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Mer 5 Juin - 16:03
Anonyme
Puisse l'amour être plus fort que tout
Savez-vous d'où vient cette expression ? Vôtre hôte l'a régulièrement utilisée, et jamais vous vous ne vous êtes demandé comment et pourquoi... Il y a longtemps de cela, un homme pour l'amour d'une femme a créé ce lieu afin d'expérimenter des choses sur les liens qui unissent deux êtres, qu'ils soient du même groupe sanguin, de la même origine, ou bien de sexe semblable ou opposé. Cette expression était comme un rituel, un credo, un slogan de l'entreprise Eva Corporation. Pourquoi cet endroit se trouve à côté du manoir, dans cette forêt sombre, reculée de la ville ? Dans quel but ? Ce sera à vous de le découvrir.
Vous vous réveillez dans cette pièce close où sur le mur s'inscrit en très grosses lettres de métal, comme dans un bloc opératoire, E51 pour vous Davian, et E55 pour vous Cordélia.
Vous n'êtes pas seul(e), mais pas accompagné pour autant, vous n'êtes qu'en communication avec vous même, à travers le reflet des divers miroirs, vous avez la sensation d'être aspirés dans un tourbillon sans fin, comme s'il n'y avait aucune issue. Solitaire, face à vos propres inquiétudes, vous vous demandez très certainement où est votre moitié pas vrai ? Est-elle en vie, est-elle captive quelque part. Une chose est certaine, il n'y a pas d'échappatoire. Il vous faut trouver une clé, ou bien quelque chose capable de vous frayer un chemin. Des bruits sinistres se propagent autour de vous, des cris, des pleurs...sans que vous n'en comprenez leur provenance. Un crépitement, et vous entendez soudainement la voix de votre hôte s'adresser à vous.
» Mes chers sujets, nous y voici...ce moment tant attendu où vous allez vivre une expérience hors du commun...Je vais vous expliquer en quoi elle consiste. Je vous ai préparé quatre épreuves, dans lesquelles vous allez devoir montrer que votre lien avec votre binôme est plus fort que tout...Ne pensez pas qu'elles sont simples et banales, faciles à résoudre et réussir, vous risquez d'être surpris...Si vous êtes prêts à relever le défi, alors dans ce cas...je vous attends au bout de votre périple...Bonne chance...
La porte est toujours verrouillée, mais vous percevez qu'une dalle du sol, semble s'être déplacée...
Il y a à l'intérieur de cette cachette, un petit coffre, ou se tient une énigme sur un bout de parchemin.
Briser l'armure... Etouffer le jumeau... Ne devenir plus qu'un... Et laisser résonner l'écho...
Cordelia Calvelli
En vacances |:| A Londres
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Pays d'origine : Italie
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Une St-Valentin pas comme les autres (2ème partie)
Feat : Davian Dupont
Lorsque je reprends connaissance, je ne reconnais plus rien. Il n'y a plus de salon ou de pièce confortable. Plus de femme étrange. Il ne reste qu'une salle vide, avec seulement quelques miroirs et un chiffre. Une pièce qui nous rend aussi mal à l'aise que si l'on se trouvait dans un hôpital psychiatrique. Il me faut un petit moment avant de reprendre mes esprits et de réellement prendre conscience de ce nouveau lieu. Lorsque j'ai à nouveaux toutes les idées claires, la panique commence.
D'abord il y a la recherche d'un quelconque accès. Une porte. Cependant celle-ci est verrouillée. Je cherche alors une autre échappatoire. Une fenêtre, un trou, peu importe. Je veux juste sortir. Puis quand je réalise qu'il n'y a aucune sortie nulle part, le carnage commence. Plusieurs miroirs se retrouvent brisés par des coups de pieds. Certains résistent plus que d'autres mais la finalité reste la même. Ca n'a servi à rien en plus. Il n'y a aucune sortie cachée derrière les vitres.
Je peux hurler, frapper contre les parois, gratter le sol avec des bris de verre – et me couper la main au passage – et essayer de crocheter la serrure mais il n'y a rien à faire. Rien ne cède. En même temps, j'aurais dû m'en douter un peu. Tout ce que je peux faire maintenant – à part piquer une crise – c'est écouter les bruits qui se font entendre tout autour. Rien de rassurant. Tout ça jusqu'à ce que notre hôte inconnu se manifeste.
- Ta gueule et déverrouille plutôt cette putain de porte !! Montre-toi aussi ! J'te jure que si j'te chope, tu vas passer un sale quart d'heure, psychopathe de mes deux !
Les menaces seront sans doute aussi efficaces que mon coup de pied dans la porte mais bon. Au moins ça défoule. Je me remets donc à la recherche d'un moyen de sortir avant de voir qu'une dalle semble avoir été déplacée. Etrange. Je ne me rappelle pas avoir réussi ça avec mon bris de verre. Je sors le coffre de sa cachette et lis l'énigme sans me préoccuper du sang que j'éparpille légèrement sur le bout de parchemin. Et là, je me rends compte à quel point je suis dans la merde. Je n'ai jamais été très douée pour les énigmes.
- C'est quoi encore cette connerie ?
Il veut quoi comme réponse ? Accoucher ? Faire l'amour ? Naître ? Concevoir un enfant ? Je me fais un tas de théories à la con. J'essaie au moins de garder le côté « amour » et pour le moment, je ne vois que ça. Sauf que ça ne m'avance à rien. Au final, ça me saoule. J'en ai marre. Je m'occupe donc de faire un bandage de fortune avec un bout de mes vêtements, plutôt que de réfléchir à la réponse de l'énigme. Puis je me mets en position feotale dans un coin et ne bouge plus. Chacun se rassure comme il peut et moi, c'est comme ça que je le fais. Je ne peux pas faire grand-chose de plus de toute façon à part ruminer divers plans de vengeances – qui seront sans doute tous foireux –.
Ouvrant les yeux, observant longuement mon environnement, jetant de rapide coup d'oeil dans tous les sens. Je ne pus m’empêcher de lâcher un long soupire pour exprimer l'embarrât de la situation :
« C’est mignon, me voilà coincé dans un piège … »
Me relevant lentement, mais sûrement. Je me réveillais dans une pièce entièrement recouverte de miroir. Une drôle de sensation de malaise parcourut instinctivement tout mon corps, j'avais cet drôle de sensation d’être constamment observer et que le moindre geste était épié par l’hôte de ces lieux, qui par ailleurs nous annonça que ce n’était que le début d’un spectacle. À peine que le microphone coupa, j’entendis une voix s’écrier non loin d'ici :
« Ta gueule et déverrouille plutôt cette putain de porte !! Montre-toi aussi ! J'te jure que si j'te chope, tu vas passer un sale quart d'heure, psychopathe de mes deux ! »
Au vu de la tonalité de la voix, je fus particulièrement surpris d’apprendre que la personne auquel, je faisais face, n’était d’autre que Cordelia, la professeure Italienne du lycée. Voilà qui est des plus malaisant et j'allais devoir sans doute faire équipe avec elle, d’après les paroles de notre homme. Bon, je ne sais pas si celui-ci connaît les lois Britanniques, mais il me semble que la pédophilie est toujours interdite par la loi. Peut-être qu’il m’avais mis avec elle, car à défaut de porter un masque, il ne voyait peut-être pas avec qu'il pouvait la mettre. En parlant masque, j’avais toujours mon costume, ainsi que mon équipement. Ce qui était bizarre …
Bref ! Inspectant les lieux, je pus trouver un coffre caché sous une dédale, il y avait une petite lettre :
« Briser l'armure... Étouffer le jumeau... Ne devenir plus qu'un... Et laisser résonner l'écho... »
Alors que j’entendais l’autre s’écrier au loin :
« C'est quoi encore cette connerie ? »
Réfléchissant longuement, deux mots vinrent en tête, « briser l’armure » et « laisser résonner l’écho. » L’armure, en regardant, je me disais que ça correspondait au miroir. Tant qu’à l’écho, c’était sûrement celle qui correspondait à la voix résonnante de Cordelia. Me rapprochant le long des murs et tendant l’oreille, je voulus savoir de quel côté du mur la prof pouvait bien se trouver. Même, si je paraissais calme, j’étais quand même empli d’une certaine inquiétude et d’une colère intense que je m’efforçais de canaliser au fond de moi.
Prenant une voix suffisamment grave, je déclarais à Cordelia :
« Si vous êtes adossé de côté, vous avez dix secondes pour vous écarter ! Je vais essayer un truc ! »
Prenant le coffre, je décidais de le balancer violemment du côté du miroir où je pouvais entendre la voix de Cordelia. J’ignorais si ça pouvait marcher, mais autant essayer. Si le miroir ne bougeait pas d’un poil, j’utiliserais sûrement mes poings ou bien mon couteau de chasse. Par chance, j’avais également mes scalpels, si jamais, je n’arrivais à rien dans cette énigme, mes talents en crochetages feraient sûrement l’affaire pour déverrouiller la porte. Après tout, ce n’était pas la première que je m'étais évadé d'une prison.
Anonyme
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Dim 16 Juin - 14:37
Anonyme
Vous la sentez n'est-ce pas ? Cette similitude. Vous la voyez n'est-ce pas ? Cette mobilité, cette agonie qui vous ronge. Vous ne la supportez pas, vous avez compris que vous étiez seuls face à vous même, devant pour cela briser une part de votre être fin de chercher l'issu.
Vous êtes sur la bonne piste, mais vous n'avez pas encore la réponse ! Derrière les miroirs, les murs épais de la pièce vous bloquent, ils ne peuvent se briser car ils sont bien trop solides. Il ne vous reste donc plus qu'à trouver une autre solution, Davian.
De votre côté Cordelia, Votre angoisse est palpable, vous avez par désespoir tout comme plusieurs de vos camarades briser les miroirs de cette antre. Ne remarquez vous pas qu'un d'entre eux n'a pas bougé...Comme si...il était immatériel ? Essayez de le toucher pour voir, affronter son image est peut être la clé qu'il vous manque ?
Cordelia Calvelli
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Briser les vitres des miroirs n'a servi à que dalle. J'aurais dû m'en douter. Ca aurait été beaucoup trop facile si on trouvait la sortie rien qu'en bousillant toutes les glaces. Notre hôte psychopathe s'amuse avec nos nerfs. Il ne trouve rien de mieux que de nous faire lire une énigme. Le truc qui rend hyper « heureux » quand on est nul(le) à chier dans ce domaine. Toutes mes théories sont centrées sur le thème de l'amour. Ou plutôt sur la reproduction et la procréation. Je ne suis pas convaincue par mes propres idées. Celles-ci ne m'aident pas à savoir comment sortir de cette pièce maudite. Au final je me retrouve recroquevillée dans un coin à écouter les divers sons inquiétants plutôt qu'à réfléchir à l'énigme.Ca peut paraître con mais les sons m'effraient beaucoup moins que cette porte verrouillée.
Une voix s'élève à nouveau mais cette fois, rien à voir avec celle de notre hôte. Pas le même timbre ni le même ton. Rien qui ne me donne des envies de meurtre envers un inconnu qui n'a même pas le courage de se montrer en chaire et en os. Elle ressemble plutôt à celle de l'un des invités. Je ne saurais dire qui c'est exactement mais je sais en tout cas que ce n'est pas l'un de mes élèves. Apparemment il va tenter un truc. J'entends un bruit sourd, comme si quelque chose avait été jeté contre le mur. Un geste qui s'est avéré inefficace. Encore une fois, ça aurait été trop simple s'il suffisait juste de casser quelque chose pour sortir.
En regardant à nouveau autour de moi, je remarque qu'un miroir est encore entier. Etonnant. J'aurais plutôt juré que je les avais tous pétés. J'ai dû rêver. Avec la panique, j'ai pu louper des détails ou halluciner. Je reprends le coffre et le lance contre le dernier miroir encore intact. Et là, il se passe un truc bizarre. Il passe littéralement au travers et s'écrase contre un truc. Je me lève donc et m'approche de ce miroir étrange. Je l'observe un petit moment sans me préoccuper du reflet qu'il me renvoie. Je me vois assez souvent dans un miroir le matin pour savoir à quoi je ressemble et le rôle de celui-ci. Je tente finalement de le toucher mais au lieu de poser ma main sur la glace, celle-ci se pose plus loin. Au toucher, ça ressemble à un simple mur.
- À l'attention de la personne dans la pièce à côté, vous avez aussi un faux miroir ?
Pas la moindre idée si les salles sont les mêmes. Si c'est le cas, ce sera peut-être plus simple de trouver comment sortir de là. Je tâte encore un peu la paroi, essayant de savoir s'il y a autre chose de caché. S'il y a ce faux miroir, c'est bien pour une raison. De toute façon ce n'est pas en restant prostrée dans mon coin que je trouverai une sortie. Autant me bouger, ça me permettra d'oublier légèrement ma phobie.
Rien pour le moment, il n’y avait rien qui ne se passait, cette histoire commençait sérieusement à me taper sur les nerfs ! Fatigué et exténué par cette énigme qui torturait mon esprit, je sortis aussitôt mon couteau de chasse pour aller me défouler un peu sur les autres miroirs et les faire péter. Mais, alors que j’étais empli de rage, une idée me vint soudainement en tête :
Et si l’énigme disait qu’il fallait plutôt casser tous les miroirs …
Sans plus attendre, je continuais, avec le couteau à la main, à briser les miroirs restant dans la salle. Peut-être qu’il y a une porte cachée et que je pourrais enfin me tailler d’ici. Mais, alors que je commençais à péter tous les miroirs, j’entendis à nouveau la voix de cette Cordelia me demander :
- À l'attention de la personne dans la pièce à côté, vous avez aussi un faux miroir.
Qu’est-ce qu’elle voulait dire ? Alors que j’étais face au dernier miroir, je constatais que ce dernier n’était pas comme les autres, il semblait … bizarre comme s’il était … immatériel ? Surpris, restant tétanisé pendant quelques secondes, je répondis à la prof d’italienne (peu de temps après avoir repris les esprits) :
« Oui ! je suis devant lui ! Il est … bizarre. »
Par pur réflexe, je commençais à poser mes mains dessus et à regarder profondément le reflet qui en dégageai. J’ignorais où ça pouvait bien mener, mais si cette énigme ne menait à rien, je n’aurais d’autre choix d’utiliser la manière forte pour quitter cette geôle.
Anonyme
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Jeu 11 Juil - 13:37
Anonyme
Vous avez vu juste, étouffer le jumeau afin de vous laisser baigner tout comme dans ce miroir, dans la solitude la plus tenace. Vous êtes magnifiques, vous avez participé à ce jeu de passe-passe des plus alléchants, vous êtes passés par la première étape de votre ignorance. Le soi
Eva aussi se regardait souvent dans un miroir, elle voulait paraitre la plus belle pour lui, se laisser happer par les apparences et briser le naturel.
Vous commencez à comprendre que ce miroir n'a rien d'ordinaire. Et en prenant le temps de risquer vos mains, vous tombez sur un bouton caché dérrière, un interrupteur qui vous ouvre la seule issue de secours.
Vous actionnez ce dernier, vous rendant compte que vous allez pouvoir sortir de cette pièce de l'oppression. Si vous sortez de cette dernière, vous tombez sur un couloir, sombre, faiblement éclairé, et vous avez la sensation que les bruits morbides sont plus proches.
Serez vous capable de partir à l'inconnu et sortir ? Ou bien trop peureux vous déclarez que votre courage n'est pas suffisant pour poursuivre cette aventure ?
Cordelia Calvelli
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Une St-Valentin pas comme les autres (2ème partie)
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Dans le genre épreuves étranges, j'ai gagné le jackpot. Lors d'une St-Valentin, on s'attend plutôt à des cotillons, des fleurs, des chocolats, des coeurs,... Bref des trucs classiques et clichés. Et bien pas cette fois. J'ai plutôt la sensation d'être dans un film d'horreur. Au moins ça change des trucs habituels et gnangnans. Ca je ne peux pas le nier. Cependant j'aurais aimé ne pas me retrouver enfermée dans une petite salle. Pendant un moment je suis sur le point de craquer et de piquer une crise de panique. Je fais mon maximum pour ne pas perdre mon self-control. Ca me demande de gros efforts. Et c'est durant ces tentatives de garder mon calme que j'aperçois un miroir étrange. Moi qui pensais les avoir tous détruits, et bien non. Et en m'approchant de celui-ci, je découvre qu'on peut passer au travers. Du moins une partie de nous. Ma main tâte ce qui se trouve derrière le faux miroir à la recherche du moindre détail qui pourrait me donner une réponse. Une clé ? Une poignée de porte ? Une brique qui doit être poussée ou retirée pour ouvrir un passage secret ? Et la personne enfermée dans la pièce à côté possède aussi ce faux miroir. Je me demande si les autres participants font face au même problème du coup. Ce serait ça l'énigme ? Passer au travers d'un miroir pour pouvoir sortir ?
En tâtant encore le mur, je finis par toucher un truc qui ressemble à un bouton. Sans réfléchir plus longtemps, j'appuie dessus. Au point où j'en suis, si je dois crever je préfère que ce soit en essayant des trucs plutôt qu'en restant dans un coin en position feotale. C'est plus reluisant comme mort. À peine ai-je appuyé sur l'interrupteur qu'une porte s'ouvre. ENFIN ! Putain une sortie ! Je n'en pouvais plus ! Je me précipite directement vers la sortie avant de me stopper net après l'avoir dépassée. Il fait sombre, les bruits glauques sont toujours présents et en plus on dirait qu'ils sont plus proches. Sérieusement, c'est une St-Valentin ou Halloween qu'on fête là ?! J'ai un gros doute pour le coup. Peut-être que j'ai à nouveau comaté durant un moment et que je me suis réveillée quelques mois plus tard. Moi qui ai déjà du mal à avoir des souvenirs corrects, c'est pas cool de me donner la même sensation qu'à ma sortie d'hôpital après le coma. Et puis merde ! C'est soit les sons morbides, soit la pièces de tous mes cauchemars. À choisir, je préfère les bruits. Et puis je suis trop curieuse de savoir ce que c'est. Peut-être des zombies.
Je me mets alors en route, progressant doucement dans le couloir. Je vois plutôt bien dans l'obscurité mais j'ai tout de même des limites à la nyctalopie. Et là, c'est trop sombre malgré les quelques lumières. Plus j'avance, plus j'ai l'impression que les sons se rapprochent. Je suis cependant incapable de dire si c'est vrai ou juste le fruit de mon imagination. J'espère la seconde théorie.
Fiche par Ethylen sur Libre Graph'
Invité
Invité
Mer 11 Sep - 23:52
Invité
Enfin ! Après avoir posé ma main au même endroit, j’ai trouvé ce fichu bouton, je peux enfin quitter cet endroit. Le mécanisme se déclencha et la porte s’ouvrit. Libre, Enfin ! Bien qu’heureux de me tirer d’ici, ma joie ne fut que de courte de durée, lorsque je me rappelai que tout ceci n’était qu’un jeu et que nous étions que des pions dans ce vaste échiquier bien sombre. Il fallait maintenant que je redouble de vigilance et de prudence, à peine j’ai posé les pieds vers l’extérieur que d’étranges bruits plutôt glauques et inhabituels surgir. Il n’y avait qu’un long couloir, ce dernier était bien sombre, il n’y avait presque aucune lumière pour éclairer les environs. Les cris morbides venaient du fond de ce couloir.
Pendant quelque temps, j’avais un doute, et si c’était un piège ? Non pas que je ne croyais aux monstres, mais toute cette mise en scène n’inspirait guère confiance. Toutefois, je vis devant moi, au même moment, cette jeune femme, la prof d’Italienne de mon école, sortir de sa cellule. Décidément, elle n’avait pas froid aux yeux pour s’aventurer seul dans un tel lieu. Voyant que la prof d’Italienne prenait les devants, je me mis également en marche. Suivant au début discrètement la jeune femme, je restais à l'affût, jetant un regard vers tous les recoins, malgré la quasi absence de lumière. Je cherchais la moindre trace qui pourrait y avoir, ainsi que le moindre danger qui pourrait surgir.
Finalement, me rapprochant définitivement de la jeune professeure, je pris la décision de l’interpeller, en gardant une certaine distance avec elle : - N’ayez crainte, je ne vais pas vous faire de mal, je suis … enfin j’étais la personne enfermée dans l’autre pièce.
Posant main droite sur mon arme, j’étais quelque peu nerveux par les bruits qu’il y avait autour de moi. Je n’avais qu’une hâte, trouver le gérant de ces lieux, lui foutre quelques coups dans sa gueule ! Avant, bien sûr, de lui poser quelques questions au sujet de son manoir et de sa drôle d’expérience. Reprenant de la même intonation, j’annonçais également à la jeune femme : - Bien, je pense qu’il va falloir s’attendre à une autre énigme ou à une épreuve morbide, si on veut se tirer d’ici, lui dis-je d’un ton qui se voulait être calme et professionnel.
J’ignorais encore ce qui allait nous attendre, mais je savais que toute cette mascarade et tout ce jeu morbide ne faisait que commencer ...
Anonyme
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Dim 6 Oct - 12:57
Anonyme
Vous voici réunis avec votre moitié pour le meilleur et pour le pire...
N'ayez crainte le pire est à venir...
Vos pas sont lourds, les bruits tout autour de vous ne vous inspirent aucune confiance. Forcez de constater avec stupeur que cet endroit ne possède pas d'issue, ni de sortie, du moins tant que vous n'avez pas résolu les énigmes qui s'annoncent. Au bout vous entendez, un bruit d'ouverture. Comme si une porte venait vous donner accès à une nouvelle pièce.
Il n'y a pas grand chose à l'intérieur, mais vous ne pourrez rater l'intense luminosité qui s'en dégage de part l'entièreté immaculée de l'enceinte. Sur le mur en toutes lettres est écrit "Expérience 647" Quel est donc sa signification ?
Mais avant même que vous n'ayez le temps de vous poser la question, alors que vous vous trouvez à l'intérieur de cette prison infernale puisque la porte s'est verrouillée dérrière vous, de l'eau s'échappe d'une fente plafonale. Le niveau de l'eau monte dangereusement, et rien ne semble indiquer une quelconque échappatoire.
A vous de vous la créer et qui sait....d'y survivre peut être ?
Cordelia Calvelli
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Bon dieu cet endroit va finir par me filer une crise cardiaque. D'abord l'enfermement, puis les bruits glauques et maintenant l'espèce de ninja qui débarque de la pénombre en me faisant faire un beau sursaut. Et je suis censée être rassurée, calme et détendue ? Même pas en rêve !
- Sans vouloir vous vexer, vous avez le chic pour rendre les gens nerveux. Vous ne voulez vraiment pas enlever votre masque ?
Si je vois à qui j'ai affaire, j'aurai déjà plus de facilité pour me détendre un peu. Avec son masque je ne peux pas savoir si c'est un serial killer, un sociopathe qui me mène en bateau, un type du bon côté de la loi ou juste un pauvre mec qui s'est évadé d'un asile. Ce n'est vraiment pas rassurant de ne pas savoir qui il est. En plus je crois qu'il est armé. Génial... Sur toute l'équipe encore présente dans cette suite d'épreuves, je suis tombée sur celui qui est potentiellement dangereux pour ma vie. Merci de me donner une raison supplémentaire de détester la St-Valentin.
- Je le pense aussi. Je ne sais pas ce que notre hôte attend de nous tous mais il ferait fureur dans une animation d'Halloween.
Je continue d'avancer dans la pénombre, accompagnée cette fois par l'inconnu. Les bruits n'ont pas cessés autour de nous et c'est pénible. Ca ne me dit rien qui vaille. Un seul son vient pourtant me donner un brin d'espoir. Une sorte de cliquetis comme lorsqu'on déverrouille une porte. Plus on avance, plus l'espoir revient. Une nouvelle pièce, bien plus éclairée que la première, s'offre à nous.
- Expérience 647 ? C'est quoi encore ce délire ?
Il y avait déjà un chiffre dans la pièce où j'étais enfermée. Maintenant il y a ça sur le mur. Ce type est le docteur Frankenstein ou quoi ?! Pas le temps de réfléchir à autre chose. L'accès s'est verrouillé, la panique me reprend bien vite et pour ne rien arranger, voilà qu'on risque de mourir noyés.
- Putain d'hôte de merde, tu t'es cru dans Titanic ou quoi ?!!
Je ne suis pas aquaphobe mais je risque de le devenir si on ne trouve pas rapidement un moyen de sortir. Si tant est que l'on puisse en sortir vivants... Rapidement, je cherche sous l'eau un truc qui pourrait nous faire sortir. Un interrupteur, un endroit fragile à exploiter, un levier,... Bref tout ce qui peut nous servir pour sauver notre peau.
Décidément, il semblerait bien que notre hôte aime jouer de nous. Bon, ce n’est pas la première que j’ai été confronté à des types qui aiment jouer avec leurs victimes en leur tendant des pièges. Mais, lui ! Il a érigé ses pièges et ses plans au rang d’art. Enfin, si on peut appeler ça de l’art …
Avant d’entrer dans la salle, la prof d’Italienne, gardant toujours une certaine méfiance à mon égard, m’avait demandé : - Sans vouloir vous vexer, vous avez le chic pour rendre les gens nerveux. Vous ne voulez vraiment pas enlever votre masque ? - Non, j’ai de bonne raisons de garder mon masque et l’avis des gens m’importent peu, déclarais-je d’un ton quelque peu sec.
Alors que l’on entrait à l’intérieur salle, voilà que l’on pouvait lire sur une plaque : - Expérience 647 ? C'est quoi encore ce délire ? Demanda l’Italienne quelque peu inquiète.
Sans plus tarder, la porte se referma derrière nous et de l’eau commença à s’échapper d’une fente. Bordel ! Ce gars aime décidément nous tester. Il n’y a rien à l’intérieur, il n’y a de porte de sortie, ni même la moindre lumière, si ce n’est cette lumière intense, cette fente ou encore ces chiffres sur le mur. Dans une telle situation, je doutais que mon revolver aurait une quelconque utilité, observant les lieux, je me disais que pour le moment, il fallait inspecter et toucher les murs en espérant de trouver un interrupteur. Néanmoins, peut-être que ces chiffres pourraient sûrement nous aider. Aussitôt, je me dirigeais vers elle pour voir si en appuyant ou en interagissant avec, cela aboutirait à quelque chose …
Si jamais ça ne marchait pas, je pourrais en dernier recours tirer avec mon revolver la serrure de la porte arrière ou bien demander aider ma collègue à aller vers la fente sur le plafond. En tout cas, il fallait vire trouver un moyen de se tirer d’ici, si on ne voulait pas qu’on meurt noyer.
Anonyme
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Sam 14 Déc - 15:11
Anonyme
L'eau continue de monter, et quand bien même vos fouilles sont intéressantes, elle ne vous amène pas à la solution. Néanmoins l'un de vous a vu juste. Le plafond semble être de la matière d'un faux, quelque chose de facile à soulever, mais à cette hauteur il faut quand même arriver à l'atteindre non ?
Peut être qu'en vous aidant mutuellement un résultat peut voir le jour ? Mais prenez vite les bonnes décisions, car qui sait combien de temps encore faut-il pour vous retrouver submerger, vu que l'eau vous arrive déjà à niveau des genoux.
Cordelia Calvelli
En vacances |:| A Londres
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Personnage sur l'avatar : Ann Takamaki - Persona 5
Une St-Valentin pas comme les autres (2ème partie)
Feat : Davian Dupont
Pas moyen, il refuse de retirer son masque. Je ne sais pas pourquoi il le garde mais ça fout terriblement mal à l'aise. Je dois me faire à l'idée de rester crispée pour le reste du parcours. J'espère juste qu'il sera court. Je veux sortir. J'aime gagner mais pas au point de me détruire psychologiquement. Si ça dure trop longtemps, je vais finir par chercher un moyen d'abréger tout ça au lieu de chercher à résoudre l'énigme.
Une nouvelle pièce est finalement découverte mais encore une fois, celle-ci se verrouille et nous bloque à l'intérieur. Pour ne rien arranger à notre situation, de l'eau s'est mise à couler et inonde la pièce. C'est noël en avance, notre cadeau c'est le risque de clamser noyés ! Joie... On s'est donc rapidement mis à fouiller la pièce dans l'espoir de trouver une manière de stopper l'écoulement de l'eau ou mieux, rouvrir la porte. Il nous faut un accès. Peu importe par où, il nous faut une sortie.
Rien à faire, je ne trouve rien de mon côté. Pareil du côté de mon partenaire de galère pour le moment. Et l'eau continue de monter. Elle nous arrive déjà aux genoux, les mouvements deviennent plus difficile à effectuer et nos recherches se compliquent aussi. Génial... Je lève la tête et cherche le moindre détail qui nous permettrait d'avancer dans notre enquête. Si la sortie ne se trouve pas au sol ou contre les parois, peut-être qu'elle se trouve en hauteur. Ce ne serait pas impossible. Ce lieu est tellement tordu.
- Hé, tu crois que t'arriverais à me porter ? Peut-être qu'il y a un accès caché ou que l'interrupteur se trouve là-haut.
Je pointe le plafond avec mon index en fixant un instant le type masqué. Peut-être qu'il y a déjà pensé. Il a l'air parano alors il a sûrement déjà dû zieuter tous les endroits possibles, même les plus farfelus. Ma théorie lui a peut-être déjà traversé l'esprit ou alors pas encore. Dans tous les cas, je ne vois que cette option. Je ne sais pas ce que l'on pourrait tenter d'autre. C'est ça ou attendre que l'eau monte suffisamment pour nous hisser jusqu'au plafond. Sauf que si ça arrive, on risque d'avoir plus de mal à ouvrir l'accès s'il y en a un. Essayez de déployer de la force en étant dans l'eau... Bref j'attends donc sa réponse, me tenant prête au cas où il se sent apte à me porter et surtout, qu'il accepte de le faire.
The Wiesel Den 
Fiche par Ethylen sur Libre Graph'
