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Je n'étais pas du tout à l'aise en entrant dans cette boîte de nuit, dont je n'ai même pas regardé le nom d'ailleurs. Quoi que le type à l'entrée ait pu penser, je ne venais pas ici pour m'amuser mais pour surveiller un groupe de "jeunes" gens, des élèves de l'école. Surtout l'un d'eux, en fait : Garcia Gustadores. Même s'il n'y avait pas eu une nouvelle tentative pour l'enlever, je ne comptais pas baisser ma garde et quand il sortait, et que je n'étais pas en service, je n'hésitais pas à la suivre, discrètement car il n'aime pas cela, comme je le faisais ce soir. C'et donc ainsi que je me retrouvais dans cette... "boîte" où le son est trop fort, joue des airs que je n'apprécie ni ne comprend mais que les autres membres de ma génération semblent adorer, vu le monde.
Oh, ce n'était pas au point que l'on soit aussi serrés que des sardines dans une boîte de conserve mais la piste de danse était remplie au trois quart, enfin je pense, et la plupart des tables me semblaient occupées. Je parvenais, difficilement, à garder un oeil sur mon blond protégé en allant au bar, me commandant une boisson sans alcool, et pas trop chère car mes moyens restent limités. Cela fait, je me trouvais une table, dans un coin de la grande pièce, libre, avec juste, ce qui était un peu gênant pour moi, mademoiselle Calvelli sur la table voisine, que je saluais poliment de la tête bien sur. Elle semblait seule, ou alors son cavalier est allé leur chercher un verre ? Bah, je le saurais vite et cela ne me regarde nullement.
J'étais à peine installée sur ma chaise que deux individus, des hommes ayant déjà visiblement un peu abusé de la boisson, malgré l'heure peu avancée, pensez donc, il n'est même pas vingt deux heure, s'approchèrent de nous deux.
"Hé ! Mais que font deux filles seules comme ça ? Faut pas vous sentir exclues les filles. Mon pote et moi, on va vous tenir compagnie !"
"Ouais, on est d'excellente compagnie ! Aucune fille ne s'en plaint jamais, vous verrez."
Je l'avoue, je n'ai pas trop envie de me faire remarquer et ses propos, que j'estimais outrancier vu les sous-entendus et leurs ricanements, me donnaient envie de leur répondre à coups de pied. Hélas pour moi, parce que j'ai parfois besoin de me défouler, et pour le bonheur de leur dentition, je ne pouvais le faire car le jeune maître me repérerait aussitôt, et inutile de dire que notre discussion se fera sur un ton énervé de sa part. Et vu leur état, je n'étais pas sure qu'ils prendraient un "non" de notre part, de mademoiselle Calvelli et moi, pour ce qu'il est, un refus de leur "offre" et qu'ils partiraient gentiment. Hésitant donc, je fis mine de les ignorer pour le moment, espérant que mon aînée sera plus convaincante que la gentille et jeune étrangère que je suis, ou qu'elle ait un cavalier qui nous aide. Oui, pour une fois, je serais prête à accepter de l'aide avant de me mettre à réagir de façon "barrios". Ma patience n'est plus ce qu'elle est en ce moment difficile.
Cordelia Calvelli
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Une boîte de nuit. Voilà le lieu où je me suis échouée ce soir. Un mois que la rentrée a été faite, un mois de plus où je n'ai pas pris une réelle soirée pour me reposer. C'est comme ça depuis toujours – du moins des souvenirs que j'en ai – et ça le sera sans doute toujours même dans cinq ans, dix ans et peut-être même trente ans. Pourtant ce soir j'ai quand même fait l'effort de décompresser et me détendre hors de la résidence castel. Hors de chez moi. Je prends du bon temps – et je picole surtout – dans un lieu où les tympans se font exploser par des décibels cent fois trop puissantes. Où la drague va bon train entre des inconnus ivres qui ne se souviendront probablement pas de leur soirée. Où l'alcool coule à flot dans les verres des clients. Où hommes et femmes se trémoussent sur la piste de danse. Où la plupart des gens oublient simplement leurs tracas.
Assise à une table, j'observe un peu le monde présent dans l'établissement. Les nouveaux arrivants aussi ainsi que ceux qui s'en vont. C'est amusant de voir partir des clients déjà ivres. Aucun ne marche droit, certains sont même à la limite de s'étaler comme des merdes. Il y en a même un qui s'est pris la porte d'entrée. Ce con avait oublié que la porte ne s'ouvre pas toute seule. Je m'amuse aussi à voir qui tient bien l'alcool et qui finit pompette après seulement deux ou trois verres. Petites natures.
Lorsque j'aperçois finalement Tsume, je la salue poliment bien que surprise de la voir dans une boîte de nuit. Pour être honnête, je la trouve assez introvertie. Et coincée, faut pas se mentir. Elle n'est peut-être pas comme ça réellement mais c'est l'impression qu'elle donne en tout cas. Alors oui, la voir dans cet établissement est étonnant. Ou alors elle stalke quelqu'un. Ce serait hors de la zone de son travail et donc un tantinet pervers. Mouais... Pas son genre. L'alcool me fait imaginer de drôles de choses.
L'alcool fait aussi croire de drôles de choses à des hommes. Deux d'entre-eux semblent croire que l'alcool facilite une réponse positive à leurs propositions. Ca aurait pu. Avec quelques verres de plus, j'aurais pu accepter. Là, je ne suis pas assez ivre pour accepter sans réfléchir. Il me faudrait une quelconque envie et je n'en ai aucune actuellement. Pas envie de m'amuser avec eux. Pas envie de finir dans un lit non plus en leur compagnie. Du côté de Tsume, ils ont juste eu droit à un vent. Elle les a littéralement ignorés.
- Excusez-moi je n'ai pas compris. Je ne suis que de passage ici, je ne comprends pas très bien la langue.
Ouais c'est facile de faire le coup de l'étrangère en vacances qui ne pige rien de la langue. Mais c'est aussi drôle. Ca l'est d'autant plus lorsque les personnes en face, comme les deux couillons, ne comprennent pas un mot de ma langue natale. Alors ils continuent de faire leur numéro en anglais tandis que de mon côté, je continue de jouer celle qui ne comprend pas un traître mot de l'anglais. C'est drôle de les voir galérer et ceux-ci se concentrent finalement sur Tsume dans l'espoir qu'elle comprenne et qu'elle ne les ignore plus. J'admets que je suis moi aussi curieuse de voir comment elle va s'y prendre. Utiliser la même technique que moi ? Les ignorer encore ? Leur parler pour refuser leur offre ? Allez Tsume, montre-moi comment tu t'y prends dans le privé pour faire fuir les hommes.
Visiblement mademoiselle Calvelli avait de l'expérience pour ce genre de situation, ce qui ne me surprenait pas totalement. Après tout, c'était une très belle femme qui devait subir les assauts des mâles, voir de femmes, à de nombreuses reprises. Sa solution pour ce genre de soucis était relativement simple : elle leur répondit en italien, langue qu'elle enseigne et qui se trouve être, je crois bien, celle de son pays d'origine. Cela marcha mieux que ma propre stratégie, celle de les ignorer purement et simplement. Vu qu'elle leur semblait inaccessible, raisonnement absurde car l'anglais est une langue fortement enseignée, ils se tournèrent tous les deux vers moi.
Je sais que je peux être un rien têtue et que j'ai peut-être eu tort de ne pas vouloir changer d'attitude et de les ignorer mais, sincèrement, je commençais à perdre patience. Normalement, j'aurais été capable de les ignorer pendant une bonne heure, facile, surtout si je voulais qu'on ne me remarque pas, mais avec la perte de Juana, je crois que j'ai un rien perdu l'envie d'être tolérante.
Aussi l'intervention de monsieur Thomson fut-elle la bienvenue, elle me permit d'éviter d'écraser ses deux cafards à coups de pieds, littéralement. Pour leur bien, et un peu le mien, le duo décida de s'éloigner, alors que je disais bonsoir au professeur de musique. Après, je ne nierais pas qu'il est bel homme, mais il n'était pas tout à fait mon style, et je le savais un peu ayant eu deux flirts dans l'enceinte de l'école, quand j'étais étudiante, bien qu'ils aient peu duré chacun. Dario était reparti et Kaled, bah, au final j'ai compris que je ne représentais rien pour lui, vu qu'il préférait son nombril à ma petite personne. De plus, je crois monsieur Thomson déjà en couple, donc je savais qu'il ne tentais pas de nous séduire à son tour. C'est pour cela que je l'ai laissé me faire la bise, et que je la lui avais rendu, même si je trouvais que c'était trop familier comme salutation. Le duo "comique" s'en alla à la recherche du'ne nouvelle proie et je me tournais vers le jeune homme qui était intervenu.
"Merci, monsieur. Je ne sais pas comment j'aurais pu m'en sortir diplomatiquement sans votre aide."
Cordelia Calvelli
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Les pauvres, ils me font presque pitié. L'ivresse les empêche de voir qui est réellement disponible pour une séance de drague et qui ne l'est pas. À cause de cet aveuglement, ils ne voient même pas que je me fous de leur gueule en parlant italien. C'est si pratique d'être de nationalité étrangère dans cette situation. Je fais celle qui ne comprends pas un seul mot de ce qu'ils racontent et les voilà qui retentent leur chance auprès de Tsume. L'espoir fait vivre il paraît mais là, c'est plus que de l'espoir. C'est presque de l'acharnement pour quelque chose qu'ils ne pourront jamais obtenir de nous. Quoique de ma part ça aurait pu. Un autre jour, dans un autre moment, avec moins d'alcool dans leur sang aussi. Ca aurait pu.
Leur nouvelle tentative vers Tsume s'avère être un nouvel échec. Cette fois c'est par l'intervention du prof de musique. Les deux lourdeaux ne sont vraiment pas chanceux ce soir. Du moins pas avec nous. Ils ont encore largement le choix sur de potentielles cibles et je suis sûres que l'une d'elles, voire même peut-être plusieurs accepteront de les accompagner et finir la nuit avec eux. Dans notre cas, notre soirée continue avec la compagnie d'Alexeï.
- Deux râteaux d'un coup. Je les plaindrais presque ces deux-là. Heureusement ils vont sûrement pouvoir se consoler dans les bras d'une ou plusieurs autres femmes.
Puisqu'on en est dans un début de discussion à trois, autant en profiter pour assouvir ma curiosité.
- Que venez-vous faire tous les deux ici ? Pour Alexeï j'imagine que c'est la fête, un moment de détente, etc.
Il a l'air d'être ce genre-là.
- Par contre Tsume j'ai du mal à imaginer parce que c'est bien le dernier endroit où j'aurais pensé te voir. Sans vouloir te vexer, tu n'as pas l'air d'être là pour la fête. En tout cas si c'est bien le cas ben ça ne se voit pas.
Néanmoins ça ne lui fera pas de mal d'être ici. Il faut bien casser un peu son image de fille cent fois trop sérieuse. Depuis que je la connais, je ne crois pas l'avoir vue s'amuser une seule fois. C'est dommage d'ailleurs parce que du coup, ça lui donne une réputation de femme sans vie. Ou une espèce de robot. Enfin ce n'est que l'impression qu'elle donne même si ce n'est peut-être pas réellement le cas. Alexeï par contre c'est tout l'inverse. Honnêtement quand il est arrivé à l'Institution, je me suis demandée s'il serait vraiment fait pour ce boulot. Il me paraissait fêtard et limite pas dans son élément. Il m'a cependant montré le contraire au fil du temps pendant que j'ai appris à le connaître. Sans le savoir, il m'a prouvé que j'avais tort. Qu'il peut être prof. Qu'il peut être sérieux.
- Au fait ça vous dit qu'on aille se trémousser sur la piste de danse ? Boire c'est bien beau mais si on ne fait que ça, on sera dans le même état que les deux dragueurs du dimanche en à peine une heure.
Je me lève et tends la main aux deux autres afin de les inviter à venir sur la piste de danse.
- Allez venez tous les deux, on va s'amuser !
J'ai besoin de bouger et j'avoue que si j'ai l'occasion de créer une petite tentation dans les entrailles des mâles, je ne veux pas la laisser passer. On peut voir ça comme une forme de sadisme, moi je vois ça seulement comme un amusement. Qu'ils viennent ou non, je ne perds pas de temps avant de me mêler aux autres fêtards pour me trémousser comme une petite folle. Je n'hésite pas à avoir quelques contacts physiques avec certaines personnes de temps en temps. Rien d'intime. Enfin pas trop. Juste quelques petits flirts pour m'amuser, rien de sérieux.
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Ian Stevens
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Jeu 17 Oct - 19:45
Ian Stevens
Quand un solo se transforme en quartet ! ▬ Feat. Tsume, Alexeï & Cordelia
Vendredi soir, rien de tel que fêter le week-end en sortant boire un verre, et peut être se trouver un ou une partenaire pour la nuit. Quoique…dans le cas d’Ian, il y aurait tous les soirs quelque chose à fêter puisqu’il sort tout le temps. Mais pas de soucis à se faire…il a les moyens. Cependant, il se donne jusqu’à 1h du matin maximum pour trouver sa conquête du soir. Il travaille le lendemain, et il faut qu’il soit en forme pour gérer les jeunes d’ISS et IRS. Au moins, ce n’est que la matinée et il pourra toujours rattraper ses heures de sommeil loupées l’après-midi.
Après avoir pris une douche et s’être un peu apprêté pour la soirée, il sort pour aller dans son bar préféré habituel. Bryan aura peut-être d’autres techniques amusantes à partager pour qu’il puisse rentrer avec la plus belle personne du bar. Et d’une certaine manière, s’il sort ce soir, ce n’est pas vraiment pour fêter le week-end, mais plutôt pour se sortir une jeune femme de la tête. Depuis le voyage scolaire…il ne pense plus qu’à elle et ne se reconnait plus. Alors c’est surtout pour reprendre ses bonnes, ou plutôt mauvaises, habitudes, qu’il va draguer.
Une fois arrivé dans son bar favori, il salue son ami barman d’un sourire et d’un signe de tête. Et très rapidement, une cible fait son approche. Oh…l’aurait-elle remarqué la première ? Ian sourit un peu plus largement et se tourne vers elle pour lui montrer qu’il est ouvert à n’importe laquelle de ses propositions, commandant son whisky habituel. Elle est pas mal, plutôt jolie et elle le sait sûrement vu son attitude. Il la détaille, comme à l’accoutumée et la trouve plutôt à son goût. Même s’il sait que quelque part, dans les résistances Castel, une plus jolie femme avec beaucoup plus de caractère se repose.
Le temps passe et il continue de discuter avec la jeune femme. Plus ça va, et plus il se dit qu’elle fera tout à fait l’affaire et se focalise sur elle et sur son objectif de la séduire. Alors, une fois son deuxième verre terminé et qu’elle lui propose d’aller dans un autre endroit pour danser, il se lève, paye sa consommation et la sienne et la suit vers la boite de nuit. Habituellement, il n’est pas friand de ce genre d’endroit, c’est beaucoup trop bruyant. Mais s’il doit aller jusque-là pour avoir ce qu’il veut, il le fera. Surtout que ça fait longtemps qu’il n’a pas danser et il se dit, donc, que ça pourrait lui faire du bien de partager un moment comme ça avec sa future partenaire du soir.
Ils entrent donc dans l’établissement et la musique vient agresser ses tympans assez violemment. Elle approche son visage du sien pour lui dire qu’elle va au bar pour prendre une boisson et il sourit, s’apprête à la suivre quand son regard est attiré par une chevelure blonde et bouclée sur la piste de danse. Elle est là. Cordelia est là. Comment se fait-il qu’il la remarque aussi facilement ? Comme si elle était toute seule sur la piste, non, dans la salle. Mais ce n’est pas le cas, vraiment pas. Elle est entourée de plusieurs mecs, en rut, et ça l’insupporte. Il s’approche de son ancienne cible et, restant souriant, lui annonce qu’il va passer la soirée seul. Elle est visiblement déçue mais il n’y fait pas plus attention et, le regard rivé sur sa belle collègue, il s’approche pour aller sur la piste.
Il se fraye un passage et d’un regard noir fait partir les mecs qui dansaient derrière elle. Puis, prenant le rythme de la musique, derrière elle, et la regardant pour s’adapter à ses mouvements, il glisse ses mains sur ses hanches. Il se rapproche d’elle avant de la saluer, essayant de parler assez fort pour surpasser la musique.
▬ Salut toi~
Il sourit largement, heureux de la voir. Au diable le stratagème pour l’oublier une soirée. Apparemment, quelqu’un, ou quelque chose, l’en empêche. Alors il va plutôt oublier la cible précédente pour se focaliser sur celle-ci~.
- Que venez-vous faire tous les deux ici ? Pour Alexeï j'imagine que c'est la fête, un moment de détente, etc. Par contre Tsume j'ai du mal à imaginer parce que c'est bien le dernier endroit où j'aurais pensé te voir. Sans vouloir te vexer, tu n'as pas l'air d'être là pour la fête. En tout cas si c'est bien le cas ben ça ne se voit pas.
Le professeur lui répondit, donnant une raison très naturelle. Oui, c'est normal de suivre des amis, même dans ce genre de lieu.
"Oh, je ne suis nullement vexée. C'est vrai que je ne suis pas le genre à venir dans les ... discoteca ?... Ah, oui, discothèques."
Bon, je n'expliquais pas les raisons de ma présence mais je savais les rumeurs qui couraient dans l'école entre moi et le jeune maître donc si je pouvais éviter que cela ne devienne un sujet de conversation parmi le personnel aussi.
Quand Cordélia nous invita à aller danser, je n'étais déjà pas très chaude à cela. D'abord parce que je ne suis pas une bonne danseuse, n'ayant jamais reçu de leçon en la matière et parce que je ne comprend pas les règles des styles que j'ai sous les yeux. Ensuite, et bien pour danser, il faut apprécier la musique et celle qui passe n'est clairement pas à mon goût. Je n'ai pas honte de le dire mais je préfère la musique classique ou la guitare classique. Quand, en plus, notre "sauveur" lui dit qu'il n'avait pas assez bu pour cela, cela me motiva encore moins. Bon, peut-être plaisantait-il mais ce n'est pas ce que j'appellerais une blague de bon goût.
"Merci mais je doute de me sentir à l'aise. Quand il y aura moins de monde, peut-être.."
S'il y a moins de monde, ce dont je doutais fortement. En fait, en y réfléchissant rapidement, c'était un miracle qu'autant de monde arrive à danser ensemble dans tous les sens sans qu'il y ait la moindre collision !
"« Alors le boulot ? La rentrée vient de passer et j'ai l'impression que les nouveaux sont encore un niveau au-dessus des anciens »
"Une minorité oui, même s'il est difficile d'égaler certains des étudiants encore présents. Enfin, il est trop tôt pour voir cela. Avez vous des problèmes durant vos cours ?"
Si c'était le cas, il était en droit de demander qu'un surveillant vienne l'assister ou que la directrice discute avec le, ou les, responsable. Bon, après, j'ai du mal à me faire respecter donc je peux comprendre que les gens ne veulent pas forcément écouter mes conseils, c'est bien pour cela que je n'irais pas à les proposer.
« Désolé si ma question te gêne... Tu sais les Russe on n'est pas des grands diplomates. Mais je te vois toujours seule personne ne partage ta vie ? Beaucoup disent que tu es une femme triste... J'y crois pas trop tu sembles juste très travailleuse. Je me trompe ? »
Ah bon ? J'ignore beaucoup de chose sur les russes, n'en connaissant que le peu qu'on en dit en cours d'histoire et de géographie. Après, je n'ai rien contre le fait qu'on me pose des questions, tant qu'elles ne sont réellement pas gênantes. Celle-ci ne me choquait pas du tout, même si je n'avais pas forcément envie de répondre. Enfin, il avait mérité d'en savoir un peu plus, histoire de comprendre un peu que je ne suis pas forcément si sérieuse et pourquoi je peux paraître triste.
"Ce qui montre bien qu'il ne faut pas se fier aux apparences. J'ai eux.. Il y a deux garçons qui m'ont séduit et avec qui j'aurais pu... enfin, vous voyez.. euh pardon, tu vois."
Je n'avais jamais franchi le pas mais qui sait, si Dario avait pu rester plus longtemps ou si Kaled n'avait pas montré quel idiot narcissique il peut être, qui sait si j'aurais encore été vierge à cette heure-ci. Cela dit, je crois que si le second avait été mon "premier", je le regretterais. Certes, tous les deux ont des points communs, ils sont surs d'eux, beaux gosses, et ont un passé "de dur", cela définiti-il mes goûts en la matière ? J'espère que non. Quoi qu'il en soit, au moins, Dario m'avait montré du respect.
"Quand au fait que je paraisse triste, je pense que "inquiète" me corresponde mieux. Si tu suis l'actualité internationale, tu es peut-être au courant de ce qui se passe dans mon pays, le Vénézuéla ? Et bien mes parents et neuf... huit frères et soeurs y vivent encore. Et.. même si j'essaie de les aider, j'ai toujours un peu peur que cela ne suffise pas."
Bon, je n'ai pas l'habitude encore de ne pas compter Juana dans le lot. Cette perte est trop dure, trop récente. Je crains qu'il n'ait compris que j'ai perdu un proche. N'étant pas du genre à rechercher la pitié d'autrui, j'espérais qu'il saurait, si c'était le cas, rester poli, sans plus. Par contre, je ne me rendis pas tout à fait compte de la légère, même si ce fut court, brisure dans ma voix quand je terminais la phrase suivante. Oui, je m'inquiète pour ma famille, pour les gens que j'aime le plus au monde. J'épluche les journaux de là-bas pour suivre l'actualité et espéré que ce président soit remplacé mais sans guerre, sans que le sang soit versé. Et je lis aussi en espérant ne pas lire de répression militaire. Et en plus, comme ma famille n'a pas le téléphone et qu'appeler l'Angleterre compte une fortune maintenant, je n'ai de leurs nouvelles qu'une fois par mois, au mieux.
Quand je repris la parole, après une gorgée de mon verre, ma voix avait repris son calme habituel, même si mon regard, lui, restait un peu moins assuré.
"Ce n'est pas quelque chose pour laquelle quelqu'un de l'école puisse faire quoi que ce soit, même les plus influents politiquement ou économiquement. C'est pour ça que je n'en parle jamais. D'accord ?"
Je ne sais pourquoi je lui dis tout cela. Peut-être par lassitude, par solitude ? Je ne sais pas et, au fond, je m'en moquais. Tout ce que j'espérais, c'est qu'il comprenne ma demande implicite : qu'il n'en parle à personne.
Cordelia Calvelli
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Bon c'est déjà pas si mal, Tsume n'a pas du tout été vexée par ma question bien que j'aie été un peu directe. Je n'ai pas les raisons de sa présence ici – même si je me doute de ce que ça peut être – mais j'avais raison. Elle n'est bel et bien pas du genre à venir dans les discothèques. C'est dommage je trouve. Certes le niveau sonore peut vriller les tympans mais de temps en temps, ça ne fait pas de mal. Ca permet de venir se détendre, faire des rencontres, se vider l'esprit. Bref c'est bon pour le moral. Je n'insiste cependant pas sur le sujet et m'en vais danser...toute seule. Tsume ne veut pas danser, Alexeï refuse de le faire tant qu'il n'est pas pompette. Bande de rabats-joies. Tant pis pour eux.
Une fois sur la piste de danse, je me laisse aller. Être entourée d'inconnus ne m'empêche nullement de m'amuser. Je n'aurais pas eu quelques aventures d'un soir sinon. Pendant que je me trémousse, je jette tout de même quelques brefs regards sur mes deux autres collègues qui n'ont pas voulu danser. Ils se contentent juste de discuter d'après ce que je vois. Ils me font penser à deux vieux en fait. Ils viennent dans un lieu juste pour discuter. À ce stade autant se rendre dans un bar ou un café. La boîte de nuit est essentiellement faite pour s'éclater à la base. Mouais. Un vrai couple de personnes du troisième âge.
Mon attention se reporte rapidement sur mes partenaires temporaires. Je m'éclate comme une petite folle. Je flirte aussi. Si j'ai une petite chance d'aller au plus si affinités, je ne m'en priverai pas. Je sens néanmoins une différence de présence au bout d'un certain temps. Comme si l'on venait de me quitter pour laisser place à un autre partenaire. Et lorsque j'entends la voix d'Ian, ça confirme ma théorie.
- Salut beau gosse. Je ne savais pas que tu venais aussi. Si j'avais su je t'aurais réservé une place de choix.
Je suis heureuse de le voir. Surprise aussi mais heureuse. Et perturbée aussi parce que danser avec l'homme qui squatte mes pensées, ça ne me laisse pas vraiment indifférente. Durant le moment de danse, je me tourne face à lui en souriant et fais un léger signe de tête pour lui montrer nos deux collègues assis à table plus loin.
- Tu veux nous rejoindre tout à l'heure ? On est tous venus seuls mais on a fini par se rassembler. Y a juste pour se trémousser qu'ils m'ont lâchée.
À moins qu'il ne soit pas venu seul et qu'il m'ait rejointe juste le temps d'une danse. En observant les alentours, j'aperçois une demoiselle qui semble assez déçue en fixant Ian. Il serait venu avec elle ? Je ne l'espère pas. Pas que je culpabiliserais de l'avoir piqué à elle si c'est le cas mais...l'idée qu'il soit venu accompagné d'une femme me dérange. Je n'ai qu'un seul moyen de savoir si c'est bien avec elle qu'il est venu ou si elle est juste envieuse.
- Ian je crois que ta petite-amie du soir est jalouse. Enfin si t'es bien censé passer la nuit avec elle.
Ca aussi ça me dérangerait mine de rien. J'ai de plus en plus de mal à accepter cette idée et ça me gonfle. Je l'ai déjà vécu, je sais ce que ça peut vouloir dire et ça m'effraie au fond.
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Ian Stevens
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Lun 21 Oct - 23:12
Ian Stevens
Quand un solo se transforme en quartet ! ▬ Feat. Tsume, Alexeï & Cordelia
Il ne va pas mentir, il est vraiment content de la voir. Et la voir danser, confiante, séductrice, c’est un régal pour les yeux. Les mains toujours sur ses hanches, il accompagne ses mouvements au rythme de la musique. Il voit tous les mecs qui auraient aimés passer un peu plus de temps contre elle, et ça le fait jubiler intérieurement de les en empêcher. Cette femme est à lui. Il cligne des yeux à cette pensée incontrôlée. Ok…il est peut-être beaucoup plus dans la merde qu’il ne le pensait… il n’a jamais eu ce genre de pensée pour qui que ce soit…alors pourquoi elle ? … Pourquoi maintenant ? Il l’ignore, et ne veut pas y penser. Puis elle lui répond avec cette voix irrésistible.
▬ Salut beau gosse. Je ne savais pas que tu venais aussi. Si j'avais su je t'aurais réservé une place de choix.
À vrai dire, ce n’était pas prévu non plus de son côté… on peut vraiment parler de coïncidence dans ce cas présent. S’il n’y avait pas eu sa cible précédente, il ne serait jamais venu ici… il va peut-être y repenser à l’avenir si Cordelia à l’habitude de venir… Il lui sourit largement et secoue la tête.
▬ C’est une coïncidence. Je ne pensais pas venir ici initialement. Et finalement…j’ai bien fait~
Elle se tourne pour être face à lui et il l’enlace pour la coller plus contre lui, lui faisant un clin d’œil dans l’obscurité de la salle de danse. Il peut se permettre de la maintenir contre lui, il sait que ça ne la dérangera pas. Pas après la France… Et après tout ce qu’ils ont vécu. Elle est souriante et il ne peut pas s’empêcher de le lui rendre. Sa soirée se finit plutôt bien~ Une d’abandonnée, certes, mais pour une, mille fois mieux. Puis elle lui fait un signe de tête vers l’arrière et Ian détache son regard d’elle pour le levé dans la direction donnée.
▬ Tu veux nous rejoindre tout à l'heure ? On est tous venus seuls mais on a fini par se rassembler. Y a juste pour se trémousser qu'ils m'ont lâchée.
Il ne voit pas tout de suite de qui elle parle. Puis finalement, il remarque la surveillante Montoya et le professeur de musique, M. Thomson. Elle n’était donc pas seule. C’est rassurant d’une certaine manière. Il doit avouer qu’il était un peu inquiet et frustré en la voyant entourée de prédateurs. Il avait peur qu’il n’y ait personne pour la protéger. Même s’il sait qu’avec son caractère, elle pourrait très bien se débrouiller… Enfin, il préfère savoir qu’elle a quelqu’un sur qui compter dans ses moments-là.
▬ Oh. Oui, pourquoi pas. Ça fera une petite soirée entre collègues.
Il lui sourit et remarque qu’elle ne le regarde plus et il se sent légèrement mal à l’aise. Il aime quand elle le regarde. Il se sent bien. Alors voir qu’elle cherche quelque chose, ou quelqu’un d’autre, ça ne lui plait étonnamment pas. Puis elle lui dit quelque chose qui le prend légèrement au dépourvu.
▬ Ian je crois que ta petite-amie du soir est jalouse. Enfin si t'es bien censé passer la nuit avec elle.
Il tique et d’un coup, il se rend compte à quel point tout ça, est juste bizarre. Il n’aime pas cette situation. Pas parce qu’il est dans l’embarras. Mais parce qu’il ne veut étonnamment pas que Cordelia se méprenne. Il ne veut pas qu’elle se sente mal à cause de cette situation de merde. Il tourne la tête et croise le regard de son ancienne cible. Autant passer pour un connard à ses yeux à elle, elle ne sera plus jalouse et déçue. Il se met à sourire à la fille, attrape Cordelia pour la ramener plus proche de lui et approche son visage du sien, souriant mais le regard sérieux.
▬ À la seconde où je t’ai vu, elle n’était plus ma cible, Cordy.
Cette femme le rend fou. Il se met à regretter des décisions qu’il n’avait jamais regretté auparavant. Et là, son regard plongé dans le sien, il n’a qu’une envie. Qu’une seule. Il a une envie presque irrépressible de l’embrasser et de la faire sienne… Il est…vraiment dans la merde. Soudainement gêné, il détourne le regard pour regarder Tsume et Alexeï.
« D'ici quelques heures j'en serais à mon troisième verre...et si je retourne avec mon groupe je vais les enchaîner donc crois-moi demain je ne me souviendrais de rien. Ta confidence restera ici »
Je ne sais pas si on peut se fier à un homme qui avoue boire. J'acceptais d'un geste de la tête, tout de même, sa manière de me dire qu'il n'ira parler à personne de ma confession. J'espérais juste qu'il n'oublie pas après avoir bue son quatrième et déblatère sur moi. Enfin, il faut accepter de faire confiance, parfois, et je n'avais plus le choix que de le faire maintenant.
« Au moins y en a deux qui oublient leurs soucis. On devrait peut-être faire pareil...trouver un truc pour oublier nos problèmes. Une idée ? »
Je secouais la tête parce que je n'étais pas sure qu'il soit partant pour mon idée. Et oui, j'avais une méthode à l'esprit pour ne plus penser à tout ce que je lui avais déballé : faire du sport jusqu'à l'épuisement. Je peux garantir, d'expérience qu'on ne pense plus à rien après avoir couru sur une demi-douzaine de kilomètres et que cela permettait de dormir sans soucis si on montait à la dizaine. Mais je n'allais pas le lui suggérer vu qu'il était venu pour s'amuser, et qu'il n'était guère amusant de courir.
« action ou vérité!..Ce jeu donnait toujours le sourire à ma petite sœur. Et puis je suis sur que notre Italienne de collègue sera ravis d'y jouer quand elle va revenir ici avec son cavalier. Allez Action ou vérité Tsume ? »
"En ce cas, attendons son retour alors. Qui sait, peut-être seront nous quatre à participer ?"
Je dis à la serveuse que je préférais un cocktail de fruits, plutôt qu'une seconde bière. Je ne suis pas très whisky et je ne suis pas en état d'enchaîner les verres d'alcool, pas après avoir parlé de ma famille à monsieur Thomson. Et en effet l'enseignant revint mais pas seule, accompagnée d'un des psychologue de l'école, Ian Stevens. Je le saluais poliment quand il arriva, d'un signe de la tête. Décidément... tout le personnel de l'école s'est donné rendez vous ici ? Ce n'était pas que cela me fasse quelque chose mais c'était un peu surprenant. En tout cas, je connaissais peu cet homme, l'ayant juste croisé dans les couloirs ou, moins souvent encore, dans la salle du personnel. Après tout, je n'ai jamais eu à recourir à ses services et je ne pensais pas avoir de point commun avec un homme aussi cultivé.
Je laissais Alexei expliquer son jeu au duo de danseurs. Je le connaissais un peu, pour avoir participé à une séance organisée par une élève de l'IRS quand j'étais encore élève, Sylvia Zoltar. Elle était un rien dingue de ça, pour ce que je m'en souvenais. Une fois que nous sûmes si Cordelia et Ian acceptaient, ou pas, de participer, je me tournais vers l'initiateur, répondant à sa question.
"Vérité."
J'ignorais ce qu'il allait me poser comme question mais je savais par avance que j'allais me tourner vers Cordelia, une fois que j'y aurais répondu. J'espérais juste que cela ne serait pas trop personnel, ni qu'il m'interrogerais sur les raisons de ma venue ici.
Cordelia Calvelli
En vacances |:| A Londres
Sexe :
Identité de genre :
Orientation sexuelle : Hétéro
Messages : 300
Age : 27
Taille / Poids : 1m76 / Un peu moins de 64 kg
Né(e) le : 14/05/1996
Date d'inscription : 14/01/2018
Pays d'origine : Italie
Nationalité : Italienne
Famille : Ian Stevens (Petit-ami), Mia (fille)
Situation amoureuse : En couple avec un dieu ♥
Personnage sur l'avatar : Ann Takamaki - Persona 5
Feat : Tsume Montoya, Alexeï Thomson & Ian Stevens
Ce contact contre Ian est toujours aussi plaisant. Même lorsque les intentions sont sages – ce qui n'arrive pas souvent entre nous – ce rapprochement ne me laisse jamais indifférente. Je fais comprendre à l'homme que je suis très contente de le voir durant cette soirée et celui-ci m'avoue que ce n'est qu'une simple coïncidence. Un hasard qui tombe très bien. Je ne vais certainement pas me plaindre. Une fois face à lui, la vue est encore meilleure. Je lui propose aussi de rejoindre Alexeï, Tsume et moi pour passer la soirée. Ce sera toujours plus sympa que de rester seul. Et beaucoup mieux pour moi que de le voir en compagnie de la cruche jalouse qui nous observe depuis un petit moment. Elle était sa cible mais il l'a laissée tomber comme une merde juste moi. Ian est à moi, nananère !
- Ravie de l'entendre, Ian.
Et juste pour narguer l'idiote – et aussi parce que c'est trop tentant – je pose mes lèvres sur le cou du psy pour y laisser un doux baiser. Un peu comme si je marquais mon territoire devant cette greluche. Et encore, elle a le droit à la version soft et sage. Je vous jure que là, tout de suite, j'ai envie de marquer mon territoire d'une manière bien moins décente. Elle plairait en plus à Ian. Dommage qu'il n'y ait pas vraiment de petit coin discret ici. Même les toilettes sont remplies avec les clients qui ne font que boire.
Ian détourne finalement le regard et me propose de rejoindre nos deux collègues. J'accepte et l'entraîne vers eux en le tirant gentiment par la main. Danser c'est bien mais ça donne soif. Mon gosier réclame une tequila, un cosmo, un cocktail, une vodka, bref n'importe quoi tant que c'est de l'alcool. Lorsqu'on arrive, je commande directement une boisson et m'assieds à table à côté de Ian. Alexeï et Tsume semblent avoir commencé à jouer à un jeu. Action ou vérité. Un jeu très enfantin mais qui laisse pas mal de possibilités dans les versions plus adultes.
- On peut participer ?
J'ai déjà mes petites idées sur ce que je peux leur demander. Evidemment pour Alexeï ce sera plus soft parce qu'il est en couple. On ne pourra pas lui demander n'importe quoi. Mais on a tout de même un large champ d'action. Pour les autres...aucune pitié. Le barman apporte les commandes et mon verre commence directement à se vider. Pas cul sec mais c'est pas loin. Je suis là pour me vider la tête, faire la fête, m'éclater comme une folle. La modération ne fera pas partie de mes options ce soir. Maintenant que tout le monde est installé et qu'on y joue tous, le jeu peut réellement débuter. On est arrivé pile au bon moment.
Cela commence par Tsume qui doit répondre à une question de la part de l'anglo-russe. Puis lorsqu'elle y a répondu, c'est à moi qu'elle pose la question. Ma réponse est directe. Pas d'hésitation sur le choix à faire.
- Vérité aussi.
J'ai été tentée de commencer directement par une action. J'ai même été TRES tentée. Mais pour une fois je vais commencer en douceur. Ce n'est pas souvent que ça m'arrive durant une séance de jeu mais il y a des jours où je n'ai pas envie de faire la fille maso. Ce soir c'est presque le cas. Pour le jeu ça l'est. Pour le reste, ça l'est moins.
[Ce rp a été supprimé sur demande de la joueuse en même temps que la suppression de son compte.
Ian Stevens
U, IRS & ISS |:| Psychologue
Sexe :
Identité de genre :
Orientation sexuelle : Pansexuel
Messages : 179
Age : 30
Taille / Poids : 1m81 / 70kg
Né(e) le : 30/05/1993
Date d'inscription : 19/03/2019
Pays d'origine : Angleterre et Japon
Nationalité : Anglaise
Famille : Des parents, Andrew et Amane Stevens, un frère, Loan Stevens, et une fille, Mia.
Situation amoureuse : En couple avec Cordelia Calvelli
Personnage sur l'avatar : Li Zeyan de Koi to Producer
Couleur(s) de parole : #C32424
Doubles comptes : Evan Debury
Mer 6 Nov - 15:52
Ian Stevens
Quand un solo se transforme en quartet ! ▬ Feat. Tsume, Alexeï & Cordelia
Cordelia a l’air ravie de savoir qu’il la préfère à sa précédente cible et Ian ne peut pas s’empêcher de sourire. Mais son sourire sincère redevient rapidement charmeur quand elle s’approche pour poser ses lèvres dans son cou. Ian lève les yeux au ciel alors que son cœur manque un battement quand il sent ses lèvres et son odeur emplir ses narines. Elle ne fait que le tenter. Encore et encore. Sans vraiment le vouloir. Ou peut-être bien que si. En tout cas, il espère vraiment que c’est aussi le cas de son côté. Qu’il la tente. Qu’il provoque quelque chose chez elle. Il ne veut pas que ce soit à sens unique.
Il lui propose de rejoindre leur collègue. Honnêtement, il préfèrerait rester seul avec elle mais…elle est là avec eux et se serait mal poli de se l’accaparer. Elle l’entraine donc à sa suite pour rejoindre la table « Indarë ». Quand ils arrivent, le psychologue en profite pour commander un whisky sans glaçons, puis il s’installe entre la jeune surveillante et Cordelia. Il sourit à ses deux autres collègues pour les saluer et remarque qu’ils viennent de commencer un « action ou vérité ». Ian sourit en coin, ça lui rappelle des souvenirs. Il aimait particulièrement les actions. Peut-être qu’il devrait se calmer un peu maintenant qu’il est censé être un adulte responsable.
Tsume commence par vérité. Et Ian trouve la question du musicien plutôt intéressante. Il sourit et se tourne vers Tsume pour connaitre sa réponse, et inconsciemment, il se met à réfléchir pour lui-même. S’il devait choisir quelqu’un comme proie pour une seule nuit ? Son regard se pose sur la prof d’italien et il rit intérieurement. Pas pour une seule nuit, ça c’est sûr. La surveillante finit par répondre et demande à Cordelia qui choisit, elle aussi, vérité. Ian hausse un sourcil et se tourne vers elle. C’est étonnant. Il sourit en coin.
▬ Petite joueuse ce soir Cordelia ?
▬ Je me disais exactement la même chose…
La serveuse arrive avec les boissons commandées et Ian la remercie d’un signe de tête. Il prend une gorgée de son whisky et son bras se pose naturellement sur le dossier, derrière Cordelia. Il remarque le musicien se pencher vers elle mais il ne s’y attarde pas. Ils sont bien obligés de se rapprocher pour s’entendre avec tout ce bruit. Mais au fond, au fin fond de lui, cette proximité ne lui plait pas. Calme Ian. Il fait mine d’ignorer la chose et Tsume pose sa question.
The Wiesel Den 
![Quand un solo se transforme en quartet ! [PV Alex - Cordelia - Ian] Tbab](https://zupimages.net/up/21/15/tbab.png)
