À droite, l'école et ses élèves normaux, comme tout le monde.À gauche, le centre de redressement pour jeunes dangereux.Maintenant réunis, pour le pire.
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Dim 8 Déc - 15:55
Martel Vint Svent
16h50. Toutes les fenêtres ont fini d'être condamnées par les élèves et les professeurs.
16h55. Cordelia commence à paniquer et essaye en vain d'ouvrir la porte de l'auditorium (note admin : cette porte mène à l'extérieur, pas à un couloir). Eri profite de la panique pour grimper jusqu'à une fenêtre, retirer la planche qui la condamne et sortir du bâtiment (note admin : événement modifié pour correspondre aux posts précédents et à la pièce, modification de post nécessaire)
17h05. Ian entraîne Cordelia à l'écart pour essayer de trouver une manière de calmer les claustrophobes.
Événement : aléatoire 17h10. Alors qu'une partie de la salle panique et que les autres essayent de trouver une solution, la fenêtre par laquelle s'est enfuie Eri claque au vent et finit par se briser. La pluie s'infiltre dans le bâtiment et le vent fait de même. Combien de temps avant que l'eau monte, ou avant que des objets soient projetés dans la pièce ? Peut-être vaudrait-il mieux trouver un autre endroit où se réfugier, surtout avec les appareils électriques qui se trouvent dans l'auditorium... Les loges mènent directement au gymnase, en espérant qu'elles ne soient pas inondées.
Si vous essayez de passer par les loges, vous devez lancer un dé sur le sujet lancer de dé afin de déterminer si elles sont inondées ou non. 0 à 5 -> loges complètement inondées, eau jusqu'à la taille 5 à 12 -> eau montant au niveau des chevilles ou au milieu des mollets (plus le chiffre est bas, plus l'eau est haute.) 12 à 16 -> les loges sont une pataugeoire, mais s'y déplacer n'est pas extrêmement difficile 16 à 20 -> pas d'eau du tout dans les loges
Personnages inclus dans ce sujet (pour l'instant) Chelsea Refrain Cesar Sanchez Cordelia Calvelli Elizabeth Callahan Ian Stevens Moka Sullivan Velvet Ellusia
Ce tour couvre la période de 17h10 à 17h40. Vous avez 10 jours pour faire autant de posts que vous le souhaitez durant cette période horaire. N'oubliez pas d'indiquer l'heure de début et de fin de chacun de vos posts. Il n'y a pas de maximum de mots, mais le minimum de 230 s'applique toujours. Vous pouvez changer de zone en cours de tour. Toutes les informations relatives au tour sont disponibles ici.
Vous savez, être enfermé dans cette école, c’est d’un chiant ! Je suis enfermé dans ce trou à rat depuis un long moment, ça va bientôt faire un an. Malgré le pacte signé avec Kaled, rien n’a bougé. Décidément, il va vraiment falloir que je me débrouille seul pour que je me tire de cette prison et régler les comptes de mon maître. Les jours, les semaines et les moise se défilent et se ressemblent les mêmes, se faire chier, dormir et se faire chier. Bon, j’ai bien tenter de m’évader depuis, mais toutes mes tentatives se sont avérés être des échecs. Ces plans d’évasions ont tellement foirés que désormais tout l’établissement me connaît pour échecs abyssales. Bon, il y a bien quelques petits malins qui ont voulu chercher des noises avec moi, mais je les ai très vite calmés, (à coup de poing et de pied dans la gueule, je ne vais pas le cacher).
Puis, tout d’un coup, alors que je venais de finir ma journée (après un énième cours chiant) et que je pensais enfin pioncer tranquillement dans ma chambre, voilà que les surveillants et les profs se mettent à paniquer. Au début, je ne comprenais pas, mais apparemment, un ouragan allait débarquer à Londres. Un ouragan ? Bon ayant vécu au Mexique et dans les Antilles, les ouragans ne me faisait ni chaud, ni froid, à la limite il y en avait au moins un tous les ans. Mais, à Londres, c’est vrai que c’est le genre d’endroit qu’on s’y attend, (bien qu’il fasse souvent mauvais temps). Sans vraiment m’opposer, j’ai suivi les profs, les surveillants et les autres élèves vers le gymnase de l’établissement (ou de la prison au choix). Bon, de par mon expérience, je savais qu’il valait mieux rester à l’intérieur de l’établissement, le temps que la tempête passe. Ce serait prendre trop de risque de tenter partir à l’extérieur pour jouer les aventurier ou même ne serait-ce s’évader. Par contre, au vu du grabuge qui risquait d’y avoir, fallait se préparer à toutes éventualités. Pour le moment, on va rester en retrait, on ne va pas faire les malins et surtout à envisager à trouver une plaque, si jamais ça commençait à partir en vrille …
Cordelia Calvelli
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16h55, c'est la merde, la porte est verrouillée. Le système a dû griller quand les lumières se sont éteintes. Ce n'est ni le bon jour, ni même le bon moment pour que la porte reste bloquée. Pendant mon début de crise de panique, l'une des élève en a profité pour filer. Et pendant ce temps, une autre étudiante tente de me calmer. Ca part d'une très bonne intention mais c'est malheureusement en vain. J'essaie pourtant de reprendre mon calme. C'est vrai qu'un prof qui panique, ce n'est pas le meilleur exemple à avoir pour des ados. Mais c'est plus fort que moi. Dès que je repense à cette fichue porte qui refuse de s'ouvrir, à ces fenêtres condamnées – sauf une mais elle est trop petite, je ne passerai pas – je repars en panique. Heureusement Ian vient en renfort et m'évite de créer une panique générale. Oui, sortir. C'est ce que je veux. Et vite ! Je ne veux plus être coincée ici. Si ces portes sont censées se déverrouiller avec le retour de l'électricité, il faut que ça revienne vraiment très vite.
Durant quelques instants, les mains rassurantes du psy me lâchent. Il semble réfléchir mais pas longtemps. Peu après je me retrouve embarquée loin de la porte verrouillée, écoutant ainsi son idée. Je ne lâche pas sa main. Au contraire, je la serre. Pas au point de lui briser les os mais la pression reste plus forte que celles dont il a l'habitude avec moi. Et elle tremble aussi. Quoi de plus normal lorsque la peur nous a envahi ? Mon regard se pose un instant sur le psy alors qu'il me vise en parlant des tentatives de fuite. Moi, tenter de sortir par tous les moyens ? Non, je ne vois pas du tout de quoi il parle. Ce n'est pas vrai. Je resterai sage. Je trouverai juste un moyen de fracasser une porte pour rejoindre la sortie au plus vite. Ma fuite ne sera pas une tentative mais un fait. Je réussirai à le faire même si pour ça je dois faire une bombe artisanale avec les moyens à disposition – ce qui serait une très mauvaise idée vu que je n'ai pas les connaissances pour ça – et exploser un mur. À peine ai-je eu le temps de prendre la parole que le son d'une vitre qui se brise attire mon attention. Et merde, comme si le verrouillage des portes ne suffisait pas, voilà que maintenant l'eau et le vent s'infiltrent dans la pièce. Joie...
- Que ce soit en un groupe ou en plusieurs, j'crois qu'on n'aura pas trop le choix de quitter la pièce. L'eau s'infiltre déjà à l'intérieur et avec les appareils électriques qui sont présents, on va vite être en danger.
Sans compter les objets qui pourraient valser dans les airs à cause du vent... Ce n'est que la pluie, on doit avoir un peu de temps avant une potentielle inondation ici mais le problème électrique ne change pas. Ils n'ont pas besoin de beaucoup d'eau pour partir en vrille. Et le vent peut aggraver la situation. Un objet atterrit au mauvais endroit et bam c'est la catastrophe assurée. C'est donc un autre prof qui se charge de rassembler les élèves à 17h20, après dix minutes prises pour réfléchir à la suite. Ca aurait été une mauvaise idée de me laisser faire. Une adulte qui panique n'est plus crédible dans ce genre de situation. Même moi je ne suivrais pas une personne effrayée. Je n'aurais pas suffisamment confiance en elle après l'avoir vue paniquer.
À 17h25, j'embarque Ian avec moi vers les loges sans lui lâcher la main. Au risque d'être un peu égoïste envers les autres, j'ai besoin de sa présence pour garder un semblant de courage. Les loges mènent au gymnase et normalement les portes ne sont pas magnétiques. Il y a donc peu de risque qu'elles soient bloquées. À moins que le vent s'est aussi infiltré dans le gymnase et que la situation est encore plus mauvaise... En entrant dans les loges, je ne fais pas tout de suite attention à leur état et fonce sans réfléchir. Un pied dans l'eau a suffi à me rappeler à l'ordre.
- Qu'est-ce que... ?
J'observe les lieux et soupire. Génial. C'est inondé. J'espère que l'on n'a pas d'aquaphobes dans le groupe. A vue d'oeil je dirais que le niveau nous arrivera jusqu'à mi-mollet ou jusqu'aux genoux. Peut-être un peu plus haut pour les personnes qui sont plus petites.
- La plomberie a dû péter aussi...
Si ce n'est pas ça, je ne vois pas ce que c'est d'autre. Pas la pluie. Même s'il pleut des cordes, ce n'est pas suffisant pour inonder autant la pièce en si peu de temps. Cependant si c'est vraiment la plomberie qui a sauté, j'ai du mal à imaginer ce qui l'aurait détruite.
- On ferait mieux d'aller avertir le reste. Ca nous complique un peu la tâche.
Il est 17h27 et on a le choix entre risquer l'électrocution ainsi que les projections d'objets dans un futur proche ou nous mouiller pour atteindre un lieu possiblement plus sécurisé...
Commentaires/Citations : Forget your dreams, do what you're told
Lun 16 Déc - 16:56
Chelsea Refrain
12 nov. 2019
L'ouragan
Rp général
Elle n'aimait pas ça, pas du tout. Enfermée dans une pièce sombre... Elle avait l'impression de revoir ses cauchemars, de revivre les pires heures de sa vie. Une sensation glacée courut le long de sa colonne vertébrale. Elle ne voulait pas être là. Elle ne voulait plus jamais être enfermée où que ce soit. Le stress commença à monter et elle se força à desserrer les poings, juste assez pour voir la marque profonde de ses ongles dans ses paumes. Elle déglutit. Il fallait qu'elle sorte. Vite. Avant que la panique ne monte trop.
L'explosion de la fenêtre la fit pousser un cri en même temps qu'elle sursautait, et elle s'écarta d'un bond. Le souffle agité, elle se colla contre un mur, la tête dans ses mains, essayant de passer l'éclat de panique qui la secouait. Non. Impossible qu'elle reste enfermée dans cette pièce, pas avec une fenêtre cassée, pas avec une prof en panique, pas alors qu'il faisait si sombre et que le monde entier l'empêchait de sortir. Des larmes commençaient à lui brûler les yeux, les poumons, à s'infiltrer sous sa peau comme un courant électrique cherchant à surcharger son cœur. Elle s'écarta brusquement du mur.
- Il faut que je sorte d'ici !
Elle s'éloigna du groupe jusqu'à ce que quelqu'un l'attrape doucement par le bras. Chelsea se dégagea brusquement en lui criant de la lâcher. Puis elle réalisa ce qu'elle faisait. Elle attirait l'attention. Aussitôt, son visage devint livide et elle se replia sur elle-même, reculant de deux pas pour se tenir à l'écart du garçon. Elle voulait se tenir loin des regards, loin des rumeurs. Et voilà qu'elle faisait un scandale en plein milieu de l'auditorium ? N'importe quoi...
L'eau montait dans la pièce. Elle le constata en levant le pied et en constatant que le sol était mouillé. C'était... C'était... C'était une blague, à ce stade, non ? Pourquoi le monde entier se retournait contre eux, pourquoi y avait-il de plus en plus de choses qui leur tombaient dessus ? Elle remarqua une prof du coin de l’œil, du côté des loges. Alors elle s'approcha. C'était la prof qui avait paniqué devant la porte, et elle ne semblait pas beaucoup plus calme maintenant. Et quand elle s'approcha, Chelsea comprit. Elle écarquilla les yeux.
- C'est... C'est la seule sortie...?
Mais en vérité, actuellement, elle était prête à traverser la moitié de l'école à la nage pour sortir de cette pièce.
Ⓒ Chelsea paroles en #104B5F
Ian Stevens
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Mer 18 Déc - 15:47
Ian Stevens
Le calme après la tempête ? ▬ Event
Toute cette histoire est surréaliste. Il n’aurait jamais pensé vivre ce genre de chose, et encore moins à Londres ! Cette planète est vraiment en train de partir en couilles. Pardon pour le langage… En tout cas, il espère que le contact aide un peu l’italienne. S’ils n’avaient pas été dans cette situation, il aurait trouvé plusieurs manières de détourner son attention, des manières agréables, pour elle, comme pour lui, mais ce n’est pas vraiment possible. Ce serait pour plus tard, s’ils sont saufs à la fin de cette histoire. Il doit donc se contenter de tenir sa main et de sentir la sienne se resserrer. Elle n’est vraiment pas rassurée… Il faut qu’il trouve un moyen de sortir tout le monde d’ici. Car plus ils resteront ici, plus ils seront en danger. Il faut un endroit plus grand, plus sûr. Genre…le gymnase.
Quand il parle de la tentative de fuite potentielle de Cordelia, il voit dans son regard qu’il a raison. Elle n’a pas besoin de parler pour se faire comprendre. Son regard lui transmet sa peur et son envie de la protéger se décuple. Il sourit tristement. Il n’aime pas ça. Il n’aime pas la voir effrayée. Il n’aime voir personne dans cet état émotionnel… Alors quand c’est Cordelia… C’est encore plus perturbant. Alors qu’elle allait prendre la parole, une vitre éclate vers 17h10, faisant sursauter tout le monde. Dans petits cris de frayeur se font entendre et Ian fronce les sourcils. Merde. La pluie et le vent s’infiltre alors que certains élèves commencent à paniquer. Ok. Plus de temps à perdre, il faut trouver un moyen de sortir d’ici. Ils ne sont vraiment plus en sécurité.
▬ Que ce soit en un groupe ou en plusieurs, j'crois qu'on n'aura pas trop le choix de quitter la pièce. L'eau s'infiltre déjà à l'intérieur et avec les appareils électriques qui sont présents, on va vite être en danger.
Il hoche la tête. Elle a raison. Ça ne sert à rien de rester ici. Il n’est plus question de groupe séparé. Tout le monde doit sortir d’ici. Pendant qu’ils essayent de trouver la meilleure solution, une élève panique, attirant l’attention d’Ian et de tout le monde dans la pièce. C’est la même élève que tout à l’heure… Elle se recroqueville sur elle-même et le psychologue serait venu la voir pour la rassurer s’il ne devait pas trouver une solution avec tous les professeurs. Il est frustré. Cette situation le perturbe. Il y a tellement de choses qu’il doit faire. Rassurer les élèves, trouver une solution, quoi d’autre ? Il s’occupera des élèves plus tard. Ils finissent par se décider et Cordelia l’emmène en éclaireur vérifier les loges. Il est 17h25.
▬ Qu'est-ce que... ?
Une fois arrivé, un peu en retrait par rapport à Cordelia qui visiblement est pressée de sortir, Ian observe autour d’eux. De l’eau, rien que de l’eau. Qui monte à peu près au genoux… Super. Il pousse un soupir et se frotte l’arrête du nez. Ils n’ont pas le choix. Il faut qu’ils passent par là. L’italienne se met à penser tout haut et Ian reste silencieux. Il réfléchit. Il va mouiller son pantalon de costume hors de prix… S’il avait su, il serait venu en jean. Bon, tant pis, un coup au pressing et c’est réglé. Mais maintenant, la question c’est de savoir s’ils ne font pas tout ça pour rien. Et pour ça, il faut vérifier que la porte de la loge menant vers le gymnase soit bien ouverte et accessible…
▬ On ferait mieux d'aller avertir le reste. Ça nous complique un peu la tâche.
▬ Pas tant que ça. Attends. Je vais voir si la porte est bien ouverte. Ce serait bête d’emmener tout le monde si au final, on ne peut pas passer.
Pendant une seconde, il avait pensé à retirer son pantalon pour le confier à Cordelia. S’il n’y avait qu’elle, ça ne lui aurait pas posé de problèmes. Mais il aurait, de toute façon, finit par se le mouiller une fois que tout le monde passe et l’élève de tout à l’heure vient de se montrer. Tant pis pour le pantalon… Il soupire alors que l’élève demande si c’est la seule sortie. Il comprend son impatience de sortir, mais il doit se concentrer sur trouver une solution. Il ne peut pas gérer en plus les élèves.
▬ Oui. Je vais vérifier que la porte est bien ouverte. Cordelia, tu peux t’occuper d’elle ? Va prévenir les autres. Je reviens vite.
Il lui sourit et finit par lâcher sa main, un peu à contrecœur. Puis il se tourne vers la pataugeoire et s’élance dans l’eau, marchant un peu plus difficilement. L’eau exerce un peu de pression contre ses tibias, lui donnant une démarche un peu étrange. Il continue de s’avancer, concentré sur son objectif. Si la porte est ouverte, ils pourront être en sécurité. Et c’est plutôt une bonne nouvelle. Tout le monde aura à se mouiller mais tant pis, ils ont des couvertures. Et il peut toujours les aider à passer.
Quand il arrive au niveau de la porte, c’est le moment de vérité. Il pousse sa main sur la poignée et quand il appuie, la porte s’ouvre sur le gymnase. Il soupire de soulagement et sourit. Tout va bien ! Il fait rapidement demi-tour, le sourire aux lèvres, se battant de nouveau contre l'eau et retourne rapidement dans l’auditorium vers 17h33, rejoignant Cordelia pour reprendre discrètement sa main.
▬ Ok tout le monde ! La porte des loges vers le gymnase est ouverte ! Vous pouvez y aller dans le CALME, restez groupé, et faites attention où vous marchez, il y a de l’eau ! Si vous avez besoin d'aide, appeler un adulte, on vous aidera à traverser. Les phobiques, venez avec moi, je vous ferais traverser un par un. Tout va bien se passer.
17h25, Ian est embarqué pour que je puisse zieuter les loges en gardant un minimum mon calme. Il faut qu'on trouve une autre sortie. Il faut que celle-ci soit ouverte. Et il faut que le gymnase soit accessible, qu'il ne soit pas un champ de bataille. C'est obligé. On risque tous l'électrocution actuellement. Et d'être trempés jusqu'aux mollets et genoux... Joie. La plomberie a lâché, l'inondation se fait de tous les côtés. Je compte avertir les autres mais Ian m'en empêche. En y réfléchissant bien, c'est vrai que ça ne sert à rien de les alarmer sans savoir si l'accès est ouvert ou non. Et puis nous sommes rejoints par l'une des élèves. Chelsea. Elle non plus n'est pas rassurée. Personne ne l'est réellement dans cette situation mais elle, elle a l'air de l'être encore moins que les autres. Comme moi en fait. C'est de ma faute ? À moins qu'elle souffre de la même phobie. Ou les deux. Merde...
- Je m'en occupe oui.
Je me tourne alors vers Chelsea en me faisant violence pour ne pas songer à l'éventualité d'une porte fermée.
- Tu m'accompagnes ?
Je reviens vers les autres, accompagnée de Chelsea et explique donc la situation. Je leur parle du fait qu'il y a peut-être une sortie, que Ian est en train de voir si elle est accessible ou non et que si c'est le cas, on pourrait se déplacer dans une salle plus sécurisée.En tout cas, j'espère que le gymnase sera vraiment plus sécurisé. Et puis moins oppressant aussi. Les fenêtres ne sont pas condamnées au moins là-bas. Ce sera moins stressant. Je sais que c'est uniquement dans le but de nous protéger de la tempête mais pour un claustrophobe, c'est comme si on lui retirait sa liberté. Qu'on l'enferme pour de bon.
Ian finit par revenir et en plus, avec une bonne nouvelle. On peut accéder au gymnase. Tant mieux ! Adieu les fenêtres condamnées et la porte verrouillée, bonjour la pièce qui offre plus d'options de fuite. Je repars donc vers les loges en embarquant Chelsea avec moi ainsi que le reste qui suit. Et là, bonheur. Après une petite descente d'escaliers qui m'oblige à me mouiller les jambes - tant pis pour les escarpins -, j'accède enfin au gymnase. Il est 17h35, je me place au centre du gymnase et observe l'entrée de celui-ci afin de voir si tout le monde a bien suivi ou si certains sont restés de l'autre côté. Je ne l'espère pas. Je ne pense pas qu'ils pourront rester de toute façon. Le psychologue, le CPE, des profs, il y a trop de monde qui peut les surveiller. On a déjà perdu une élève qui a profité de la fenêtre cassée, le personnel se méfie maintenant.
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Martel Vint Svent
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Ven 20 Déc - 19:55
Martel Vint Svent
17h30. Ian, (Damon) et Cordelia escortent les élèves à travers les loges inondées jusqu'au gymnase. Tous ceux qui les ont suivi changent de zone et passent dans le Gymnase de l'IRS
Événement : circonstance 17h45. Tandis que tout le monde évacue la salle, l'eau continue de monter. À 17h45, elle atteint le niveau des machines électriques. Toute personne se trouvant encore dans la pièce (ne postant pas sur ce tour) sera électrocutée plus ou moins gravement.
Événement : malus 17h35. En traversant les loges inondées, Chelsea s'immobilise soudain, le pied bloqué par un objet qu'elle ne peut pas voir, sous l'eau. En tirant, elle sent une douleur remonter le long de sa cheville. Entorse, probablement. Elle finit par dégager sa jambe.
Personnages inclus dans ce sujet (pour l'instant, en l'absence de post pour quitter la zone) [Alice Albarn Elizabeth Callahan Moka Sullivan Velvet Ellusia]
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Elizabeth armée de son calme et de son stoïcisme habituel observait ce qui se passait dans la salle. Condamner toutes les fenêtres avait pris un peu de temps, malgré les quelques paires de mains qui s'étaient ajoutées au sienne. Et elle se trouvait face à un spectacle qui lui semblait plutôt alarmant. Les élèves étaient plus ou moins paniqués, ce qui était plutôt normal. Mais le fait que certains membres du personnel, se laissent aller à la panique n'augurait rien de bon. Tout comme la porte qu'il était maintenant impossible d'ouvrir.
De plus elle ne tarda pas à d'apercevoir qu'il manquait des élèves dans la salle. La jeune Eri et la jeune Tessa, manquaient à l'appel. Elizabeth senti un soupçon de panique monter en elle. Là clairement, elle et le reste du personnel avaient merdé. Sérieusement merdé. S'il leur arrivait quelque chose, ce serait clairement leur faute. Elle jura silencieusement en serrant les poings avant d'aller récupérer sa veste.
La fenêtre qui avait été ouverte fini par éclater et la pluie ne tarda pas à monter. Ils n'avaient pas d'autre choix que de passer par les loges. Elle resta cependant cette fois en arrière et invita les derniers présents à en faire de même. Elle avait de l'eau jusqu'à la taille. Merveilleux, heureusement qu'elle n'attachait pas plus d'intérêt que ça à son costume. Elle avançait précautionneusement faisant en sorte de toujours laisser ses pieds traîner par terre pour ne pas être surprise par d'éventuels obstacles. Sa main droite était levée au dessus de sa tête, tenant fermement son carnet son stylo et ses clopes.
17:42 Elizabeth franchit la porte menant au gymnase, elle a légèrement froid mais elle ne dit rien, elle se contente de rejoindre Cordelia au centre du gymnase, elle pense toujours aux élèves manquants. Cependant elle préfère se concentrer sur les présents pour ne pas créer de nouvelles crises de panique. Elle s'adresse donc à sa collègue.
12 jours. ça faisait à peine 12 jours que le gnome-de-combat avais foulé du pied les terres du Royaume-Unis; et il fallait que ce genre de truc se mette à arriver de nulle-part. On lui avait dit maintes et maintes fois que c'est un pays pluvieux - il ne s'imaginait simplement pas avoir affaire au type de pluie qui fait barricader des fenêtres et hurler des jouvencelles. Tout ce bordel était passé de 0 à 100 avec une telle vitesse que l'agent de sécurité eut peine à garder en tête ses responsabilités initiales. Pour une simple raison, vraiment : Un terroriste? Pour sûr c'est dangereux mais tu peux l'arrêter! Un mari violent? pètes-lui la jambe et amènes-le au poste!
- ...
Mais là c'est un peu différent. C'est rare que ça arrive, vraiment - qu'Alice fasse face à un adversaire qu'il ne peut pas vraiment "toucher". Et la raison pour laquelle il eut une réaction presque végétative à tout ce déroulement depuis le début est assez simple : il n'arrivait pas vraiment à comprendre qu'il ne peut pas vraiment résoudre ce problème en pétant la tronche à la tempête.
- Ah!
son poing tapes dans sa paume alors qu'il affiche un air ébahis - ça lui aura pris autant de temps pour arriver à la réalisation que "pour une fois" la solution n'est pas aussi simple. Et c'est avec un timing parfait que l'un des membres du personnel parvint à ouvrir la porte des loges. Au moins quelqu'un qui se montre utile dans tout ce bazar! Clairement l'opposé de l'androgyne à l'air ahuri qui satures déjà à comprendre que toute cette situation est dangereuse pour commencer.
Alors que les élèves commencent petit à petit à évacuer; ses mirettes d'ambre survolent la pièce à la recherche de traînes-la-patte. Cet endroit - enfin, ce campus, tout court; Pourrait tout autant être un labyrinthe, pour l'Américain; alors c'est une chance que quelqu'un ici, au moins, sache ce qu'il fait.
- Eeet... évidemment..
Mais c'est plus facile à dire qu'à faire, ficher le camp. Pour sûr, c'est aisé pour les plus paniqués de prendre leurs jambes à leur cou à la seconde où une issue est potentiellement trouvée.. mais il y a une bonne dizaine de gamins un peu trop en panique pour piger qu'il y a eut un brin de développement de ce côté. Une qui blair-witch dans son coin, un gamin étalé par terre en pleurs, un autre qui est scotché à son téléphone en train de désespéramment essayer de contacter quelqu'un malgré l'absence de réseau -- aucun de ces gosses n'a l'air suffisamment stable mentalement pour être laissés à leurs propres décisions sans quelqu'un pour leur forcer la main. Un rictus déplaisant se dessina sur les lèvres de l'agent de sécurité alors qu'il commencer à faire trempette le long de l'Auditorium. C'était toujours relativement bas - pratiquement un filtre. Mais il était consistant - c'était pas seulement l'endroit où il se tenait, c'était l'ensemble de la salle, et il avait un mauvais pressentiment.
Il passe derrière une gamine agenouillée qui prie comme si c'était l'avènement de l'apocalypse, à pratiquement parler en langue - flippant mais pas surprenant. Un gosse de la classe Potion par exemple pourrait très bien se voir mourir ici sans issue. Il reviendra à elle plus tard - autant atteindre le fond de la pièce et les ramasser un par un sur le retour plutôt que d'épuiser ses forces à les traîner dans les deux sens. ça en fait quatre de repérés jusqu'à présent; en assumant que personne ne se cache volontairement pour un jeu de peek-a-boo de très mauvais goût et timing.
Mais alors qu'une bourrasque de vent fait de nouveau trembler la bâtisse, le jeune adulte s'arrête brutalement. Le mauvais pressentiment se fait un peu plus clair. C'était accompagné par les cris des gamins déjà stressés, que le regard de l'agent de sécurité s'encra dans une partie spécifique de la pièce - l'équipement électronique. La sono, les projecteurs, les lumières - tout les câbles qui longeaient les murs et le sol de la pièce étaient plus obscènement dénudés qu'une actrice porno. ça n'allait pas vraiment prendre plus qu'un "filtre" d'eau pour créer un dancefloor qui pique pour tout ceux qui restent là à rien faire. Il grinça des dents et tenta d'élancer quelques appels au mouvement - mais sans résultats, les gamins qui n'avaient pas déjà foutu le camp, n'allaient certainement pas le faire avant qu'on leur colle une paire de claque pour les réveiller ou les porter contre leur gré.
Alors il pressa le pas, chacun des coups de chaussures renforcés frappant le sol humide créait un tandem sinistre avec les violentes rafales qui percutent incessamment les alentours. éventuellement il parvint à atteindre le fond de la pièce après avoir passé deux ou trois autres élèves statiques piégés dans leurs propres démons psychologiques.
Blair-Witch Kid était la première sur la liste - regarder le mur aussi près des câbles en priant à je-ne-sait-qui pour que l'eau disparaisse magiquement n'allait pas aider; et il ne pouvait pas risquer de la laisser avoir une crise de panique aussi proche de ces trucs ou bien les carottes seront cuites pour elle. Avec le dos tourné à l'agent de sécurité et aucun moyen pour lui de signaler sa présence sans la bousculer...
*- ça risque de la faire un peu flipper maiis...*
Son geste fut aussi rapide que brutal et maladroit. Clairement la "technique" et l'expérience étaient derrière la manoeuvre - mais l'anticipation des actions de la gamine, pas tant que ça. Il l'avait tirée en arrière par le col et placé son bras de manière à couvrir les siens; tout en se jetant en arrière rapidement pour l'empêcher de fléchir les jambes vers les câbles. Il était presque tombé lui-même; et le hurlement de panique de la petite sorcière n'aidait pas. Mais heureusement pour lui, malgré le fait qu'elle se débatte comme un petit démon; elle était pratiquement aussi petite et légère que lui-même; ce qui rendit la restreinte plus aisée de son côté.
- AAAAAH--- !! Lâche moi!! Je veux pas qu'on me touche!! laisses-moi!! - Arrête d'essayer de bouger dans tout le sens et je te lâche! Y'a une sortie vers les loges, reste près de moi et ça ira, okay? - TOUCHE PAAAAAS!! *- Eeeet c'est une traumatisée...*
L'agent de sécurité fut contraint d'ignorer les demandes de la jeune fille pour au moins quelques secondes de plus - juste le temps qu'il fallait pour reculer de quelques pas. Dès l'instant ou l'étreinte d'Alice s'estompa; la jeune fille agis exactement de la manière qu'il avait imaginé - et la raison pour laquelle il l'avait éloignée par force pour commencer. Elle pleurait et gigotait dans tout les sens, puis finis par se laisser tomber sur les genoux; forçant le petit agent de sécurité à fléchir la jambe; gardant ses mains à distance cette fois.
- Hey, regardes-moi. On peut pas rester ici. Je garde mes mains loin de toi. Est-ce que tu peux marcher?
Bien qu'elle avait arrêté d'hurler.. il y avait un autre problème. Elle s'était calmé rapidement - beaucoup trop rapidement pour une simple crise de panique. Elle avait même un sourire inquiétant en coin de ses lèvres; et son regard semblait abominablement vide.
- Laisses-moi mourir. - ....GOD DAMMIT
Malheureusement, pas le temps de négocier avec un étudiant Potion suicidaire. Parfois un homme doit briser ses promesses, et dans le cas actuel, il allait devoir faire un compromis sur cette histoire de "pas-toucher" la dame. Mieux vaut un peu plus de traumatisme que la laisser se faire griller comme du poisson panné.
En deux-temps-trois-mouvements; l'agent de sécurité se retrouvait avec un bagage très encombrant par dessus son épaule. Le type de bagage qui hurles à la mort et qui se débat comme un épileptique au milieu d'une Rave Party - mais c'est les risques du métier, et heureusement il est beaucoup plus fort qu'il n'en a l'air. Avec le sac-à-patate par dessus l'épaule; Alice s'apprêta à prendre le chemin inverse - avec la gamine le plus au fond sécurisée, tout ce qui reste est d'attraper tout ceux qui se trouvent entre lui et les loges.
Et ce petit échange qui n'avait pourtant duré que trois petites minutes.. de voir à quel point cette pièce s'était vidée à vitesse grand V, laissait réellement transparaître combien de gamins étaient laissés à leur propre sort dans la panique. Ceux qui avaient l'air potentiellement maîtres de leurs émotions étaient un peu plus lent - mais c'est ceux qui restent complètement immobiles et statiques, qui n'ont pas l'air d'avoir assimilé l'info qu'une issue est ouverte.
C'est donc après quelques coups de coudes dans la tronche de la part de Miss suicidaire, que l'agent de sécurité fit face au second élève - le gamin au téléphone. Les hurlements de la gamine qu'il portait sur son épaule s'étaient avérés utiles pour une fois - ça eut le mérite d'extirper le jeune de sa torpeur et finalement lever le nez de son appareil.
- Abandonnes, même le Talkie-Walkie est bousillé. - J-J--Je veux savoir si me--mes parents sont ok--- - Tu le sauras quand tu les verras, et tu les verras jamais si tu reste ici - LÂCHES-MOIIIIII!! - Miss.Suicide a raison, lâches ton téléphone et suis-moi! - ....Non je crois qu'elle vous dis de la lâcher--- - Je sais ce que j'ai entendu. J'préfère me prendre un billet de réprimande qu'être responsable pour l'avoir laissé faire trempette trop longtemps.
Et ça fait trois membres dans l'équipe du RPG - un parfait moment pour être interrompu par l'un des méchants aléas du terrain - Un câble électrique qui tombe du plafond; pratiquement aussi dénudé que les autres; mais plus particulièrement en train de balancer de droite à gauche en plein milieu de la route.. et juste au dessus de la tête d'une autre gamine en position foetale. Super. Encore un gamin à devoir persuader de pas faire de gestes brusques - parce que ça a TELLEMENT BIEN marché avec la première...
*- Celle là est...*
Contrairement à la première, celle là n'était pas dos-tourné - mais elle était clairement inconsciente, probablement en état de choc. Avec le câble qui se balance au dessus de sa tête, ça ne va pas être aussi facile que simplement l'attraper et marcher - surtout qu'il prendrait le risque de mettre la dépressive criarde à risque dans la même foulée.
Alice jeta un coup d'oeil derrière-lui comme pour s'assurer qu'il n'avait manqué personne sur le chemin.. avant de remarquer que d'autres câbles commençaient à tomber du plafond, l'un d'eux pendant dangereusement proche du sol. Clairement c'était une course contre la montre maintenant. Et comme si ça ne suffisait pas - cette gamine là est un peu plus..."grande" que l'autre; porter les deux en même temps risque d'être infernal s'il en reste d'autre qui ne peuvent pas marcher. ça allait demander un peu de speedrun thérapeutique pour rendre les choses plus simples à gérer.
- LÂCHES-MOI!! LÂCHES-MOI!! LAISSE MOI MOURIR!! JE VEUX MOURIR! JE VEU---- - HYAAAAAH
DING DING DING! S'il y avait un commentateur de la WWE pour donner un score à ce German-Supplex exercé sur une pauvre gamine dépressive frêle comme une brindille de la part de cet adulte haut-comme-trois-pommes; ça aurait été glorieux. Mais à part mettre la gamine inconsciente avec le moins de dommages possible; il ne voyait pas vraiment de moyen de lui faire faire dodo en moins de quelques secondes.
- Vous êtes complètement taré!! Vous auriez pu la tuer!!
Après s'être relâché et laissé tomber l'étudiante sur le sol, inconsciente; le jeune agent de sécurité la poussa un peu en direction du gamin-au-téléphone; faisant semblant de ne pas avoir entendu la complainte.
- T'as l'air suffisamment en forme pour la porter; J'm'occupe de l'autre alors passe dès que le fil a fais un tour. - P--Pourquoi moi!? - Parce que erh...
Le jeune homme tourne les yeux vers l'inconsciente sous le câble qui pends. Clairement c'est une "grande" fille; et Alice a beau être fort dans un sens, soulever plus lourd que lui reste un soucis qui n'est pas envisageable avec un autre sac-à-patate sur son épaule simultanément.
- J'me sens presque insulté; qu'est-ce qu'ils mettent dans votre bouffe pour que vous grandissiez comme ça!?..Et merde..
Le câble se balance de droite à gauche, dans de très grands élans qui passent d'un côté de la pièce à un autre; manifestement poussé par les bourrasques de vent qui filtrent à travers les conduits. L'étudiant au téléphone portant Miss Suicide sur son dos, il attends un tour complet pour passer à l'action et outrepasser l'obstacle. Il avait retrouvé le sourire, on aurait dit qu'il venait juste de passer une épreuve de Takeshi's Castle! Alice avait presque envie d'applaudir --- jusqu'à ce que le Karma ne vienne punir à nouveau son manque de sérieux, avec deux autres câbles descendant du même spot, triplant la menace.
- TU TE FOUS DE MA GUEULE JESUS CHRIST!!
à travers les trois câbles balançant, Alice cries à l'étudiant ses instructions; peinant à faire passer ses mots outre le boucan des rafales percutant le building.
- Amènes-la jusqu'aux loges, et fait gaffe où tu marche! - Oui! - et ça me laisse avec....
Une goutte de sueur coule le long de la joue de l'ancien officier de police, qui constate qu'il va devoir jouer à Indiana Jones avec une girafe sur le dos. Aussi cruel que ça paraisse, l'idée lui avait vaguement traversé l'esprit qu'il serait protégé par la grande étudiante qui servirait de paratonnerre; mais il tenta de chasser ces idées stupides de sa tête autant que possible.
Un bras par dessus la tête, puis un autre; on attrape les cuisses et----- La cavalerie est prête; le cheval a juste l'air d'être en train de mourir sur place à porter quelque chose qui mesure deux fois sa taille, et dont le corps inanimé penches vers l'arrière pour procurer un peu plus de chances de scolioses fatales en maison de retraite.
C'est pas bon. Les trois câbles ont des timing complètement différents l'un de l'autre et continuent à se percuter les uns les autres; l'un d'eux commence même à descendre près de la flotte après quelques impactes. Après une minute entière de pure réflexion, Alice en arriva à une très regrettable conclusion - Il allait devoir se prendre un coup dans tout les cas. Si ça allait être un simple "CLAP" du câble contre sa nuque, ou un "ZZAPP" de Zeus, ça allait devoir être laissé à Dame Fortune. Il avait des chaussures de sécurité bien sûr - mais à part porter un nom similaire, il n'avait aucune idée de si ces godasses étaient réellement similaires à celles que les électriciens utilisent; laissant le doute planer.
Il fermas les yeux un moment, pris une grande inspiration, puis s'élança. L'espace d'un instant, il crut s'en être tiré sans le moindre problème; comme s'il avait franchis la ligne d'arrivée d'un marathon pour embrasser la victoire! - Mais cette analogie fut coupée bien court.
- ZZZZZZ--
Parce que derrière la ligne d'arrivée, il y a un ravin. L'un des trois câbles revint de toute sa force s'écraser contre sa tempe. La rigidité et la vitesse d'élan de la ligne noirâtre partiellement découverte, eut pratiquement l'effet d'un coup de fouet en pleine tête. La vue d'Alice sembla se noircir l'espace d'un instant alors qu'il pouvait sentir son corps et le poids de son "bagage" placer une pression énorme sur ses genoux prêts à s'effondrer.
Mais un mélange de chance et de persévérance lui permit de placer sa main devant lui pour se rattraper en relâchant l'une des cuisses de la jeune fille; préservant sa balance maladroitement. C'était un coup rapide et violent - mais ce n'était pas une électrocution. Peut être qu'un peu de peur s'était mêlé à l'impact et causé plus de dégâts à son psyché, que la corde noire elle-même n'avait fait.
Sa main droite était maintenant plongée dans le filet d'eau qui tapissait le sol de l'auditorium. Ses yeux grand ouverts avaient des troubles à détailler les formes de sa propre main. D'autres gouttes tombaient - mais celles-ci étaient cramoisies et se dissipaient en un petit nuage à l'extrémité de son annulaire. Le coup de latte lui avait sûrement ouvert le crâne- ou méchamment endommagé la surface de sa peau. Il grimaça et fléchis le genoux à nouveau pour récupérer sa balance. Il y avait d'autres gamins sur le chemin; mais ses oreilles sifflaient et son attention semblait réduite. Il marchait pratiquement comme un automate à ce point là; effaçant de sa mémoire immédiate tout ce qui n'avait rien à voir entre rejoindre les loges et ramener autant d'étudiants que possible avec lui.
Et pour cette raison, il continuait d'avancer. Ses lèvres remuaient, mais il ne pouvait pas entendre ses propres commandes. Juste le sifflement. Il pouvait vaguement enregistrer la présence de quelques ombres bouger à ses commandes, certains le suivaient, d'autres traînaient encore quelque peu le pas, nécessitant sûrement l'assistance de camarades capables de faire de même. Mais dans son cas, mentalement, cette claque plastique l'avait limité à ses fonctions les plus basiques...
C'est par une autre "claque" qu'Alice se réveilla à nouveau. Celle-ci, contrairement à la précédente, était complètement glaciale, mais tout aussi violente. Presque un plongeon, en rétrospective - il était tombé des escaliers avec la gamine sur son dos, face droit dans la mini-piscine à l'intérieur des loges. ça avait eut le mérite de le faire reprendre ses esprits, malgré avoir bu la tasse.
- FF-- c'est f-froid putain! Ahh je hais cet endroit! Putain ! putain! put--- - Par ici!
C'était le gamin au téléphone. Il était à l'autre bout des loges, probablement sur le bord d'entrer dans le gymnase. Il y en avait même d'autres avec lui, qu'il n'avait pas escorté à la sortie lui-même. Du bon boulot, pour la chocotte. Tout ce qu'il reste c'est d'amener la girafe et---...
- ....J'ai pas oublié quelqu'un?
Le doute l'envahis. Alice reste planté sur place, oubliant presque complètement le poids de sa cargaison. Il n'y a pas moyen de savoir qui reste derrière à moins d'y retourner. Il grimace, avance aussi rapidement qu'il le peut à travers les loges pour rejoindre le gamin au téléphone avant de poser la grande fille sur le rebord de la sortie.
- S'il reste qui que ce soit là-bas ils vont se faire---
Il n'avait pas pris le temps de prendre un second-souffle entre le moment il eut posé la jeune fille et celui où il s'était décidé à prendre le chemin inverse. Un brin de surmenage, pour un corps aussi petit- Un exercice qui fut cette fois de trop pour Alice. Au milieu de sa phrase, son genou flanchas et ses paupières se fermèrent presque aussi rapidement que son corps tomba dans la marre.
Un plouf, un mince sentiment d'être tiré en arrière par quelqu'un ou quelque chose-- quand il ouvrit finalement les yeux, il ne put voir que les traits abstraits du plafond du gymnase. Il est 18:00.
17:40
Velvet Ellusia
IRS |:| Quatrième année
Sexe :
Identité de genre :
Orientation sexuelle : Hétéro jusqu'à preuve du contraire
17h40. L'eau commençait à monter dans l'auditorium. C'était facile de comprendre à quel point c'était dangereux : avec les enceintes, les projecteurs et tout ces trucs-là, on risquait l'électrocution si la pluie s'infiltrait trop. Peut-être que j'aurais dû prévenir les autres que cette fille sortait, finalement. Mais je ne m'en étais pas senti la légitimité. Après tout, si cette fille voulait mourir ou se sacrifier à la tempête, quel droit aurais-je eu de m'y opposer ?
Mais maintenant qu'elle était sortie, la fenêtre s'était brisée et on se retrouvait tous mal barrés. Heureusement, la psy et la prof qui s'étaient écartés un peu avant avaient trouvé une échappatoire. Passer par les loges. Ça aurait pu être une bonne idée, mais elles étaient quand même vachement inondées... et j'étais petites. Elle allait me monter jusqu'aux cuisses, non ? L'idée était angoissante, mais il me suffit d'un regard en arrière pour me décider. Je préférais être à moitié immergée qu'électrocutée. Plus loin, j'entendis des gens crier comme s'ils se débattaient ; je préférai ne pas m'en mêler.
Un peu hésitante malgré tout, parce que je n'étais pas rassurée par rapport à la profondeur de l'eau, je descendis les escaliers qui menaient aux loges. L'eau me montait un peu au-dessus des genoux, mais ça allait. J'allais juste bousiller complètement mon uniforme, et avoir froid, aussi. Je marchais tout doucement, surtout quand je vis un peu plus loin qu'une fille s'était blessée et libérait sa jambe pour continuer d'avancer. Mais, finalement, j'atteignis moi aussi la porte du gymnase et rejoignit les autres. Il devait être 17h50 quand j'entrais dans la pièce, à peu près.
Famille : Trois enfants : Zack et Scarlett (05/17) et Aydan (09/20)
Situation amoureuse : Mariée à Erik Vint Svent
Personnage sur l'avatar : C.C. de Code Geass
Doubles comptes : Alix, Roxanna, Jesse, Nick/Ellia, Chelsea
Sam 4 Jan - 20:54
Martel Vint Svent
17h40.Tout le monde quitte l'auditorium, sauf Moka, qui est passée inaperçue.
17h50. L'eau continue de monter, finit par atteindre les machines électroniques. Un courant traverse l'inondation, et la jeune fille s'effondre.
Ce sujet est clos.
Martel Vint Svent
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Sam 22 Fév - 15:45
Martel Vint Svent
20h30. Gymnase. Velvet quitte les loges pour l'auditorium. Elle fouille la pièce.
Événement : général La tempête semble s'apaiser à l'extérieur, mais pour combien de temps ?
Personnages inclus dans ce sujet (pour l'instant) Velvet Ellusia
Ce tour couvre la période de 20h30 à 21h00. Vous avez 7 jours pour faire autant de posts que vous le souhaitez durant cette période horaire. N'oubliez pas d'indiquer l'heure de début et de fin de chacun de vos posts. Il n'y a pas de maximum de mots, mais le minimum de 230 s'applique toujours. Vous pouvez changer de zone en cours de tour. Toutes les informations relatives au tour sont disponibles ici.
Velvet Ellusia
IRS |:| Quatrième année
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Identité de genre :
Orientation sexuelle : Hétéro jusqu'à preuve du contraire
20h30. Mes recherches continuaient. J'avais bon espoir de finir par trouver, à un moment ou un autre, ce fichu interrupteur pour arrêter la tempête. J'espérai qu'il n'était pas dans la réserve à instruments, inaccessible, ou dans une des loges. Impossible pour moi de faire demi-tour : traverser le couloir inondé était trop dangereux. Et je n'avais pas envie de revenir dans la même pièce que ceux qui essayaient de nous noyer et peut-être de nous tuer ! Certainement pas !
Et puis d'un coup, je réalisai que le vent s'était calmé, dehors. Ah ! J'avais réussi ! J'avais contré leur plan ! Maintenant, tout le monde allait pouvoir me remercier, je deviendrais leur héroïne de l'ombre ! Celle qui a arrêté la tempête. Mais je devais préparer un discours avant, sinon personne ne saurait jamais ce que j'avais fait. Tout le monde penserait que l'ouragan s'était arrêté "naturellement". Mais moi, je savais que ce n'était pas le cas. J'avais trouvé le mécanisme pour stopper la catastrophe. Un grand sourire apparut sur mon visage. Maintenant que le temps s'était calmé, je pouvais sortir. Tout le monde pouvait sortir, on était libres, et personne ne viendrait nous tuer.
Victorieuse, je descendis de la scène et pataugeai jusqu'à la porte de l'auditorium, que j'ouvris en grand. L'eau baissa aussitôt, quittant la salle pour l'extérieur, même si je barbotai encore dans quelques petits centimètres. C'était mieux que d'avoir de l'eau jusqu'à la taille ! L'extérieur me confirma ce que je pensais : l'ouragan était bel et bien terminé. Plus de vent, plus de pluie. C'est d'un pas satisfait que je me mis en route vers les dortoirs. Je pouvais retourner à ma chambre pour commencer à écrire mon discours et expliquer aux élèves comment j'avais déjoué un complot visant à tuer la moitié de l'école. Enfin... il fallait que j'arrive à traverser sans qu'on me repère. Est-ce qu'ils m'en voudraient d'avoir arrêté leur tempête ? Sûrement. Peut-être même qu'ils allaient la remettre en marche ! Je me précipitai, courant presque jusqu'à atteindre la porte principale. Mais elle était fermée. Mince ! Ils avaient deviné mes intentions ! Il fallait que je trouve une autre manière d'entrer !
21h. Je contournai le bâtiment à la recherche d'une fenêtre cassée, d'une autre porte ou d'une manière de monter à l'étage, n'importe quoi pour pouvoir entrer.