tête. Mon corps ne se complique pas la vie à crier sur les gens. Je suis une fille simpliste qui aime les choses courtes (sauf pour le sexe). Il faut savoir régler les choses de façon radicale, sinon, c’est juste une perte de temps. Un long soupir s’échappa de mes lèvres signalant ma présence et l’ennui qu’était en train de me procurer la scène. Comment lui faire fermer sa gueule ? Lui couper la langue, puis éventuellement la faire avaler à l’autre, impossible, je n’ai rien de tranchant à part mes ongles, et ça serait un peu trop long, et puis ça va salir ma robe, ça pisse le sang une langue. Lui coudre la bouche, comme dans The Human Centipède tien, ça pourrait être marrant ça.

Mon cerveau était concentré sur une seule chose, appliquer ma punition pour m’avoir dérangé. Les deux pouvaient me crier dessus, m’insulter, me demander qui j’étais, je ne l'écoutais pas. Mais quel petit chanceux il est sans le savoir. Le masseur électrique présent dans la main entra brutalement en contact avec la mâchoire de la victime du petit brun. Force multipliée par vélocité plus rigidité de l’arme, malgré ma petite taille sa mâchoire laissa échapper un craquement sinistre. Au moins comme ça, il fermerait bien sa gueule. Pourquoi chanceux dans ce cas ? Eh bien, dois-je vous rappeler à quoi m’a servi cet objet hier soir ? Évidemment que vous vous en rappelez bande de sale pervers. Et y a-t-il plus grand honneur que d’être touché par un objet ayant été trempée par mes fluides corporels ? Ma langue se délecta des gouttes de sang étant venues moucheter l’engin. Mon regard se portant enfin sur la seconde personne présente avec moi. Devrais-je le dévorer lui aussi ? Mon cerveau réactiva l’option conversation et interaction sociale.
Le goût du sang m’avait mis dans tous mes états, mon regard se porta sur la personne au sol, je crois bien qu’il a perdu connaissance. Le petit brun aurait dû faire comme ça depuis le début au moins il aurait gagné du temps.

« Si tu parles de ça à qui que ce soit et que je finis assigné à résidence, tu n’auras plus tes couilles pour chanter en baryton. Ah et vu que c’est toi qui la torturer à la base, tu peux vérifier qu’il est vivant ? »
   


   

   
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Lawrence Castello
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Mer 7 Juil - 13:20
Lawrence Castello


« Soit pas radin »

Ft. Eïmi


Il commençait à peine à s'amuser avec son petit jouet, que celui-ci se faisait casser, par une femme débarquant de nulle part. Le plus bizarre dans tout ça, c'était ce avec quoi elle l'avait explosé. Il lâcha un profond soupire en le regardant tomber au sol, visiblement dans les pommes suite à l’impact ayant probablement trop résonné dans sa petite caboche. Non mais sérieusement, un pauvre petit coup sur la tête et ça s’effondre comme une merde. Il entend par la suite la femme jacassé, ignorant le simple fait qu'elle prenait le sang de sa victime. Il l'entendait bine, en arrière plan. Il faut dire qu'elle ne cherchait pas à être discrète, allant même jusqu'à le pseudo menacer. Elle manquait pas de culot celle-là. Elle lui piquait son jouet et avait le culot de se la jouer grande déesse ?

- Je commençais tout juste à m'amuser... Et voilà qu'une putain de chienne vient aboyer à mes oreilles.

Enfin, ces mots avaient été prononcés faiblement. Par gêne ? Oh, que non, plus par consternation de voir le toupet de la femme qui jugeait bon de se prendre pour madame baise mes pieds après avoir toucher à SA proie. Non, c'était trop. Il s'approcha d'un pas, puis un second, avant que sa main ne siffle dans le vent, pour s'éclater sans retenue contre la joue droite de la femme. Pas une petite gifle de sorte à s'imposer, non, plutôt une claque de pleine force, afin de lui faire comprendre qu'elle ne s'attaquait pas au genre de petit tout qui remue la queue dont elle semblait être habituée.

- Avant de me menacer de m'arracher les couilles, commence par t'en faire grossir une paire, puta.

Il recracha la fumée de sa cigarette, calant le mégot entre son majeur et son pouce, avant de le propulser au visage de la femme au sol. Non mais sérieusement, elle attaquait en traître, et elle avait encore l'audace de se la racontée. Il plongea ensuite ses mains dans ses poches, baissant les yeux vers elle, un regard froid, dénué de toute forme de compassion. Autant dire qu'il se fichait bien d'avoir frapper une femme, l'égalité des sexes, ça fonctionne dans les deux sens pas vrai ?

- J'ai pas le temps de jouer avec une gamine, retourne te faire tringlée par le club de foot ou je sais pas ce qui éclate les pétasses dans ton genre, mais viens pas me beugler dans les oreilles.

Suite à cela, il tourna le dos, s'en allant dans la direction opposé en laissant al femme sur place avec l'autre mec ko, après tout c'est pas comme s'il en avait quoi que ce soit à foutre dans le fond. Ce n'était plus son jouet à l'instant même où elle l'avait toucher.

- Et je te laisse l'autre tafiole, entre lavette vous devriez bien vous entendre.

Il sorti une main de sa poche en saluant le duo d'un geste nonchalant de la main. Le problème, c'est qu'elle 'lavait couper dans son élan, et que maintenant.. Eh bien il ne savait plus vraiment quoi faire. Il n'était plus vraiment d'humeur à s'amuser avec quelqu'un, en supposant déjà qu'il croise quelqu'un d'autre. Elle l'avait couper dans son élan, et il en avait perdu l’appétit en quelque sorte. Sortant alors une flasque d'argent de sa poche arrière, il en buvait une gorgée pendant que la femme se remettait probablement de ce qu'il s'était passé, ou rester en plus dans son coin, pour ce qu'il en avait à foutre de sa réaction au pire, elle pourrait même chialer auprès des pions qu'il n'en aurait rien à branler, après tout il n'était pas ici pour rien.
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Sam 10 Juil - 23:29
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     ❝ Élan de générosité ❞
   
Ft. Lawrence Castello

   

   


   « Je commençais tout juste à m'amuser... Et voilà qu'une putain de chienne vient aboyer à mes oreilles. »

Il avait dit ça tout doucement. De façon presque inaudible, cependant, peu de choses peuvent échapper à mon oreille si jamais je suis assez près. Mais par contre pour qui il se prend ce déchet ? Enfin, conserve ton calme ma chère, tu ne voudrais pas avoir un autre meurtre sur les bras non ? Il commença tout doucement à s'approcher. Lentement, un pas après l'autre. Si tu as quelque chose à me dire, dépêche-toi. Je n'ai pas toute la journée non plus pauvre con. Et avant que je ne puisse réagir, sa main entra en contact avec ma joue droite. Il n'y était pas allé avec le dos de la cuillère en tout cas. La force de l'impact m'avait fait tomber en arrière. Inertie tout ça. Un goût cuivré commença à emplir ma bouche, m'excitant légèrement. Je commençais à avoir des papillons dans le ventre, un sourire illuminant ma lèvre fendue. Vas-y fait moi mal, j'adore ça de toute façon. Ahah.

« Avant de me menacer de m'arracher les couilles, commence par t'en faire grossir une paire, puta. »

Il propulsa sa cigarette sur moi après sa phrase qui soit claire n'avait absolument aucun sens. Après tout, aux dernières nouvelles, je suis bien une fille et je compte le rester pour l'éternité donc je ne compte pas me faire grossir de paire de couilles comme il l'a dit si bien. Et de plus, je suis loin d'être une pute. Personnellement, je baise gratuitement. Enfin bref, il est sûrement content de lui, il a montré qu'il est fort, qu'il a « Une paire de couilles ». Je me demande bien, je comprends le principe de l'égalité des sexes, mais ne roule pas des mécaniques pour avoir frappé une femme qui n'était même pas sur ses gardes sale gosse. Et puis c'est quoi ce regard ? T'essayes de me faire peur ? Je pense qu'il n'a pas vraiment compris qui est le monstre entre nous deux. Tu es content de toi, car tu as piqué un paquet de clopes à un clampin ? Tu t'en es pris au mauvais prédateur…

« J'ai pas le temps de jouer avec une gamine, retourne te faire tringlée par le club de foot ou je sais pas ce qui éclate les pétasses dans ton genre, mais viens pas me beugler dans les oreilles. »

Tu fais erreur, il me semble que de nous deux, c'est toi le gamin. Et encore une fois, c'est moi qui choisis avec qui je couche. Et ce n'est pas n'importe qui. Enfin presque pas. Il commença à faire demi-tour, partant de son côté comme s'il ne s'était rien passé. Vraiment pas respectueux. « Et je te laisse l'autre tafiole, entre lavettes, vous devriez bien vous entendre. » Ma langue passa doucement sur mes lèvres, j'étais partagé entre deux sentiments. Lui arracher gentiment les yeux à l'aide d'une cuillère à café saupoudré de sel. Où lui sauter dessus et le violer sur place parce que je ne vous cache pas que sa claque m'a mit dans mes états et que j'ai du mal à contenir ma libido. Mais bon, ne serait-ce pas mal de lui faire profiter de moi avant de lui avoir appris une petite leçon...

Me relevant doucement alors qu'il s'éloignait de plus en plus, dépoussiérant tout doucement ma jupe. Franchement, un peu de tact, je suis toute sale maintenant. J'allais devoir courir pour le rattraper en plus. Mais bon, il pense sûrement en avoir fini avec moi. « Je m'occuperais de toi plus tard. Hésite pas à dire que ce vilain monsieur t'a racketter ! Désolé de t'avoir frappé, c'était dans l'excitation du moment ! Je me rattraperais promis ... » Petit clin d’œil, il était temps de mettre en place ma vengeance. Enfin vengeance, façon de parler. Retirant tout doucement ma culotte qui allait m'embêter plus qu'autre chose devant les yeux à moitié morts de notre victime, je me mettais à courir pour rattraper le petit rebelle. Et arrivant à son niveau, je l'affublai d'un nouveau chapeau légèrement humidifié par sa faute avant de planter mes ongles dans son bras.

« Dis donc jeune homme. Ce n'est pas très poli de partir après m'avoir mis en chaleur… Tu vas devoir assumer tes responsabilités. Tu as deux choix, soit, tu fais en sorte de trouver quelque chose pour diminuer ma libido, sois tu t'en occupe… Oh et me frapper ne sert à rien, je pense que tu ne trouveras pas plus détraqué que moi sur la douleur dans cette école ... »

Mon regard était rempli de désir, il faisait une erreur sur beaucoup de choses. Et j'étais bien décidé à lui montrer

« En tout cas ne t'y crois pas trop, tu es peut-être plus fort, mais j'ai bien d'atout mon cher... Ne pense pas être le prédateur ultime. Tous les hommes sont pareils après tout ...»

Eïmi parle en #006633

   


   

   
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Mar 13 Juil - 10:34
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« Soit pas radin »

Ft. Eïmi


Il soupirait un peu en entendant la voix de la femme. Alors elle 'lavait suivit ? C'était quelque chose qu'il n'attendait pas, il ne fallait pas se mentir, il pensait plutôt qu'elle resterait sur le cul un petit moment. Enfin bref, il se tourna vers elle quand elle lui adressa la parole, lui imposant de s'occuper d’elle, ce qui lui fît arquer un sourcil. Imposer ? Elle pensait sincèrement pouvoir le forcer à faire quoi que ce soit, lui ? Il retint alors un rire, croisant les bras contre son torse en soupirant.

- Je crois que t'as oublié de me dire le passage où c'est mon problème.

Il retira alors la culotte de sa tête et la jeta au sol, vidant sa flasque de whisky dessus avant d'y lancer par la suite son mégot de cigarette encore chaud, embrasant le tout. Elle lui parla par la suite de prédateur, ce qui le fît rire de bon cœur, alors qu'il attrapa son menton entre deux doigt, plongeant un regard noir dans celui de la femme.

- Un prédateur ? Tch. Quand t'écrase un cafard sous ta chaussure, c'est pas de la prédation, femme.

Il la relâcha ensuite en la repoussant, tournant le dos à celle-ci pour reprendre sa route, s'allumant une nouvelle cigarette par la suite. Elle le sous-estimait grandement si elle croyait l’impressionner avec ces mots. Il secoua la main de façon nonchalante en baillant.

- Si tu compte me balancer, le bureau des pions c'est dans la direction opposée, tu peut même foutre la mâchoire brisée sur mon dos si tu veut, pour ce que j'en ai à foutre.

C'est à dire pas grand chose. L'école était déjà au courant de ses agissements violent, ce n'est pas pour rien qu'il avait ce foutu bracelet à la jambe. Alors un peu plus ou un peu moins, ce n'est pas comme s'il en avait quelque chose à cirer. En fait en un sens ça l'arrangeait même, ça lui filerait une excuse pour pas aller aux rendez-vous. Genre, je peut pas y aller je suis en colle, ou allez savoir quelle connerie. Et puis s'il se faisait renvoyer quelques jours, ça lui accorderait plus de temps pour se concentrer sur la gestion du Red Wires. Il devait aussi voir pour trouver une méthode pour cacher un peu mieux l'entrée, en cas de contrôle de la police. Peut-être en créant une réserve autour de l'entrée et cacher celle-ci derrière un faux mur ? Après tout, sur les plans, l’existence d'un sous-sol n'était pas mentionner, il avait fait en sorte que tout ce qui mentionnait un sous-sol soit effacé. Enfin, d'un autre côté, on était jamais trop prudent pas vrai ? Il attrapa alors son téléphone et composa un sms qu'il envoya à son petit toutou, lui demandant de faire quelques recherches pour lui, sur une façon de faire le mur sans devoir claquer des milles et des cents pour désactiver le bracelet, et qu'il lui trouve une moto. Il avait envie de rouler un peu. Enfin, même plus qu'un peu. La sensation lui manquait pas mal, il n'allait pas mentir.
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