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[2017] "Deux Vénézuéliens sont sur un bateau..."

Dario
Invité
Anonymous

Rp abandonné (tout public)
Jeu 15 Juin - 0:14
Dario
Dario Alvarès
Ancien membre
"Deux Vénézuéliens

sont sur un bateau..."

ft. Tsume Montoya



C’était le début de l’été, et la fin des cours pour tout le monde à Indare. Les couloirs étaient quasiment vides, et il était rare de croiser un autre élève en dehors des zones extérieures ou des lieux de vie commune.

Seul au monde, Dario marchait avec une drôle d’allure jusqu’à l’infirmerie de l’Indare Reformatory School, un endroit qu’il connaissait bien à force d’y faire des séjours. Mais pour une fois, aucune bagarre en vue. Le garçon sautillait à cloche pied, s’aidant des murs lorsqu’il le pouvait, grommelant à chaque fois que ses mouvements relançaient la douleur dans sa cheville gonflée.

Après un parcours du combattant, l’hispanique arriva enfin à destination. Essuyant rapidement son front perlant à l’aide de sa manche de sweatshirt, il poussa la porte d’entrée. Il reconnut de dos l’infirmière de garde qui semblait remplir des documents administratifs. Il entra et cria une injure en espagnol lorsqu’il toucha terre avec sa cheville endoloris par mégarde. L’infirmière le reconnu entre mille sans même lever la tête de ses papiers :

- Tiens, Dario, cela faisait au moins une semaine que je n’avais pas eu le plaisir de ta visite ici…

Elle se tourna enfin vers son interlocuteur avant de poursuivre.

- Oh ? Aucune pauvre victime avec toi cette-fois ci ? C’est rare ! Qu’est-ce qu’il t’arrive, mon grand ?

La grande blondinette était toute sourire comme à son habitude, et semblait toujours parler de cette manière à ses patients. Elle ne jugeait jamais Dario, et ne semblait pas en avoir une quelconque appréhension, malgré son nombre de visites incalculables à cause de bagarre violentes. L’intéressé esquissa un bref sourire en coin en pointant du doigt sa jambe.

- Je me suis bousillé la cheville au gymnase. Ça se voit pas qu’elle a triplé de volume ?

La dame se leva de sa chaise et s’approcha pour ausculter son patient, en relevant légèrement ses lunettes qui ne lui servaient que de loin.

- Ouh, en effet, ça a l’air d’être une belle entorse… Comment tu as fait ton compte ? Le mur t’a regardé de travers ?

Dario fronça les sourcils et lui lança un regard blasé. Il n’était pas vraiment d’humeur pour de telles plaisanteries.

- J’ai… Heu… J’ai mon strapping qui a foiré pendant l'entraînement.

La réalité un peu moins enrobée de miel était qu’il avait omis de mettre le moindre équipement de protection avant de frapper comme un sourd dans les sacs d’entrainement aux arts martiaux. Le gaillard n’avait aucune technique, mais il entrainait tout de même sa force et se défoulait par la même occasion de façon régulière.

- Et bien désolée, mais je vais devoir te mettre dehors. Les lits d’ici sont déjà pleins.

- Oh putain, c’est une blague ? J’ai mis une heure à me traîner jusqu’ici !

- Tu devrais aller à l’infirmerie de l’ISS. Après tout, elle est ouverte à tout le monde.

- Mais c’est… C’est à l’autre bout du monde, bordel!


Consciente qu’elle entretenait une saine alliance d’autorité et de complicité avec le garçon, la grande blonde n’hésitât pas à lui mettre une petite tape sur le haut du crâne.

- Hey, on surveille son langage ici ! Allez, tu ne vas pas en mourir, je sais que tu es solide.

Dario se frotta la tête. Le compliment ne l’avançait pas à grand-chose, mais il n’avait pas l’air d’avoir le choix. Après avoir pris soin de lâcher un énorme soupire, il mit la main sur une béquille qui trainait contre le mur et s’en aida pour continuer son aventure pédestre.

Ne croisant toujours personne sur son chemin, il finit par arriver devant l’entrée du bâtiment principal de l’ISS. Le surveillant reconnu instantanément la dégaine de Dario qui était connu comme le loup blanc, et le stoppa.

- Qu’est-ce que tu viens faire par ici, Alvarès ? Tu as une autorisation ?

Levant les yeux au ciel furtivement, il n’eut pas la force d’articuler une réponse courtoise.

- L’infirmière de l’IRS m’a foutue dehors, plus de place. Tu vas me laisser entrer ?

A la vue de la béquille et de la jambe manifestement gonflée, le pion jugea l’histoire crédible, et le laissa grimper les escaliers jusqu’à la terre promise. Epuisé et déjà agacé, il ne prit pas la peine de frapper à la porte et débaroula dans l’infirmerie. Cette fois, il n’y avait pas âme qui vive, même pas un responsable. Tant pis. Il n’allait pas cavaler plus loin.

Le garçon s’écroula dans le premier lit, à quelques pas seulement de la porte d’entrée. Accablé par la chaleur et son escapade, il hotta son sweat à capuche, laissant à l’air libre son torse aussi tatoué que le reste, et vociféra quelques nouvelles insultes en espagnol alors que la douleur dans sa cheville ne se calmait pas, en se demandant si quelqu’un allait finir par arriver.

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Invité
Invité
Anonymous

Rp abandonné (tout public)
Jeu 15 Juin - 23:33
Invité
Tsume Montoya
Ancien membre
SEXE :
ÂGE : 22 ans
TAILLE / POIDS : 1m50 / 45 kg
CLASSE : Surveillante
En cette tiède soiréee de la mi-Juin anglaise, je faisais un petit décompte de mes affaires. Je voulais voir ce qu'il pouvait me manquer. Je pu ainsi me rendre compte que ma petite pharmacie était bien entamée. Ce qui était assez gênant si j'avais besoin de soigner le jeune maître. Ou quelqu'un d'autre. En secouant la tête, je me promis d'aller, le lendemain, faire un tour à l'infirmerie pour demander si je pouvais prendre des pansements, histoire d'éviter d'aller faire des achats en ville. Mon budget personnel n'est pas si élevée que cela après tout.

Après une nuit calme, une matinée tranquille car c'était la fin de l'année scolaire. Ayant reçu nos diplômes, les professeurs donnaient des cours plus "allégés". Après le repas au self, je me rendis au second étage du bâtiment de l'ISS. Je ne comprenais d'ailleurs pas pourquoi on mettait toujours les infirmeries dans les étages ? Un individu blessé pouvait descendre plus facilement qu'il ne montait. Les gens sont parfois incohérents. Mais bon, j'arrivais devant la porte et je frappais tout en entrant dans la pièce.

Il n'y avait qu'une seule personne et vu sa position et ses insultes hispaniques, ce ne devait pas être l'infirmier. Je m'approchais de lui, notant qu'il était très tatoué, au point qu'on pouvait se demander si c'était un torse ou un livre.


"Buenos Dias, señor. Vous avez un problème ? Je peux vous aider ?"

Je l'avais salué en espagnol, vu qu'il s'exprimait dans cette langue. Personnellement, je portais l'uniforme de mon établissement, n'étant pas allée me changer dans ma chambre. quant à l'inconnu, je ne pouvais dire, vu que je ne voyais que son pantalon. En tout cas, il devait être d'ici lui aussi sinon il ne serait pas là. Je le regardais de haut en bas et je me dis que, vu la taille de son pied, le problème devait venir de là. Il a de la chance : je connais deux-trois trucs. Cela a du bon d'être l'aînée d'une dizaine de frères et sœurs par moment !
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Dario
Invité
Anonymous

Rp abandonné (tout public)
Ven 16 Juin - 12:07
Dario
Dario Alvarès
Ancien membre
"Deux Vénézuéliens

sont sur un bateau..."

ft. Tsume Montoya

Profitant d’être allongé, Dario ferma les yeux quelques minutes. Mais avant d’avoir vraiment eu le temps de profiter du calme plat de la pièce, quelqu’un frappa à la porte et entra dans l’infirmerie à son tour. Au même instant, la douleur dans sa jambe revint à la charge, et il vociféra une fois de plus des insultes dans le vide, le visage crispé.

- Puta madre !

Il posa alors les yeux sur la personne qui venait de rentrer. A en juger par son uniforme gris et rouge, elle venait de l’ISS. Une autre élève malade ? Voilà qui n’allait pas vraiment faire avancer la situation. Dario lui ne portait maintenant rien en dehors de son jogging, mais le bracelet de localisation sur son autre cheville allait sûrement mettre la puce à l’oreille de la demoiselle quant à son identité.

Mais alors qu’il s’apprêtait à fermer à nouveau les yeux et à laisser la nouvelle arrivante se débrouiller, elle le salua en espagnol et lui demanda s’il avait besoin d’aide. Maintenant qu’il prenait le temps de la détailler un petit peu, c’est vrai qu’elle avait l’air de venir du même continent. Le garçon se redressa un peu dans le lit et posa sa tête contre le mur frais, dévisageant maintenant Tsume avec un air intrigué.

- Ah, si. Eres español ? Sudamericano ?

C’était la première fois en presque deux ans qu’il croisait quelqu’un parlant apparemment sa langue. S’ils n’étaient pas chacun dans une partie différente de l’école, il aurait sûrement pu la rencontrer avant.
Le simple fait de reparler un peu espagnol le rendait nostalgique du « bon vieux temps » et Dario se mit à afficher un petit sourire en coin malgré lui. Il pointa furtivemet du doigt sa cheville gonflée et continua de discuter en espagnol :

- Je crois que je me suis fait une entorse. Mais l’infirmerie de l’IRS est blindée, et ici il n’y a personne. Et toi, tu viens pour quoi ?

Il ne fit aucun commentaire à ce sujet, mais la demoiselle était vraiment petite par rapport à lui, et il se dit qu’elle était sûrement en première ou deuxième année maximum. Mais elle était toute mignonne, et ses cheveux verts sortaient vraiment de l’ordinaire. Pourtant, dans son regard, on pouvait deviner qu’elle avait plus de vécu qu’il ne paraissait. Une sorte de force tranquille, qu’il ne fallait sûrement pas chercher à trop ennuyer.
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Invité
Invité
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Rp abandonné (tout public)
Ven 16 Juin - 17:04
Invité
Tsume Montoya
Ancien membre
SEXE :
ÂGE : 22 ans
TAILLE / POIDS : 1m50 / 45 kg
CLASSE : Surveillante
Ah, si. Eres español ? Sudamericano ?

Vu sa réponse, il n'était pas espagnol. Un natif de ce pays européen n'aurait pas émis l'hypothèque que je sois sud-américaine. Il devait donc venir du même continent que moi. Probablement. Vu qu'il s'exprimait dans ma langue natale, je pris la peine de faire de même, ce qui sera plus facile pour nous deux. Personnellement, j'ai toujours des difficultés à m'exprimer en anglais. Après tout, je n'étudie cette langue que depuis peu de temps.

"Si, je suis née près de Caracas. Je m'appelle Tsume Montoya."

Inutile de préciser que je servais l'une des plus grandes familles du pays. D'une part ce serait un peu arrogant et puis je ne savais rien de mon interlocuteur. Peut-être était-il péruvien ou argentin et ne connaissait-il rien du vénézuéla ?

- Je crois que je me suis fait une entorse. Mais l’infirmerie de l’IRS est blindée, et ici il n’y a personne. Et toi, tu viens pour quoi ?

"Je venais demander quelque chose à l'infirmière mais visiblement elle n'est pas là."

Je lui remontais le bas de son pantalon pour voir ses chevilles. Je découvris ainsi qu'il portait un bracelet localisateur. Je m'étais donc trompée, il n'était pas de l'ISS mais de l'IRS. Tant pis pour le talent d'investigatrice de l'inspecteur Montoya. Enfin, ce n'était pas grave, je ne vise nullement de servir la police.

"Si tu me le permets, je vais nettoyer cela. J'ai l'habitude de soigner ce genre de chose."

Il faut dire qu'étant l'aînée de la famille, j'ai souvent eu à aider ma mère à soigner les bobos de mes frères, voir même parfois à le faire toute seule. Et puis, j'ai eu ma part d'écorchures, foulures et autres petits désagréments de la vie. Bon, cela ne semblait pas si mauvais que cela. Une bonne compresse, de quoi la maintenir et du repos.

Je me dirigeais vers la petite pharmacie du local, l'ouvrant pour prendre ce dont j'avais besoin. Il faudra que je songe à noter ce que j'utilisais et pourquoi avant de partir. Je repris la parole, continuant de tutoyer le jeune homme, qui semblait être dans ces dernières années d'étude ici.

"Et sinon, pourquoi te retrouves-tu dans un tel lieu, si loin de chez toi ?"

Je poussais un tabouret près du lit où il était allongé pour m'installer à ses côtés. Je posais la question par curiosité mais très peu, surtout pour avoir de la conversation. Ce serait idiot de ne pas profiter de cette occasion de parler ma langue natale. Je lui souris un peu avant de commencer à nettoyer délicatement sa cheville : ma mère disait qu'il ne fallait soigner que quand c'était propre.
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Dario
Invité
Anonymous

Rp abandonné (tout public)
Lun 19 Juin - 15:53
Dario
Dario Alvarès
Ancien membre
La conversation se poursuivait en espagnol pour Dario également. La jeune fille venait donc du Venezuela, elle aussi ! Quelles étaient les chances ?

- Caracas ? Venezuela ? Ha ! Je suis né et j’ai passé ma vie à Ciudad Bolivar. J’ai vu la capitale quelques fois, mais je suis jamais resté longtemps. Hm… A part une fois où…

Dario s’interrompu, se rappelant que ce souvenir comportait une altercation violente et une semaine de détention provisoire à Caracas. Il n’avait aucunement honte de son passé, mais il ne comptait pas étaler tout de suite ses petits secrets face à une inconnue, qui ne faisait même pas partie des autres repris de justices d’Indare.
Avant qu’il n'ait le temps d’enchaîner sur autre chose, la mignone petite demoiselle s’approcha de lui et, sans aucune gêne, commença à inspecter sa cheville après lui avoir remonté le jogging. Le jeune homme se crispa sur le moment et était à deux doigts de la pousser avec sa jambe valide.

- Hey, qu’est ce –

"Si tu me le permets, je vais nettoyer cela. J'ai l'habitude de soigner ce genre de chose."

Elle avait effectivement l’air de savoir ce qu’elle faisait. Dario se détendit, et la laissa faire.

- Hem… Si tu veux, merci…

Il ne savait plus trop comment réagir ni quoi dire. Pour lui, la situation était un peu gênante. Il regarda attentivement Tsume qui après l’avoir ausculté parti prendre ce dont elle avait besoin. Il la suivait silencieusement du regard, profitant plus ou moins discrètement de la vue que lui offrait l’uniforme de l’école. Lorsqu’elle revint vers lui, il fit mine de regarder ailleurs. Elle s’installa à côté du lit, et commença à prodiguer ses soins en lui demandant comment il avait atterri ici.

Il fixait maintenant ses mains, attentif à ce qu’elle faisait à sa cheville, contractant malgré lui le muscle du mollet quand la douleur revenait à la charge.

- Je suis arrivé en Angleterre y’a 2-3 ans… J’ai été plus ou moins obligé de quitter le pays pour pas finir six pieds sous terre. Mais je me suis fait choppé peu après pour des conneries… Mais j’me plaint pas. Ici c’est quand même vachement mieux que la taule dans laquelle j’aurai du finir normalement. Et encore mieux qu’un cercueil.

Dario attrapa le pull qu’il avait laissé par terre à côté de lui, et en sorti une cigarette qu’il alluma après l’avoir rapidement mise dans sa bouche, profitant du fait que personne n’était là pour le lui interdire. Il prit soin de souffler sa fumée à l’opposé de Tsume, avant de reprendre la conversation.

- Et toi ? Pourquoi t’es venu faire des études ici spécialement ?
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Invité
Invité
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Rp abandonné (tout public)
Ven 23 Juin - 0:34
Invité
Tsume Montoya
Ancien membre
SEXE :
ÂGE : 22 ans
TAILLE / POIDS : 1m50 / 45 kg
CLASSE : Surveillante
[i]Caracas ? Venezuela ? Ha ! Je suis né et j’ai passé ma vie à Ciudad Bolivar. J’ai vu la capitale quelques fois, mais je suis jamais resté longtemps. Hm… A part une fois où…

Où il s'est attiré des ennuis, semblait dire son silence. Ce qui pourrait bien aller avec ses nombreux tatouages. Si j'étais le genre à juger aux apparences, j'aurais pu dire qu'il était une racaille, un mafieu ou un guerillero. Bref, un individu bien peu recommandable. Mais là, il souffrait et j'étais présente. Et monsieur Gustadores disait toujours d'être généreux auprès des autres. D'aider quand on le pouvait. C'était un homme bien et j'avais l'occasion de suivre son exemple. Je pris donc le nécessaire dans la pharmacie et je me mis à nettoyer sa cheville.

- Je suis arrivé en Angleterre y’a 2-3 ans… J’ai été plus ou moins obligé de quitter le pays pour pas finir six pieds sous terre. Mais je me suis fait choppé peu après pour des conneries… Mais j’me plaint pas. Ici c’est quand même vachement mieux que la taule dans laquelle j’aurai du finir normalement. Et encore mieux qu’un cercueil. Et toi ? Pourquoi t’es venu faire des études ici spécialement ?

Soupirant un peu, je pris sa cigarette et je l'éteignis avant qu'il ne proteste.

"La politesse voudrait que tu demandes l'autorisation pour fumer dans un endroit où c'est interdit."

Il y avait de la désapprobation dans ma voix. Oh, j en'ai rien contre les fumeurs, mon père en est un et je crois que Augusto, le plus âgé de mes frères, s'est aussi mis à cette pratique en cachette. Surement poussé par ses amis d'ailleurs. Mais je n'aimais pas l'odeur du tabac tant que cela et vu que je pouvais l'arrêter légitimement.

"Sinon, pour répondre à ta question, oui monsi.. on m'a conseillé de venir faire des études sportive dans cet établissement."

Inutile de citer mon employeur ni la manière qu'il a utilisé pour me convaincre de venir à l'Institution Indäre. Sincèrement, s'il n'y avait eu Garcia, je ne serais pas ici. Je n'étais toujours pas très sure de posséder ce soit-disant talent pour les sports et les arts martiaux. J'étais bonne, loin d'égaler la gouvernante en chef mais compétente.  Quel besoin avais-je de savoir jouer au basket ball ou de savoir faire du surf ? Mais voilà, on voulait que je développe mon savoir sportif tout en gardant un oeil sur le jeune maître.

Tout en pensant à cela, je mis une compresse sur la cheville gonflée et propre, doucement, avant de passer un bandage autour. Bon, il fallut que je serre un peu, ce dont je ne le prévins pas d'ailleurs. Je trouve que cela ne change pas tant que cela et puis, cela l'aidera à se rappeler de ne pas faire la bêtise qui l'a mis dans cet état. Cela marche bien avec mes frères : depuis que c'est moi qui les soigne, ils se blessent moins je trouve.

"Voilà, il faudra changer la compresse toutes les demi-journées, jusqu'à ce que cela dégonfle, et éviter de la mouiller."

Je descendis son pantalon, recouvrant ses chevilles, puis je me déplaçais pour me trouver à hauteur de son visage, toujours assise sur la chaise à roulettes. C'était amusant de se déplacer avec d'ailleurs.

"Pense aussi à reposer ton pied et à demander une béquille ou une canne. Tu as besoin d'autre chose ?"
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Dario
Invité
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Rp abandonné (tout public)
Dim 25 Juin - 2:09
Dario
Dario Alvarès
Ancien membre
Avant qu’il ne puisse réagir, Tsume lui retira la clope du bec et écrasa le mégot. Demander l’autorisation pour quelque chose d’aussi futile ? Allons bon. Dario ne put s’empêcher d’éclater d’un petit rire moqueur et malsain.

- Oui bien sûr, c’est dans mes habitudes de faire attention à ça, c’est pour ça que je suis ici pour 4 ans avec un bracelet à la jambe.

Son ton était joueur, mais on voyait à son visage qu’il était finalement très peu amusé par ce que venait de faire la demoiselle sans même le prévenir. Il l’écouta raconter sa propre histoire tout en continuant de zieuter ce qu’elle faisait à sa cheville, et de la zieuter elle en se demandant si elle s'en rendait compte. Le moment n’était pas vraiment magique étant donné les circonstances, mais il appréciait toujours le contact humain, surtout venant d’une jolie lycéenne.

- T’es spécialisée en sport alors ? Le prend pas mal mais t’as pas vraiment le physique… Je sais qu’il faut pas se fier aux apparences mais quand même… C’est quoi ton sport de prédilection ?


Tsume procéda ensuite à lui strapper la cheville. Surpris par la soudaine pression sur la blessure, le jeune homme se crispa à nouveau en lâchant un petit soupire de douleur à travers ses dents serrées.
Après une brève séance de conseil sur la façon dont il devait traiter sa jambe, elle changea de position pour se mettre en face de lui.

- Merci. J’suis venu ici avec une béquille que j’ai piquée à l’IRS, je repartirais avec.  

Sans remord, il ralluma une cigarette grâce au paquet et au briquet qu’il avait laissé sur la petite table de nuit présente à côté de chaque lit, tout en fixant Tsume avec un regard mêlant défi et promesse de violence.

- Pour l’instant, rien... J’aurai bien pris des médocs pour la douleur, mais si ça se voit dans ma prochaine analyse j’suis foutu, j’ai pas le droit de prendre ce genre de truc si l’infirmière l’a pas prescrit.

Il souffla à nouveau sa fumée derrière lui et Tsume, hésitant presque à faire le contraire et tout lui envoyer dans la gueule rien que pour voir comment elle réagirait. Il garda cette idée de côtée pour plus tard.

- J’vais attendre un peu avant de repartir et profiter des locaux. Et si t’aime pas la fumée, tu peux toujours te barrer.

Ayant dit merci, Dario ne ressentait plus aucune obligation de courtoisie envers celle qui lui avait prit sa clope sans lui demander ou le prévenir. Il n’allait quand même pas se laisser emmerder par une fille qui pourrait être sa petite sœur et qui lui arrivait à peine au buste, si ? Il tenait cette fois sa sucette à cancer fermement, prêt à réagit si elle tentait une fois de plus de lui retirer. Cependant, malgré ce départ sur un « mauvais pied » et le mauvais jeu de mot que cela impliquait, le jeune Vénézuélien avait en tête d’essayer de faire marcher ses charmes sur la petite demoiselle qui était décidément bien agréable à l’œil, et serviable avec cela.

Totalement inconscient de son caractère totalement paradoxal, il affichait maintenant un sourire et un air charmeur. Il se rapprocha du bord du lit dans un mouvement fluide et était maintenant très proche de Tsume.

- En tout cas, ça fait bizarre de rencontrer quelqu’un du pays après tout ce temps… Mais ça fait vraiment plaisir. Il faudrait qu’on se revoie, pour parler du bon vieux temps là-bas ! Au fait, moi c’est Dario.
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Invité
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Rp abandonné (tout public)
Mer 28 Juin - 22:28
Invité
Tsume Montoya
Ancien membre
SEXE :
ÂGE : 22 ans
TAILLE / POIDS : 1m50 / 45 kg
CLASSE : Surveillante
Pendant que je le soignais, il me demanda quel était mon sport de prédilection, après une petite remarque sur le fait que je n'en avais pas le physique. Cela ne me vexa pas, j'entendais souvent cela et puis ils n'étaient pas si nombreux que cela à voir de quoi j'étais capable. Dario se laissait juste avoir par les apparences.

"Je préfère la capoeira mais je te pris de ne pas le répéter."

Après tout, je ne voulais pas que cela arrive aux oreilles de Garcia. Il ignorait ma nature de soubrette-garde du corps. Je ne dis rien de plus, me contentant de finir de soigner sa cheville, le faisant se crisper mais non crier. Je hochais la tête devant sa force de caractère. C'était un dur, en effet. Je lui donnais les conseils d'usages. Ce à quoi il répondit avoir une béquille puis il se ralluma une cigarette. Je lisais de la provocation dans son regard.

- Pour l’instant, rien... J’aurai bien pris des médocs pour la douleur, mais si ça se voit dans ma prochaine analyse j’suis foutu, j’ai pas le droit de prendre ce genre de truc si l’infirmière l’a pas prescrit.  J’vais attendre un peu avant de repartir et profiter des locaux. Et si t’aime pas la fumée, tu peux toujours te barrer.

Je levais deux doigts, pliant sa cigarette en deux sans la briser entièrement. Je poussais ma chaise à roulettes vers l'arrière, m'éloignant de lui avant qu'il ne fasse quoi que ce soit, retenant un tirage de langue taquin à son intention. Ce n'était pas le moment de faire la gamine après tout.

"Désolée, je ne peux partir encore. Je dois signaler ce que je viens de faire et laisser un mot pour savoir si on peut me fournir une boîte de sparadrap aussi."

Là-dessus, je me levais en lui tournant le dos, en allant vers le bureau.

En tout cas, ça fait bizarre de rencontrer quelqu’un du pays après tout ce temps… Mais ça fait vraiment plaisir. Il faudrait qu’on se revoie, pour parler du bon vieux temps là-bas ! Au fait, moi c’est Dario.

"Et bien, comme cela, nous sommes trois compatriotes dans Indäre. Je m'appelle Tsume. Tsume Montoya."

Je lui fis un petit sourire en penchant la tête légèrement en me présentant. Je sortis une feuille de papier pour expliquer avoir pris la liberté de soigner Dario et ce que j'avais utilisé pour ça. Avant de me rendre compte que j'avais commencé à le faire en espagnol. Je déchirais la feuille avant d'en prendre une autre.

"Je ne sais pas trop si j'aurais le temps. J'ai beaucoup à faire entre l'école et mes autres obligations, tu sais. Après, je crains qu'on ait pas beaucoup d'expérience commune de notre pays. Après tout, je n'ai jamais eu de soucis avec la loi, moi."

Je ne pu me retenir cette fois et lui tirait la langue en disant cela. Je regrettais de me montrer ainsi : si la gouvernante en chef l'apprenait, elle me punirait pour ça. Une servante des Gustadores doit être irréprochable en tout point, selon elle. Elle est stricte mais elle a un bon cœur, qu'elle cache bien. Je me concentrais et commençait ma note. Je pris la parole, machinalement.

"Remarque, si tu allais vers les filles, tu t'attirerais moins d'ennuie."
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Dario
Invité
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Rp abandonné (tout public)
Ven 30 Juin - 22:48
Dario
Dario Alvarès
Ancien membre
Il ne comprenait pas bien pourquoi la capoeira devait rester secrète, mais soit, ce n’était pas vraiment un secret difficile à garder, ni un sujet de conversation qui allait revenir. Lorsqu’elle s’amusa à plier sa nouvelle cigarette en deux, le garçon ferma les yeux un instant, le visage crispé, essayant de se calmer et de ne pas agir sur ses impulsions habituelles. Sport de combat ou pas, il était à deux doigts de lui sauter à la gorge. Si elle n’avait pas été une fille de cette carrure, il serait d’ailleurs déjà passé de « l’autre côté ».

Mais quelque chose le poussait à se retenir. Par fierté et signe de défi, le garçon n’interrompu pas son fumage. La cigarette était abimée, mais pas inutilisable. Réouvrant les yeux quelques secondes plus tard, il voyait maintenant que la demoiselle était retournée près du bureau de l’infirmière car elle voulait absolument consigner ses activités ici. Dario ne comprenait pas l’intérêt, mais ne fit aucun commentaire dessus.

Elle s’appelait donc Tsume… C’était original, il n’avait même jamais entendu, mais c’était joli. Et il y avait donc un troisième vénézuélien dans l’établissement ? Il allait falloir qu’il le ou la rencontre également. Quant à sa proposition de la revoir, elle prit un malin plaisir à trouver des excuses pour l’éviter, mais il n’allait pas se laisser abattre aussi facilement.

- Heh, j’ai peut-être fait des conneries, mais c’est pas pour autant que je vivais dans un autre monde, tu sais. A moins que t’ai vécu dans une famille richissime loin des favelas… Mais je sais pas pourquoi, j’en doute…

Il souriait à nouveau, et regardait faire Tsume avec sa lettre d’explication depuis son lit où il était assis.


"Remarque, si tu allais vers les filles, tu t'attirerais moins d'ennuie."


Dario marqua un temps d’arrêt et la fixa avec des grand yeux le temps d’une seconde, ne s’attendant pas à une telle réplique. « A ton avis, qu’est-ce que j’essaye de faire depuis tout à l’heure ? » se retint-il de lui déballer de but en blanc. Heureusement, il tourna sa langue dans sa bouche et essaya d’être un peu plus subtil dans ses propos :

- J’essaye, crois-moi. Mais la seule qui m’intéresse en ce moment m’a répondu qu’elle avait trop de choses à faire avec l’école et ses autres trucs, et qu’on n’aurait sûrement pas grand-chose à se raconter sur le pays qu’on a en commun.

Cette fois, c’était à son tour d’afficher un petit air narquois, avec l’assurance qu’elle comprendrait son message. Il voulait vraiment la revoir, et pas seulement pour parler du Venezuela…

Se disant qu’il allait essayer de marquer le coup, ou en tout cas de faire en sorte que ses intentions soient bien claires, Dario décida de passer outre la douleur et de se mettre debout pour rejoindre Tsume qui fixait sa feuille, et se posta derrière elle en prenant appui sur sa jambe valide. Sans transition, il posa doucement ses mains sur les épaules de la jeune fille, et commença à les masser doucement, presque comme si c’était des caresses. Il n’était certainement pas masseur ou kiné, mais il ne faisait pas non plus cela à l’aveugle et avait quelques notions pour faire en sorte de ne provoquer aucune douleur involontaire. Il se pencha légèrement, approchant alors son visage du sien.

- Tu ne devrais pas te donner autant de mal pour des petites choses… Et on devrait pouvoir se trouver un espace dans nos emplois du temps, hm ?

On sentait dans sa voix l’assurance et l’habitude qu’il avait avec une telle proximité, et avec de telles suggestions.
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Dim 2 Juil - 1:06
Invité
Tsume Montoya
Ancien membre
SEXE :
ÂGE : 22 ans
TAILLE / POIDS : 1m50 / 45 kg
CLASSE : Surveillante
- Heh, j’ai peut-être fait des conneries, mais c’est pas pour autant que je vivais dans un autre monde, tu sais. A moins que t’ai vécu dans une famille richissime loin des favelas… Mais je sais pas pourquoi, j’en doute…

"Tout à fait, c'est pour cela que mes frères et sœurs, ainsi que mes parents vivent toujours dans les barrios de Caracas."

J'entamais mon mot pour l'infirmière, après avoir répondu machinalement à sa remarque. Il n'a nul besoin de tout savoir, que ce soit mon origine ou le fait d'avoir été engagée par l'une des plus riches familles du pays. Ou d'ailleurs le fait que le troisième vénézuélien soit le fils de mon employeur. Quoi qu'il pourrait comprendre qui il est quand il entendra son nom. Maître Gustadores est connu pour sa générosité et son engagement politique en faveur des pauvres.

- J’essaye, crois-moi. Mais la seule qui m’intéresse en ce moment m’a répondu qu’elle avait trop de choses à faire avec l’école et ses autres trucs, et qu’on n’aurait sûrement pas grand-chose à se raconter sur le pays qu’on a en commun.

Il parle de moi, là ? C'est n'importe quoi. Je n'ai pas les charmes qu'on recherche. Et puis, il m'a prit pour plus jeune que je ne suis. A mon sens, il devait me taquiner et c'est pour cela que je ne répondis pas. Je fus donc surprise de le sentir dans mon dos et se mettre à me masser les épaules, alors que je n'en avais nullement besoin en plus. Bon, il n'était pas mauvais, pour autant que je puisse en juger :  on a rarement exécuté une telle chose sur moi et jamais quand je n'en avais nul besoin. Ni même debout. Je posais les mains à plat sur la table, ne pouvant écrire car il faisait légèrement trembler mon bras.

J'aurais bien tourné la tête vers lui mais il pencha la sienne à côté de la mienne. Du coup, on aurait été un peu trop proche. J'aurais aussi pu me dégager aisément mais il risquait de tomber et d'aggraver sa blessure. Je n'ai nulle envie de cela, sauf bien sur s'il exagère réellement. Je n'aime pas détruire mon travail.

- Tu ne devrais pas te donner autant de mal pour des petites choses… Et on devrait pouvoir se trouver un espace dans nos emplois du temps, hm ?

"Tu devrais plutôt retourner t'allonger et penser à ta cheville, même si je te remercie pour ce petit massage."

Je m'avançais d'un pas, me collant contre le bureau, pour échapper à ses mains sauf le faire chuter. Puis j'achevais mon mot. Mon anglais écrit n'était pas mauvais mais on voyait bien qu'il était aussi simple. Je maîtrisais moyennement l'anglais après tout, même si le temps passé ici avait contribué à améliorer ce savoir. Je me tournais ensuite vers lui, levant les yeux vers son regard.

"Allez, va te recoucher. Rester debout ne t'aidera pas à guérir, surtout en me faisant un massage en prime."

Puis, pour ne pas lui laisser le choix, je lui pris la main et je l'entraînais vers le lit. Bon, le drap était défait à cause de lui mais bon, ce n'était pas comme s'il allait dormir là ou si j'allais m'y allonger. Je me tournais encore une fois vers lui, le regardant sérieusement pour qu'il se remette comme il faut sur le lit. Bon, peut-être que la trentaine de centimètres de différence de taille n'aidait pas à me rendre assez convaincante, surtout vu son passé, mais je devais essayer. Avant qu'il se mette à courir derrière moi.

"Au lit Dario !"
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Dario
Invité
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Rp abandonné (tout public)
Jeu 13 Juil - 12:43
Dario
Dario Alvarès
Ancien membre
Il n’était pas rare que Dario se prenne un refus caractérisé dans ses manœuvres pour inviter une fille à sortir, mais il n’avait jamais été ignoré à ce point. Tsume ne réagissait tout simplement pas à ce qu’il disait et faisait, ou bien semblait s’y intéresser autant que s’il venait de lui parler de la culture des betteraves en Mauritanie.

La demoiselle était vraiment au petit soin, et insistait pour que Dario reste au lit comme un enfant malade, même s’il s’en sortait très bien avec ces béquilles. Mais il était maintenant d’humeur joueuse, et se laissa entraîner par la main comme si Tsume était sa baby-sitter, un sourire aux lèvres. Même son regard inquisiteur le toisait comme s’il était un gosse insupportable qu’elle n’arrivait pas à garder au lit. A bien y réfléchir, c’était un peu ça, en fait…
Le garçon s’assit en faisant tout de même attention à sa blessure, et fixa sa compatriote un instant alors qu’un plan mesquin et diabolique prenait forme dans son esprit borné qui ne pouvait définitivement pas s’arrêter sur un échec. Il afficha un air soudainement innocent :

- D’accord, d’accord, je reste au lit…

D’un geste rapide, il rattrapa la main qui tenait la sienne il y a un instant, et tira dessus juste assez pour faire basculer la demoiselle vers lui sur le lit, se préparant à la réceptionner.

- … Mais seulement si tu restes aussi !

Si cette fois elle ne mordait pas à l’hameçon, même si c’était pour lui mettre une gifle ou lui hurler dessus, il allait certainement abandonner et mettre cette lubie de côté… Jusqu’à la prochaine fois.
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Invité
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Dim 30 Juil - 22:04
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Tsume Montoya
Ancien membre
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ÂGE : 22 ans
TAILLE / POIDS : 1m50 / 45 kg
CLASSE : Surveillante
Il se laissa reconduire au lit, bien sagement. J'étais contente qu'il accepte de se reposer plutôt que de s'amuser à solliciter pour me faire un massage dont je n'avais pas besoin. Du coup, je ne vis pas venir un seul instant ce qu'il mijotait.

- D’accord, d’accord, je reste au lit… Mais seulement si tu restes aussi !

Joignant le geste à la parole, en fait je devrais plutôt dire agissant tout en parlant, il me tira la main, me saisissant et m'attirant sur lui. Je lâchais un léger cri de surprise, gigotant  aussitôt et me redressant, me retrouvant assise à califourchon sur lui. Je sentais ses mains sur mes hanches et je n'osais pas trop bouger : je craignais de cogner sa cheville et qu'il essaie de me retenir de force. Il en semblait capable ce macho à moitié nu !

"Mais relâche moi !"

Bon, je ne devais pas lui sembler très autoritaire là, les joues un peu rouge. Je lui mis bien une giffle mais elle manquait un peu de force. Je n'aime pas frapper les blessés et comme il en était un, je me retins inconsciement. Je retirais ma main libre de son torse, d'ailleurs. En fait, je ne sais pas pourquoi mais je me sentais... un peu bizarre là. Peut-être parce que c'est la première fois que je suis dans cette situation ? En tout cas, je n'allais pas me laisser faire comme ça ! Ce n'était pas bien !

"Allez, repose moi à terre plutôt que de tenter de me séduire. Pourquoi ne pas m'embrasser aussi tant que tu y es ou me tripoter hein ?"

Je redressais le dos, bien droite, mettant les poings sur mes hanches. Bon, j'étais encore un peu rouge des joues et je ne le regardais pas vraiment, n'arrivant pas à mettre mon regard dans le sien. Et puis, je portais cet uniforme d'école quoi. Ma tenue de soubrette est mieux ! Elle ne lui permettrait pas de voir mes jambes, cette jupe ne couvrant que mes cuisses, et la chemise... et bien, elle couvrait à peine mes bras, avec ses manches courtes.  Bref, je n'étais pas à mon aise et cela se voyait aisément.
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