À droite, l'école et ses élèves normaux, comme tout le monde.À gauche, le centre de redressement pour jeunes dangereux.Maintenant réunis, pour le pire.
Venez participer à la journée d'introduction des clubs ! Nourriture et activités pour tout le monde ~
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Mes yeux s'embrument. J'ai l'impression d'être dans un brouillard et je n'ai pas envie de le quitter. Ian me provoque cet embrumage et c'est plaisant. Je veux qu'il continue. Je l'aime trop. Depuis quand me suis-je autant attachée à lui ? Depuis quand ça me fait autant chier quand je ne peux pas le voir ? Depuis quand ai-je autant envie de me retrouver contre lui et de ne plus quitter ses bras ? Je ne sais pas et c'est le cadet de mes soucis pour le moment.
Je finis par échanger nos positions et là, je dépose ENFIN ma marque. Et parce que sur le reste du corps c'est trop voyant, je l'appose sur une zone cachée. Un zone que moi seule peux voir. Et quelques-unes de ses aventures malheureusement... J'ai entendu son soupire de déception lorsque j'ai rompu notre union mais je me suis bien rattrapée. Quand il me pose sa question, je le regarde avec un grand sourire satisfait.
- Exactement, Trésor !
Je m'occupe ensuite d'unir à nouveau nos corps puis reprends les allées et venues sur lui. Petit à petit, le rythme reprend tel qu'il était un peu plus tôt. Je dois remettre de temps en temps mes cheveux en place durant l'acte mais ça ne gâche en rien le plaisir que je ressens avec Ian. Dire qu'avant je ne couchais que de temps en temps, ce type a réussi à changer ça. Maintenant je saute sur la moindre occasion. Avec lui j'ai l'impression que mes soucis s'envolent l'espace de quelques instants. Et même plus longtemps.
Je me mords légèrement la lèvre en accélérant un peu le rythme. Je me la mords plus fortement lorsqu'il accentue aussi la pénétration. Trop bon. J'essaie de contenir un maximum mes plaintes de plaisir mais c'est trop dur. Une partie de moi me hurle de me laisser aller mais une autre me rappelle à l'ordre. Les élèves rôdent autour. On est censés leur montrer l'exemple, ils n'ont pas besoin de suivre celui qui est de s'envoyer en l'air dès l'arrivée à une destination. Je me fais violence pour ne pas ameuter le monde mais quelques légers gémissements parviennent tout de même à s'échapper.
- Rien qu'à toi !
Une réponse sortie automatiquement sans que je ne m'en rende compte. L'une de mes mains se faufile dans les cheveux du psychologue. J'aime sentir ses tifs glisser entre mes doigts. Ils sont doux. J'ai presque l'impression de caresser un chat.
Mes actions sur lui s'accentuent encore et encore alors que ça devient de plus en plus dur de contenir mes sons de bien-être. Mon corps se penche sur celui de mon partenaire de jeu et j'en profite pour mordiller doucement son cou. Je termine par un petit coup de langue sur la zone mordue pour le narguer avant de me redresser pour reprendre de plus belle avec notre union charnelle. Je prends mon pied durant quelques minutes et puis finalement...l'instant ultime arrive. Celui où nos corps peuvent se relâcher, où il m'a fallu faire un très gros effort pour ne pas crier, où je peux m'étendre sur Ian et écouter les battements de son coeur affolé par l'exercice effectué.
- Je pense qu'on peut dire que le test du lit est concluant.
Un petit rire amusé s'échappe alors que ma main se balade sur son bras, lui caressant la peau tendrement. Nos vacances commencent vraiment bien. Notre journée aussi d'ailleurs. Heureusement que nos jeunes protégés sont en train de poser leurs affaires et de sûrement se changer pour aller à la plage. Ca nous a laissé du temps pour notre sport matinal. C'est mieux qu'un café en plus. Je reste allongée sur lui, complètement détendue, à caresser son bras. Je lève un instant la tête et observe son cou en souriant. Oups. J'y suis allée un petit peu fort en voulant le mordre. Je pensais laisser juste une trace qui resterait quelques minutes, résultat ça risque de rester voyant quelques heures ou peut-être un ou deux jours.
- Tes futurs prétendants risquent de croire que t'es déjà pris. J'y suis allée plus fort que prévu en voulant te mordiller.
Ca valait bien la peine que j'aille faire mon suçon au niveau inférieur ! J'aurais dû le faire sur le cou directement. Tant pis. Les jeunes pourront croire que j'ai juste voulu le narguer – ce qui arrive souvent quand je suis prise dans un jeu avec lui – et les potentiels prétendants sur la plage sauront qu'il est ma chasse-gardée. C'est mon mien, amwa.
Ⓒ Fiche par Ethylen sur Libre Graph'
Ian Stevens
U, IRS & ISS |:| Psychologue
Sexe :
Identité de genre :
Orientation sexuelle : Pansexuel
Messages : 179
Age : 30
Taille / Poids : 1m81 / 70kg
Né(e) le : 30/05/1993
Date d'inscription : 19/03/2019
Pays d'origine : Angleterre et Japon
Nationalité : Anglaise
Famille : Des parents, Andrew et Amane Stevens, un frère, Loan Stevens, et une fille, Mia.
Situation amoureuse : En couple avec Cordelia Calvelli
Personnage sur l'avatar : Li Zeyan de Koi to Producer
Couleur(s) de parole : #C32424
Doubles comptes : Evan Debury
Mar 9 Juin - 18:55
Ian Stevens
Les bienfaits de l'écume ▬ Feat. Cordelia
Le psychologue a l’impression de devenir fou, ou accro. Peut-être les deux. Il était déjà accro au sexe en général, mais avec elle… Il sent qu’il y a un facteur en plus. Ce n’est plus simplement le sexe, mais plutôt le sexe avec elle. Son corps… son odeur… sa douceur… sa voix… et sa personnalité. Il ne peut plus s’en passer. Comment ne pourrait-il pas recommencer… alors qu’il s’était donné cette règle de ne pas coucher plus de deux fois avec la même personne. Et ce, même s’il connait la personne personnellement, ce qui est le cas de Cordelia. Mais ils l’ont fait une fois… Puis deux dans la même journée… Et il s’est retrouvé dans ce tourbillon de plaisir, ne pouvant plus s’en sortir, et se noyant de plus en plus dans ses bras. Exactement comme ce qui est en train de se dérouler maintenant.
Ses mouvements, toujours plus rapides, le font perdre la tête, et il ne peut plus retenir les grognements de plaisir de s’échapper de ses lèvres, alors que ses doigts se serrent sur sa peau. Elle est divine. C’est une véritable déesse. Ses cheveux blonds qui tombent en cascade sur sa poitrine et qui bougent au grès de leur ébat. Ses yeux bleus comme des turquoise qui le scrutent, et lui transmettent ce désir insatiable pour son corps. Il les veut pour lui. Il ne veut pas qu’elle les montre à d’autre. Et ce sentiment de possessivité, si neuf, si surprenant, le perturbe encore plus. Pourquoi ? Pourquoi ne la veut-il que pour lui-même ? Pourquoi est-il si égoïste alors qu’ils ne sont pas en couple ? Est-ce qu’il veut se mettre en couple ? … Non. Non il ne veut pas. Il ne veut pas être enfermé dans une relation. Mais alors… pourquoi ce sentiment qui n’est pas compatible ? Pourquoi ? Et pourquoi ces mots possessifs qui s’échappent sans qu’il ne puisse les retenir ?
▬ Rien qu’à toi !
Et ce plaisir, cette satisfaction, qu’il ressent à sa réponse. Elle l’a confirmé… Elle est à lui… Et son cœur manque un battement. Sa main se resserre sur sa poitrine qu’il continue de torture avant qu’il finisse par se redresser, s’asseyant pour l’enlacer et s’emparer de sa poitrine entre ses lèvres. Ses doigts se glissent dans ses cheveux, le faisant frissonner d’autant plus, en contraste avec la température de son corps qui grimpe, et grimpe encore. C’est si bon… Il sent qu’il va venir… Il sent le paroxysme arriver doucement…mais sûrement. Ils ne s’arrêtent plus. Elle continue avec la même cadence, et quand il la sent se resserrer autour de lui, il sert les paupières, lâchant un râle rauque de jouissance contre sa peau. Haletant, il finit par s’écrouler dans le lit, le cœur battant encore fortement dans sa poitrine.
▬ Je pense qu'on peut dire que le test du lit est concluant.
Elle rit, et le sourire du psychologue s’élargit, gardant les yeux fermés. Un bon point pour le lit~ Ses doigts se mettent doucement à caresser le dos nu de l’italienne alors qu’il savoure ses attentions, qui le font doucement frissonner. Il… Il faut qu’il s’occupe du préservatif… Il se sent tellement mieux… Et d’attaque pour gérer les petits monstres. Il ne pense plus à rien, complètement détendu avec cette déesse italienne dans les bras. Oui… il est heureux. Il se sent bien. Il n’est plus frustré… Quand il la sent se redresser légèrement, il ouvre un œil pour croiser son regard bleuté et sourire doucement. Elle l’observe… Qu’est-ce qu’elle a vu encore ? À son expression, elle semble avoir fait une bêtise mais d’être tout de même satisfaite…
▬ Tes futurs prétendants risquent de croire que t'es déjà pris. J'y suis allée plus fort que prévu en voulant te mordiller.
Son sourire s’élargit et il laisse tomber sa tête contre le matelas, passant sa main sur son propre cou, là où elle l’a justement mordu. Il s’en doutait. Il se doutait qu’elle ne pourrait pas résister, et bizarrement, ça ne le dérange pas tant que ça. Habituellement, cela aurait été une raison de mettre fin à la relation, mais, avec elle, il en est incapable. Alors il se contente de dire en riant.
▬ T’es pas possible…
Plus qu’à assumer maintenant. Il gigote légèrement, tendant son bras pour guider son sexe hors de la jeune femme, doucement. Puis, faisant bien attention à ne rien salir, il retire le préservatif.
▬ Tu peux me passer un mouchoir, s’il te plait ?
Il lui montre la boite de mouchoir sur la table de chevet d’un signe de tête, et quand elle le lui donne, il s’essuie correctement, avant de glisser la capote dedans et de le poser sur la petite taille. Puis il pousse un soupir de bien-être. Peut-être devrait-il se venger pour le suçon ?~ C’est une idée. Mais les ados sont intelligents, en voyant un suçon sur lui, puis sur Cordelia, ils comprendraient bien trop rapidement. Sauf si… Il la regarde, un sourire en coin se dessinant sur son visage.
▬ Dis ? Tu as l’intention de bronzer seins nus ?
Il ne lui laisse pas le temps de répondre, qu’il bascule pour l’écraser dans le matelas et venir marquer sa peau, tout près de son téton. Et une fois son œuvre terminée, il se redresse avec un regard fier et son éternel sourire joueur. Plus de bronzage parfait pour mademoiselle Calvelli~
C'est si bon d'être dans les bras d'Ian. Sa douceur, son odeur, sa simple présence,... j'aime sentir tout ça. Il m'enivre. Par sa faute – oui oui je l'accuse, je n'ai pas honte – je couche bien plus souvent qu'avant. Et mon rythme cardiaque s'accélère à chaque fois qu'il entre dans mon champ de vision ou qu'il me touche. Lorsqu'il fait preuve d'un peu de jalousie ou de possessivité, ça me fait complètement craquer. Je ne devrais pas. Je sais très bien ce qui arrive quand une personne me faire fondre. Notre partie de jambes en l'air continue sur un bon rythme jusqu'à ce que l'un comme l'autre atteigne l'extase. Je me laisse tomber sur lui, écoute son coeur en souriant et glisse un petit constat. Le lit est testé et approuvé. J'ai étrangement hâte d'y retourner ce soir.
Les doigts du psychologue me tirent encore des frissons alors qu'ils exécutent quelques caresses dans mon dos. J'aime vraiment trop quand il me touche... Saleté d'aphrodisiaque ambulant, arrête de me rendre folle de toi à chaque contact ! Ma main ne cesse de faire des allers-retours sur son bras jusqu'à ce que je remarque la trace de morsure sur son cou. Je me rends compte à cet instant que j'y suis peut-être allée un peu fort mais étonnamment – ou pas – j'en suis fière. S'il y a des prétendants sur la plage, ils sauront que l'homme est une chasse-gardée.
- Tu devrais le savoir depuis le temps, Trésor !
Un clin d'oeil et un petit rire viennent accompagner cette remarque. Il me connaît depuis le lycée, il sait que je suis une personne irrécupérable et intenable. Encore plus quand ça concerne les domaines sexuels. J'ai toujours tendance à me lâcher d'une manière ou d'une autre. Lorsqu'il décide de rompre la fusion de notre corps, je l'aide un peu en relevant légèrement mon bassin. Puis j'attrape un mouchoir et le donne au psychologue. Je dois aussi lui laisser suffisamment d'espace pour qu'il puisse s'essuyer sans être gêné. En regardant le petit emballage souillé sur la table, je ne peux m'empêcher de sourire en repensant à quel point on coûte cher avec ce matériel. Surtout lorsqu'on en utilise plusieurs en une journée.
Lorsqu'il est à nouveau propre, je me recouche gentiment sur lui mais n'ai pas le temps de poser ma tête sur son torse. Je vois son regard sur moi. Il a une idée derrière la tête, je le sens. Son sourire et son regard trahissent sa fourberie. Il me pose alors une question qui me surprend sur le coup, puis avant que je ne puisse lui dire quoi que ce soit, comprendre quoi que ce soit aussi, je me retrouve sur le dos et marquée sur la poitrine. Kézako ? Il vient vraiment de marquer son territoire ou... ? Non. Il s'est juste vengé. Je ris légèrement tout en jouant avec quelques mèches de ses cheveux.
- Tu n'as pas pu t'en empêcher, hein... Tu sais déjà que j'me vengerai, n'est-ce pas ?
Quand ? Comment ? Je verrai bien en temps voulu. Ce n'est pas mon truc de trop prévoir à l'avance. Je profite encore quelques minutes de ce moment de calme avec lui jusqu'à ce que le devoir nous rappelle à l'ordre. Nos jeunes démons doivent être prêts à aller à la plage cette fois. Et même sans ça, il faut bien qu'on puisse s'organiser entre surveillants pour savoir qui va à la plage avec les jeunes et qui restera ici pour ceux qui souhaitent plutôt rester tranquilles le premier jour.
Je me rhabille donc après avoir enilé mon bikini. Il cache le suçon heureusement. En principe ça ne me gêne pas de le montrer en public mais on va éviter de donner de fausses idées à notre troupe d'étudiants. Le reste de ma tenue est une simple robe parce que j'ai la flemme d'avoir beaucoup de tissu à enlever quand on sera sur la plage. Je prépare ensuite un petit sac avec un linge et des sous-vêtements propres.
°°°
Le reste des vacances s'est plutôt bien passé. On a bien eu quelques difficultés à gérer nos jeunes par moment mais dans l'ensemble, ça a été. Et à chaque fois, on a pu se détendre après. Et moi j'ai aussi pu me venger en faisant un suçon sur les fesses immaculées du psychologue. Je me l'approprie comme une grosse égoïste. Son entre-jambe, son cou, ses fesses, tout ! Je suis fière de ma vengeance. Je suis fière de pouvoir le marquer dans n'importe quelle zone, même les plus improbables. Il faut savoir être un peu original de temps en temps.
The Wiesel Den 
