AccueilAccueil  Rps et newsRps et news  The Wiesel DenThe Wiesel Den  CalendrierCalendrier  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  MembresMembres  GroupesGroupes  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  


Votez pour le forum

Venez participer à la journée d'introduction des clubs ! Nourriture et activités pour tout le monde ~
Forum fermé. Indarë rouvre ses portes à une nouvelle adresse.

Si vous étiez partenaires et que vous souhaitez revenir dans notre liste, vous pouvez :
- Ajouter votre fiche parmi nos partenaires en passant par cette page : https://indare.forumactif.com/h20-
- Changer notre fiche et nos boutons pour les remplacer par ceux-ci : https://indare.forumactif.com/t84-
- Changer le nom du forum en "Petits secrets d'Indarë"

Pour les anciens membres qui souhaiteraient s'inscrire à la V2, c'est par ici → https://indare.forumactif.com/
Pas mal de choses ont changé donc pensez à lire tous les sujets. J'ai aussi listé le plus gros des modifications dans le MP général envoyé pour l'ouverture.


Le Deal du moment :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : ...
Voir le deal

Un face à face imprévu

Aller à la page : Précédent  1, 2
Invité
Invité
Anonymous

Rp terminé (tout public)
Mar 29 Déc - 15:21
Invité
Freja Kristeva
Ancien membre
SEXE :
ÂGE : 26 ans
TAILLE / POIDS : 1m72 / 60 kg
MÉTIER : Violoniste soliste

Closure
click
Freja & Meyer
27/11
« Too side of time your rebirth can't hurt   »

Le fait de parler de Janna le stoppa un instant alors qu’il avait ouvert la bouche mais je n’aurais peut être pas dû… Cela ne l’énerva qu’un peu plus et il fit vibrer de nouveau la vitre avec ses poings alors que je me recroquevillais un peu plus, J’étais terrifiée par ses gestes mais pas par lui… C’était dur à expliquer ce sentiment… Je voulais juste qu’il m’accepte parce que j’étais prête à l’accepter… Et après m’avoir dit que Janna avait besoin de sa mère et non pas d’une autre présence féminine, il m’attrapa le poignet, le tordant presque et m’agrippa les cheveux avec force. Je m’affaissai de plus en plus pour ne pas avoir trop mal mais c’était trop tard, des larmes coulaient le long de mes joues. Bordel il me répétait la même chose sous des angles différents. J’avais compris putain!

 « Arrête tu me fais mal!» Dis en pleurs, à la fois désarmée et énervée.
 « Je veux juste que tu m’acceptes! JE SUIS PRÊTE À T’AIMER MOI AUSSI MAIS LAISSE MEYER TRANQUILLE De nouveaux sanglots dans la voix et je repris.
 «Il veut juste essayer de voir s’il est capable d’aimer quelqu’un d’autre… Pourquoi tu ne veux pas qu’il refasse sa vie alors que tu sais très bien qu’il n’oubliera pas Mary? Tu le sais au fond de toi! Son amour pour moi ne sera jamais celui qu’il a eu pour sa femme alors laisse le tenter!»

Je le fis lâcher prise en lui donnant, je ne sais comment, un coup de pied dans le tibia ce qui le fit se pousser de quelques centimètres. J’allais m’échapper pour essayer de rentrer dans l’appartement mais il me rattrapa par les cheveux et j’étouffai un nouveau cri. 

 «Lâche moi j’ai mal! CONSTANTINE!!» Lâchais-je sans réfléchir.



Ⓒ ️ 2981 12289 0
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous

Rp terminé (tout public)
Mar 29 Déc - 16:27
Invité
Constantine Meyer
Ancien membre
SEXE :
ÂGE : 30 ans
TAILLE / POIDS : 1m92 / 90 kg
CLASSE : Infirmier


Un face à face imprévu

feat. Freja Kristeva
Freja commença à pleurer, se plaignant que je lui faisais mal.

- Je veux juste que tu m’acceptes ! sanglota-t-elle.

Ça ne risquait pas d’arriver. Je ne m’imaginais pas une seule seconde réitérer d’énormes efforts dans le but de vivre un amour qui n’était même pas sûr de tenir. Avec Mary, c’était différent. Dès le début, elle m’avait fait comprendre qu’elle avait un rôle à jouer dans la vie de mon hôte, et dans la mienne. Pour Freja, je ne ressentais rien du tout. Peut-être parce que Mary était la première vraie relation de Meyer… Je n’en savais rien et ça m’énervait. Dans un élan de désespoir, la violoniste se mit soudain à crier.


- JE SUIS PRÊTE À T’AIMER MOI AUSSI, MAIS LAISSE MEYER TRANQUILLE !

Mais quel boucan celle-là ! Avec le vent, sa voix devait porter jusqu’à l’autre bout de Londres. Prête à m’aimer ? Ce n’était pas ce que je pouvais constater pour l’instant.

- Il veut juste essayer de voir s’il est capable d’aimer quelqu’un d’autre…

Bien sûr qu’il en était capable. Mais serait-il assez fort pour supporter un autre déchirement s’il la perdait elle aussi, ou si elle lui faisait du mal ? Je n’en demeurais pas certain. La preuve, il ne savait déjà pas me contenir après la disparition de son premier amour. Alors un second…

- Pourquoi tu ne veux pas qu’il refasse sa vie alors que tu sais très bien qu’il n’oubliera pas Mary ? Tu le sais au fond de toi ! Son amour pour moi ne sera jamais celui qu’il a eu pour sa femme, alors laisse-le tenter !

J’allais répondre mais elle me donna un coup de talon dans le tibia. Je grognai, elle se dégagea de mon emprise, en profita pour se lever et rentrer dans l’appartement. Elle avait encore un pied dehors quand je la rattrapai par les cheveux. Elle étouffa un cri, j’entrai en la poussant vers le milieu du salon.

- Lâche-moi, j’ai mal ! pleura-t-elle en levant les bras pour essayer de m’attraper le poignet.

Je la tournai face à moi. Mon autre main fondit vers son cou.


- CONSTANTINE ! hurla-t-elle.

Je me stoppai net, la lâchai.


« Constantine ! »

- M… Mary ?
fis-je troublé.

« Constantine ! »

Son prénom résonnait dans ma tête mais cette fois, j’entendais la voix de Mary. Elle appelait comme si elle souffrait, comme si elle allait mourir. Une douleur électrisante me traversa le crâne. Immédiatement, je pris ma tête entre mes mains. Déstabilisé, je reculai mais me pris le talon dans le bas du canapé. Je tombai à la renverse, me cognai l’arrière du crâne dans le montant central de la baie vitrée.

« Constantine ! »

La vie la quittait et je ne pouvais rien faire.

« Constantine ! »

J’aurais pu aller chercher Janna à l’école avec elle mais j’étais prisonnier de ce corps… Meyer et moi n’étions qu’une seule et même personne. Et c’était pour ça que nous étions si faibles ! J’aurais pu être là, j’aurais pu l’empêcher de mourir.

« Constantine ! »

Ma tête me faisait mal, mon cœur avait l’air de vouloir sortir de ma poitrine. J’avais du mal à respirer, comme si je venais de courir des kilomètres. Mary était morte à cause de moi… Même si j’étais en accord avec Meyer, je nous rendais incapables de protéger la femme de notre vie. Et ce serait la même chose avec Freja… Je fermai les yeux, plaquai mes mains sur mes oreilles pour ne plus entendre Mary hurler. Mais sa voix était de plus en plus forte.

- Arrête… gémis-je.

Non, je ne voulais pas croire que tout était de ma faute. J’avais fait les efforts possibles pour que nous puissions toujours être heureux, pour que Meyer ne veuille plus se supprimer à cause de moi, pour que notre famille reste soudée, pour la préserver de tout danger.


- C’est pas de ma faute… chuchotai-je, la voix bloquée dans ma gorge. C’est pas moi qui l’ai tuée…

Ⓒ ️ DABEILLE
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous

Rp terminé (tout public)
Mer 30 Déc - 3:04
Invité
Freja Kristeva
Ancien membre
SEXE :
ÂGE : 26 ans
TAILLE / POIDS : 1m72 / 60 kg
MÉTIER : Violoniste soliste

Tears don't fall
click
Freja & Meyer
27/11
« Too side of time your rebirth can't hurt   »

Et alors que je rentrais il me rattrapa par les cheveux et sa main alla vers mon cou puis… Constantine...Je ne savais même pas pourquoi je l’avais appelé ainsi, vraiment…. Mais cela eu le don de lui faire lâcher mes cheveux et j’avais de suite moins mal mais il m’appela alors Mary. Pourquoi? L’appelait-elle comme ça? Mon Dieu il allait tellement m’en vouloir de l’avoir appelé ainsi… Il se rassit et prit sa tête entre ses mains. Je commençais à m’en vouloir de l’avoir appeler ainsi, je ne savais même pas pourquoi je l’avais fait. En tout cas ça lui avait fait un certain effet mais plutôt mauvais…

Dans un gémissement, il demanda d’arrêter. Quoi donc? Que se passait-il au juste? Meyer avait dit qu’on lui avait retiré Mary… J’essayai de réfléchir mais plus facile à dire qu’à faire dans mon état actuel… Et je ne savais plus du tout comment le gérer. Son autre personnalité je veux dire. Il avait été tellement violent et là il était tellement… Désemparé.. Je ne savais plus quoi faire, que se passait-il dans sa tête, dans LEUR tête? C’est lorsqu’il susurra que ce n’était pas lui qui l’avait tué que je compris tout à coup ce qu’il s’était passé. Par “on lui avait arraché” il voulait bien sûr dire qu’on l’avait tué. Quelle conne. Je ne savais pas quoi faire peut être que je ne devrais pas mais  j’osais approcher ma main et… La posait dans ses cheveux avant de prendre la parole d’un ton beaucoup plus doux.

 «Pardon… J’ai mis du temps à comprendre… Tu ne l’as pas tuée. Ce n’est pas de ta faute… Désolée mais… Tu ne pouvais pas le prédire… Je suis mal placée pour te parler de ça. Ne t’en veux pas pour une chose que tu ne pouvais pas deviner.» Je m’arrêtais un instant.  «Viens on va au salon, il fait froid ici je vais fermer la baie vitrée….»


Ⓒ ️ 2981 12289 0
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous

Rp terminé (tout public)
Mer 30 Déc - 10:04
Invité
Constantine Meyer
Ancien membre
SEXE :
ÂGE : 30 ans
TAILLE / POIDS : 1m92 / 90 kg
CLASSE : Infirmier


Un face à face imprévu

feat. Freja Kristeva
Je voulais juste donner une bonne leçon à Freja, pas revivre une énième fois le meurtre de Mary. Pourquoi le fait qu’elle ait crié son prénom de cette façon me rappelait tant les cauchemars que nous faisions la nuit ? Pourquoi, à chaque fois, avais-je l’impression d’y être comme si c’était moi qui avais organisé l’assassinat ? Pourquoi Meyer doutait-il parfois en pensant que j’aurais pu prendre sa place pour aller la tuer ? Parce que j’étais toujours le même ? Parce qu’au fond, je restais dangereux et incontrôlable bien que Mary m’eût changé ? Je ne pouvais pas supporter cette idée. Jamais je ne lui aurais fait de mal ! Je l’aimais ! Et je réalisai peu à peu que je regrettais d’emmener Meyer dans cette ruelle pour le déstabiliser. Je n’imaginais pas qu’entendre les cris réalistes de Mary était si… traumatisant. C’était moi qui devais aller affronter la ruelle, pas lui. Il était au premier plan quand il avait retrouvé le corps de Mary. Moi, j’assistais à tout ça de loin, réfugié au fond de sa tête pour minimiser les dégâts psychologiques. En fait, c’était moi le lâche. Il avait raison, celui qui ne parvenait pas à faire son deuil, c’était moi, pas lui.
Mais je n’y arrivais pas. Je ne voulais pas de Freja dans notre vie, elle était trop différente de Mary. Je ne me sentais pas la force de changer à nouveau, j’avais trop peur de vivre encore un cauchemar. Meyer ne se rendait pas assez compte de ça. Il était tellement sûr de ses sentiments pour Freja qu’il fonçait tête baissée. C’était assez ironique. D’habitude, c’était moi le plus téméraire des deux. Mais quand il s’agissait de relations, il savait ce qu’il faisait. Pourtant, ce n’était pas le cas avant de se marier avec Mary. Il avait toujours peur de décevoir, de faire le mal sans le vouloir, raison pour laquelle il avait voulu se supprimer – sans parler du fait qu’il souhaitait se débarrasser de moi… Mary l’avait aidé à voir son existence sous un angle meilleur, à se faire davantage confiance. Alors que moi, je n’avais pas changé. C’était vrai. Au final, en quoi demeurais-je différent ? A part être tombé amoureux de Mary, vouloir la protéger à tout prix, tenir mes promesses juste pour elle, qu’avais-je fait de bien ? Rien. Je restais celui qui encaissait les mauvaises choses pour soulager mon hôte, qui ne voyait que le mauvais côté de la vie, qui profitait de la moindre occasion pour faire le mal parce que ça me plaisait. Ҫa me plaisait et je ne pouvais pas m’en empêcher. Meyer m’avait créé pour ça, je ne pouvais pas changer. J’avais essayé, sans succès. Chassez le naturel, il revient au galop…
Un frisson me parcourut. Au début, je crus que c’était à cause de mes sombres pensées, du fait que je me sentais condamné à être le plus méprisant des deux, quoi que je puisse faire. Mais je me rendis compte que les cris de Mary diminuaient petit à petit pour laisser place à la voix de Freja. Elle était très proche, je sentais la chaleur de son corps tout près. Et ses doigts dans mes cheveux… Mes mains se décrispèrent contre mes oreilles.


- Pardon… J’ai mis du temps à comprendre… Tu ne l’as pas tuée, dit-elle tout bas. Ce n’est pas de ta faute… Désolée mais… Tu ne pouvais pas le prédire… Je suis mal placée pour te parler de ça. Ne t’en veux pas pour une chose que tu ne pouvais pas deviner.

Ses mots ne servaient à rien, sa voix douce ne faisait aucun effet. Elle ne pouvait pas me parler de cette façon face au comportement que je venais d’avoir envers elle. C’était faux. Elle voulait juste m’amadouer parce qu’elle ne savait pas quoi faire pour contenir ma haine. Elle aimait Meyer, pas moi. Et je pouvais comprendre qu’elle se fourvoie : l’homme qui l’aimait et celui qui la détestait se trouvaient dans le même corps.

- Viens on va au salon, il fait froid ici, je vais fermer la baie vitrée…

Froid… Oui, c’était le froid qui me faisait frissonner, pas sa main dans mes cheveux. Reprenant enfin mes esprits, je repoussai son bras et me mis debout, m’aidant du montant contre lequel j’étais adossé. J’avançai vers le canapé en titubant tandis que Freja fermait la vitre, empêchant le vent de s’engouffrer plus longtemps dans l’appartement. Si je ne me sentais pas si faible, je l’aurais de nouveau attaquée pour qu’elle comprenne à qui elle avait vraiment affaire. Néanmoins, cela faisait bien longtemps que je n’étais pas sorti. Presque un an. Avec Mary, je peinais déjà à rester une journée entière. Après tant de temps, un traumatisme et cette soirée chargée en émotions, impossible de tenir. Un silence pesant régnait dans le salon. Dos à Freja, la main appuyée sur le dossier du canapé pour pouvoir rester debout, je tournai la tête vers le miroir au-dessus du buffet. J’aurais pu voir mon reflet normalement, comme Meyer quand il se trouvait aux commandes. Non… je restais l’espèce d’ombre en négatif, preuve que j’étais encore et toujours son contraire, celui qui était là juste pour encaisser et faire le mal. Je vis aussi que la violoniste se tenait debout derrière moi et m’observait, silencieuse.

- Ne t’imagine pas que j’en ai fini avec toi, déclarai-je au bout d’un moment, à voix basse, incapable de parler plus fort. J’ai aucune raison de croire à ce que tu dis.

Je posai mon regard sur son reflet. Décoiffée, les joues humides de larmes, elle avait l’air d’une pauvre petite fille abandonnée et cette vision m’agaça. Jouer les pleureuses avec moi ne fonctionnerait pas. Rien ne fonctionnerait de toute façon, j’en étais clairement persuadé. Pourtant…

- Prouve-moi que je me trompe, que tu seras à la hauteur, ajoutai-je sur un ton de défi. Et je réviserai peut-être mon jugement. Mais je te préviens…

Je dus faire un effort considérable pour me retourner complètement et faire un pas vers elle. Je l’attrapai par le poignet et l’attirai vers moi. Là, j’approchai mon visage du sien, réduisis les quelques centimètres qui séparaient nos lèvres. Seule une feuille de papier aurait pu passer. Son souffle chaud se mélangea au mien.

- Je ne compte pas te laisser mener ta petite vie tranquille avec lui sans te mettre des bâtons dans les roues.

Ⓒ ️ DABEILLE
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous

Rp terminé (tout public)
Mer 30 Déc - 10:49
Invité
Freja Kristeva
Ancien membre
SEXE :
ÂGE : 26 ans
TAILLE / POIDS : 1m72 / 60 kg
MÉTIER : Violoniste soliste

All these things I hate
click
Freja & Meyer
27/11
«  Run away try to find that safe place you can hide

Après lui avoir caresser les cheveux je m’attendais à ce qu’il m’attrape la main et me refasse du mal, bien qu’il y avait pire comme souffrance. Il se leva tandis que je fermais la baie vitrée il titubait jusqu’au canapé pour s’y appuyer. Qu’allait-il faire? Qu’allions nous faire? Malgré tout ce qu’il pouvait me faire à présent je n’avais plus peur j’étais juste triste de le voir aussi mal. J’essuyais mes larmes du revers de ma manche droite alors qu’il se regardait dans le miroir. Un silence pesant s'était immiscé dans l’appartement. Il parla ensuite à voix basse sur un ton menaçant. Il pouvait dire ce qu’il voulait à présent ce n'est plus ce qui m'effrayait. 

 «Tu pourras faire tout ce que tu veux je n’ai plus peur de toi… Et ça… C’est la stricte vérité…» Dis-je d’un ton assuré et convaincu.

Je hochai ensuite la tête lorsqu’il me défie de lui prouver qu’il se trompait à mon propos. Je m’empêchais de sourire car je savais qu’il aurait pu mal le prendre donc je me ravisais. C’est alors qu’il réussit à se retourner pour me faire face et me reprendre mon poignet qui était à présent meurtri tellement il avait tiré dessus. Je grimaçai légèrement alors que nos lèvres se touchaient presque. L’espace d’un instant j’eu peur qu’il m’embrasse mais… Au fond de moi je savais qu’il ne le ferait pas. Il aimait bien trop Mary pour ça. Il reprit ensuite la parole. Me mettre des bâtons dans les roues? Il pourrait le faire, je m’y attendais même venant de sa part mais il verrait que je serai plus forte que ça. J’étais persévérante et plus un défi était gros plus j’y mettais de la poigne pour le surmonter. Et dès qu’il eu fini je plongeai mon regard dans le sien, menaçant.

 «Tu pourras faire ce que tu veux comme je te l’ai dit … Mais je te prouverai que j’aime Meyer quoi qu’il se passe et quoi que tu fasses pour nous séparer…»


Ⓒ ️ 2981 12289 0
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous

Rp terminé (tout public)
Mer 30 Déc - 15:38
Invité
Constantine Meyer
Ancien membre
SEXE :
ÂGE : 30 ans
TAILLE / POIDS : 1m92 / 90 kg
CLASSE : Infirmier


Un face à face imprévu

feat. Freja Kristeva
Elle répliqua que je pourrais faire ce que je voulais, elle n’avait plus peur de moi. Je ricanai intérieurement. Ҫa, c’était parce qu’elle n’avait pas tout vu. Elle insista sur le fait que c’était la stricte vérité. Je ne dis rien, pas convaincu le moins du monde.

- Tu pourras faire ce que tu veux, comme je te l’ai dit, répéta-t-elle en m’accordant un regard plein d’audace. Mais je te prouverai que j’aime Meyer quoi qu’il se passe, et quoi que tu fasses pour nous séparer…

Je ne pus m’empêcher de sourire, incapable de dissimuler mon hilarité.

- C’est ce qu’on verra, répondis-je.

Je finis par lâcher son poignet et éloigner mon visage. Je me redressai, fus un peu surpris par un vertige mais me détournai pour le lui cacher. Ma vision se floutait un peu, je commençais à avoir la migraine. L’idée d’aller affronter la ruelle moi-même me traversait l’esprit. Mais je ne me sentais pas capable physiquement d’aller jusque là-bas maintenant. Néanmoins, je comptais bien m’y rendre prochainement. Même si j’appréhendais beaucoup, je devais le faire. Je sentais que quelque chose allait changer si je m’y forçais. En bien ou en mal, je n’en savais rien du tout. En attendant, je devais l’admettre, j’avais perdu pas mal de forces depuis la disparition de Mary. Mais ça, je me gardai évidemment de le dire à quiconque. On s’en servirait contre moi et je n’avais pas besoin qu’on me rabaisse alors que je me trouvais déjà au fond du gouffre.
Je me retournai vers Freja, ouvris la bouche pour lui dire qu’elle ferait mieux de partir. Mais je fus interrompu par mon téléphone portable qui vibra dans la poche de mon jean. Je le sortis, vis un message de ma belle-mère. Elle me rassurait d’abord sur le fait que tout allait bien. Elle voulait seulement préciser que Janna avait été sage, qu’elle s’était bien amusée et qu’elle venait de s’endormir. Un sourire naquit automatiquement au coin de mes lèvres. Pour moi, si Janna était heureuse, alors je le demeurais aussi. C’était un des rares points sur lesquels Meyer et moi nous entendions. Ce message tombait à pic. Il me faisait du bien. Rangeant le téléphone, je repris un air sérieux et m’adressai à la violoniste.


- Ton Meyer ne reviendra pas avant demain, dis-je avec dédain.

Je désignai la porte d’entrée d’un signe de tête.


- Alors dehors, ordonnai-je simplement.

Pour seule réponse, elle poussa un long soupir. Puis elle avança, lentement, comme si elle avait peur de tomber, et passa à côté de moi pour se rendre dans l’entrée. Elle récupéra son sac et son manteau. Je la regardai faire jusqu’à ce qu’elle pose sa main sur la poignée de la porte et l’ouvre. Elle sembla hésiter puis elle me lança un drôle de regard : quelque chose entre l’amertume, la colère et la détermination. De là, elle me voyait sûrement très mal, voire pas du tout. Mais apparemment, elle voulait me transmettre un dernier message avant de s’en aller. Ce qu’elle fit, en silence. Comme une sorte de signal, mon corps me lâcha au moment où la porte claqua doucement. Les jambes flageolantes, je me tins aux murs jusqu’à la chambre. Je m’effondrai sur le lit, épuisé. Il ne me fallut pas plus d’une seconde pour sombrer.

[FIN]


Ⓒ ️ DABEILLE
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé

Rp terminé (tout public)
Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
Page 2 sur 2Aller à la page : Précédent  1, 2
Sujets similaires
-
» [2017] Un entretien imprévu
» [2018-2019] Face à la réalité...
» [2020 - 2021] Un tête à tête imprévu, n'est-ce pas... excitant ?

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Institution Indarë :: East London :: Hackney :: Shoreditch :: 81 Haberdasher Street : Apt. 1-
Sauter vers: