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Famille : Des parents, Andrew et Amane Stevens, un frère, Loan Stevens, et une fille, Mia.
Situation amoureuse : En couple avec Cordelia Calvelli
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Dim 2 Fév - 17:32
Ian Stevens
Le calme après la tempête ?▬ Event
18h34 et un grand bruit s’était fait entendre, inquiétant le psychologue. À ce moment-là, le chargé de la sécurité observe en direction de l’auditorium sans dire un mot. Ian regard à son tour et remarque les lumières éteintes. Ça aurait sauté ? Si c’est le cas, c’est une bonne nouvelle. Plus de risque de se faire électrocuter. Il va pour demander ce qu’ils devraient faire à l’androgyne mais Cordelia le coupe, pour lui demander de l’aide, qu’il ne se gêne pas de faire. Il la suit, l’esprit toujours un peu tourné vers l’auditorium est ce qu’il s’y est passé.
Ils arrivent dans la salle de rangement et Cordelia lui explique qu’elle voudrait utiliser les tapis de sol pour donner un peu plus de confort aux élèves, ainsi que boucher les interstices pour empêcher l’eau de rentrer. Ian sourit à ses idées. Pour le confort, c’est une excellente idée. Ils pourraient peut-être aussi trouver de quoi les occuper et faire passer le temps plus vite. Pour l’eau, ils vont devoir attendre un peu. L’agent de sécurité surveille et ils ne peuvent pas fermer la porte s’il le fait.
Ils se mettent alors à sortir les tapis de sol dans le gymnase, indiquant aux élèves de prendre leurs aises et de s’installer confortablement. Et ils n’hésitent pas à le faire, faisant sourire l’anglo-japonais. L’agent de sécurité se met à hurler qu’il va casser la gueule à l’ouragan et Ian hausse un sourcil, amusé. Il dit aux élèves de rester là et de ne pas bouger et il comprend qu’il a l’intention de s’aventurer dans l’auditorium. Très bien, ils devront attendre pour s’occuper de l’eau qui monte. Il sourit en coin puis retourne dans la pièce.
▬ Dis, tu crois qu'on pourrait l'utiliser ? Ça pourrait être pas mal en guise d'échelle de secours au cas où.
Il n’a pas le temps de dire qu’il n’est pas certain de son idée qu’elle est déjà en train de tout retirer des étagères. Elle lui lance un petit air charmeur et Ian lève les yeux au ciel, amusé. Elle n’est pas possible. L’italienne lui demande de l’aider et il rigole avant de s’approcher pour s’exécuter. Elle a l’air sûre d’elle, et puis il y a quelques objets qui sont plutôt lourds alors, autant lui épargner cet effort-là.
Ils s’activent à vider l’étagère et Ian ne remarque pas tout de suite qu’elle penche dangereusement. C’est quand Cordelia lui dit de faire attention qu’il se tourne pour se prendre l’étagère et les objets dans la tête. L’étagère tombe, l’emportant dans sa chute et Ian s’écroule, inconscient, le front commençant à saigner.
À partir de 18h47, je ne sais pas ce qu'il s'est passé à côté. Je sais juste que Velvet a commencé à se sentir mal. C'est même pour cela que je lui ai donné ce qu'elle avait demandé. J'ai aussi entendu l'agent de sécurité qui a gueulé vers 18h50. Et puis c'est le trou noir. Lorsque je rouvre les yeux, il doit être 18h54 et je suis coincée sous une étagère, ensevelie par les quelques affaires qu'on devait enlever, et aux côtés de Ian. Je jette un oeil vers celui-ci et grimace en le voyant inconscient. Merde. Je voulais juste qu'il m'aide à la déplacer, je ne voulais pas le blesser.
- Ian...
L'une de mes mains vient le pousser doucement pour essayer de le faire réagir mais rien. Il ne bouge pas. Plus grave encore, il saigne. Je sais que les saignements à la tête sont souvent impressionnants même pour une mini blessure mais là, je ne crois pas que ce soit léger.
- Ian... Réveille-toi, je t'en supplie...
Montre-moi ne serait-ce qu'un signe que ton état n'est pas aussi grave que je ne l'imagine... Dis-moi que ça va. Que ton saignement de crâne n'est pas aussi important qu'il n'y paraît. Que tu n'as rien de grave. Ouvre au moins les yeux bordel ! Ne parvenant pas à me dégager, je me vois obligée d'appeler du secours. J'espère au moins qu'ils entendront mon appel malgré le bruit provoqué par la tempête. Normalement un appel au secours s'entend facilement malgré le tonnerre. Surtout à l'intérieur.
En attendant que quelqu'un se pointe – ou non – je tente encore de réveiller le psychologue. Echec cuisant. Ca commence à m'inquiéter de plus en plus. J'essaie de m'approcher un maximum de lui mais je ne parviens pas à être aussi proche que je l'aurais voulu. J'ai pu me rapprocher de deux ou trois centimètres tout au plus. C'est pas assez à mon goût. Je me contente donc de lui caresser la joue et de lui parler dans l'espoir que ça le fasse réagir.
- Ouvre les yeux, je t'en prie... Je tiens trop à toi, t'as pas le droit de me laisser tomber maintenant. J'aime quand tu me rends folle mais pas de cette manière. Pas folle d'inquiétude. Alors rouvre ces putains de beaux yeux que tu possèdes.
Flatter son égo l'aidera peut-être à se motiver. Enfin... Je ne flatte son égo qu'avec ma dernière parole. Le reste est plus un avoeu. J'ai tellement peur de le perdre que j'ai ressenti le besoin de lui dire ce qui me travaille depuis des mois. Il est 19h05.
Ⓒ Fiche par Ethylen sur Libre Graph'
Velvet Ellusia
IRS |:| Quatrième année
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Orientation sexuelle : Hétéro jusqu'à preuve du contraire
19h00. J'avais besoin de me calmer. D'écrire. De contrôler mes émotions. Si seulement il me suffisait d'une pilule pour les remettre en ordre, mais non. Il me fallait du calme, et on n'était clairement pas dans la bonne situation pour ça. Je pris d'une main tremblante le stylo que me tendait la prof d'italien et je commençais à écrire. Tout ce qui me passait par la tête. Des paroles de chansons, des descriptions de ce qui se passait autour de nous, n'importe quoi. Mais ça ne marchait pas. Je n'arrivai pas à contrôler l'impulsion qui me poussait à aller voir ce qui se passait de l'autre côté. Personne ne me surveillait. Personne ne me regardait. Je reposai le carnet à côté de moi avant de me lever. Non, il fallait que je sache ce qui était arrivé. Peut-être que je pourrais la sauver ? Comme ça je serai l'héroïne du jour. Après tout, ce n'est qu'un peu d'eau et d'électricité, ça ne doit pas faire bien mal. Allez.
Je m'éloignai du reste du groupe pendant que les profs allaient faire je ne sais quoi dans une autre pièce. Enfin, c'était le psy et la prof d'italien, ils avaient l'air de beaucoup s'apprécier et ils avaient tous les deux une petite réputation dans l'école donc j'avais bien une petite idée, mais je n'avais pas envie d'imaginer plus loin. Un des surveillants était aussi parti vers les loges. Il venait de menacer les gens qui le suivraient mais je savais qu'il ne ferait rien : les surveillants n'avaient pas le droit de blesser les élèves. J'étais intouchable. Mais mieux valait quand même être discrète, hein ? J'avais un plan.Je récupérait le stylo qu'on m'avait donné et je le dévissait, jusqu'à n'avoir plus que le tube. Si je gérais bien, je pourrais ne respirer qu'à travers ce tube, et comme ça j'irai en nageant et personne ne me repérerait. C'était pas mal, hein ?
Le surveillant glissa. Trois fois. J'attendis qu'il disparaisse pour me faufiler à sa suite et m'enfoncer sous l'eau, avec mon stylo en guise de tuba. Ah, j'étais trop intelligente pour cette école. Je nageai jusqu'à l'auditorium, ne sortant qu'une partie de ma tête de l'eau pour essayer de voir ce qu'il s'y passait. Il y avait une fille, elle avait l'air évanouie. Heureusement pour elle, par un genre de miracle, son visage était hors de l'eau et elle ne s'était pas noyée pendant qu'on se réfugiait dans le gymnase. Ou alors peut-être que c'était fait exprès ? Qu'on voulait nous faire croire qu'on pouvait s'en sortir, mais qu'on mourrait tous à la fin ? Ce n'était peut-être pas un ouragan, peut-être que tout ça n'était qu'une machination pour tuer les éléments les plus défectueux de l'IRS en leur faisant croire qu'ils étaient en sécurité.
Et si quelqu'un avait entraîné ces deux filles à l'extérieur ? Les deux qui avaient décidé de s'en aller, peut-être que quelqu'un les avait appelées ? Et les profs qui s'étaient éloignées essayaient peut-être de prévoir la suite du plan ? Je regardai mon stylo. J'avais peut-être fait une erreur en respirant dedans. Si ça se trouve, il était empoisonné. C'était un prof qui me l'avaient donné, et ils étaient tous de mèches. Même ce surveillant qui avait menacé ceux qui le suivaient. C'était un test, forcément. Il avait dit ça pour voir qui essaierait et pour pouvoir les noyer sans représailles en disant qu'ils étaient morts à cause de l'ouragan. Est-ce que j'étais un élément défectueux ? Non, j'étais meilleure qu'eux, j'avais deviné leur plan, personne ne m'aurait. Je survivrai à leur faux ouragan et, demain, j'irai tout raconter à la télé. Comment on nous avait manipulés en transformant la météo. Et ils finiraient tous hués ou emprisonnés. Ha ! Ça leur apprendrait à vouloir nous tuer.
Le surveillant ferait sûrement bientôt demi-tour en emportant la fille avec elle. Dans le doute, je me cachai dans une loge en collant la tête contre la porte pour entendre quand il retournerait au gymnase. Et après ? Après je trouverai un moyen d'échapper à leur complot. Peut-être que rester dans la loge serait une solution suffisante ? Après tout, personne ne viendrait me chercher ici. Je regardai l'heure. 19h20. Combien de temps durerait leur fausse tempête ?
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Mar 4 Fév - 21:11
Ian Stevens
Le calme après la tempête ?▬ Event
Mon front me fait mal… Mes membres sont lourds. Et je suis dans le noir complet. Il se passe quoi ? J’essaie de bouger mais rien ne répond. Mon corps reste immobile et mes paupières fermées. J’essaie de me souvenir de ce qu’il s’est passé mais mon esprit est embrouillé. Je sais juste que j’ai mal un peu partout, que mes membres sont lourds et que j’ai un peu de mal à respirer. Je me détends, me laisse aller pour me reposer un peu, quand j’entends une voix. Une voix claire qui m’appelle.
▬ Ian… Ian… Réveille-toi, je t’en supplie…
C’est… Cordelia ? J’essaie de me réveiller, d’ouvrir les yeux. Mais toujours rien ne répond. Mes paupières sont lourdes. J’ai dû me frapper la tête plutôt fort… Au moins, je l’entends. Tous mes sens ne sont pas perturbés. Je me bats un peu plus contre mon état de malaise, mais il n’y a rien à faire. Mon corps veut se reposer, et il est plutôt clair. Je n’ai jamais rien vécu de tel mais je pense comprendre… Trop de travail ? Trop de stress ? Mais quel stress ?
L’ouragan.
Ah oui… C’est vrai. C’est beaucoup de pression sur les épaules… Il faut sauver les enfants, les rassurer, Cordelia qui a peur, le danger imminent, l’élève dans l’auditorium… Mon corps a lâché…bien sûr. Alors je décide de m’écouter. Pour cette fois, j’écoute mon corps, je le laisse me guider dans mes décisions, je le laisse se reposer, de prendre le temps de reprendre conscience de lui-même, me contentant d’écouter autour de moi.
▬ Ouvre les yeux, je t'en prie... Je tiens trop à toi, t'as pas le droit de me laisser tomber maintenant. J'aime quand tu me rends folle mais pas de cette manière. Pas folle d'inquiétude. Alors rouvre ces putains de beaux yeux que tu possèdes.
Si je pouvais contrôler mon corps, un sourire serait sûrement apparu sur mon visage. Cette femme…est adorable… J’aimerais pouvoir lui obéir. J’aimerais lui faire plaisir. La prendre dans mes bras pour la rassurer. Mais mon corps ne me répond toujours pas. Je tiens aussi à elle. Beaucoup plus que je ne le voudrais vraiment. Ça m’a longtemps perturbé. Mais avec toute cette histoire… je crois que je ne peux plus me voiler la face. Sois patiente Cordelia…
Pas après pas; rien de rassurant. Le noir complet - pas un brin de lumière dans ces allées. Si d'une certaine manière c'était une bonne nouvelle car cela ne signifiait pas de soudains coups de jus... autant dire que cette atmosphère aurait filé une demi-molle à un amateur de films d'horreurs. Même si "rassurant" ne signifie pas grand chose lorsqu'on parle d'Alice. La peur est un truc qu'il ne comprends pas suffisamment bien pour sa propre survie, parfois - et au final, ça lui permettait d'avancer sans la moindre hésitation. Tout ce qu'il pouvait entendre était le bruit de l'eau perturbée par le rythme de ses pas; et les violentes réprimandes de la tempête heurtant les parois du building. Il s'y était déjà complètement préparé, psychologiquement : ce qui l'attendait au bout de ce détour, était un cadavre. Quiconque survivrait à une chose pareille aurait le luxe de s'appeler "Miraculé".
- ...
Mais suffisamment de temps dans les forces de police vous apprend que l'espoir est une chose qui se dissipe au son d'un claquement de doigts. Les premières lumières grisâtres émanant des fenêtres pulvérisées de l'auditorium, amenèrent un semblant de clarté dans les loges. Il pouvait maintenant voir sa destination, et également les débris qui s'accumulaient autour de lui. Des morceaux d'instruments, des bouts de planches arrachées, des câbles.. Une véritable soupe de mauvais-goût s'accumulait dans cette gouttière. Mais avec la perception de l'auditorium, vinrent également les marches qui l'y mènent - et cet obstacle le rendait bien plus sceptique que la traversée funèbre. ça ne faisait pas une ou deux mais bien trois fois qu'il se vautrait comme un tas de viande sur ces prédateurs terrestres - mais pas cette fois! Car il pouvait voir la sortie, et parce qu'il n'eut pas oublié l'existence des barres de métal qui lui permettent de s'y tenir - On monte les escaliers baby-----
- FUUUUUUUU---
Et un énième plouf. Personne ne l'a prévenu qu'il est de coutume pour les rambardes de simplement lâcher comme ça d'un seul coup. La différence soudaine d'équilibre lui permis de renforcer sa haine pour ces créations architecturales, et par la même occasion réaliser que le toit de l'Auditorium était pour ainsi dire.... une passoire, à ce point. Ses cheveux volaient dans tout les sens, comme manipulés par des ficelles invisibles tirées par une divinité démente. Il put réaliser le degré de la violence du phénomène. Lorsque les gouttes frappaient le sol de bois; elles émettaient le son d'un violent claquement. Quiconque se trouvait en dessous allait sévèrement douiller... et ce quelqu'un, ça allait être lui. Et alors qu'il finis par grimper les escaliers à quatre-pattes; Le petit agent de sécurité fis enfin surface.
Ce qui se trouvait devant lui était ce qu'on pourrait qualifier d'une scène apocalyptique. L'auditorium, si beau à sa première visite, était maintenant comparable en maintenance à un squat de junkies qui aurait été attaqué à la bombe. Les câbles qui pendaient du plafond plus tôt, étaient maintenant étalés dans la flotte, parfois écrasés par des morceaux de toiture.
Le cadavre - s'il le trouvait, pour commencer, allait être dans un état abominable. Il se mordait la lèvre inférieure avec un semblant d'anxiété - pas de peur. Comment allait-il ramener le ou la gamine, s'il ou elle s'avérait d'être mi-humain(e) mi-bouillie?
Une pensée négative qui fut balayée de sa tête à la seconde où il sentit la douce caresse des rafales d'eau glaciale, pissée par Poséidon, alcoolique et enragé, sur sa nuque. ça lui avait fait pousser un petit cri aigu, typiquement féminin, mais rien qui le ferait piquer une cinquième tête. Même s'il n'y avait personne pour entendre son exclamation de jouvencelle, il se sentit suffisamment insulté par l'univers lui-même pour se ressaisir et reprendre la course d'un pas décidé et de sourcils froncés. Une énième bourrasque perturba sa balance et il se retrouva adossé à l'un des piliers porteurs de la salle; avec une vue pleine sur la mixture défoncée d'instruments de musiques pulvérisés. Oh, non, ils n'étaient pas au milieu de la pièce auparavant - ils étaient plus vers le fond; mais il semblerait que le gros trou dans le plafond ai quelque chose à voir avec leur soudaine décision de déménager en milieu de la salle. Et en parlant d'équipement de haute-qualité - Un corps humain, intact, juste un peu pâle et mouillé----
- ...Ah?
Le travail lui avait appris à être défaitiste par défaut; mais peut-être avait-il un peu trop accéléré sa conclusion que quiconque serait dans cette pièce était à souscrire au crématoire : Il y avait une gamine écroulée entre la pile de cuivre bousillé que constituait le gros piano, et un tuba tordu. Cette gamine était assez chanceuse - le toit du piano lui avait gardé la tête hors des débris... c'était comme si le monde lui-même lui avait créer une petite maison, avec ces instruments détruits.
- Bordel de merde je hais ces gosses.
Après la veste - c'est le shirt, qui s'en va. Avant de donner à l'élève inconsciente un piggyback-ride vers le gymnase pour rejoindre les autres; Elle allait devenir propriétaire de sa chemise haute-qualité offerte par Bogard. Oui, une magnifique chemise blanche complètement indistinguable d'une chemise blanche bas-prix qui a totalement-pas été achetée dans une brocante.
Et maintenant---Alice devait apprendre à shamaniser son Hideo-Kojima interne. Car le cargo est déjà à moitié mort, et le porteur n'est pas exactement ce qu'on pourrait appeler un déménageur. Y'avait aussi pas de fétus-de-sécurité accroché à sa ceinture pour lui assurer qu'il reviendrait marcher sur deux pattes si sa nuque venait à malencontreusement être endommagée par une poutre qui tombe du plafond - en gros, doucement mais pas trop.
Un premier pas, et les choses tournent déjà au vinaigre : les coups de fouet du ciel se déchaînent sur lui et battent son corps sans pitié. à chaque fois qu'il frémis, il sent sa force l'abandonner, et la gamine glisser de quelques centimètres le long de son dos. Mais il n'avait pas le choix : continuer est la seule option. Alors il fit deux autres pas, quatre, cinq, huit, dix.. puis le plancher décides de lui jouer un mauvais tour. Son poid additionné à celui de la gamine était de trop, pour les planches meurtries par les morceaux de fer tombés du plafond. Alors son pied s'enfonça à l'intérieur du creux, et la plante de son pied droit, percée par un morceau, à travers sa chaussure. Il étouffa un hurlement de souffrance du mieux qu'il put.. et il conserva sa balance. Alors-même que les goûtes de sang se mêlaient à l'eau grisâtre, le petit agent de sécurité poursuivait vers la sortie. Chacun de ses pas annonçait un nouvel état de destruction pour l'auditorium - tout le temps un nouveau bruit macabre, accompagnait les ravages du temps. Jusqu'à ce qu'éventuellement, l'endroit-même duquel il avait cueillis la gamine, se vit éclaté en morceaux par un projecteur tombé du plafond.
Une minute de retard. Une seule minute était tout ce qui séparait la vie et la mort de cette gamine. Un miracle, pour sûr; mais pas encore tirés d'affaire.
Parce que la chaussure percée était l'amorce de la sixième galipette non-consentante de l'agent de sécurité qui retrouvas son élément naturel dans les escaliers, genou défoncé contre une marche et plaie à la tempe ré-ouverte. Il demeura dans cette position quelques secondes avant de se relever agacé. C'était un miracle qu'il n'avait pas envoyé la gamine biser le mur dans la panique - sa détermination était imperturbable.
- Glgglglblbglbl---
Sûrement une insulte envers dame-nature; mais comme ce texte ne comporte pas de traduction directe vers le langage des poissons; personne ne saura ce que ça signifiait. Ho-Hisse, le plus dur était fait - plus qu'à rentrer à la base; en espérant que des adultes un peu plus compétents pourrons s'occuper d'elle.
Mais sur sa voie du retour, Le doute, n'était plus quelque chose qui pesait sur sa conscience. Bien que faible, il pouvait sentir le souffle de la gamine sur son cou. Une dure journée pour elle, mais probablement pas la dernière de sa vie.
Triomphant, mouillé, à moitié à-poil et plein d'hématomes et de coupures; Le nabot aux cheveux noisette arrive de nouveau dans le gymnase, ramenant avec lui l'élève disparue.
- Récupéré le dernier élève! venez vous occu---erh...ah...aaah....
Et il s'attendait à un as d'acclamations pour son act héroïque, un buffet chaud et des richesses à n'en plus compter!---- mais à la place, son pied céda, et pour une énième fois, son visage embrassa le parquet.
19h30, est le temps affiché par l'horloge du gymnase.
18:51
Martel Vint Svent
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Jeu 6 Fév - 15:40
Martel Vint Svent
18h45. Ian s'évanouit suit à la chute d'une étagère 19h05. Velvet perd le contrôle de son trouble bipolaire et quitte le gymnase 19h20. Velvet se cache dans une des loges inondées, Alice se blesse au pied en traversant les planches de l'estrade 19h30. Alice ramène Moka inconsciente dans le gymnase Alice se retire de l'event.
Événement : aléatoire 19h30. Alors qu'elle essaye de réveiller Ian, Cordelia se prend un objet sur la tête.
Événement : malus (non-respect des règles de l'event) 19h35. Toujours sonné, Ian semble avoir des difficultés à respirer.
Personnages inclus dans ce sujet (pour l'instant) Chelsea Refrain Cordelia Calelli Elizabeth Callahan Ian Stevens Jean Carlton Velvet Ellusia
Ce tour couvre la période de 19h30 à 20h. Vous avez 7 jours pour faire autant de posts que vous le souhaitez durant cette période horaire. N'oubliez pas d'indiquer l'heure de début et de fin de chacun de vos posts. Il n'y a pas de maximum de mots, mais le minimum de 230 s'applique toujours. Vous pouvez changer de zone en cours de tour. Toutes les informations relatives au tour sont disponibles ici.
Cordelia Calvelli
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Il est plus de 19h. Je crois qu'il est même 19h20. Et il n'y a toujours personne qui s'est pointé. La tempête doit faire plus de bruit que je ne l'imaginais ou alors ils sont tous sourds comme des pots. Ca fait plus de vingts minutes, même trente minutes que j'ai appelé et que le psy et moi-même sommes à la merci de l'étagère qui nous écrase. Ian ne se réveille toujours pas, son état m'inquiète vraiment. Je continue de lui parler et de lui caresser la joue dans l'espoir d'obtenir la moindre petite réaction jusqu'à 19h30. À partir de là, il n'y a plus rien de ma part. Un objet me tombe sur la tête et m'assomme. Je n'ai pas eu le temps de voir ce que c'était. J'ai juste eu le temps de sentir la douleur provoquée durant quelques micros secondes avant de partir dans les vapes.
Durant quelques minutes, je ne suis plus consciente de rien. Lorsque je reprends connaissance, il doit être 19h45. Une douleur me lance à la tête à l'endroit même où l'objet m'a percutée. Lorsque je touche un peu ma tête, je sens un liquide. Un regard sur mes doigts me fait comprendre que ce qui m'est tombée dessus m'a non seulement assommée mais aussi légèrement ouvert le crâne. Peu importe. Ca n'a pas l'air d'être une grosse plaie. Un petit tour à l'infirmerie ou à la pharmacie juste pour désinfecter et ça sera réglé. Ca me laissera aussi une ou deux bosse tout au plus. L'avantage aussi c'est que j'ai le droit à une petite teinture de cheveux gratuite et 100% naturelle.
Mon attention se reporte bien vite sur le psychologue. Est-il encore sonné ? S'est-il enfin réveillé ? Oui ! Il a ouvert les yeux ! Sa respiration ne semble toutefois pas être aussi bonne qu'avant mais au moins il est conscient. C'est plus ou moins rassurant. Je reste tout de même très inquiète pour lui à cause de sa respiration qui n'est pas la même que tout à l'heure. Qu'est-ce qu'il s'est passé durant ma courte perte de conscience ? Ma main attrape celle de mon collègue et la serre doucement.
- T'as enfin ouvert les yeux. Ca va ? Pas trop de douleurs ? T'as du mal à respirer ?
Comment dire... Oui je m'inquiète beaucoup plus pour lui que pour moi. Mon corps est toujours écrasé et je pourrais avoir une jambe cassée ou une cheville foulée, ou n'importe quoi d'autre. Je m'en ficherais. Ce qui m'importe c'est Ian. Il est prioritaire sur ma santé. En fait, tout le monde est prioritaire sur ma propre santé. Sauf l'enfoiré qui me sert d'ex petit-ami. Lui il passe en dernier. Le seul moment où il est prioritaire, c'est quand je lui prépare une saloperie et qu'il va souffrir. Mais Ian est dans la catégorie prioritaire en soins. Je ne veux pas le perdre. Je ne veux pas qu'il souffre. Alors même si je dois traîner la jambe et galérer pour l'amener à l'hôpital, je le ferai. Il est 19h50 lorsque j'observe plus attentivement tout autour de nous à la recherche du moins truc qui nous aiderait à nous en sortir.
Commentaires/Citations : Forget your dreams, do what you're told
Dim 9 Fév - 11:39
Chelsea Refrain
12 nov. 2019
L'ouragan
Rp général
19h30. Cela faisait déjà presque une heure et demi. Sa cheville lui faisait moins mal, mais elle savait que ce n'était qu'une illusion : la dernière fois qu'elle avait eu aussi mal, c'était avant de venir en Angleterre, quand son père avait appuyé sur sa jambe de toutes ses forces. Était-elle cassée ? Peut-être. Au moins, si c'était le cas, elle pourrait faire regarder sa blessure et savoir à quel points son père était monstrueux.
Son courant de penser ne l'aidait pas vraiment à se rassurer. Recroquevillée dans le gymnase, enfermée, sans échappatoire, elle entendait les bruits de la tempête et de l'agitation autour d'elle, et penser à son père ne fit que raviver ses angoisses. Elle releva la tête. Elle avait besoin de paroles réconfortantes, mais la personne en qui elle avait le plus confiance était peut-être encore plus en danger qu'elle. Elle serra ses genoux contre elle. Des adultes, la prof de maths semblait coincée dans quelque chose, et le CPE était occupé avec une poignée d'élèves et le surveillant blessé, et elle n'osait pas le déranger. Et les autres... où étaient les autres ? Restant assise, Chelsea se redressa un peu et regarda autour d'elle. Aucune trace des deux qui l'avaient aidée tout à l'heure avec sa blessure. Maladroitement, en s'appuyant sur les prises du mur d'escalade dans son dos, elle se releva, gémissant lorsque son pied blessé toucha le sol. Mais elle avait déjà vécu pire. Au moins, là, personne ne la menacerait si elle boitait, et elle ne s'en priva pas.
C'est donc d'un pas claudiquant que Chelsea s'approcha des portes des vestiaires. La carte étudiante autour de son cou lui serait inutile sans électricité, alors elle tenta simplement de pousser le battant. Celui des garçons était ouvert, mais elle ne voyait personne à l'intérieur. Elle alluma la lampe torche de son téléphone pour percer l'obscurité mais son impression se confirma : vide. Et elle doutait qu'ils se soient amusés à s'enfermer dans les douches avec la situation actuelle : tout le monde avait eu son compte d'eau pour la journée. Elle quitta donc le côté garçons pour faire le même essai - et avoir le même résultat - avec le vestiaires des filles. Personne. Avec un petit soupir, Chelsea revint dans le gymnase. Ils étaient forcément quelque part. Et si c'était le surveillant qui était allé à l'auditorium, c'est qu'ils n'étaient pas venus avec lui. Alors où...
Son regard accrocha finalement une porte un peu à l'écart. La réserve de matériel. Au-dessus de celle-ci, l'horloge indiquait 19h50. Avait-elle mis tant de temps que ça à chercher ? Sa démarcher boitillante répondit à sa place, mais elle finit par atteindre la porte au bout de deux petites minutes. Sa main se posa sur la poignée. C'était le genre de salle où elle n'aimait pas mettre les pieds : sombre, petite, encombrée, elle avait vite l'impression d'être enfermée. Mais elle finit par tirer le battant vers elle... et se figea en voyant les deux adultes pris au piège d'une étagère. L'une d'elle avait le crâne plein de sang, l'autre semblait dans un état proche de l'inconscience. Mais qu'est-ce qui s'était passé ici ?
Soulageant sa cheville d'un poids trop lourd pour son état, Chelsea s'agenouilla près d'eux et essaya de dégager une partie de l'étagère. Elle avait la force suffisante pour dégager des poids plus lourds que ça, grâce à sa vie d'entraînement, mais elle avait peur de leur faire mal.
- V... Vous allez bien...?
Elle se doutait bien que non, mais elle ne savait pas quoi dire d'autre. Elle ne pouvait pas se lever pour appliquer une grosse pression au meuble. Les dents serrées, elle retira son téléphone de sa poche, le déverrouilla pour réactiver sa lampe torche, juste assez pour voir l'heure : 19h55. Puis elle posa ses deux mains sous l'étagère et la souleva de toutes ses forces. Normalement, quelques centimètres devraient suffire à ce qu'ils se dégagent d'eux-mêmes.
Ⓒ Chelsea paroles en #104B5F
Ian Stevens
U, IRS & ISS |:| Psychologue
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Identité de genre :
Orientation sexuelle : Pansexuel
Messages : 179
Age : 31
Taille / Poids : 1m81 / 70kg
Né(e) le : 30/05/1993
Date d'inscription : 19/03/2019
Pays d'origine : Angleterre et Japon
Nationalité : Anglaise
Famille : Des parents, Andrew et Amane Stevens, un frère, Loan Stevens, et une fille, Mia.
Situation amoureuse : En couple avec Cordelia Calvelli
Personnage sur l'avatar : Li Zeyan de Koi to Producer
Couleur(s) de parole : #C32424
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Mer 12 Fév - 22:54
Ian Stevens
Le calme après la tempête ?▬ Event
Que son corps lâche ? Ça arrive très rarement. Il est, généralement, en forme et connait ses limites. Mais la tension créée par l’ouragan et la fatigue causée par des patients non-coopératifs, l’ont obligé à puiser dans ses réserves d’énergie. Alors quand une étagère de la moitié de son poids lui tombe dessus, forcément, il craque. Les paroles de Cordelia l’ont cependant calmé pour le détendre et se reposer, mais il ne s’attendait pas à ce que rapidement, sa respiration devienne un problème inquiétant. Il est 19h35. Est-ce l’appui de l’étagère sur son buste ? Est-ce son poids qui l’étouffe ? Sûrement. Et ça le fait ouvrir les yeux d’un air paniqué. Pas ça ! Il tourne la tête pour essayer de trouver de l’aide et du soutien du côté de Cordelia. Mais quand il la voit inconsciente, le front ensanglanté, et un objet lourd un peu plus loin. Son cœur accélère d’inquiétude et de peur, lui demandant plus d’oxygène et le faisant suffoquer.
Calme-toi… Calme-toi Ian…
Il essaye. Il essaye d’inspirer profondément, en vain. Il faut qu’il sorte de là. Il faut qu’il se libère. Et qu’il aide Cordelia aussi. Il ferme les yeux et essaie de se concentrer sur sa respiration. Il faut qu’il arrive un peu à respirer. Le temps que Cordelia se réveille, ou que quelqu’un se rende compte de leur absence et vienne voir ce qu’il se passe. Il se répète qu’il doit durer plus de 4 minutes, et pour cela, il faut qu’il respire un minimum. Alors il essaye. Il continue d’inspirer profondément, essayant de gigoter pour se libérer un minimum. Et une petite dizaine de minutes plus tard, quand Cordelia se réveille, il est toujours conscient mais peine toujours à respirer. Et la seule chose qu’il peut faire, c’est lui lancer des regards affolés. Elle touche sa plaie, regarde son sang, et le psychologue tente de l’appeler, mais seulement un gémissement rauque sort de sa bouche. Mais quand l’attention de l’italienne se pose enfin sur lui, l’espoir revient.
▬ T'as enfin ouvert les yeux. Ça va ? Pas trop de douleurs ? T'as du mal à respirer ?
Il hoche la tête, essayant de parler mais son manque d’air l’empêche d’être audible. Il n’y arrivera pas… Il faut soulever cette étagère de malheur ! Il tente de se mettre sur le côté, mais le poids du meuble lui lacère les côtes, le faisant grimacer et rapidement abandonner. Ils vont avoir besoin d’aide extérieur… Cordelia regarde autour d’eux pour trouver un objet qui pourrait leur être utile et Ian lâche la pression. Il repose sa tête sur le sol et essaye de se battre contre le manque d’air, inspirant puis expirant. Puis, soudain, la porte s’ouvre, et le psychologue lève les yeux vers sa sauveuse. Rapidement, Chelsea s’agenouille auprès d’eux et les aide en soulevant l’étagère un petit peu l’étagère, leur permettant de s’échapper. Rapidement, l’air revient dans ses poumons et Ian rampe pour se faufiler hors de son piège. Il s’assoit alors contre le mur et reprend sa respiration avec délice.
▬ M-Merci… Merci beaucoup… Cordelia… Ça va ? Fais-moi voir ta tête.
Rapidement, il s’approche d’elle pour venir inspecter son crâne. Ça saignait beaucoup. Avec la tête, ça peut être trompeur, cela peut être autant grave que l’inverse avec la même quantité de sang… alors vaut mieux être sûr. Il inspecte donc sa blessure, et quand il se détend en comprenant qu’elle est superficielle, il est 20h.
Famille : Trois enfants : Zack et Scarlett (05/17) et Aydan (09/20)
Situation amoureuse : Mariée à Erik Vint Svent
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Jeu 13 Fév - 21:13
Martel Vint Svent
19h50. Chelsea entre dans la pièce où se trouve Ian et Cordelia et les aide à se libérer.
19h55. Ian s'extrait de sous l'étagère et inspecte la blessure de Cordelia.
Événement : aléatoire 20h00. Dans le gymnase où tout le monde est réuni, quelqu'un perd soudainement le contrôle de ses émotions à cause de la panique et commence à hurler sur Jean.
Événement : circonstances 20h05. L'eau continue de monter dans les loges. Elle atteint plus d'un mètre.
Personnages inclus dans ce sujet (pour l'instant) Chelsea Refrain Cordelia Calelli Elizabeth Callahan Ian Stevens Jean Carlton Velvet Ellusia
Ce tour couvre la période de 20h00 à 20h30. Vous avez 7 jours pour faire autant de posts que vous le souhaitez durant cette période horaire. N'oubliez pas d'indiquer l'heure de début et de fin de chacun de vos posts. Il n'y a pas de maximum de mots, mais le minimum de 230 s'applique toujours. Vous pouvez changer de zone en cours de tour. Toutes les informations relatives au tour sont disponibles ici.
Velvet Ellusia
IRS |:| Quatrième année
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Identité de genre :
Orientation sexuelle : Hétéro jusqu'à preuve du contraire
20h. J'avais passé plus d'une demi-heure dans cette loge, mais il fallait que je sorte. l'eau continuait de monter. Ils avaient dû repérer où j'étais et ils essayaient de me noyer. Il fallait que je trouve un autre endroit où me cacher. J'avais entendu l'eau s'agiter, le surveillant avait dû retourner dans le gymnase, maintenant. Peut-être que l'auditorium était plus sûr ? Maintenant qu'il n'y avait plus d'électricité. Ça m'embêtait de laisser les autres à la merci des profs, mais si je revenais, ils m'enfermeraient pour m'empêcher de révéler leur complot. Non, le mieux à faire, c'était de trouver la machine qui créait l'ouragan et de l'éteindre, comme ça la tempête s'arrêterait et plus personne ne serait en danger.
Je jetai mon stylo dans ma loge. De toute façon, il avait sûrement été empoisonné par celui qui me l'avait donné. mes chances de survie étaient peut-être limitées. S'il ne me restait que peu de temps, je voulais au moins sauver mes camarades avant. Peut-être que la machine était dans l'auditorium ? Après tout, s'ils nous avaient emmenés jusqu'ici dès le début de la tempête, c'était peut-être pour ça. Et ils nous en avaient éloignés ensuite pour qu'on ne la trouve pas. C'était forcément ça. Je poussai la porte mais elle refusa de bouger. Mince, ils m'avaient bloquée avec l'eau ! Ils avaient dû remplir le couloir ! Tant pis, pas le choix. J'attrapai une chaise pour taper de toutes mes forces sur les gonds de la porte jusqu'à ce qu'elle lâche. Vite, l'eau avait déjà dépassé ma taille ! Tout finit par se décrocher et je soupirai de soulagement, lâchant ma chaise brisée pour retourner dans le couloir des loges. Il était 20h15, d'après ma montre, quand j'arrivai à sortir. Maintenant, direction l'auditorium pour la machine à météo !
Moitié marchant, moitié-nageant, je me frayai un chemin jusqu'à la salle. Elle était dans un état abominable : un bout du plafond s'était effondré, et la réserve à instruments s'était ouverte, déversant tout dans la pièce. Ils flottaient un peu partout et l'eau m'arrivait à la poitrine, mais pas grave : je pouvais encore nager. Ce que je fis, en fouillant la pièce. Chaque instrument, chaque machine, tout : je vérifiais qu'ils ne contenait pas de bouton ou de système caché pour contrôler l'ouragan. Je finirais bien par trouver.
19h45, ma tête me fait mal. Une chose est sûre, j'aurai une ou deux belles bosses durant quelques jours. Et apparemment une coupure à désinfecter plus tard. Joie... Enfin le plus important pour moi actuellement, c'est Ian. Son état m'inquiète vraiment. Il faut qu'on le dégage d'ici au plus vite. J'ai peur de ce qu'il pourrait lui arriver s'il reste coincé plus longtemps. Environ cinq minutes plus tard, alors que je cherche un moyen de soulever l'étagère sans aide extérieure, l'espoir revient avec la présence de Chelsea. Personne n'a entendu lorsque j'ai appelé à l'aide il y a quelques minutes. Pourtant l'élève est venue. Soit c'est du pur hasard, soit elle a senti qu'il y avait un problème. Peu importe la réelle raison, je lui en suis reconnaissante.
- Comme une sardine au fond de sa boîte...
Serrée. Ecrasée. Mal à l'aise. Je ne sais pas d'où elle tire sa force mais elle est parvenue à soulever l'étagère. Pas très haut évidemment à cause du poids du meuble et de la cheville blessée de Chelsea. Néanmoins c'est suffisamment « haut » pour que Ian et moi puissions nous glisser plus loin et nous dégager.
- Merci Chelsea...
Rapidement, la même idée vient dans l'esprit du psychologue et moi-même. Savoir comment va l'autre. Nos propres blessures passent au second plan.
- C'est rien, juste un peu de sang...
Un peu beaucoup de sang pour une petite coupure. La magie du corps.
- Mais et toi ? Ca a l'air d'aller mieux mais t'es sûr que ça va ? Tu respires vraiment normalement ?
Mon attention se reporte aussi sur Chelsea. Je n'ai pas oublié sa cheville et même si elle était agenouillée, le fait d'avoir dû soulever l'étagère a peut-être titillé sa blessure. J'en viens même à ignorer les hurlements produits par une personne de l'autre côté. Il y a encore Elizabeth, Damon et d'autres personnes tout aussi calmes qu'eux et tout aussi capables de gérer la situation.
- Et toi Chelsea, ça va ta cheville ?
Je m'approche un peu d'elle et observe à nouveau l'état de sa cheville. Ca ne me plaît pas. Elle a légèrement gonflé. Je sais que c'est un phénomène normal après une foulure mais son aide n'a pas dû arranger l'état de sa blessure. J'espère que ça ne gonflera pas plus.
- Il faudra t'appuyer le moins possible dessus. On va retourner avec les autres et tu pourras t'installer sur l'un des tapis qu'on a sorti. Ce sera plus confortable que le sol.
Je regarde ensuite Ian en le pointant du doigt.
- Et toi aussi tu t'installeras et tu te reposeras. Et j'te laisse pas le choix.
Il a eu un choc à la tête – moi aussi mais moins violent – et il a même eu de la difficulté à respirer il y a quelques minutes à peine. Je ne veux pas qu'il prenne d'autres risques. Il a peut-être une commotion, des côtes cassées ou fissurées, une hémorragie interne qui fera des dégâts plus tard. Que sais-je ? Cependant un autre détail me vient à l'esprit. Me montrer avec la tête en sang n'est peut-être pas l'idée du siècle face à plusieurs personnes en panique. J'ouvre donc mon chemisier et le retire. Il y en a qui risquent de profiter de mater mon sous-vêtement mais tant pis, je ne suis plus à ça de près. Et si ça peut les faire penser à autre chose, ce sera au moins ça de gagné. J'utilise ensuite mon habit comme un foulard dans les cheveux, essayant de camoufler au maximum le sang. Il est 20h15
Commentaires/Citations : Forget your dreams, do what you're told
Jeu 20 Fév - 17:32
Chelsea Refrain
12 nov. 2019
L'ouragan
Rp général
Jamais elle n'aurait pensé venir en aide à deux des adultes qui les avaient conduits en sécurité, et pourtant... D'une certaine façon, c'était un peu rembourser la petite tête qu'elle avait envers eux parce qu'ils l'avaient aidée quand elle s'était blessée à la cheville, même si elle ne pensait pas comme ça. Elle était simplement contente qu'ils soient tous les deux sortis d'affaire. Si elle n'avait pas eu l'idée de se lever, combien de temps seraient-ils restés coincés ici ? Il était déjà 20h15, et personne ne les entendait dans la pièce principale et il y avait déjà tellement de problèmes que remarquer leur absence n'était pas forcément facile.
Chelsea baissa les yeux vers sa jambe. Effectivement, elle semblait dans un état encore pire qu'avant. Elle grimaça. Elle n'aurait pas le choix : elle était obligée d'aller à l'hôpital pour sa blessure une fois la tempête terminée. Ça n'était pas plus mal. Mais pour l'instant, elle devait s'assurer de ne pas trop forcer. La prof avait raison : mieux valait qu'elle évite de s'appuyer dessus. Alors l'adolescente hocha doucement la tête et attendit qu'ils soient tous les deux debout avant de boitiller jusqu'au gymnase. Une scène se déroulait sur place, mais elle n'avait pas la force de s'en mêler. Elle regarda la fille qui se faisait engueuler, resta fixée dessus un instant, puis elle s'éloigna. Le plus loin possible d'eux. Elle n'avait pas spécialement envie de se retrouver mêlée à un scénario de violence, surtout pas dans son état.
Elle suivit les conseils des adultes et s'installa sur un matelas pour offrir une surface un peu plus souple à sa cheville. Ensuite, elle s'adossa contre le mur et ferma les yeux, pour essayer de ne pas penser à la douleur ou à l'angoisse. Pour ne pas voir que l'eau commençait visiblement à poser problème - de ce qu'elle voyait d'ici, elle commençait à atteindre le haut des marches des loges. Elle n'avait pas envie d'y penser. On trouverait des solutions pour eux. Elle était trop fatiguée et trop mal en point pour essayer de chercher une échappatoire, ou une manière d'arrêter l'inondation.
Ⓒ Chelsea paroles en #104B5F
Martel Vint Svent
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Sam 22 Fév - 15:45
Martel Vint Svent
20h30. Ian, Cordelia et Chelsea sont de retour dans la salle. Chelsea s'installe sur un matelas pour apaiser sa cheville. Velvet quitte les loges pour l'auditorium.
Événement : circonstances 20h30. L'eau commence à atteindre le sol du gymnase.
Événement : général La tempête semble s'apaiser à l'extérieur, mais pour combien de temps ?
Personnages inclus dans ce sujet (pour l'instant) Cordelia Calelli Elizabeth Callahan Ian Stevens Jean Carlton
Ce tour couvre la période de 20h30 à 21h00. Vous avez 7 jours pour faire autant de posts que vous le souhaitez durant cette période horaire. N'oubliez pas d'indiquer l'heure de début et de fin de chacun de vos posts. Il n'y a pas de maximum de mots, mais le minimum de 230 s'applique toujours. Vous pouvez changer de zone en cours de tour. Toutes les informations relatives au tour sont disponibles ici.
Cordelia Calvelli
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Nationalité : Italienne
Famille : Ian Stevens (Petit-ami), Mia (fille)
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Personnage sur l'avatar : Ann Takamaki - Persona 5
Il est 20h20. On en est enfin sortis. On n'est restés que quelques minutes coincés sous cette étagère mais elles sont été longues. Très longues. Ca m'a parue être des heures. L'état d'Ian devenu très préoccupant, cette sensation de lenteur s'est accentuée. Deux malheureuses minutes m'ont parue être une heure. Imaginez donc plus de vingt minutes. C'est une éternité. Un temps insoutenable.
Je reviens dans le gymnase avec Ian et Chelsea et leur conseille vivement de rester tranquilles. Ils faut qu'ils se reposent. Tous les deux. De mon côté je reste un peu tranquille en regardant dehors. La tempête a l'air de se calmer. J'ai l'impression que le vent est moins fort. La pluie aussi. J'espère que ça durera longtemps. Mieux, que c'est en train de s'arrêter totalement. Malheureusement ce moment d'accalmie ne dure pas. Alors que dehors la tempête semble doucement s'apaiser, dedans une autre débute. Après l'engueulade contre une élève, voilà que certains se mettent à paniquer. De l'eau ruisselle sous la porte. Bon pas de panique. Certes de la flotte s'infiltre dans le gymnase mais on ne finira pas noyés. Elle coulera aussi sous la porte principale.
Néanmoins je n'ai pas envie que ça devienne encore une panique générale. Je demande donc de l'aide à un collègue et nous tentons de rassurer les plus craintifs. De plus ils peuvent désormais se mettre sur les tapis, ils resteront au sec cette fois. Vers 20h40 je m'installe finalement à côté de Chelsea pour me reposer moi aussi. Trop d'agitation après un coup sur le crâne et me voilà avec des vertiges. J'aurais peut-être dû me tenir tranquille dès le départ. Tant pis. J'ai au moins fait ce que j'ai pu. Maintenant c'est à Elizabeth et nos autres collègues de gérer ça. Moi je n'en peux plus. Je suis épuisée.