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Elaine Gekido

Elaine
Invité
Anonymous

Fiche validée
Sam 23 Fév - 3:19
Elaine
Elaine C. Gekido
Ancien membre

Elaine Chizaki Gekido
« Tu as un diplôme ou c'est un passe temps de me casser les pieds ? »

Surnom(s) :Mes amis m’appellent Eli ou Chizaki, mon second prénom.
Âge : 16 ans
Date de naissance : 27 février 2003

Lieu de naissance : Tokyo
Nationalité : Anglo-Japonaise
Orientation sexuelle : Je ne suis pas très à l’aise avec ça, mais on va dire que je préfère les femmes, mais les hommes c’est pas mal non plus.

Classe : Troisième
Suivez-vous le programme Gifted ? Oui
Si oui, dans quel domaine ?  Chimie
Date d'entrée à l'ISS : Janvier 2019

Ce que tu es
Physique

Yeux : Sombres
Cheveux : De jais, raides avec une frange
Taille : 1m65
Poids : 55 kg
Corpulence : Fine
Vêtements et/ou style : Des Hoodies et des jupes en règle générale. Porte des lunettes rondes.


Il est 6h30, mon réveil vient de se mettre en branle et se met à résonner dans toute ma chambre, encore vierge de tout meuble, créant de ce fait, une acoustique désagréable. Je grogne, face contre mon oreiller et hisse mon corps fin vers ma table de chevet, ou aplatit violemment mon poing contre la surface de cet engin du diable, qui s’arrête d’hurler aussi tôt. Tout de même consciente qu’il faut que je me lève pour mon premier jour d’école, je me retourne sur le dos afin de ne pas me rendormir trop vite. Je profite encore quelques secondes de la douce étreinte de ma couverture, avant de me redresser douloureusement, passant mes mains sur mon visage fin, avant de me frotter les yeux, du bas de la paume d'abord, puis du bout des doigts, comme pour vérifier inconsciemment que mes longs cils ne sont pas tombés pendant la nuit.

Après quelques minutes, j’arrive enfin à me sortir de mon lit. Je me hisse sur mes jambes, et commence à me diriger vers la salle de bain afin de me préparer. Sur le chemin, je fait glisser ma robe de chambre, la laissant tomber sur le sol. Je tarde un peu sous la douche, prenant soin de recouvrir ma peau claire et immaculée de mousse. J’évite de mouiller mes cheveux, ils sont trop longs pour que je daigne à les sécher à cette heure là. Une fois propre, je me rends compte que que le miroir de ma salle de bain est un peu haut pour mes 1m65. Tant pis, je finirais de me préparer dans ma chambre.

J’ouvre mon armoire, et recherche activement mon uniforme. Il se trouve au centre, rangé entre de nombreuses jupes, hoodies et tee shirts longs, tous monochromes et sombres, suspendu autour de mes nombreuses paires de chaussures et de bottes. Certaines diront que ça manque de couleur, mais ce n’est pas comme si leur avis m’intéressait.  

Assise devant ma coiffeuse, je fixe longuement mes palettes de maquillages, que je n’utilise pas vraiment, et décide de me maquiller légèrement mes grands yeux sombres, ainsi que de mettre un petit peu de gloss transparent sur mes lèvres fines. Simple, efficace. Un maquillage qui me ressemble pour le premier jour. Malheureusement, comme tout les matins, c’est le fait de me démêler les cheveux qui est fastidieux. De jais, sans aucune nuance, très longs, raides et couronnés d’une large frange. Tout l’inverse de ce qu’aiment les gens ici.

Caractère

Je verrouille soigneusement mon vaste appartement avec ma clé, sur laquelle est suspendue pléthore de goodies en peluche, et commence ma marche vers ma nouvelle école. C’est mon premier jour aujourd’hui, et il serait grotesque de dire que je n'appréhende pas un minimum l’inconnu.  En règle général, c’est quelque chose que je n’aime pas. Je veux toujours avoir le contrôle sur tout, sur mes amis, mes relations professionnelles, et surtout sur moi. Cela n’est pas chose facile, surtout connaissant les lacunes sociales inhérentes à la lignée des Gekido. La question que je me pose à mesure que je traverse les différents passages clouté est : Quelle image les autres vont avoir de moi ? J’ai 6 mois pour me construire l’image que je veux. Et ce que je veux, c’est que les gens sachent que je vise des activités exigeantes et valorisées et surtout que je ne rigole pas avec les études. J'espère d’ailleurs que cette école n’est pas remplie de rigolos incapables de suivre un protocole scientifique pour produire des réactions chimiques. Si c’est le cas, ça risque d’être tendu, bien que pratiquant la chimie à l’université, je vais surement en avoir que quelques echos lointains.
D’ailleurs, j’espère que le Cursus Gifted ne va pas trop impacter mon intégration dans un groupe. Peut être devrais-je rejoindre un club, ou quelque chose du genre et faire profiter aux autres de mes talents pour me former une place dans cette promotion.

A mesure que je me rapproche, je me rends compte à quel point toute cette bonne volonté risque de voler en éclat au premier à la première interaction. Les gens ont leurs habitudes, leur statut, et depuis le collège, toute forme d’autorité me débecte, alors les alphas de la promo risquent de rapidement entendre leur quatres vérités. J’ai hâte.

J’entends déjà de désagréables bruits de couloirs me chatouiller les oreilles : “T’as vu la nouvelle ? Elle est douée mais qu’est-ce qu’elle est désagréable, et on dirait qu’elle s’en tape de tout.”

Dans le fond, ce ne serait pas totalement faux. L'échec me dégoute tellement que je risque de me placer dans un coin de la classe et de ne réagir que si l’on vient me voir, histoire d'éviter tout faux pas. On m’a souvent dit que ma froideur était un mécanisme d’autodéfense. Qu’est ce qui faut pas entendre.

Je change successivement d’avis, de plus en plus rapidement sur la manière de me comporter, gardant comme simple dénominateur commun que ça risque de mal se passer quoi qu'il en soit. Et au bout de longues minutes de marche, j’arrive à la grille de mon nouvel établissement.

“Mouais. Ca va, c’est pas trop dégeux.”



Et ton histoire



On me demande souvent : “Qu’est-ce qu’il t’es arrivé dans ton enfance pour que tu soit autant une connasse ?”, ce à quoi je réponds “Rien. Rien du tout. C’est naturel.”. Cette réponse à beau être toujours honnête et empreinte de vérité, elle ne convient à personne. Les gens sont tous des psychanalystes de bac à sable. Toujours certains qu’un comportement se justifie par un traumatisme durant l’enfance. Les gens cherchent toujours des excuses, comme si tout avait besoin de justification…
Et bien non, je n’ai pas été battue, agressée ou violée. La vérité était que j’ai toujours été une enfant gâtée, si bien que, j’ai du attendre très tard pour apprendre à faire attention à mes affaires. Les sept premières années de ma vie se résument à une poignée d'interaction sociales avec mon père, au sujet de jouets que je voulais car j’avais cassé les derniers qu’il m’avait offerts. Le tout dans un concerto de réprimandes, ponctuées par sa phrase fétiche “Je n’ai pas le temps, je suis occupé, va demander à ta mère.” Que je déteste cette phrase. Pourtant, elle représente bien les premières années de ma vie au Japon. Trois personnes se renvoyant constamment la responsabilité de mon existence. “Va demander à ta mère.” “ Tu as vu avec ta soeur ?” “Demande à Papa.”. Ca m’a toujours dégoûté d’être entourée de personnes ayant pour maître mot “responsabilité”, étant incapables de les prendre quand cela concernait le foyer.

D’ailleurs, j’entends souvent des petites connes désireuses de posséder “Une grande maison comme toi Chizaki”. Je n’ai jamais compris comment l’on pouvait être désireuse de posséder une aussi grande maison de poupée. Des pièces immenses, recoupées par de longs couloirs, le tout dans des teintes fades, dénuées de toute forme de décoration chaleureuse. Un ensemble d’équipements derniers cris, retirant à la famille jusqu’au besoin de passer l’aspirateur.

Tout cela m’a amené à polariser mon enfance autour de ma chambre, et ma classe d’école primaire. Ma chambre, c’était un peu mon temple. Un endroit ou on m’apportait tout, et où on me faisait comprendre d’y rester au calme, afin de ne déranger personne, même si à de rares occasions j’étais autorisée à jouer avec ma soeur, ou ma mère. Sur mes étagères étaient empilées des tonnes de jouets les plus chers les uns que les autres, et évidemment, toutes les nouvelles consoles portables le jour de leur sortie, il fallait bien ça pour éviter toute friction à table.

Finalement, mon école primaire était l’endroit que j'appréciais le plus. On s’occupait de moi, et j’étais encerclée de gens. J’avais le droit de crier, chahuter, courir, rire… Mes camarades étaient gentils avec moi, même si les professeurs avaient dû s’assoir sur un balais. Contrairement aux pays européens, les écoles primaires et maternelles japonaises sont aussi assez strictes, et on nous prépare déjà à notre avenir, du moins, c’était le cas dans mon école de riche. Mais au final, on apprenait des choses dans une ambiance douce. On partait en voyage observer des insectes, visiter des musées, des fermes, et toutes les choses qui pouvaient émerveiller la jeunesse des hauts quartiers de la capitale.

Au fond, j’ai eu beaucoup de chance par rapport à d’autres. Certes, on à imposé à ma sœur de travailler dur, et à moi d’être un vulgaire objet de décoration. Mais c’était pas mal.

Les souvenirs les plus clairs que j’ai, tournent autour de mes sept ans. Le salon ou la chambre de mes parents était toujours bruyante. C’est à cette période que mon père à commencer à rentrer de moins en moins régulièrement, et à la seconde où il passait le pas de la porte, une dispute éclatait. Cela durait longtemps,  et je me souviens m’être souvent réfugiée dans la chambre de ma soeur, silencieuse pour ne pas la déranger.  Et puis, cela finissait toujours en pleurs. Au départ, ça parlait de travail, et de femmes je crois, et puis au bout de plusieurs mois, cela à commencé à parler de divorce et de nous. Nous n’avions pas vraiment notre mot à dire, et au final tout est allé très vite. Maman est un soir rentrée en trombe, à fait de larges valises et est partie avec Irène, en Angleterre auprès de mes grands parents, me laissant moi avec mon père. J’ignore si ce choix à été fait à l’amiable. Si c’était une question de préférence, si j’étais le boulet à répartir ou non, ou encore si Irène était partie pour échapper à la pression que lui imposait papa. Mais aujourd’hui, ça n’a plus d’importance.

Les premières semaines furent difficiles, je me souviens avoir beaucoup pleuré. Aussi dysfonctionnelle soit une famille, je pense qu’une rupture est toujours compliquée, surtout que, les appels de ma mère se sont très rapidement stoppés. C’est une des rares périodes où mon père à été avenant envers moi. Il tentait de se détacher de son travail, de passer des après midis avec moi à faire des puzzle ou regarder la télé. J’étais si heureuse d’être avec mon père que j’en suis venue à louer la séparation de notre famille. Nous partions nous balader, faire les magasins, aller au cinéma, faire des puzzle ensemble. Il à même tenté de préparer à manger, initiative qui ne dura pas une semaine à cause de son niveau catastrophique. Mais bon, une omelette cramée préparée avec amour à meilleur goût qu’un plat préparé par un inconnu.  C’est à cette période que j’ai remarqué que mon père était incapable de se débrouiller seul, et qu’au fond, il était simplement un humain maladroit, se planquant dans le boulot pour feindre de s’occuper de sa famille. Ça ne pardonne rien néanmoins.

Mais arriva mon premier jour au collège signa la fin de cet âge d’or. Mon père me fit rapidement comprendre qu’il devait travailler longtemps, et une fois encore, ses retours se firent de plus en plus rare. Alors j’ai appris à me débrouiller. Ménage, cuisine, toutes ces choses, jusqu’à devenir, bien que jeune, la maîtresse de maison. Il me fit aussi un discours maladroit sur le fait que maintenant, c’est moi qui hériterais de sa grande entreprise pharmaceutique, et que donc, je devais avoir des résultats excellents au collège. Je du donc apprendre à devenir une élève modèle, et travailler dur après les cours. A mesure que mes jouets prenaient la poussière, mes notes grimpaient, pour le plus grand plaisir du paternel. C’est également à ce moment que je compris que je ne faisait pas partie du même monde que les autres. Je devais être meilleure, toujours première, car j’avais un avenir *moi*. Oui, je pense que c’est les premiers instants ou je suis devenu une “connasse”. Je jouissais néanmoins d’une grande popularité. Le talent et la réussite ont toujours fascinés les plus faibles d’esprits. Ceux qui ne se contentent que de se nourrir de ce que les autres leurs donnent.

Malheureusement, ce statut prenait fin une fois les cours terminés. Je ne sortais pas avec mes copines, ou avec ma “cour”. Je travaillais. Beaucoup, jusqu’à en rêver la nuit. Rester la meilleure ne se fait pas tout seul, et personne n’est doué partout. “Le monde appartient à ceux qui s’en donnent les moyens” dit souvent le vieux. Exception faite de la chimie. C’est un sujet qui m’a vite passionné. Les expériences, le théorique, et tout ce que celà apporte à la société moderne. Une véritable révélation, certainement liée à mes prédispositions familiales.. Et même encore aujourd’hui, j’avale beaucoup trop de savoir à ce sujet.

Puis les années sont passées. Mes notes dans cette matière étaient telles, que je suivait un programme aménagé, suivant les cours des niveaux supérieurs, ce qui joua en ma faveur lorsque je me mis à réclamer à sauter une classe. Ce fut accepté sans trop de problèmes.  Et une fois dans la cour des grands, j’ai eu la certitude d’être la fille de mon père. Baignée dans des gens plus grands ma fait prendre conscience que je n’étais pas douée socialement. Au Japon, les ainés s’en fichent de la réputation des plus jeunes. Les débuts furent catastrophiques. J’étais agressive, hautaine, essayant d’appuyer sur mes origines sociales pour qu’on me regarde. Une vraie gamine. Et puis quelques un de mes camarades ont commencés à me dérider un peu, me faire boire en cachette alors que j’étais bien trop jeune. Finalement, je me suis fortement accopinée avec les racailles de mon école. J’ai commencée à devenir insolente non pas envers les autres, mais envers toute forme d’autorité, me protégeant derrière mes résultats impeccables (sauf dans toutes les options, et les langues.) pour justifier cela. Soulignant ardemment les erreurs des professeurs quand ils avaient le malheur d’oublier un signe dans un calcul, afin de creer un malaise. Et c’est là que Chizaki, 14 ans décida de profiter de sa jeunesse. Héritant du savoir de mes amis, j’ai rapidement adapté mon rythme de travail afin de me dégager du temps libre, et j’ai même eu un petit ami. Malheureusement, notre relation naissante fut stoppée par mon départ du Japon.

Une nouvelle fois, mon père pris seul une décison qui balança à la poubelle l’intégralité de ma vie. Fini les amis, les sorties clandestines, mon copain. Tout le bonheur de ma première année de Lycée ont été balayées par une discussion téléphonique, alors que je rentrais des cours. Il m’avait inscrite dans une Institution Anglaise et avait déjà commencé à louer un appartement ou il à rapidement commencé à transférer mes affaires, afin que je découvre d’autres horizons et que je perfectionne ma maîtrise de l’anglais. Certes mes notes dans toutes les matières linguistiques n’arrivaient pas à la cheville des mes matières scientifiques, mais ce n’était pas une excuse de m’arracher à mon pays.  Evidemment, le roi ordonne. Et je dû quitter tout ce que j’étais en train de construire pour partir dans un pays ou ils boivent du thé avec du Lait. Mon ex n’as même pas eu le temps de me donner mon premier baiser.

Les dernières semaines de décembre 2018 passèrent, et ce fut le moment du grand Départ. J’avoue même avoir laché une larme devant mes potes. Bon peut être un peu plus. Ils m’ont promis qu’on se reverrait pendant les vacances, mais je ne suis pas idiote, je sais bien que ce sera différent. Mais surtout, une fois n’est pas coutume, mon père eu un empêchement et ne se présenta pas à l’aéroport le jour de mon départ.

“Dommage”. me suis-je dit



Derrière l'écran
Prénom/Pseudo : Eléanore. Mais appelez moi Eli o/
Age : 21 ans o/
Tu nous viens d'où ? : De Saint Germain de Princay, petite bourgade Vendéenne de 1510 habitants, et abritant plus de 30 lieux dits. (Topsites en vrai)
Un commentaire ? : La pomme est un fruit qui m'est sympathique


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Martel Vint Svent
PNJ |:| Directrice
Martel Vint Svent
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Dim 24 Fév - 12:26
Martel Vint Svent
Bienvenue dans le programme pour jeunes talentueux Gifted,
Vous intégrez à la rentrée 2018 la section Chimie, et pourrez choisir entre suivre les cours spécialisés dans l'enceinte de l'école (Gifted-In) ou dans une école précise en ville (Gifted-Out). Sachez que dans tous les cas, vos cours d'une heure seront dispensés à l'ISS.

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Nous espérons que vous vous plairez dans vos études et que notre école saura correspondre à vos attentes,
Martel Ed'Ruecus, directrice de l'ISS
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Dim 24 Fév - 14:07
Invité
Tsume Montoya
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ÂGE : 22 ans
TAILLE / POIDS : 1m50 / 45 kg
CLASSE : Surveillante
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