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Jeu 17 Oct - 23:50
Ian Stevens
Les bienfaits de l'écume ▬ Feat. Cordelia
Une fois arrivés à l’aéroport de Marseille, Ian accompagne les deux jeunes filles qui devaient attendre leurs valises. Il n’eut pas vraiment d’interaction avec elles, il leur permettait juste d’attendre sans se prendre la tête. Elles étaient maintenant sûres que le bus ne partirait pas sans elles. Quand elles récupèrent leurs affaires, ils montent dans le bus et Ian s’installe dans le fond du bus pour surveiller les jeunes qui voudraient en profiter pour faire n’importe quoi. Il en reprend quelques-uns de temps en temps, mais sinon le voyage se passe plutôt bien. Il voulait initialement se mettre à côté de Cordelia mais il sait qu’il ne peut pas trop compter passer du temps avec elle. Il est là pour aider. Pas pour s’amuser. Aussi déprimant que cela puisse sembler. Il aime ces jeunes et il fera tout pour que le voyage se passe dans le calme et les meilleures conditions pour eux.
Puis Martel distribue à chacun les chambres, et quand il apprend qu’il est dans la chambre écume…avec Cordelia. Son cœur s’emballe. Ok. Finalement…ils vont pouvoir avoir ces moments seuls…tranquilles. Il se met à sourire doucement. Il est content. Pas qu’il ait des sentiments pour elle mais, il est rassuré d’être avec quelqu’un avec qui il est compatible sexuellement. Il ne va pas vraiment pouvoir sortir tous les soirs pour se chercher une conquête, et si elle n’était pas là, et qu’ils n’étaient pas dans la même chambre, il deviendrait sûrement fou. Maintenant qu’il sait que ça n’arrivera pas, il est rassuré. Le voyage se déroule vraiment dans les meilleures conditions. Surtout que…ça l’étonnerait que l’italienne dise non à sa proposition. Elle est aussi du genre à aimer jouer.
Après une heure et demi de trajet, dans un calme plus ou moins constant, ils arrivent enfin à destination. Ian attend que tous les élèves sortent du bus pour descendre à son tour. Pendant ce temps, cette délicieuse pensée tourne en boucle dans son esprit.
Il va être dans la chambre de Cordelia.
Maintenant, le détail qui l’intéresse c’est…le lit. Il espère que ce sera un lit double même si les chances sont minces. Il récupère sa petite valise et croise le regard de Cordelia qui lui fait bien comprendre qu’elle a le même genre de pensée que lui. Il sourit largement et rit doucement. Il est heureux. Il se doutait bien qu’elle serait aussi joueuse que lui, il l’espérait, et il n’est pas déçu, loin de là. Ce soir risque d’être…électrique. Ou alors…peut être que…le temps que tout le monde s’installe…avant qu’ils décident de partir à l’aventure ou non…ils pourraient… Il sourit en coin et la regarde de nouveau. Il n’est pas sûr de vouloir attendre le soir, et elle non plus à son humble avis.
Il s’éloigne du bus, tirant sa valise et il jette un coup d’œil tendancieux à sa colocataire avant de passer devant elle en direction de la chambre écume. Elle devrait avoir compris le message. Il cherche la chambre pendant quelques minutes, pendant que tout le monde part s’installer dans la leur et en la trouvant, il sourit. Il entre et soupire en voyant les deux lits simples.
▬ Bien entendu…
Comme si quelque chose était là pour lui rappeler qu’il est là dans un cadre professionnel…certes…mais il reste humain, avec des besoins…plus ou moins particuliers. Il s’excuse mais il ne fera pas attention à la règle de se tenir à carreaux, enfin, si elle existe. Il pose sa valise dans un coin, choisissant le lit le plus proche de la porte. Ils vont s’organiser, il le sait. Il sait que Cordelia trouvera une solution. Il s’assoit sur le lit et l’attend, amusé, voulant son avis sur la situation plutôt cocasse.
Le voyage en avion est enfin terminé. Juste avant que l'on prenne le bus, la directrice se charge d'attribuer les chambres et lorsque je découvre que je serai avec Ian, un mini moi s'agite dans mon esprit. Une mini moi toute excitée de savoir que mes prochaines nuits risquaient d'être mouvementées. J'aime sa compagnie et même si l'on ne pourra peut-être pas passer beaucoup de temps ensemble durant les prochains jours, on pourra toujours rattraper le soir. Enfin sauf si l'on se trouve une aventure éphémère. Outre ça, je sais aussi qu'avec lui je n'aurai pas besoin de me retenir. Il y a des choses que je peux faire face à un adulte mais pas face à un étudiant. Je suis censée montrer l'exemple après tout.
Le trajet en bus s'est plus ou moins bien passé. Je suis restée à ma place mais je n'avais clairement pas l'esprit tranquille. Je me suis sentie tout de suite mieux dès l'instant où j'ai quitté le véhicule. La joueuse en moi a pu reprendre aussitôt les commandes en sachant ce qui m'attend désormais. Une colocation très plaisante avec une personne qui a les mêmes genres d'idées que moi. On va bien s'amuser. Comme tout le monde, j'erre dans la villa à la recherche de la chambre Ecume. Ce nom me plaît bien. Il est à la fois mignon et salace en même temps. Pour n'importe quels colocataires, ça aurait été mignon mais avec Ian et moi pour occuper cette chambre....non.
Lorsque j'arrive dans la chambre, Ian s'y trouve déjà, tranquillement installé sur un lit. Je constate d'ailleurs que la chambre en possède deux. Zut. C'est plutôt logique en sachant qu'on aurait pu avoir n'importe qui en colocataire mais j'aurais quand même préféré avoir un lit double. Remarque, ils ne sont pas si étroits. On doit avoir assez de place pour nos bêtises.
- Pas de lit double à ce que je vois. Tant pis ça me donnera une excuse pour me coller à toi et te tripoter pendant de longues, très longues minutes.
Ouais bon okay, pour ça je n'ai pas besoin d'excuse. Si je veux le faire, je le fais et c'est tout. Evidemment je ne le fais pas avec tout le monde, je fais tout de même attention avec qui je me trouve. Je sais qu'en général je peux tripoter Ian sans problème mais ce n'est pas quelque chose que je peux faire à tout le monde.
Concernant notre petit souci de lit à double, ce n'en est pas réellement un en fait. Il suffit de squatter le même lit ou de simplement rassembler les deux plumards et l'affaire est réglée. Néanmoins cette situation me donne une bonne occasion de le taquiner. Je m'approche alors de lui et m'assieds à califourchon sur ses jambes avec un sourire taquin sur les lèvres.
- Il faudrait quand même tester si on a assez de place là-dessus. Je n'ai rien contre le fait de t'utiliser comme matelas chauffant mais il faut bien qu'on sache si y a assez de place pour « jouer ».
Et je peux le faire n'importe quand. En tout cas avec lui. Il a dû être incube dans une autre vie. Ou alors vampire. Enfin une espèce qui réveille des désirs chauds sans avoir besoin de faire le moindre effort. Doucement, je le pousse pour l'allonger sur le lit et l'observe en gardant mon sourire rempli de malice pendant que l'une de mes mains glisse sur le tissu, allant de son torse à son ventre.
- Même ainsi on a l'air d'avoir assez de place. Je crois qu'on n'aura même pas besoin de rassembler les lits ensemble. Il faudra qu'on se fasse un petit tour du propriétaire si tu vois ce que j'veux dire.
Je ne sais pas combien de temps exactement on a devant nous mais on doit bien pouvoir s'amuser un peu. Certains voudront sans doute aller rapidement à la plage mais d'autres auront peut-être envie de d'abord s'installer avant d'aller se baigner. Merde. On aurait peut-être dû demander à la directrice si elle avait prévu un truc avant de lâcher les jeunes dans la nature. Ou alors on aura de toute façon un briefing afin de nous organiser entre ceux qui surveilleront les adolescents en ville, à la plage et ceux qui resteront à la villa pour veiller sur les adolescents qui souhaitent plutôt rester ici.
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Ian Stevens
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Ven 25 Oct - 12:16
Ian Stevens
Les bienfaits de l'écume ▬ Feat. Cordelia
Cordelia entre dans la chambre et Ian l’observe avec un petit sourire amusé. Alors ? Elle en pense quoi ? Lui, est plus amusé que gêné par la situation. Il se dit que ça pourrait presque pimenter les choses. Après tout, ils devront s’adapter, et c’est presque le plus drôle et le plus excitant~ Elle observe la pièce et il la voit analyser les lits. Il se met doucement à rire. Bien sûr que ça la gêne. Ils ont les mêmes idées en tête, ce qui est plutôt plaisant à savoir. Puis ce qu’elle dit ne le déçoit aucunement. Il savait qu’elle tirerait avantages de la situation et trouverait de bons côtés. Oui. Ils pourraient se coller et en profiter pleinement. C’est comme si le deuxième lit avec disparu de la pièce. Si un élève en a besoin, ils le cèderont sans problèmes. Ian le transportera lui-même s’il le faut.
Puis elle se tourne vers lui et il plonge son regard dans le sien, son éternel sourire s’étirant pour devenir de plus en plus salace. Elle s’approche et vient s’assoir à califourchon sur lui. Il sourit plus largement et ses mains viennent doucement se poser sur ses hanches. Il aime beaucoup cette proximité et il n’y dira jamais non. Elle se met à répondre à son sourire, toute la taquinerie dont elle est capable ressortant dans ce regard et ce sourire. Ian frissonne doucement et serre ses doigts sur ses hanches.
▬ Il faudrait quand même tester si on a assez de place là-dessus. Je n'ai rien contre le fait de t'utiliser comme matelas chauffant mais il faut bien qu'on sache si y a assez de place pour « jouer ».
Un sourire qui s’élargit. Un frisson qui descend le long de sa colonne vertébrale. Ian boit les paroles de la professeure d’italien. Elle l’allonge doucement et le psychologue se laisse séduire. Il ne dit rien, il la laisse jouer, se contentant de lui envoyer ses réponses d’un regard chaud. Il veut jouer. Il veut vérifier que ce lit ne sera pas un problème. Il veut savoir tout de suite. Sans la quitter des yeux, il frissonne à sa caresse, le frisson traversant le tissu de sa chemise. Il aime la voir dominante. Il aime toutes les facettes qu’elle pourrait lui montrer. Elles sont toutes porteuses de promesses exquises.
▬ Même ainsi, on a l'air d'avoir assez de place. Je crois qu'on n'aura même pas besoin de rassembler les lits ensemble. Il faudra qu'on se fasse un petit tour du propriétaire si tu vois ce que j'veux dire.
Il sourit plus largement. Un tour du propriétaire~ C’est tentant, effectivement. Il y a bien un moment où ils devront le faire. Lentement, il se redresse pour approcher son visage du sien et glisser une mèche folle de ses cheveux blonds derrière son oreille, en profitant pour caresser son visage et la regarder un peu plus attentivement. Cordelia est vraiment une jolie femme. Des formes à tomber par terre, des cheveux blonds, bouclés, brillants et soyeux, et des yeux bleus à la fois doux et perçants. Une femme comme elle peut lui faire absolument tout ce qu’elle souhaite. Puis, d’une voix douce et séduisante, il murmure.
▬ Tu veux tester maintenant ? Je pense qu’on a un peu de temps devant nous. Je pense aussi que ce serait dommage de rajouter de l’espace, en soi…on n’en a pas vraiment besoin. Plus on est proche, mieux c’est…non ?
Ses doigts glissent pour venir caresser sa gorge, descendant jusque ses clavicules. Il observe le chemin parcouru et ses yeux viennent se poser dans son décolleté. Il se rapproche encore et, guidé par une envie intenable, il vient doucement embrasser ses clavicules. Elle sent si bon… Puis il vient l’enlacer pour la serrer plus contre lui. Elle voulait être dominante et le soumettre en l’allongeant ? Tant pis, elle aurait une nouvelle occasion. Pour l’instant, il veut la sentir. Il s’est retenu pendant tout le voyage après tout. C'est d'ailleurs...perturbant.
Une chambre en colocation avec Ian, pas de lit double, pas d'autre colocataire avec nous. Parfait. Ca laisse place à une bonne dizaine d'idées salaces. On est censé surveiller nos jeunes vacanciers mais on pourra se détendre sans la crainte de déranger l'autre. Nos moyens de relaxation sont très similaires. Pour ne pas dire carrément les mêmes à deux ou trois différences près. Alors oui, même si on possède deux lits, les avantages à cela ne sont pas difficiles à trouver. Même si ce n'est pas un double, un seul lit nous suffira amplement. Je m'approche finalement de lui avant de m'installer directement sur ses jambes en poussant encore plus loin le petit jeu du chat et de la souris. Moi, avoir envie de faire des galipettes avant de devoir bosser ? Totalement ! Après tout il faut bien que je me remette de mes émotions. Quatre heures au total de voyage dans un truc étroit et clos, c'est traumatisant. Oublier cet épisode dans les bras de mon psychologue préféré, c'est le rêve.
Une fois ma proie allongée sur le lit dans la largeur, je constate que niveau place on a quand même de quoi faire. Tant mieux. Nos bêtises ne se passent pas forcément dans une grande place mais ça serait con de se niquer le dos juste parce que l'espace pour se poser est insuffisant. Peu importe le temps que l'on a à disposition avant de devoir s'éparpiller pour surveiller nos protégés, j'ai bien l'intention de m'amuser un peu avec Ian. Et l'idée semble réciproque. Au moins je n'ai pas besoin de faire trop d'efforts pour le convaincre. Bien que le tissu de sa chemise me dérange, je me retiens de le retirer tout de suite. Oui j'ai envie de lui mais pas au point de lui sauter dessus comme s'il n'était qu'un morceau de viande. Il est plus que ça. Bien plus.
Mon sourire reste ancré sur mon visage alors que le psychologue rapproche son visage du mien. Ses caresses me tirent de légers frissons alors qu'il n'en est encore qu'au visage. Ca donne déjà une petite idée sur ce que ça sera plus tard. Enfin plus tard... Autant dire quelques secondes après. Lorsqu'il déplace sa main et dépose un baiser sur mon épaule, les frémissements s'intensifient. C'est bien le seul qui réussit à obtenir ce résultat avec si peu de contact. Le seul pour qui j'accepterai toujours, ou du moins très souvent, d'être à sa merci.
- Oui, c'est même beaucoup mieux cette proximité.
Plus proche. Encore plus proche. Collée contre lui. Je ne le pensais pas si pressé de passer à la suite mais en même temps, ça ne me gêne pas. On ne doit pas avoir beaucoup de temps devant nous. Même si j'ai une préférence pour des moments doux avec des préliminaires avant de passer à l'action, je n'ai rien contre le faire d'avoir le petit coup rapide de temps en temps. Quand la situation s'y prête je dis rarement non. Pendant que je profite de mon matelas vivant, ma main passe sur la joue de celui-ci. Un geste tendre que je ne peux retenir. Je voulais lui laisser un peu son espace durant le voyage mais au final je l'ai regretté. Heureusement dans l'avion il n'était pas loin. Il était dans la rangée juste derrière la mienne mais ça ne m'a pas suffi. Ces vacances vont me permettre de rattraper les heures perdues avec lui.
- On défera nos affaires plus tard. Le test du lit est plus intéressant et je ne pense pas pouvoir tenir toute une journée sans assouvir un minimum de mes désirs.
Mon visage vient se loger dans le cou de mon colocataire et j'y dépose plusieurs petits baisers. De petits contacts doux, répétés à divers endroit de sa peau pendant que l'une de mes mains se charge de lui défaire les boutons de chemise. Une fois celle-ci ouverte, ma mimine baladeuse se glisse sur ses côtes, descendant lentement en passant sur son ventre jusqu'à frôler le pantalon. Il a voulu me serrer contre lui mais cette proximité ne m'empêche pas de faire certains gestes. Ils deviennent juste un peu plus compliqués à faire selon ce que je veux lui faire subir.
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Ian Stevens
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Mar 19 Nov - 22:25
Ian Stevens
Les bienfaits de l'écume ▬ Feat. Cordelia
Les respirations commencent à se faire courtes alors que la tension grimpe entre eux. Ian garde son visage contre sa peau, respirant son odeur alors qu’elle se complait dans leur proximité. Oui. Il aime aussi cette proximité. Il aime la sentir contre lui. Sentir ses formes se mouler aux siennes. C’est si agréable. Mais la meilleure chose, c’est leur peau l’une contre l’autre. Et il pourra bientôt y goûter. Il continue d’embrasser sa peau mais redresse doucement la tête quand il sent sa main se poser sur sa joue. Il lève les yeux vers elle, un peu surpris par la douceur de son geste mais ça ne le dérange pas. Il s’étonne même à l’apprécier tout particulièrement.
▬ On défera nos affaires plus tard. Le test du lit est plus intéressant et je ne pense pas pouvoir tenir toute une journée sans assouvir un minimum de mes désirs.
Ian sourit à sa phrase. Il aime la voir pleine de désirs. Et encore plus quand c’est lui qu’elle désire. Il se sent fort et sa confiance en lui grandie encore plus. Il ferme les yeux quand elle enfouit son visage dans son cou pour embrasser sa peau et il est pris de frissons délicieux. Il la laisse faire, son sourire s’élargissant encore plus quand il la sent déboutonner sa chemise. Si impatiente~ Ça lui plait~ Il la laisse faire, attendant patiemment et se délectant de ses lèvres sur sa peau et quand il sent sa main sur ses côtes, il se cambre légèrement et inspire. Elle a les mains chaudes mais son contact et si léger qu’il frissonne encore.
Quand sa main descend encore pour frôler son pantalon, le psychologue ne tient plus. Il ne peut plus attendre. Pendant tout le trajet, il était loin d’elle. Il lui a laisser son espace mais il n’a fait qu’avoir envie d’elle, repensant à tous leurs moments. Maintenant qu’elle est là, accessible, il ne va pas se retenir. Il pose ses mains sur ses hanches les remontant pour lui faire lever les bras au-dessus de sa tête, puis il attrape le bas de son top pour le lui retirer d’un geste fluide. Il jette le vêtement et vient l’enlacer. Enfin…peau contre peau. Il soupire de bien être avant de relever la tête pour venir l’embrasser passionnément. Il a tellement envie d’elle.
Ses mains se glissent dans ses cheveux bouclés et il prolonge le baiser, les yeux fermés. Il aime tellement ce contact qu’il pourrait l’embrasser pendant des heures entières. Doucement, sa langue vient titiller ses lèvres pour les lui faire entrouvrir et elle rejoint sensuellement sa jumelle. Une de ses mains glisse doucement de sa nuque à sa poitrine qu’il commence à caresser doucement. Si agréable. Il rompt le baiser doucement pour lui sourire. Elle est là, sur lui, en jupe et soutien-gorge, sensuelle et à tomber, dans ses bras. Elle n’est rien que pour lui. Et il compte bien en profiter.
▬ Tu es si belle Cordelia…
Il lui sourit et vient embrasser délicatement sa mâchoire, la mordillant doucement. Sa main reste sur sa poitrine alors qu’il continue doucement ses caresses.
Une proximité pareille avec le psy ? Comment dire non ? C'est si agréable. Il est doux, chaud, et beaucoup trop attirant pour que je puisse résister. J'aime ces contacts que l'on a de plus en plus souvent. Je ne le cache pas et je lui avoue de but en blanc que mon désir pour lui est tel, que je ne pourrai pas tenir la journée sans assouvir une seule de mes envies. Même si ce n'est pas totalement fait, j'ai besoin d'avoir mon petit plaisir du jour. Ca ne pourra pas attendre plus longtemps. Et puis avoir un temps limité pour faire notre petit jeu avant de devoir commencer sérieusement notre job de surveillants, ça a un côté excitant.
Mes attentions sur lui se font douces mais le désir peut toujours se faire sentir à travers mes baisers et surtout mes caresses. J'ai envie de lui, de me lier à lui, d'être à lui. Je déboutonne rapidement – vite dit – sa chemise, laissant ainsi un accès plus agréable pour ma main baladeuse. Cependant c'est moyennement le cas lorsque je veux accéder au pantalon. Trop serrés l'un contre l'autre. Le passage est devenu plus étroit. Celle-ci ne reste de toute façon pas longtemps à cet endroit. Je me retrouve bien vite à devoir lever les bras pour permettre à l'homme de me dénuder en partie. Et pourtant, j'ai de plus en plus cette sensation de chaleur. J'ai l'impression d'être dans un sauna qu'on vient à peine de mettre en route.
Le contact entre nos corps se trouve être désormais plus que plaisant. Je soupire de bien-être avant de prolonger le contact contre ses lèvres. Il est si chaud déjà. Et aussi impatient que moi, si ce n'est même plus. Je crois que pour cette fois, les préliminaires seront plus courtes que les autres. Ce ne serait pas la première fois et sans doute pas la dernière non plus. Des frissons apparaissent sur ma peau après le passage de sa main. Les miennes quant à elles, se posent sur les hanches du psychologue. L'étreinte trahit une fois de plus mon désir pour lui. Et indirectement l'affection que j'ai pour cet homme. Avec lui j'ai régulièrement des gestes et des attentions tendres ou qui sous-entendent mon envie de le garder contre moi. Avec mes aventures d'un soir, il n'y a rien de tel. C'est limite du « fais ça vite qu'on en finisse ». Pour être honnête lorsque j'ai un plan d'un soir, c'est à Ian que je pense au moment de passer à l'acte.
- Mon aphrodisiaque ambulant...
Oulà. Encore un peu et je disais plutôt « à moi » à la place d'ambulant. On va dire que ce sont ses caresses qui me perturbent et m'embrument l'esprit. Ouais. On va dire que c'est ça. Mon corps frémit encore au contact de ses caresses, l'une de mes mains remonte le long de son dos pour rejoindre la nuque. Mes doigts se glissent légèrement dans ses cheveux, jouant avec. Ils sont tellement doux. Je pourrais y glisser ma main dedans durant ses heures. De mon autre main, je viens décrocher le pantalon, avec un peu de peine certes mais c'est le résultat qui compte. Lorsque celui-ci est ouvert, j'y glisse ma mimine afin de lui torturer un peu l'objet de convoitise. Je veux le rendre de plus en plus impatient, qu'il me désire plus, qu'il en oublie même nos jeunes vacanciers si ce n'est pas déjà le cas.
- Je te désire tellement.
Des paroles soufflées dans un soupire. Je viens lui mordre très légèrement le cou. J'hésite même à lui laisser une trace de mon passage mais...est-ce vraiment raisonnable dès notre arrivée ? Ca m'embête mais je vais devoir patienter encore quelques heures. Ou quelques jours. C'est décevant, j'ai envie de laisser une marque de mon passage sur son corps. C'est beaucoup trop tentant. Je me retiens donc d'y laisser une trace de morsure, gardant cette option en tête pour la prochaine fois. Il n'y échappera pas. Je viens ensuite poser mes lèvres contre les siennes pour un baiser fougueux, l'une de mes jambes se relevant légèrement contre celle de Ian. Le contact contre son pantalon n'est pas ce que je préfère. Je me décide alors à faire glisser le vêtement le long des cuisses de l'homme. J'essaie d'aller le plus loin possible mais je me retrouve vite limitée. J'en perds alors un peu mon côté féminin sensuel pour un féminin pas très patiente, m'occupant de faire glisser le pantalon avec un pied pour la partie restante.
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Lun 25 Nov - 0:07
Ian Stevens
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Tous ces frissons causés par le chemin de ses doigts, tous ces petits soupirs qui s’échappent malgré lui, Ian en veut toujours plus. Il veut la sentir. Plus proche. Il veut s’unir à elle, ne faire qu’un. Mais la douceur de leurs caresses est tout autant agréable. Il se rappelle encore leur première fois. À l’époque, il était doux parce qu’il le devait, mais là c’est presque instinctif. Il veut prendre soin d’elle, se concentrer sur son plaisir à elle, pour une raison qu’il ignore. Il est partagé entre deux sentiments qui ne se coordonne pas. L’impatience, l’envie d’elle au point qu’il pourrait craquer d’une minute à l’autre, et l’envie de douceur, de prendre soin d’elle, de la savourer lentement. Rapide ? Ou lent ? Les deux sont prometteurs. La seule manière de satisfaire les deux envies, c’est de la douceur sans préliminaires. Oui, c’est un bon compromis.
Il continue ses douces caresses sur sa poitrine, observant son visage, écoutant ses soupirs. Il se délecte de ce qu’il voit, de ce qu’il ressent. Les mains de sa partenaire sur ses hanches laissent des tracés brulants sur sa peau et son cœur accélère encore plus. Elle est si belle.
▬ Mon aphrodisiaque ambulant...
Il sourit contre sa mâchoire. Un aphrodisiaque ? Il n’y avait jamais pensé. Mais c’est vrai que ça lui ressemble. Il sait qu’elle réagit dès qu’il entre dans une pièce. Ses sourires, son corps qui se tend, ses bisous soudain qu’elle ne peut pas s’empêcher de faire parfois. Il sait qu’il lui plait. Et c’est si satisfaisant.
Sa main glisse de ses hanches à sa nuque, et le frisson lui coupe brièvement la respiration. Ça chatouille. Quand ses doigts se glissent dans ses cheveux, Ian fait de même, observant son visage avec un sourire tendre. Mais ce qui fait élargir son sourire et légèrement rire, c’est son autre main, plus baladeuse, plus impatiente. Elle essaye de déboutonner son pantalon et il s’écarte un peu pour lui donner un peu plus d’espace pour manœuvrer. Et a peine l’a-t-elle ouvert, qu’elle y glisse sa main, entrant en contact avec sa virilité. Il lâche un soupir d’excitation, la fixant. Mon dieu… elle est si sexy, si impatiente. Doit-il abandonner son envie de douceur ? … certainement pas~
Il la désire, énormément. Une part de lui voudrait l’attraper pour la jeter dans le lit et prendre le dessus, prendre le contrôle. Mais il veut jouer un peu, il veut la séduire, la faire languir un peu. Il veut qu’elle le supplie d’aller plus vite, de la satisfaire. Oh oui…c’est si tentant. Ses joues rougissent un peu sous son désir mais il tient bon. C’est elle qui craquera.
▬ Je te désire tellement.
Elle soupire, vient mordiller son cou et Ian ferme les yeux, laissant sa tête partir en arrière, son esprit s’embrumer alors qu’il se laisse envahir par les désirs de son italienne. Il sourit en la sentant contre sa peau. Hésite-t-elle à lui faire un suçon ? Non Cordelia~ Pas devant les enfants~ Il sourit, ses yeux s’ouvrant sur le plafond. Puis, il se retrouve avec ses lèvres sur les siennes. Il sourit contre elles, fermant les yeux de nouveau et vient l’enlacer. Il prolonge le baiser, lui montrant qu’il a autant envie d’elle mais rapidement, il la sent tenter de retirer son pantalon. Il la sent galérer et il rigole doucement contre ses lèvres, cherchant à l’aider un peu.
Quand il se retrouve en caleçon après une bagarre entre le tissu et l’italienne, il se met à rire, l’attrape et l’allonge dans le lit, se retrouvant au-dessus d’elle.
▬ Impatiente on dirait~ Aurais-tu envie qu’on aille plus loin tout de suite ?
Il lui lance un sourire charmeur alors qu’il vient embrasser son cou. Lentement, sensuellement, il descend le long de son cou pour venir embrasser ses clavicules, puis descend encore pour atteindre sa poitrine qu’il prend entre ses lèvres, s’emparant de l’autre d’une main. Il la caresse, la torture, savourant le goût de sa peau. Puis entre deux caresses, il murmure d’un ton séducteur.
▬ Je pourrais te faire languir encore plus. Te torturer de douceur. Dis-moi ce que tu veux Cordelia~
Comme s'il ne faisait déjà pas assez chaud à cause de la saison, Ian et moi ne trouvons rien de mieux que de faire encore monter la température. Les baisers, les caresses, les contacts divers sur nos corps. Mes désirs autant que les siens ne cessent de monter. Je le veux. Je ne veux pas patienter jusqu'à la fin de la journée pour l'avoir. Ce type hante déjà mes nuits, s'il se met à hanter mes journées plus que d'habitude, je vais avoir vraiment du mal à rester sage. C'est déjà très dur maintenant. Je veux lui laisser une trace de mon passage sur son cou, j'en ai tellement envie mais...je ne peux pas. Quelle image on donnerait aux jeunes si Ian ou moi-même ressortions de la chambre avec un suçon dès le premier jour ? C'est frustrant. Je me vengerai durant la semaine.
Je tente finalement de lui retirer le pantalon mais avant d'y parvenir, c'est un combat acharné. Retirer un vêtements sans pouvoir utiliser ses mains, c'est de la merde. J'y suis tout de même parvenue malgré les moqueries du psychologue. Je ne lui en veux pas, j'aurais sans doute fait de même si ça avait été lui qui galérait avec mon pantalon. Toutefois je lui « râle » quand même dessus juste pour la forme. C'est seulement pour me maintenir en bonne santé. Je dois râler au moins une fois par jour pour ma santé. Oui, c'est juste une excuse pour pouvoir ronchonner sans pitié.
- Te fous pas de ma gueule quand j'essaie de rester sensuelle en te retirant un pantalon. La prochaine fois je te l'arrache.
Okay je n'ai pas essayé de rester sensuelle quand j'ai utilisé le pied. Je ne réussirai non plus pas à lui arracher le froc. Dommage d'ailleurs parce que ça aurait été drôle. Allongée sous lui, je l'écoute et ricane doucement lorsqu'il me parle d'impatience. Bien sûr que je le suis ! Evidemment que je veux passer à la suite immédiatement ! Et ses actions sur moi n'arrangent pas du tout ma situation. Démon de la tentation ! L'une de mes mains se promène avec douceur tout le long de son dos. J'aime tant sentir sa peau contre moi.
- Plus qu'impatiente. T'as pas intérêt à me faire languir toute la journée sinon je me venge.
Et il sait que j'en serais capable. D'un autre côté, je ne sais pas s'il tiendrait réellement toute la journée après avoir été chauffé. Notre dernière partie de jambes en l'air remonte déjà à quelques jours et je sais qu'il aime faire ce genre d'activité régulièrement. Très régulièrement.
- Tu veux donc savoir ce que je veux ? Toi. J'ai envie de toi, là, tout de suite, maintenant.
Clair, net et sincère. Je ne pourrai pas tenir la journée sans avoir pu avoir mon petit plaisir avec lui. C'est désormais devenu un besoin. L'une de mes jambes se replie en frôlant volontairement le corps de mon partenaire avant de se rebaisser en emportant le caleçon au passage grâce à mon pied. Mon but a été de le titiller mais surtout de dégager ce tissu gênant. J'aime avoir accès à mon joujou sans devoir passer un obstacle pour y accéder. Ma main libre se place donc rapidement sur l'outillage masculin et le caresse, prenant soin de cette partie. Pas question de lui faire mal ici, ce truc est mieux qu'un sextoy.
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Ian Stevens
U, IRS & ISS |:| Psychologue
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Situation amoureuse : En couple avec Cordelia Calvelli
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Dim 19 Jan - 20:16
Ian Stevens
Les bienfaits de l'écume ▬ Feat. Cordelia
Voir l’impatience dans ses gestes, dans son regard, c’est délicieux. Ian adore voir ce qu’il provoque chez elle. Son énergie pour lui retirer son bas. Son envie refoulée de le marquer. Elle est adorable. Il ne peut pas s’empêcher de rire quand elle réussit enfin à se débarrasser de la barrière de vêtement qui la sépare de ce qui l’intéresse. Quand elle lui demande de ne pas se moquer d’elle, que la prochaine fois, elle le lui arrachera, il ne peut pas s’empêcher de rire en un peu plus. Elle est si mignonne parfois~
Alors il passe au-dessus, il prend le contrôle, il la domine sans vraiment le faire. C’est elle qui décide. Il la taquine encore un peu plus, lui faisant remarquer son impatience, qui la rend si craquante à ses yeux. Et il n’est pas déçu par sa réaction. Sa main vient caresser son dos et Ian se doucement rouler ses muscles sous ses doigts, guider par les frissons qu’elle provoque chez lui. Quand elle lui dit de ne pas la faire languir, qu’elle se vengera s’il le fait, il ne peut pas s’empêcher de sourire plus largement alors qu’il vient embrasser son cou et commencer ses caresses.
Il s’attaque à sa poitrine, jouant délicatement de sa pointe sensible avec ses lèvres et titillant l’autre de ses doigts. Il veut lui donner du plaisir. Il veut l’entendre. Il veut qu’elle soupire son prénom entre deux gémissements, qu’elle glisse ses doigts dans ses cheveux pour lui en demander plus. Alors entre deux caresses, il lui demande ce qu’elle veut.
▬ Tu veux donc savoir ce que je veux ? Toi. J'ai envie de toi, là, tout de suite, maintenant.
Son sourire s’élargit et il reprend ses caresses. Il lèche, mordille et suce délicatement sa pointe alors que sa main continue de caresser son corps. Il a tellement envie d’elle. Et quand il sent sa jambe remonter le long de sa taille, ses doigts de pied attraper le dernier vêtement qui le sépare de la nudité et le baisser d’un coup expert, il lève les yeux vers elle, mordillant son téton.
Puis il sent sa main s’aventurer entre eux et il sourit. Si impatiente~ Si adorable ~ Il referme les yeux alors que sa main s’empare de lui pour commencer des caresses douces et sensuelles. Il grogne contre sa peau alors qu’il durcit encore entre ses doigts. Elle est irrésistible. Comment pourrait-il se retenir ? Elle est si sûre d’elle et de ce qu’elle veut. Comment pourrait-il patienter ? Faire durer le plaisir ? Il la veut maintenant…
Alors sa main s’aventure à son tour, elle descend le long de son ventre, caressant sa peau douce pour atteindre son intimité. Et sans arrêter ses baisers sur sa poitrine, il la glisse sous le tissu fin qui le sépare de sa convoitise, allant pour la caresser délicatement. Sa main sur lui lui envoie des petites décharges de plaisir dans tout le corps et il soupire contre sa peau. Il se redresse pour se concentrer sur ses doigts contre son sexe et remonte pour venir l’embrasser avec envie. Elle peut faire ce qu’elle veut de lui. Si elle le veut maintenant, il se donnera sans hésiter. Si elle veut sa bouche, il obéira. Il la veut de toutes les manières, peu importe par quoi elle veut commencer.
Il veut cette femme. Il veut se l’approprier. Et il n’a jamais ressenti ça avant. Il ne veut plus parler. Il ne veut plus la séduire par des mots. Il veut agir, lui montrer par des caresses, en honorant son corps de déesse. Il continue de l’embrasser, grognant légèrement de plaisir contre ses lèvres alors qu’il accentue de plus en plus ses caresses sur elle.
Je m'impatiente. Mon désir pour lui est si fort. Lorsque je parviens enfin à me débarrasser du tissu le plus gênant, il se fout encore de ma gueule. Cependant je le nargue en retour après sa question. S'il me fait languir trop longtemps, il en subira les conséquences et elles ne vont pas lui plaire. Je veux passer à la suite. Je le veux tout court. Il se place en dominant – et moi je mate encore plus l'Apollon – et j'en profite pour retrouver un contact physique avec son corps. La douce torture qu'il me refait subir augmente mon impatience et il en joue. De légers soupirs de bien-être s'échappent de mes lèvres, l'une de mes mains remonte le long de son dos pour se glisser sur la nuque et frôler quelques mèches de cheveux. Ils sont doux.
Mes dernières paroles lui laissent entendre que j'ai envie de lui. Je le désire à un point inimaginable. Plus que d'habitude. Bien plus que lorsqu'on était des petits cons de lycéens. Bien plus que s'il n'était qu'un simple sex friend. J'utilise une nouvelle fois la technique du pied pas du tout sensuel pour lui retirer le dernier bout de tissu dérangeant avant de placer ma main libre sur l'objet de convoitise. Le passage a été un tantinet plus compliqué entre notre corps rapprochés mais je m'estime heureuse d'avoir les mains fines. Et agiles aussi.
Je suis de plus en plus avide de lui, mes caresses sur son outillage trahissent mon désir bien qu'elles restent douces. Mes mains n'omettent aucune partie. C'est comme si je redécouvrais son entre jambe. Un sourire de satisfaction s'affiche alors que je sens son excitation entre mes doigts.
- Je ne suis pas la seule à devenir impatiente apparemment. C'est toujours aussi satisfaisant de le sentir.
Un nouveau soupir se fait entendre alors que sa main devient plus baladeuse. Ma main située sur sa nuque se glisse dans la chevelure de mon aphrodisiaque ambulant. Je pourrais passer des heures à glisser mes doigts dans ses cheveux. Puis un mot s'échappe dans une petite plainte d'aise. Le nom de mon partenaire. Son nom. Je réponds à son baiser, prolongeant ce contact si tendre et envieux en même temps.
Ma faim est devenue trop grande. Je ne tiens plus. Je relève alors légèrement le bassin et fait doucement – bon okay je ne l'ai pas fait si lentement que ça – glisser ma culotte aussi loin que je peux. Je demande ensuite à Ian s'il peut retirer le reste. Je veux m'unir à lui. Lui appartenir. Mon corps réclame le sien. Quelques paroles sortent entre deux sons de plaisir. Une demande, presque une supplication même, de prendre possession de ce corps qu'il a pu envahir de diverses manières et de nombreuses fois. Finis les préliminaires, les tortures certes agréables mais longues et le blabla taquin et charmeur. Je veux passer aux choses sérieuses. À l'acte qui nous donnera l'impression d'être dans un sauna. Je veux pouvoir prendre encore plus de plaisir et lui en donner autant.
Il accède à ma demande suppliante et bon dieu c'est si bon ! J'ai l'impression de ne pas avoir couché depuis des mois alors que ça ne fait pas si longtemps que ça. C'est le seul homme à me faire cet effet. Il va me rendre folle. À chacune de nos rencontres, torrides ou non, il parvient à me faire chavirer.
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Ian Stevens
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Dim 2 Fév - 19:11
Ian Stevens
Les bienfaits de l'écume ▬ Feat. Cordelia
Le contact de sa peau, les respirations qui se font de plus en plus difficiles, qui trahissent l’envie qu’ils ont de l’autre. Ses doigts qui le caressent et le torturent de plaisir. Ses mains, à lui, qui font de même. Ses mots séducteurs qui lui arrachent un sourire charmeur alors qu’il continue de l’honorer. Ce corps…ces formes…il veut cette femme. Cette attitude séductrice… Elle le séduit avec tellement de facilité que c’en est frustrant. Il veut la faire taire. Ou la faire crier plutôt. Il veut qu’elle soupire son nom, qu’elle le gémisse puis qu’elle le crie, sous l’emprise du plaisir que lui seul lui procure.
Sa main se glisse dans ses cheveux, lui arrachant un frisson. Puis un soupir, son nom, le rend fou et il vient récupérer ses lèvres avec envie. Il ne cesse ses caresses tout en l’embrassant. Tout son esprit est focalisé sur ce qu’ils se font, sur les petites vagues de plaisir qui déferlent dans son corps. Quand il la sent redresser son bassin, ainsi que le dernier tissu partir, il l’aide à se déshabiller sans rompre le baiser, un petit sourire se dessinant contre ses lèvres. Quand elle lui soupire contre ses lèvres de la déshabiller, il se redresse doucement, rompant le baiser, son regard se posant sur son corps sublime. Elle est si belle~ Il pourrait la regarder pendant des heures entières. La regarder se tortiller de désir sous lui~ En demander plus.
Alors, décidant de céder à ses suppliques, sensuellement, ses mains viennent attraper le bout de tissu pour le glisser avec une lenteur atroce le long de ses cuisses, puis de ses jambes pour ensuite jeter le sous-vêtement dans la pièce. Tout en gardant son regard planté dans le sien, un petit sourire charmeur aux lèvres. Il veut faire monter le désir encore plus. Il veut qu’elle n’en puisse plus de lui. Qu’elle le supplie encore plus. Qu’elle n’est plus que la solution de lui dire clairement ce qu’elle veut. Elle est si sexy, si féminine et sensuelle~ C’est exquis.
Quand elle lui demande de la prendre, de la pénétrer et de ne faire qu’un, le sourire du psychologue s’élargit. Enfin~ Ces paroles sont si douces à ses oreilles~ Il attrape son bassin, ses doigts, comme des caresses sur sa peau, et se penche vers son sac pour récupérer un préservatif dans la première poche. Sans la quitter des yeux, il déchire le paquet avec ses dents et l’enfile d’un geste expert. Ses doigts viennent de nouveau caresser lentement son intimité et il s’installe.
Une main au niveau de sa tête, penché au-dessus d’elle, et son sexe dans son autre main, il la pénètre lentement, son regard fixé sur son visage. Il veut voir le bien-être, le plaisir sur son visage. Il veut la voir se cambrer sous le plaisir. Il veut voir le pouvoir qu’il a sur son corps. Et c’est la meilleure chose.
Petit à petit, il entame des vas et viens en elle, sa deuxième main venant au niveau de son visage pour caresser sa joue alors que des soupirs de plaisir discrets s’échappent de ses lèvres. Ça faisait longtemps… Seulement quelques jours, et entre-temps il l’a fait avec d’autres… mais avec elle…c’est complètement différent. C’est si bon… c’est parfait. Il ferme les yeux et vient coller son corps contre sien, restant front contre front alors qu’il continue ses mouvements en soupirant et grognant de plaisir. Cordelia… Sans s’arrêter, ses lèvres parcourent son visage pour finalement atteindre son oreille qu’il embrasse sensuellement, jouant avec le lobe et ses endroits érogènes.
Je n'en peux plus. J'ai chaud. Trop chaud. Ma main dans ses cheveux profite de leur douceur. Le reste de mon corps frissonne sous la douce torture du psychologue. La température ne cesse de monter au point d'en devenir insupportable. Pareil pour mes désirs. Je veux passer à la suite. Je veux ne faire qu'un avec lui. Je veux lui appartenir. Je redresse un peu mon bassin et retire autant que possible mon sous-vêtement et Ian m'aide à le jarter totalement. Je le maudis toutefois sur l'instant parce qu'il fait exprès d'aller lentement. Il joue avec mes envies. Il me donne beaucoup trop chaud, j'ai l'impression d'être dans un sauna. Tout mon être bouillonne pour lui. Jamais un homme n'a eu autant d'effet sur moi.
Je finis par craquer. Par lui demander, le supplier même, de nous unir. Une supplication qui fait plaisir à mon tortionnaire. Le contraire m'aurait étonnée. Il aime jouer avec mes désirs jusqu'à me faire craquer. Et j'aime en faire de même lorsque c'est moi qui le domine. Il habille Popol pour son travail à faire. Pendant ce bref instant de répit – pour moi – mes mains reprennent leur balade sur son corps. De douces caresses ciblées essentiellement sur ses zones les plus sensibles. Et puis vient enfin le moment tant attendu. L'union de nos corps. Je me mords légèrement la lèvre inférieure, subissant un plaisir non dissimulé.
Ce contact entre nos deux êtres me manquait déjà. Mon corps se cambre doucement sous celui de mon partenaire. Et puis il commence quelques mouvements, lentement puis sur un rythme plus passionné. Des sons de bien-être s'échappent de mes lèvres, contrôlés un minimum afin de ne pas faire profiter tout le voisinage. En temps normal je n'ai pas trop de gêne pour ça mais habituellement il n'y a pas autant de jeunes dans les environs.
Mes jambes s'enroulent doucement autour de la taille de mon partenaire préféré alors qu'il se rapproche encore de moi. Ca fait tellement de bien. Tellement bon. À nouveau, son nom est prononcé dans un souffle alors qu'il me torture le lobe et toutes mes zones les plus sensibles. Je ne suis pas en reste pour autant. Mes mains s'affairent à lui caresser le corps. Les bras, le dos, le torse, la nuque,... Toutes les parties qui me sont accessibles, effectuant des aller-retours. Je loge mon visage contre son cou et l'embrasse tout aussi sensuellement que lui.
Une nouvelle petite frustration s'empare de moi. Je dois à nouveau me retenir de lui laisser une trace de mon passage. J'ai terriblement envie de lui laisser une marque bleutée sur sa peau mais je dois patienter. Autre petit problème, la patience n'est pas mon point fort. Moi aussi j'ai des limites. D'un autre côté, ça me donne l'occasion de relever un petit défi. Combien de temps tiendrai-je sans réellement m'attaquer à sa peau immaculée ? Pour être honnête je sais déjà qu'à notre retour de vacances, il l'aura cette marque. J'aurai apposé ma trace.
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Ian Stevens
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Sam 14 Mar - 20:28
Ian Stevens
Les bienfaits de l'écume ▬ Feat. Cordelia
Le psychologue est attentif à chaque réaction, chaque expression et chaque mouvement qu’elle lui offre. Ses caresses le font frissonner, ses expressions font monter toujours plus la température de son corps et ses soupirs augmentent son désir pour elle. Il la veut. Il veut qu’elle soit sa femme, qu’elle lui appartienne, qu’elle n’aille voir personne d’autre. Il veut être le seul pour elle, le seul qui la met dans un tel état, le seul qui peut la voir ainsi. Depuis quand est-il si possessif ? Depuis quand est-il si égoïste ? Il ne le sait pas. Il ne sait pas quand ça à débuter exactement, mais il sait que c’est de sa faute. Que c’est elle la fautive. C’est ce corps, ces yeux séducteurs, ces sourires, ces soupirs, ces rires, ces réactions adorables quand elle a peur. Il veut la protéger. Il veut vraiment être son seul homme… Qu’elle le choisisse lui, et personne d’autre.
Merde… Il est dans la merde… Alors qu’il continue ses mouvements lents et amples en elle, soupirant de plaisir contre son oreille, elle se cambre contre lui, réduisant encore plus l’espace entre leur deux corps, et ce contact fait frémir notre japonais préféré. Sa peau douce, et chaude contre la sienne, c’est un contact magique qu’il a toujours su apprécier, mais quand c’est sa peau à elle, il y a une sensation différente, un truc en plus qui lui échappe et qui l’électrise. C’est divin… Restant bien contre elle, la serrant bien contre lui, il accélère progressivement ses mouvements. C’est si bon. Tout ce plaisir qui s’empare de ses membres et le détend à chaque vague. Il ferme les yeux, continuant de torturer son lobe alors qu’il grogne sensuellement de plaisir dans le creux de son oreille. Il avait tellement envie d’elle pendant tout le trajet, et maintenant qu’il peut enfin assouvir ses désirs, ça ne suffit pas. Il en veut plus.
Ses jambes s’enroulent autour de ses hanches pour l’inciter à accélérer et Ian obéit. Il fera tout ce qu’elle veut. Il est là pour elle, pour son plaisir. Elle prononce son nom dans un souffle et son cœur manque un battement avant de repartir de plus belle. Il l’enlace, pesant son corps sur le sien et ses mouvements de hanches se font plus amples alors qu’il s’enfonce un peu plus en elle. C’est… Ouah. Il sent ses mains sur lui, le caresser alors qu’il accélère, la serrant plus fort. Il a chaud. Il a tellement chaud. Le plaisir le rend fou, son esprit s’embrume alors qu’il ne pense qu’à elle, qu’à ses mains, ses soupirs et la sensation de son corps contre le sien. C’est si bon ! Elle enfouit son visage dans son cou et il fait de même, respirant son odeur corporelle mêlée à celle du sexe. C’est enivrant. C’est exquis.
Sa bouche, sur lui, lui arrache des petits grognements de plaisir alors qu’il frissonne toujours plus. Il continue ses mouvements, s’enfonçant délicieusement dans son intimité puis doucement, se libérant de son étreinte pour avoir une meilleure vue sur son corps splendide, il se redresse pour faciliter ses allées et venues. Le regard emplit de désir, il observe son visage rougit par le plaisir et garde ses mains de chaque côté de son visage. Cette vue est incroyable… Elle est si…
▬ Tu es tellement belle… tellement sexy…
Il se penche, sans s’arrêter pour venir ravir ses lèvres et l’embrasser fougueusement. Il est devenu fou. Il n’a jamais ressenti ça. Il est devenu fou d’elle. Les battements de son cœur en sont la preuve. Il n’a jamais battu comme ça, pour personne. C’est elle. C’est seulement elle. Et il se fait la promesse, qu’après ce séjour en France, elle sera sienne.
Cette union est divine. Ca me manquait déjà alors que notre dernière partie sportive ne date pas de si longtemps. J'ai pourtant l'impression que ça fait une éternité. J'aime tant sentir son corps contre le mien. Sentir sa peau frissonner sous mes doigts. Sentir les allées et venues effectuées en mon être. Mes jambes étreignent la taille de l'homme, son nom est prononcé dans un soupire de bien-être, mes mains voyagent sur plusieurs zones de son corps. Partout où j'ai accès. Mes lèvres se posent sur son cou alors que je résiste encore à l'envie de lui apposer ma marque. C'est très frustrant de devoir m'empêcher de le marquer. Je veux que les autres, hommes ou femmes, sachent que Ian est ma chasse-gardée.
Le rythme s'accélère encore entre nous. Les coups de reins sont plus rapides, plus amples aussi. Mon rythme cardiaque aussi s'accélère. J'ai l'impression que mon coeur pourrait traverser ma poitrine tant il s'affole. Personne n'a eu autant d'effet sur moi. Pas même mon ex petit-ami. Ian possède ce petit truc en plus que chacun recherche dans une relation. On ne sait pas forcément ce que c'est exactement mais on sait que c'est présent. C'est actuellement mon cas. Je ne sais pas ce que c'est que ce petit truc en plus mais il m'enivre.
Je sens mon étreinte se défaire et le corps masculin qui s'éloigne. Ce n'est pas fini. Heureusement. Mon regard azur se plante dans le sien, complètement embrumé par le plaisir. Les paroles du psychologue gonflent mon plaisir mais surtout mon égo. Je ne me laisse pas guider par celui-ci en général mais ça fait toujours du bien de le flatter un peu.
- Et toi tu m'enivres toujours autant...
J'ai horriblement chaud. Je prolonge le contact fougueux contre ses lèvres, glissant l'une de mes mains sur sa nuque. J'ai l'impression d'être une personne en manque de sa drogue. Je le laisse mener encore un peu et décide finalement d'inverser nos rôles. Encore. Cette fois c'est moi qui reprends les rênes. Je descends mon visage jusqu'au niveau de son bas ventre et pose mes lèvres dessus, proche de son organe masculin. Et là, j'y laisse ma marque. Enfin ! Ca me frustrait beaucoup trop de ne pas pouvoir la laisser sur lui. Je remonte ensuite sur l'homme, sourire satisfait sur les lèvres.
Installée à califourchon sur lui, je prends son sexe avec douceur et le refais pénétrer mon être. Puis, les mains chacune d'un côté de son visage de faux ange, mon bassin entame des mouvements et prend peu à peu le rythme que l'on a eu précédemment. Mes cheveux retombent de chaque côtés et un petit peu devant ma figure alors que j'accélère encore les mouvements. De temps en temps je ne m'appuie que sur une main le temps de remettre les cheveux en arrière. C'est l'inconvénient avec les chevelures trop longues.
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Ven 1 Mai - 17:04
Ian Stevens
Les bienfaits de l'écume ▬ Feat. Cordelia
Ils ne sont que des corps chauds et suants, ne recherchant que plus de plaisir et de contact entre eux. C’est si bon. Sa peau douce contre la sienne. Leurs soupirs qui se mêlent alors que leurs lèvres entre de nouveau en contact. Ian devient fou. Il ne veut pas que ça s’arrête. Il l’enivre, elle l’a dit. Et ça lui fait beaucoup plus plaisir qu’il ne le pensait. Ses mains se glissent dans sa nuque, le faisant frissonner alors qu’il continue ses allées et venues en elle, le faisant doucement grogner de plaisir contre ses lèvres. Mais rapidement, elle le pousse doucement pour le faire basculer, lui faisant manquer un battement de cœur. Il adore ça. Il aime qu’elle le domine soudainement. Il pourrait faire n’importe quoi pour elle. Tout ce qu’elle veut faire, il serait capable de le faire, sans réfléchir, et c’est sûrement son plus gros problème. Il est totalement fou d’elle.
Quand elle se retire, le psychologue grimace, légèrement frustré de voir qu’elle arrête leur mouvement. Il pousse un soupir frustré et l’observe descendre vers son bas-ventre, se demandant ce qu’elle compte faire. Il ne la quitte pas du regard, plus excité que jamais de devoir la laisser mener la danse. Elle pose ses lèvres si proche qu’un soupir d’excitation s’échappe aux lèvres du plus âgé. Entrouvrant sa bouche, il ne peut pas s’empêcher de sourire en la voyant le marquer. C’était plus fort qu’elle, hein ? Un petit rire s’échappe de ses lèvres alors qu’il ne peut pas s’empêcher de la taquiner.
▬ C’est plus fort que toi, hein ?
Il rit encore alors qu’elle remonte vers lui, un sourire satisfait sur le visage. Oui, elle mourrait d’envie de le faire. Et maintenant qu’elle est satisfaite, il l’est aussi. Il veut qu’elle soit bien, il veut qu’elle soit heureuse, et qu’elle prenne un maximum de plaisir. Elle reste au-dessus de lui, à califourchon, et délicatement, il vient poser ses mains dans le creux de sa taille. Il grimace doucement de plaisir quand elle l’insère de nouveau en elle et il pousse un soupir de bien-être. C’est définitivement, le meilleur endroit du monde. Il se sent tellement bien avec elle, il a l’impression d’être à sa place, accepté pour ce qu’il est, malgré ses addictions. Il n’arrive pas à quitter son visage des yeux alors qu’elle le domine, les mains de chaque côté de son visage. Son cœur ne se calme pas alors que les mouvements délicieux reprennent. C’est si bon. C’est divin ! Il ne peut pas détourner le regard de son visage rougi par le plaisir, de son corps qui monte et descend au grès des mouvements de son bassin, de sa poitrine qui s’agite délicieusement. C’est si excitant ! Il ne peut pas se retenir et de venir saisir un sein d’une main, venant en caresser la pointe délicatement alors qu’il grogne de plaisir. Son bassin se met alors à bouger à son tour pour accentuer les mouvements et la pénétrer plus fort et plus profondément. Il sait qu’il ne faut pas qu’elle fasse de bruit, que les élèves risquent de l’entendre, mais ses instincts primaires lui dictent de la faire crier de plaisir. Il veut qu’elle hurle son nom. Et il ne peut pas se retenir. Elle est si belle. Il veut qu’elle soit sienne. N’arrivant plus vraiment à réfléchir, ne se rendant pas vraiment compte de ses paroles, il lâche entre deux râles de plaisir.
The Wiesel Den 
