Krasarc Orzeïn

Krasarc préfère oublier son enfance tourmentée, enfance qui a grandement participé a l’apparition de ses problèmes mentaux avec la présence d'un père alcoolique sans emploie et une mère putain faisant preuve de sadisme sur Krasarc quand elle rentrait de son "travail", il a arrêté l’école rapidement et a erré dans les rues telles un vagabond dés l’âge de 15 ans, a cette époque il ressentait déjà se plaisir malsain lié au sang et des petites voix lui murmurais de laisser ses envies se libérer, de nombreuses marques de coupure étaient visible sur son corps, blessure qu’il s’infligeait pour consommer son propre sang jusqu’à ce qu’un jour il s’évanouisse dans la rue d’une crise d’anémie.
Heureusement pour lui ce fut un médecin qui le trouva et qui le soigna dans son cabinet.

Les deux hommes s’entendaient bien et prenant conscience de la situation de l’adolescent, le Médecin le pris sous son aile quelques années, Krasarc ne dévoila jamais son problème a ce Médecin, ses envies empiraient de jour en jour, après s’être mutilé pour boire son sang il commença a boire celui d’animaux divers et varié, puis ce fut celui des humains qui lui donnait envie et c’est pourquoi il volait des poches de sang dans le cabinet du médecin. À l’âge de 17 ans ses envies empiraient de plus en plus au point de commettre l’irréparable, il voulait gouter le sang chaud d’un humain et malgré la gentillesse du médecin il l’égorgea en pleine nuit sans aucun remord pour boire a même la source.

La police le découvrit quelques jours plus tard, encore au chevet du Médecin ayant but jusque-là dernière gouté de son sang qui lui avait procuré l’extase. N’étant pas majeur et un examen psychologique montrant la présence de beaucoup de problèmes mentaux, il fut proposer de l’envoyer a l’Institution Indarë pour suivre le programme Forge Le Psychiatre révéla que durant ça discutions avec Krasarc il lui avait demander pourquoi il avait tué son protecteur, a cette question il répondit « J’avais faim... le sang me rend si fort, si intelligent et si bien... je n’avais pas besoin de lui demander il se serait sacrifié pour mon bien-être »