À droite, l'école et ses élèves normaux, comme tout le monde.À gauche, le centre de redressement pour jeunes dangereux.Maintenant réunis, pour le pire.
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« Une nymphomane est une femme aussi obsédée par le sexe que l'homme moyen. » Mignon McLaughlin
Surnom(s) : / / Âge : 15 ans Date de naissance : 30 avril 2004
Lieu de naissance : Osaka Nationalité : Anglo-japonaise Orientation sexuelle : Hétérosexuelle connue. N'a jamais essayé avec une femme.
Classe : Première année Groupe : Potion Raison : Nymphomanie, Dysmorphophobie et période de bibliomanie fréquents. Date d'entrée à l'IRS : Janvier 2019
Ce que tu es
Physique
Yeux : Changeant. Variant entre le vert et le bleu. Cheveux : Longs, raides, noirs Traits du visage : Fins. Un visage assez anguleux mais aux traits doux. Taille : 1m67 Poids : 60 kg Marques visibles : Grain de beauté sous la lèvre inférieure, sur le côté droit de son visage. Vêtements et/ou style : Elle peut porter n'importe quel type de vêtements. Autre chose ? / /
Le dos droit, les sandales qui résonnent fermement, la demoiselle marche sans se retourner. Son regard pétillant n'observe que le futur, son désintérêt pour le passé aussi grandissant que les poivrons. Ce qui marque chez moi ? Mon regard ? Mon grain de beauté ? Mon sourire narquois ? Les trois peut-être ? En fait, tout dépend de ce que vous verrez en premier. Si je suis en photo vous verrez mes atouts. Si vous me voyez dans un clip, vous verrez mes courbes. Si vous me découvrez dans un live, vous verrez sûrement mon sourire et mon énergie. Si vous me découvrez entre quatre murs, vous entendrez ma voix, sentirez mes mains et verrez l'abandon dans la luxure.
Sinon je peux porter n'importe quelle tenue, qu'elle soit décente ou non. Bien sûr, je vous laisse vérifier par vous-même. Je vous tease un peu. J'ai un grain de beauté près de la...
Alors ! Je suis un peu trop petite pour être mannequin, sinon je le serais. J'ai la taille, les formes, l'expérience. Je reste une femme de caractère. Je ne suis que les ordres qui me paraissent cohérents. Et logique, par la force des choses. Je ne suis pas stupide. Je manque de connaissances. Néanmoins j'apprends vite. C'est une force non ? Moi je pense que oui.
Quand au reste... Il y a encore tant à dire sur ma démarche, mes cheveux qui volent au vent, mon regard franc et mon rire tonnant. Seulement vous le verrez et ce qui se cache sous mes vêtements... Laissez-moi venir sous votre couette et je vous montrerais tout ce que vous désirez ~
Caractère
Tu me dis ce qu'il te vient à l'esprit lorsque tu entends les mots que je vais te dire. Ne te retiens pas, ne réfléchis pas d'accord? - D'accord. - Banane ? - Levrette - Miroir ? - Quasimodo - Paradis ? - Orgasme ! Ou Fantasme... j'hésite... - Camarades ? - Prétention. - Musique ? - Chant ~
- Bien... Maintenant j'ai quelques questions... Sais-tu ce qu'est la nymphomanie ? - C'est quand on ne peut pas s'empêcher de coucher. - C'est aussi appelé hypersexualité, ou sexualité compulsive, et c'est – résumé simplement - une recherche continue et persistante du plaisir sexuel. - Hum... Ouais je comprends. - Sais-tu ce qu'est la dysmorphophobie ou dysmorphobie ? - Absolument pas ! - Et la bibliomanie ? - Quand on … peut pas s'empêcher de lire ? - C'est un peu plus complexe que ça. C'est un trouble obsessionnel compulsif qui implique la collection ou l'accumulation de livres à un point où les relations sociales ou la santé sont endommagées. - Et la dys...dysmomortphophophobie ? - Dysmorphophobie. C'est la crainte obsédante d'être laid ou malformé. - Et quel rapport avec moi ? Non mais je ne suis que dans la première catégorie... - Tu en as conscience ? - Ah bah quand en cours de maths tu rêves de te faire pilonner sauvagement par trois mecs... Tu finis par t'en douter assez vite... - ... - Je peux rentrer maintenant ? - Oui... Oui tu peux. Je parlerais à tes parents plus tard.
Et ton histoire
Née un 30 avril dans une petite – pas si petite – ville du Japon ; appelée Osaka, j'ai grandi en tant qu'étrangère. Père est japonais de naissance, mère anglaise venue faire ses études au Japon. Et finalement, elle n'est jamais repartie pour plus longtemps que des vacances. Très tôt, elle a espéré que ses yeux émeraudes resteraient dans mes prunelles, ce qui – contrastant avec l'ébène de mes cheveux – m'offrait un visage d'ange. Bien trop tôt, paraît-il, ma mère a prit des photos de moi, m'habituant aux flashs et aux ordres. Elle-même photographe, elle usa de ses contacts pour que sa petite Eri soit remarquée. Et l'enfant, obéissante, finit par passer plus de temps sous les projecteurs qu'à l'école. Cette enfant, pour les idiots du fond, c'est moi. Eri Tanaka. Ouais c'est banal. Je sais. Mais quand je pense qu'à la base on voulait m'appeler Juliette... Non. Eri. C'est bien.
Je vous la fais simple. Très simple. J'ai été sous les photographes jusqu'à mes 10 ans. J'ai grandi dans ce monde de strass, paillettes, et de « tourne-toi un peu plus ? Oui. Comme ça. Voilà ! Bouuuuuuuge-pas ! ». Clic. Bravo c'est fini. On se change, on a encore des tenues à te faire essayer. C'était du temps et le temps c'est de l'argent. Bien évidemment j'ai eu droit à toutes les attentions que l'on porte aux mannequins. Je suis trop grosse, trop ronde, trop trop trop. Ou pas assez. Pas assez musclée, pas assez forte, pas assez endurante. Vous vous rendez compte ? J'avais une panoplie de gens qui s'occupait de moi ! C'était comme jouer à la poupée mais avec de très graaaaaandes poupées ! C'était trop bien. Les poupées m'apprenaient des trucs. Comment bien m'habiller, comment prendre soin de ma peau, comment me coiffer, me maquiller. Comment marcher, me déplacer, me comporter. Comment m'exprimer aussi. Maintenant que j'ai grandi, je commence à me rendre compte que j'étais sûrement leur poupée à eux.
Maman a décidé de me laisser retourner à temps plein à l'école lors de ma cinquième année. Je commençais à avoir beaucoup de mal à suivre les cours et les leçons me perturbaient. Assez pour me déconcentrer durant mes séances photos. Me voilà donc à dix ans, retournant en cours et n'arrivant pas à m'intégrer dans une classe où l'on me connaissait via les magazines et non mes propos. Je n'étais pas une vraie élève. J'étais... J'étais une gamine qui n'avait rien à foutre ici. En témoignant les punaises dans mes chaussures, les mots sur mon bureau, les cahiers déchirés et les insultes. Les filles me jalousaient et les garçons me traitaient de pute. Je ne m'en plains pas hein ! On m'avait prévenu que ce serait comme ça. J'ai reçu des menaces de mort aussi. Mais rien qui ne me choque . J'étais une star. C'était comme ça qu'on se comportait avec nous. On me l'avait dit, redit et répété. J'ai bien retenu la leçon.
Néanmoins deux ans de « normalité » m'ont suffit pour que je sache que ce n'était pas pour moi. Cette routine, que j'ai pu observé, bus-collège-activité-bus ? Ah non merci. Sans moi. Bien trop monotone. À douze ans, j'ai demandé à entrer dans un collège un peu loin d'Osaka. Je voulais qu'on ne me connaisse pas vraiment, qu'on m'oublie et que je refasse une entrée triomphante dans le monde des projecteurs.
Et c'est ce qu'il s'est passé. Bien trop à mon goût si on me demande mon avis. Je me suis faites deux amies avec qui nous avions un groupe d'Idols. On dansait, on riait, on chantait. C'était... ce que je pense être le bonheur. Pourtant ça n'a duré qu'un an. Étonnant non ? J'ai passé trois ans dans ce collège. Juste trois ans. J'ai l'impression d'en avoir passé des années. Enfin, laissez-moi vous raconter.
Avec Mei et Kaede, mes deux amies, nous avons mit six mois à sortir notre première chanson. À faire la chorégraphie nous-même, à nous filmer pour se critiquer chacune notre tour. C'était une bonne époque... Et puis, notre premier « concert ». Nous n'étions pas fières. Elles étaient timides. J'ai pensé que ce serait une très bonne idée que de les faire chanter en pleine rue. Il leur a fallu une bonne heure de chauffe pour réussir à ne plus bêler. C'est alors qu'on nous a proposé de rencontrer des producteurs. La chance de toute une vie. Voir une dizaine ! Avec le peu de recul que j'ai... Je pense qu'on m'a reconnu. Simplement. Et que si je me lançais dans la chanson, m'avoir comme argument de vente était non négligeable. Bien que réticente, je me suis laissée convaincre par l'enthousiasme de mes amies. Pour elles c'était un miracle. Et on a eut des cours, des soirées, des représentations. Nous avions notre communauté. Et nos cours... que nous délaissions de plus en plus.
Nous passions en seconde année. Et les choses se gâtèrent. Mon corps enfantin sembla finir de changer. J'ai pris entre ma première année et la seconde, deux bonnets, cinq centimètres et plus de formes. C'est là où nous avons commencé à être invitée dans les soirées … de « grands ». Ces soirées avec beaucoup trop d'alcool, où il y a peu de femmes, toutes aussi jeunes que nous. Nous semblions nous amuser. Je buvais de tout, bien trop. J'ai commencé à fumer aussi. C'était drôle de jouer la grande.
-18 :
Quand je me suis réveillée de ma première soirée, j'étais nue. Dans le lit d'un homme que j'avais croisé la veille. J'avais mal au crâne, je ne me souvenais de rien. Mon corps ? Mon corps ! J'ai foncé dans chaque pièce, dans douceur, pour trouver une salle de bain. Un miroir. Vite ! Ah là ! Alors. Je n'avais pas de marques. Mais quelque chose collant qui me recouvrait. Naturellement, j'ai pris une douche. Mon mal de tête me força à prendre un médicament avant que je ne me décide à prendre mon courage et aller chercher mes vêtements. Je ne comprenais rien.
Ce n'était que la première. Techniquement, c'était un viol et je vais supposer que j'ai bu quelque chose comme du GHB. Mais je n'ai aucun souvenir. Ni pour confirmer, ni pour me traumatiser. Alors ça va. Je le vis bien. On mettait ça sur le compte de l'alcool. J'ai donc arrêté. On m'a fait découvrir la drogue. Je m'y suis perdue. Je me perdais avec mes amies dans ces paradis artificiels. D'abord un joint de temps en temps, ensuite de plus en plus... Jusqu'à avaler consciemment des pilules de couleurs. Toujours plus. Je ne voulais plus subir mes cours chiants, mes dépressions, mon boulot qui me bouffait. Je survivais par trop d'activités...
- Eri-chaaaaan~ - Hum... - J'ai envie de me détendre avec toi... Avant que je ne comprenne réellement comment, j'étais nue, le laissant dans mon dos me prendre sans douceur. Je crois que c'est la première fois que j'ai réalisé que j'étais en train de coucher avec quelqu'un. Et lorsque j'ai réalisé... honte à moi – en fait pas du tout! - mais j'ai jouis. Je me suis lâchée, lui en demandant plus. Plus vite. Plus fort. Plus d'orgasmes.
Vingt minutes plus tard, il grognera dans mon dos alors que mon bas-ventre semblera me brûler. Se consumer de l'intérieur. Ce n'était pas suffisant. Je suis sortie de chez lui en lui piquant quelques billets, le laissant ronfler sur son lit. Et ma chasse reprit.
Après les petites pilules, j'ai commencé à prendre des traces blanches. Je ne suis pas allée plus loin. La cockaïne semblait drôles. Pas l'héroïne. Mes amies ont sombrées un peu plus que moi. Je crois. Elles buvaient, se piquaient et avaient perdus leur capacité de chant, de danse ou juste de réflexions. Moi non. Mais par contre, j'avais toujours faim. Faim de bouffe, bien sûr. Mais surtout... J'avais envie de sexe. Toujours. Tout le temps. J'ai passé un nombre de nuit assez conséquent où je n'étais pas chez moi. Où je m'évadais pour me faire plaisir. Dans une ruelle, dans un motel ou dans un parc. Avec un, deux, trois, quatre joueurs. Peu importait. Je voulais du plaisir. Plus. Encore plus. C'est comme ça que j'ai arrêté la cocaïne. Parce que mon besoin de sexe était bien plus important. Parce que la coco n'était là que pour rire. Pas le sexe. C'est sérieux le sexe ! Vous n'imaginez pas la détresse de jouir en boucle et de ne pas en supporter plus mais en avoir besoin. Vous ignorez à quel point être sale se transforme en fulgurant fantasme...
De cette époque, j'en garde une seconde année assez bonne. Une troisième année que j'ai eu – nous ignorons toujours comment. J'ai arrêté d'être idol. J'ai arrêté d'aller chez mes parents. Mei est portée disparue. Elle est tombée enceinte et a fuit sa famille avec l'homme qui la engrossé. Kaede a fait une overdose. J'ai été chopé par mon père avec un joint à la main. Et, sous un effet de bad trip, je lui ai dis les grandes lignes de mes années « collège ». J'ai dû lui montrer deux trois photos « trophées » qu'on m'avait envoyé. Celle où je m'étais évanouie, celle où mon visage n'exprimait que le désir. Je ne voulais pas vraiment qu'il les voit. Mais... J'ai besoin d'aide non ?
Je n'ai pas envie d'aller mieux. J'aime le sexe hein. Mais il paraît – d'après un psy – que l'on appelle ça la nymphomanie et que c'est une maladie. Il m'a aussi diagnostiqué deux autres trucs. Enfin... Moi j'essaie de pas sauter sur tous les mecs que je croise. Enfin j'essaie... Je me comprends. On m'a donc envoyé dans cette Institution. Pour que je suive mes cours sous surveillance. Pour que je ne viole personne. Pour que je ne demande à personne de me violer. Mais... Je n'ai qu'une question.
Je vais devenir quoi sans sexe...? Je n'ai que ça hein...
Derrière l'écran
Prénom/Pseudo : Hannah Age : =>(facultatif) Tu nous viens d'où ? : D'un peu partout ~ Un commentaire ? : A LA GLOIRE DES POINTS DE SUSPEN... Hum. Pardon. J'vous aime hein ~
Merci à vous o/ Un petit up pour montrer que j'ai fini
Martel Vint Svent
PNJ |:| Directrice
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Orientation sexuelle : Pansexuelle
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Né(e) le : 12/09/1981
Date d'inscription : 12/11/2016
Pays d'origine : Allemagne
Nationalité : Britannique (origine Allemande)
Famille : Trois enfants : Zack et Scarlett (05/17) et Aydan (09/20)
Situation amoureuse : Mariée à Erik Vint Svent
Personnage sur l'avatar : C.C. de Code Geass
Doubles comptes : Alix, Roxanna, Jesse, Nick/Ellia, Chelsea
Sam 23 Mar - 2:53
Martel Vint Svent
Bienvenue dans le programme de réhabilitation psychologique Potion, chère élève. Vous êtes officiellement admise dans notre établissement.
Voici les règles spécifiques qui s'appliquent à ton personnage, en plus du règlement de l'école :
- Obligation de rendez-vous hebdomadaire avec un psychologue de l'école. - Interdiction de sortir de l'établissement sans surveillance. - Interdiction de se retrouver seule avec un autre élève. - L'accès aux étages supérieurs des dortoirs a été désactivé sur sa carte étudiante. - Ses affaires et sa chambre doivent être fouillées régulièrement pour s'assurer qu'elle ne transporte pas de substances illicites. - Son compte en banque est sous la responsabilité totale de l'établissement afin de contrôler sa bibliomanie. Elle garde un accès à la bibliothèque avec possibilité d'emprunter un livre par semaine. - En cas de comportement incontrôlable dû à un de ses affections, elle pourra être transférée en résidence surveillée.
Nous espérons que notre école saura vous aider à surmonter vos troubles et à trouver une place dans notre société, Martel Ed'Ruecus, directrice de l'IRS