AccueilAccueil  Rps et newsRps et news  The Wiesel DenThe Wiesel Den  CalendrierCalendrier  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  MembresMembres  GroupesGroupes  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  


Votez pour le forum

Venez participer à la journée d'introduction des clubs ! Nourriture et activités pour tout le monde ~
Forum fermé. Indarë rouvre ses portes à une nouvelle adresse.

Si vous étiez partenaires et que vous souhaitez revenir dans notre liste, vous pouvez :
- Ajouter votre fiche parmi nos partenaires en passant par cette page : https://indare.forumactif.com/h20-
- Changer notre fiche et nos boutons pour les remplacer par ceux-ci : https://indare.forumactif.com/t84-
- Changer le nom du forum en "Petits secrets d'Indarë"

Pour les anciens membres qui souhaiteraient s'inscrire à la V2, c'est par ici → https://indare.forumactif.com/
Pas mal de choses ont changé donc pensez à lire tous les sujets. J'ai aussi listé le plus gros des modifications dans le MP général envoyé pour l'ouverture.


Le Deal du moment : -40%
Tefal Ingenio Emotion – Batterie de cuisine 10 ...
Voir le deal
59.99 €

[2017] Je ne pensais pas être accompagnée

Anastasiya
Invité
Anonymous

Rp abandonné (tout public)
Mer 20 Sep - 21:41
Anastasiya






Ana is coming now





         Aujourd'hui, tu n'as pas cours cette après-midi, c'était parfait. Tu n'attendais que la sonnerie de fin de matinée, c'était la meilleure chose qui pouvait arriver. Et c'est le moment, tu prends ton sac et tu montes rapidement dans ta chambre, sans te soucier de n'importe qui, tu le déposes, mets ton violon dans son étui le prend et ressors. La météo n'était pas bonne, tant mieux, ça te donne une autre véritable raison de t'amuser dans ton coin. Tu descends les escaliers pour te rendre en bas, tu croises différentes personnes, des visages qui ne te disent rien de toute manière, tu ne connais aucun de ses individus et tu n'en ressens pas le besoin. Serait-ce ta manière de vivre? Tu ne cherches aucunement de compagnie, en réalité la solitude est une amie précieuse maintenant, tu es là parce qu'ils ont décidé que tu sois là, sinon tu aurais continué tes cours à domicile et peut-être qu'un jour tu aurais réussi là où tu veux.

Bref. Tes pas t'emmènent à un endroit que tu estimes plus que les autres ; la salle de musique. Ici, tu te sens comme chez toi, comme si tu revenais en Russie, comme si tu reprenais les rênes de ta vie. Ton corps se dirige naturellement vers le milieu de la pièce, personne n'est présent dans la salle et ça t'arranges, tu ne te sentirais que mal. Tu tournes le dos à la porte, mets ton violon à l'épaule et commence à jouer les premières notes. Tu te mets à faire quelques pas, de droite à gauche, de gauche à droite, devant, derrière, une sorte de danse comme t'apprenais ton père lorsque tu avais tes pieds sur les siens. Ta robe blanche ondule, elle te suit, sans te coller, sans trop s'éloigner, et tes cheveux volent à ton rythme. Tu hésites à prendre une pause entre chaque morceaux, tu faisais ton répertoire complet ; seules les musiques russes de ton enfance. Tu pris une de tes préférés, une mélodie douce et mélancolique un peu comme toi. Quelques douceurs, une once de pureté et des yeux fermés, tu te mets à marmonner quelques paroles, d'une voix légère ;

- YA byl na vashikh pervykh shagakh ( J'étais là à tes premiers pas )
Vy byli na moikh pervykh shagakh ( tu étais là à mes premiers pas )
YA nauchil vas zhizni, ya nauchil vas zhit' ( je t'ai appris la vie, je t'ai appris à vivre )
Ty nauchil menya zhizni, ty nauchil menya zhit' ( tu m'as appris la vie, tu m'as appris à vivre )

Puis tu t'arrêtes. Cette mélodie te fait du mal, une fois sur deux c'était toi qui parlais, l'autre fois ta mère, elle te manque, tu ne l'as peut-être pas connu longtemps mais elle t'a donné la vie, et a l'âge de comprendre ce qui s'est passé, tu ne leur en veux pas de t'avoir épargné la même vie qu'eux. Tu reprends doucement ta mélodie et une fois fini, tu te poses à terre, le violon devant toi, la porte d'entrée derrière toi.


:copyright: Jawilsia sur Never Utopia
Revenir en haut Aller en bas
Krasarc
Invité
Anonymous

Rp abandonné (tout public)
Jeu 21 Sep - 18:11
Krasarc
Krasarc Orzeïn
Ancien membre
Depuis quand est tu dans cette académie ? Combien de temps s’est écoulé depuis ton arrivée ? La lenteur effroyable du temps entrainer l’univers et tous ses acteurs, véritable métronome infernal au rythme chaotique, tu te perdais dans cette nouvelle vie qu’on t’avait imposé.
Depuis que tu étais arrivée dans ce bâtiment tu n’avais fait que voir ton psychiatre, le reste du temps tu le passais allonger dans ton lit a cogité ou alors tu marchais dans les couloirs tels une ombre en proie a sa propre obscurité.
Était-ce l’ennui ou la folie qui te rendait la vie si dure ? Ton ressentie vis a vis du temps était purement chaotique, tu avais même émis l’hypothèse que ces bâtiments étaient dans une faille de l’espace-temps, les heures pouvaient être aussi rapide que des secondes, mais les jours était aussi longue que des années, le soleil apparaissait et disparaissez en un clin d’œil pour laisser la place a une nuit éternelle !

« Je crève de soif !!! », depuis ton arrivé tu n’avais pas pu boire une seule goutte de ce fabuleux nectar écarlate, en plus d’être cloitre dans cet enfer éternel voilà qu’on te torturait en t’interdisant de consommer ton plus grand plaisir ! Les tourments de ton esprit venaient t’assaillir a nouveau et tu te sentait sur le point de craquer mentalement, tu perdais tes repères et c’est au bord du gouffre que tu te levas de ton lit, la lumière solaire vint s’écraser sur ton visage ce qui t’indiquait que le jour était encore présent, ou peut-être venait-il de se lever ? Tu n’en savais rien et tu n’en avais rien à faire ! Plaçant ton grand chapeau Borsalino sur ta tête, tu te hâtas dans les couloirs pour fuir tes propres tourments. Un désir particulier ne cessait de te tirailler, cette unique phrase qui se répétait en boucle te demandait inlassablement la même chose « Je crève de soif !... Je crève de soif !... Je crève de soif !.... Laissez-moi boire quelque chose ! »

Soudainement une corde vint te sortir des abysses, une lumière dans l’obscurité attira ton attention, il s’agissait d’une musique assez délicate, qui venait de la salle de musique, les étudiants passaient devant sans se poser de question et ce n’est que maintenant que tu réalisais la crainte que tu inspirais a tous ceux qui te regardais, tes yeux étaient creusés par les cernes, ton regard tremblait ce qui trahissait ton manque, tu ressemblais a un toxicomane sur le point de faire une crise sans compter que cette manière de serrer tes poings n’aider pas a te rendre sympathique.

Le regard des autres te dérangea subitement et c’est pourquoi tu te hâtas d’entrer dans la salle de musique, peut-être qu’un concert avait lieu et que tu pourrais te camoufler dans la foule de personnes écoutant l’artiste responsable de cette douce mélodie, pourtant une fois a l’intérieur tu constatas qu’un simple femmes était la, jouant dos a la porte elle ne t’avais pas remarquer ce qui était une grave erreur ! Tu étais hypnotisé par sa musique, mais surtout par son corps, sa peau blanche... ses longs cheveux dorés... ces courbes gracieuse et délicate... on aurait dit un fruit défendu dont on avait le droit que de toucher du regard.

« Il n’y a personne... nous sommes seuls.... personne ne remarquera rien ! Elle a l’air faible... elle a l’air délicieuse... juste une gorgée... je n’ai qu’a la forcer, je ne veux pas passer a coté... pouvoir sentir ce délicieux nectar couler dans ma gorge, son gout dois être sublime » tes pensées ne cessaient d’affluer et le fait d’imaginer son sang couler dans ta bouche te procura une excitation particulièrement intense, excitation sexuelle dont l’organe concerner se redressa comme pour appuyer ce flux d’émotion interdite. Te faufilant comme une ombre, tu te rapprochas et sortit de ta poche un bout de verre cassé que tu avais récupéré dans ta chambre après un geste maladroit. La jeune femme se mit à chanter alors que tu ne cessais de t’approcher dangereusement, ce ne fut qu’au moment où elle termina sa mélodie et qu’elle vint poser son violon au sol que ton bras gauche vint se glisser sur ses hanches pour la bloquer contre toi, tu appuyais ta tête contre l’arrière de la sienne en respirant lourdement alors que ta main armée faisait glisser le bout de verre sur ce cou délicat.

— " Quel chant magnifique... et cette mélodie... si fantastique tu as réussi a m’atteindre avec.... tu peux t’en venté ce genre d’exploit n’arrive que très rarement... laisse-toi faire, je t’en prie, ne me force pas a saccager ce corps sublime et délicat ! Je... je vais faire de mon mieux pour que tu ne souffres pas... »

Cette odeur enivrante qu’elle dégageait rendait fou ton esprit malade et du sang commençait a coulé en abondance sur le verre brisée, pourtant ce n’était pas celui de cette douce femme, c’était ton sang qui s’écoulait, l’excitation était telle que tu serrais ton arme au point de te mutiler la main, cette jeune femme pouvait sentir le tranchant du verre glisser sur son cou ainsi que la chaleur de ton sang s’y déposer
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous

Rp abandonné (tout public)
Mer 4 Oct - 22:25
Invité
Melody Williams
Ancien membre
Je ne pensais pas être accompagnée
Parfois il suffit d'un instant..

La rentrée était advenu il y'a peu et des tas de nouvelles têtes avaient envahis les lieux. Des tas de gens qui l'indifféraient au plus haut point. Indare avait changé à mes yeux, en profondeur, presque sans laisser de traces pour la populace qui vaquait en ces lieux. Oui, j'avais perdu un repaire important ici et chaque souvenir de ce repaire, désormais absent, ne me laissait qu'un goût amer dans la bouche.

Ce repaire n'était autre que Naomi. Bien sûr, j'avais la chance de la voir presque chaque jour, bien sûr elle n'avait pas disparu de mon existence mais... les choses n'étaient plus les mêmes, les choses étaient confuses et même si je pouvais m'appuyer sur quelques amies dans ma nouvelle classe, ma blessure restait vivace. Je ne parvenais pas à oublier les événements de cet été, oublier qu'elle avait su m'aimer autant que je l'aime pendant quelques heures, oublier un cadeau du ciel que j'avais attendu si longtemps. Pourtant c'est ce qu'elle désirait, du moins je crois. J'avais tenté de toutes les manières de faire disparaître mes sentiments et mes souvenirs comme si notre dernier acte nocturne scellerait le tombeau de notre amour impossible mais rien. Impossible. Je n'étais que tristesse et colère lorsque j'étais suffisamment loin d'elle pour que je puisse exprimer les émotions qui engloutissaient petit à petit mon être et qui déchiraient mon cœur tel les femmes thraces avec le corps d'Orphée. Et comme Orphée j'avais l'impression d'avoir vu mon Eurydice disparaître sous mes yeux.

C'est dans ce contexte et dans cet état d'esprit que je déambulais dans les couloirs du bâtiment B tel une âme en peine. Je préférais la quiétude du bâtiment des ISS pour plusieurs raisons: premièrement pour le fait qu'il n'évoque pas en moi les mois suppliciés que j'avais enduré au cours de l'année passé mais aussi car il me permettait d'éviter ce blondinet arrogant qui ne faisait que décupler ma colère à chaque apparition. Apparition de plus en plus fréquente. Rien que d'y penser.. Je sentis mon poing se serrait sans même vraiment le contrôler. Je bouillonnais de rage intérieurement. Heureusement, un air de musique emplissait les airs et je pouvais ainsi focaliser mon attention sur autre chose. Cette chanson était plutôt singulière : je pouvais clairement identifier une langue que je connaissais pas, tout comme la voix qui m'était tout aussi inconnu. Étonnant. Amaryllis était l'une des seules à s'isoler en salle de musique. Il me fallait mener mon enquête. Enfin, cela restait un meilleur projet que de continuer de jouer avec la limite du supportable en laissant les idées fusaient dans ma tête comme autant d'étincelles qui risqueraient par allumer la mèche.

J'étais non loin de la source de cette mélodie aussi je laissais mes pas me rapprochaient de la source des notes volatiles lorsque ces dernières s'achevèrent. Un silence pesant avait envahi l'étage comme si le temps était suspendu. Le même genre d'instant que j'avais pu vivre lors de mon annonce auprès de Naomi ou plus anciennement lorsque je montais petit à petit les marches menant jusqu'à ma chambre afin d'y voir un spectacle que mon cerveau ne voulait accepter. J'arrivais dans l'encadrement de la porte quand mon sang ne fit qu'un tour. La scène qui se déroulait devant moi me parut surréaliste mais ne fit que réveiller en moi des sentiments depuis longtemps enfoui.

Une jeune fille inconnue me tournait le dos, un violon à la main. Rien de spécial en soi mais un garçon de notre âge se pressait contre elle et je pouvais clairement sentir que rien n'était consentant. Cette jeune femme subissait une agression comme tout mes sens me le signalaient. La rage que je venais d'essayer de calmer vint resurgir. Brutalement. Avec juste un désir profond de détruire cet innommable individu. Quelqu'un avait osé faire du mal à Naomi ainsi et désormais c'était sous mes yeux. Je n'avais jamais eu à subir une agression mais j'avais été suffisamment bafoué pour savoir la trace indélébile que pouvait laisser un acte si anodin pour une sous-personne comme lui. J'avais beau me tourner la scène dans tout les sens, il s'agissait forcément de l'évidence. Ce mec n'était qu'un opportuniste qui voulait profiter de la gentillesse de cette fille pour la faire souffrir. Comme Katie avait profité de ma gentillesse. Comme Jack avait profité de mon absence. La simple évocation mentale de ces deux prénoms finit par me faire agir et c'est d'un ton calme et posé que je pris la parole en m'avançant légèrement, inconsciente des risques (ou peut-être par pur envie d'en finir avec lui et/ou avec ma misérable existence).

-"Je lâcherais cette fille à ta place... évite toi des problèmes tu veux.."

J'espérais encore pouvoir éviter un drame mais était-ce encore possible? J'aurais pu tourner les talons et me taire, comme tant l'avaient fait pour moi, pour Naomi, ou comme tant l'auraient fait à ma place mais non. En m'avançant je vis du sang couler sur le cou de la demoiselle, décuplant la rage qui se propageait dans chaque cellule de mon être. Parfois il suffit d'un instant pour que la vie d'une innocente ne prenne un nouveau tourment, pour qu'un idiot retombe dans ses anciens démons ou pour qu'un monstre s'éveille à nouveau, alimenté par les travers d'une vie trop cruelle pour un être trop fragile.



Revenir en haut Aller en bas
Anastasiya
Invité
Anonymous

Rp abandonné (tout public)
Ven 6 Oct - 21:48
Anastasiya






Ana is coming now





[...]le violon devant toi, la porte d'entrée derrière toi.


         Un long frisson se dégage sur tout ton corps lorsqu'un bras enrobe tes hanches, tu ne comprends pas ce qu'il t'arrive et une multitude de questions s'emballent en toi ; qui c'est pourquoi que veut-il que t'arrive-t'il qu'est-ce que tu dois faire pourquoi qui c'est qui c'est qui est cette personne?. Répétitives, oui, mais tellement agaçante, cette situation en elle-même est agaçante. Et ses questions qui se répètent dans ta tête s'amplifient lorsque sa tête tape l'arrière de ton crâne et que tu entends sa respiration, jusqu'à sentir quelque chose sur ton cou. Qu'est-ce que c'est pourquoi que dois-tu faire?. Tu ne sais rien. Tu aimerais te retourner mais quelque chose te fait peur, tu ressens de la peur.

- Quel chant magnifique.. et cette mélodie.. si fantastique tu as réussi à m’atteindre avec... tu peux-t-en vanter ce genre d’exploit n’arrive que très rarement.. laisses-toi faire, je t’en prie, ne me force pas à saccager ce corps sublime et délicat ! Je.. je vais faire de mon mieux pour que tu ne souffres pas..

         Une voix que tu ne reconnais pas, en même temps tu ne connais personne. Et c'est à peine le troisième élève que tu rencontres. À quoi ressemble-t'il qui est-il pourquoi?. Tant de nouvelles questions se forment, tu ressens quelque chose sur ton cou, une sorte de lame, tu n'oses plus bouger ; en réalité c'est ton corps qui ne veut pas bouger, il se bloque. Du liquide chaud perle sur ton épaule, au coin de l’œil tu vois du rouge ; du sang. Quel sang? Ce n'est pas le tien car tu n'as pour l'instant aucune douleur. Tu penses que c'est une personne du centre de redressement, mais, pourquoi? Tu n'es pas dans leur bâtiment tu y as bien fait attention. Dois-tu faire attention par quel chemin tu prends ou où est-ce que tu t'exclues? Tu entends d'autres bruits de pas. Un ami à lui? Serait-ce ceci une pension? Une source de problèmes?

- Je lâcherais cette fille à ta place.. évites-toi des problèmes tu veux..


         Une fille. Et tu ne sais toujours pas qui t'entoure. Au vu du ton et de ses paroles, elle n'est pas avec lui, et ça te rassure, ou pas. Tu ne sais pas. Pourquoi ça te rassurerait? Qui sait si lorsqu'il sera parti elle ne fera pas quelque chose de déplacé. Ça y est, tu psychotes. Tu ne devrais pas. Tout le monde n'est pas mauvais, tout le monde à sa gentillesse et ses névroses. Tu trembles toujours, tu commences à chanter en chuchotant énormément bas pour te donner un minimum de courage ; lorsque tu étais petite tu as bien échappé à la torture, alors pourquoi là tu ne pourrais pas? Deux raisons ; tu n'étais pas seule ce jour-là et là, tu ne sais pas ce dont ils sont capables.
         Dans un élan de connerie, bêtise, courage, audace, bravoure ou tu ne sais quoi, tu glisses par le bas, ne manquant bien sur pas de te griffer. Tu récupères rapidement ton violon et t'avances assez loin, t'enfonçant encore plus dans la salle. C'est là que tu rencontres le physique des deux personnes qui font présence.
         En premier plan ; un homme, plutôt jeune, bien plus grand que toi, à la main entaillée et un bout de verre dessus. Brun avec un chapeau. Il n'a pas l'air méchant physiquement, mais dans ce contexte, il te faisait flipper. En second plan ; une femme, cheveux rose, plus grande aussi, même si tu ne savais pas ce qu'elle faisait là. Au final, il y avait la fille vers la porte, lui au milieu et toi au fond, tu poses ton violon à côté de toi, à un endroit précis, fixe pour qu'il ne tombe pas. Tu t'adresses d'abord au garçon.

- Qui êtes-vous?

         Tu sens de nouveau des frissons. Tu restes tétaniser. N'es-tu pas juste sensée suivre des cours ici? Est-ce normal d'avoir des problèmes dans l'enceinte d'un bâtiment scolaire? Tu n'en sais rien. Oui, tu ne sais pas grand chose de la vie scolaire ou la vie sociale ; tu ne connais que ce qu'on t'a dit mais la théorie et la pratique sont deux choses distinctes.


© Jawilsia sur Never Utopia
Revenir en haut Aller en bas
Krasarc
Invité
Anonymous

Rp abandonné (tout public)
Sam 7 Oct - 12:00
Krasarc
Krasarc Orzeïn
Ancien membre
Quelles douceurs, quelles magnifiques odeurs, ton emprise sur cette douce créature a la voix suave et a la peau tendre te faisait tourner la tête, tu ressentais la peur au plus profond de son être et cette émotion la rendait encore plus délicieuse ! Tu sentait les battements de son corps depuis son dos et tu sentais presque son sang circuler dans son corps, cette sensation était si agréable que ton souffle devenait plus ardent, tu avais atteint un stade ou tu ne savais plus si tu étais délicat avec elle par gentillesse ou à cause du plaisir de manipuler un être si fragile sans le casser, un peu comme jouet avec une magnifique poupée de porcelaine !

— " Je lâcherais cette fille à ta place... évite-toi des problèmes tu veux.. »

Damnation ! Tu n’avais pas remarqué qu’une nouvelle personne était entrée dans la salle et à en juger par son ton cela n’augurait rien de bon ! La lame de verre pressa encore plus la peau claire de la jeune femme alors que tu cherchais un moyen de la déguster le plus rapidement sans que ton acte ne soit de trop grosse répercussion ! Hélas la poupée de porcelaine était courageuse et défiant ton emprise elle vint se glisser sous tes bras, par réflexe tu tentas de la récupérer, mais tout ce que tu fis c’est de planter ta lame lui laissant une blessure du menton a la joue droite. Elle était déjà loin quand tu remarquas les quelques gouttes de sang sur ta lame. Voici donc ton seul repas... tes mains tremblaient alors que le temps semblait se suspendre, déposant ta langue sur ce nectar écarlate tu fus comme transporté dans une dimension de plaisir, non seulement tu avais passer tant de temps sans consommer, mais en plus tu tombais sur un met de luxe !

Gémissement lourd pour un plaisir démesuré tu en voulais plus ! Beaucoup plus ! Tu voulais ouvrir cette femme en deux et te repaitre de tout son sang et peux être même de ses organes avant d’abuser de son cor ! Tu n’avais jamais ressenti d’envie au point de paraitre anthropophage ou nécrophile, mais cette situation te rendais fou et alors que tu reprenais lentement la raison tu réalisais la situation, ta poupée de porcelaine en face, cette femme belliqueuse bloquante la porte, tu était coincée et devait régler tes comptes alors que ta proie posait l’ultime question.

— " Héhéhéhé... Qui suis-je ? Personne, je ne suis qu’une personne parmi tant d’autres ! Tu n’étais pas obligé de partir de la sorte à cause de toi tu as une vilaine blessure sur le visage ! »

Te plaçant contre le mur de gauche afin d’avoir les deux femmes dans ton champ de vision, tu replaças ton chapeau correctement en t’adressant a cette vilaine personne dont la voix n’embellissait sa vilaine apparence, soupirant longuement tu ne savais pas trop quoi faire, cette petite voix en toi te hurler de planter cette intruse afin de ne laisser aucun témoin de ce que tu pourrais faire a ta poupée de porcelaine.

— " Haaa et toi tu n’a pas honte ? Me déranger dans un moment si intime ! Goujat vas ! Je ne faisais que profiter de ce corps qu’elle m’a offert en me tentant de la sorte ! Dos à la porte dans cette tenue, avec cette voix délicieuse et cette peau claire tu ne vas pas me faire croire qu’elle ne m’invitait pas à abuser d’elle dans tout les sens du terme ! Hahahaha »

Pourquoi tu balancais tout ceci ? Pour plusieurs raisons, le regard de cette intruse trahissait l’immense colère qui l’habitait, et dieu sait que pécher quand on est martyr rend la sanction plus douce, cela jouera donc en ta faveur de récolter les fruits pourris de sa colère quand tu te retrouveras face au proviseur. De plus la ou tu essayais de crée la colère chez cette femme, tu essayais d’insuffler la peur a ta poupée de porcelaine, on contrôlé tellement de choses grâce a la terreur et tu souhaitais tellement contrôler cette délicieuse créature !
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous

Rp abandonné (tout public)
Lun 9 Oct - 12:32
Invité
Melody Williams
Ancien membre
Je ne pensais pas être accompagnée
Occasion

Quoi qu'il en soit, mon intervention sembla porté ses fruits. En effet, bien que l'odieux personnage ne laissa en aucun cas a fragile proie se libérer, cette dernière prit ce droit sans demander l'autorisation. Elle s'extraya de l'emprise de son agresseur avec agilité, ne récoltant de ce début d'agression qu'un fin sillon cramoisi sur la joue. Le silence reprit ses droits tandis un court instant où nous semblions tous nous jauger l'un l'autre. Il était évident que la jeune femme cherchait à émettre une hypothèse, bonne ou mauvaise, sur ma présence en ces lieux alors que l'ignoble individu, quant à lui, cherchait un moyen de se débarrasser de ma présence au plus vite pour commettre ses basses œuvres. Mauvaise pioche. Je suis du genre persistante quand on touche à mes cordes sensibles, même à travers de purs inconnus. Le silence se brisa quand après un long jugement la demoiselle décida d'interroger l'intrus sur son identité et sa présence dans la salle de musique. Le principal intéressé répondit de suite avec une attitude écœurante, où se mêlait plaisir sadique et déviance totale.

- " Héhéhéhé... Qui suis-je ? Personne, je ne suis qu’une personne parmi tant d’autres ! Tu n’étais pas obligé de partir de la sorte à cause de toi tu as une vilaine blessure sur le visage ! »


Un frisson me parcourut l'échine. Pas un frisson de terreur ou de stress. Non la sensation qui m'emplissait était plus proche du dégoût. Tout en cet individu me dégoûtait, me donnant une profonde nausée cumulé avec une envie de le faire taire mais je me devais de me contenir. Me contenir malgré le parallèle atroce qui naissait en moi. Il continua son petit monologue tout en s'installant face à nous alors que je m'approchais doucement de la jeune fille, non sans garder mon regard rivé sur l'énergumène.

- " Haaa et toi tu n’a pas honte ? Me déranger dans un moment si intime ! Goujat vas ! Je ne faisais que profiter de ce corps qu’elle m’a offert en me tentant de la sorte ! Dos à la porte dans cette tenue, avec cette voix délicieuse et cette peau claire tu ne vas pas me faire croire qu’elle ne m’invitait pas à abuser d’elle dans tout les sens du terme ! Hahahaha »

Je dois admettre avoir eu de la difficulté à contenir mon envie de le faire taire sur ce coup. La seule chose qui me fit reculer était l'idée d'être séparée de Naomi si je devais retourner en Potion et je ne laisserais pas un mec aussi malfaisant faire. J'avais beau connaître quelques Forges, dont le copain de ma bien-aimée,celui-là même que je ne portais vraiment pas dans mon cœur, force était de reconnaître que je me trouvais devant un individu dont la valeur humaine était bien inférieure à "l'ami" Winston. Pfff.. si j'avais pensé un jour me dire ça. Désormais il fallait que je montre à l'agresseur que je n'étais nullement impressionné par lui, malgré son arme, malgré sa corpulence. Ce n'était en rien un mensonge. La célébrité avait du bon. Les cours d'auto-défense par exemple. Le fait d'avoir déjà revêtis son rôle sans pouvoir être stoppé par un homme de son âge et de sa corpulence en avait aussi. Je savais ainsi pertinemment que je pouvais au moins offrir sa victime une fenêtre de sortie.

-"Arrête ton petit numéro tu veux.. ça marche avec elle, pas avec moi.."

Je continuais de me dresser entre lui et l'inconnue, sur mes gardes. Le moment semblait suspendu comme si nous étions en apesanteur, de l'électricité parcourant l'air, alors que la moindre étincelle pouvait embraser la tension qui englobait la scène. Bon désormais je devais trouver une solution pour signaler l'incident sans pour autant laisser la jeune fille, seule. Nous pouvions prendre la fuite mais ça ne l'empêcherait pas de réessayer ultérieurement de s'en prendre à elle et il serait impossible de le prendre sur le fait. Pourtant... Je parcourais discrètement la pièce du regard afin de trouver le bouton d'alerte incendie afin d'être localisée par le système de sécurité. Je finis par le trouver mais ce dernier se trouvait près de l'entrée et il serait difficile de l'atteindre discrètement. J'allais devoir guetter l'occasion.



Revenir en haut Aller en bas
Anastasiya
Invité
Anonymous

Rp abandonné (tout public)
Lun 9 Oct - 22:28
Anastasiya






Ana is coming now





[...] la pratique sont deux choses distinctes.



- Héhéhéhé... Qui suis-je ? Personne, je ne suis qu’une personne parmi tant d’autres ! Tu n’étais pas obligé de partir de la sorte à cause de toi tu as une vilaine blessure sur le visage !


          Une seule remarque te vient à l'esprit après un moment de réflexion ; ton agresseur se place contre le mur à gauche de toi, tu as envie de répliquer mais rien n'arrive à sortir, ce bout de mot n'ose pas aller à l'extérieur, ça reste bloqué comme l'odeur d'une clope sur des vêtements. Tu l'entends soupirer, long, profond, haineux, dérangeant. Et bien sur, tu restes toujours aussi tétanisée, tu n'es que l'ombre de toi-même. Du coin de l’œil, tu observes la femme se rapprocher de toi doucement, ça te rassure un peu, enfin, pas réellement beaucoup parce que tu n'arrives toujours pas à juger de quel côté elle est ; lui toi les deux?.


- Haaa et toi tu n’as pas honte ? Me déranger dans un moment si intime ! Goujat va ! Je ne faisais que profiter de ce corps qu’elle m’a offert en me tentant de la sorte ! Dos à la porte dans cette tenue, avec cette voix délicieuse et cette peau claire tu ne vas pas me faire croire qu’elle ne m’invitait pas à abuser d’elle dans tout les sens du terme ! Hahahaha.


         Ton cœur imploserait presque de l'intérieur si l'image se mêlait à la réalité, tellement que tu frissonnes de nouveau, et vraiment pas de froid. Cette manière de s'exprimer à une personne, à toi notamment, est une façon surprenante. Tu ne savais pas que des élèves parlaient comme ceci. Combien de personnes font ça tous ou il est une exception mais pourquoi ça tombe sur toi?. Aucune idée là-dessus. Tu ne peux pas fermer les yeux par rapport à ce qu'il dit mais une très grande partie de toi te force à le faire, alors tu t'obéis sans broncher une seconde.


- Arrête ton petit numéro tu veux.. ça marche avec elle, pas avec moi..


         Elle s'est maintenant placé devant toi, la fille aux cheveux roses, presque aussi frêle que toi en un coup d’œil, mais tu ne connais toujours pas son nom. Arriveras-tu à l'apprendre un jour? Tu ne sais pas, puis est-ce que tu la recroiseras un jour? Surement pas. Simplement, provoquer ou se taire? Tu ne sais quoi dire, ni quoi faire à vrai dire comme toutes situations où tu t'es trouvée. Tu es comme un pot de fleur, magnifique pot de fleur inutile et insignifiant. Est-ce qu'un jour tu changeras? Surement. En bien? En mal? Tu ne sais pas toi-même. Plus forte? Moins forte? Peut-être. Ce dont tu es sure c'est qu'aujourd'hui, à cet instant, à ce moment précis, maintenant, tu es inutile dans leur discussion. Tu es le sujet principale, oui, le sujet ou le problème de cette énervement? D'après lui, ou d'après elle? Qu'est-ce que tu es ici?

         Penses-tu que tu pourrais partir et qu'ils ne remarqueraient peut-être pas ton absence? Non, surement pas. Pourquoi? Tu es l'objet de cet affrontement entre ses deux inconnus à tes yeux et/ou aux leurs. Pour lui l'objet de son désire, et elle l'objet de son objection. Que peux-tu faire face à tant d'animosité animé entre deux êtres? Rien. Tu n'es pas assez forte, assez puissante, assez courageuse pour te dresser entre eux. Serais-tu capable de la défendre comme elle le fait dans une autre situation? Pas vraiment, tu ne crois pas. Serais-tu capable de la défendre maintenant entre lui et elle? Peut-être par obligation.

         Tu peux le voir, chacun d'eux ont une haine indescriptible pour leur propre raison ; l'homme de s'être fait déranger, et la femme de vouloir te défendre sans que tu n'y connaisses la raison mais probablement une réelle. Ton regard passe entre l'un et l'autre, tu sors un mouchoir de ta poche et le pose contre ta joue, tu ne veux pas tâcher ta robe, ce serait trop horrible pour toi. Tu as beau être calme ou gentille, ton aspect physique compte un minimum et une tâche de ce genre sur du nacré serait difficile à enlever et tu te devras de ne plus la porter. Tu le mets sous tes yeux, la panique, ce liquide rouge sortant de toi ; tu ne sais pas à quoi tu ressembles et tu n'as pas vraiment envie de le savoir, ni ce à quoi cette blessure reflète sur ton apparence.

- Pourquoi autant de haine dans de simples personnes?

C'est la seule question qui te vient à l'esprit. C'est vrai quoi, tu ne comprends pas pourquoi il y a tant de haine, de déviance dans chacun d'eux. Lui, c'est son problème assez voyant de trouble du comportement, et elle dans sa manière simple d'être.


© Jawilsia sur Never Utopia
Revenir en haut Aller en bas
Krasarc
Invité
Anonymous

Rp abandonné (tout public)
Mer 11 Oct - 15:28
Krasarc
Krasarc Orzeïn
Ancien membre
Ta situation devenait de plus en plus désespérée, tu cachais ta panique grandissante derrière un masque pour ne pas que les deux femmes en profitent, en effet comment t’en sortir sans que cet incident ne soit de répercussion ? Même si tu prenais la fuite maintenant que la voie est libre il ne fait aucun doute que ses deux femmes racontent tout aux surveillants et un tel événement allait t’apporter une sanction assez importante, tu risquais surement l’isolement et rien que l’idée de ne pas pouvoir assouvir tes désirs plus longtemps te rendait fou.
Cette petite garce qui était la source de ta situation semblait moins idiote que sa partenaire, en effet elle ne tombait pas dans le piège si facilement ce qui te fit grommeler intérieurement !

Soudainement tu réalisas quelque chose qui te fit sourire de satisfaction, certes tu étais complètement bloquer et cette situation risquait de s’empirer au fur et à mesure, néanmoins en prenant du recule tu réalisais que la situation était bien pire pour ces deux jeunes femmes ! Actuellement elles étaient seules et non armées face a toi qui l’était et de plus le met de choix semblait encore terrorisée, pourquoi tenter de fuir quand on peut exterminé la menace ? Les propos du met de choix te fit ricaner tellement sa vision des choses était stupide

— " De la haine ? Hahaha... pauvre sac de viande sur patte ! Je n’ai aucune haine envers des produits consommables ! Vous n’êtes que des sachets de nourriture bon qu’a se faire ouvrir et déguster en quoi je devrais avoir de la haine pour ce que vous êtes ? Je suis simplement agacée parce qu’un cafard rose a débarqué sur mon plat de luxe ! Et je compte bien écraser ce sal*PE qui me prive d’une si bonne nourriture ! »

Tu avais repris le contrôle de la situation, pour t’en sortir il ne te suffisait que de tuer cette fille au cheveu rose puis de vider cette délicate créature de tout son sang ! Il te resterait alors qu’a caché leurs corps dans le Piano et de laver leurs traces ! Rien de compliquer n’est-ce pas ? Tu avais déjà tué une fois et cette sensation rendait le sang encore meilleur !
Tu te rapprochas désormais de l’intruse en guettant ses gestes, tu n’étais pas stupide au point de lui foncer dessus, cela serait trop prévisible, au contraire il filait la déconcentrer, lui faire commettre l’erreur fatidique ! Cette situation faisait battre ton cœur d’excitation, un duel psychologique avait commencé et tu cherchais comment la terrasser, tu avais l’avantage du muscle et de l’expérience, ainsi vu que la peur ne marchait pas sur elle tu tentas de la provoquer pour que ce soit elle qui te fonce dessus.

— " Tu sembles particulièrement engagée dans ta cause... n’importe qui aurait fermé les yeux par instinct de survie, mais toi... tu risques ta vie pour cette délicieuse créature ? Serait-ce une affaire personnelle ? Le petit cafard a déjà vécu cette situation, mais la lâcheté l’empêcher d’agir ? Ah, je sais... tout est de ta faute !! »

Tu arborais un sourire de plaisir et ton regard se faisait perçant alors que tu chercher a toucher une corde sensible
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous

Rp abandonné (tout public)
Ven 13 Oct - 13:26
Invité
Melody Williams
Ancien membre
Je ne pensais pas être accompagnée
Regard noir et menace

La situation n'avait pas bougé d'un iota. Ni ma tentative ouvertement provocatrice de le faire revoir sa décision et décamper, ni l'intervention de la voix frêle de ma camarade d'infortune ne sembler raisonner ce jeune homme. Au contraire, il semblait de plus en plus évident que l'individu prenait conscience de son avantage, du moins de l'avantage évident qu'il pensait avoir mais autant ne pas abattre mes cartes de suite. Certes, je pouvais ainsi le troubler et profiter de l'ouverture pour atteindre l'alarme et en quelques secondes je serais en position de force mais ça risquait aussi de le rendre plus méfiant quant à mes gestes. Bon, premièrement il fallait m'assurer que ma protégée ne fasse rien de stupide et pour cela, je devais la rassurer. J'entrepris de le faire en lui murmurant quelques mots sans lâcher l'assaillant des yeux.

-"Ne t'en fais pas, il ne te fera rien.. s'il en vient à nous attaquer, cours prévenir un adulte, ne t'en fais pas pour moi.."

A quoi bon après tout. C'était une jolie mort en soit. Honorifique. Qui rachèterait même mes fautes. je crois que même Jack aurait un mot gratifiant à mon service, voire même Katie. Ah non... C'est vrai... Je souriais légèrement, autant pour laisser transparaître une assurance que je n'avais pas forcément mais aussi parce que je trouvais ma plaisanterie hilarante. Il faudra que je la fasse à Naomi tiens, enfin si je m'en sors. Mes pensées furent cependant interrompues par mon adversaire qui tentait vraisemblablement de me provoquer.

- " Tu sembles particulièrement engagée dans ta cause... n’importe qui aurait fermé les yeux par instinct de survie, mais toi... tu risques ta vie pour cette délicieuse créature ? Serait-ce une affaire personnelle ? Le petit cafard a déjà vécu cette situation, mais la lâcheté l’empêcher d’agir ? Ah, je sais... tout est de ta faute !! »

Je ne savais comment réagir. Réagir au quart de tour n'aurait fait que lui laisser une ouverture franche vers la demoiselle et sur mes flancs. Je pouvais encaisser un coup de "couteau" sans trop broncher mais je préférais éviter d'en arriver là ; de plus; je n'avais pas envie de me jeter corps et âme. J'étais un peu plus hilare encore au fond. Certes, je ne pouvais nier que les propos cinglants réveillaient en moi des sentiments enfouis que j'aurais préféré ne plus jamais ressentir mais le bougre se trompait sur trois points. Je n'agissais pas par catharsis, je n'essayais pas de rattraper les années à me taire sous les railleries et les blagues de très mauvais goût, et encore moins pour me substituer à ceux qui ont décidé de faire preuve de lâcheté en fermant les yeux ou en suivant par pure peur de subir le même sort, par cruauté ou tout autre raison indéfendables. La lâcheté n'était pas la cause de mon silence mais justement le recul, la diplomatie. A quoi bon lancer de l'essence sur un feu quand il sous-alimente mis à part prendre des retours de flamme? Dernier point : J'étais bien la fautive , du moins je m'en étais convaincue mais ça ne changeait rien, ça n'éveillait plus rien. Du moins pas ma rage. Du moins pas sur ce sujet. J'avais commis une faute bien plus impactante qui m'avait fait réfléchir à ce fameux soir, aujourd'hui ça ne représentait plus rien.

Mais... Je ne pouvais vraisemblablement pas laisser passer. Je ne pouvais pas laisser passer cette attitude destructrice. Je levais le regard vers le sien, le foudroyant du regard comme pour le dissuader de faire un pas de plus avant de lui répondre avec calme, même si j'avais l'impression qu'il émanait de moi un certaine aura priant quiconque d'éviter de me vexer en cet instant.

-"Si tu continues d'avancer, ça sera ta faute..."





Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé

Rp abandonné (tout public)
Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
Page 1 sur 1
Sujets similaires
-
» [2017] Je pensais être seule
» [2017] Etre à la campagne en ville
» Etre psy c'est...[Ian]
» Tu veux étre mon ami? :p (Alastaireuh)
» Qui veut être sauvé ?

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Institution Indarë :: Hors-jeu :: Archives :: Rps abandonnés-
Sauter vers: