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[2019 - 2020] La mariée et la nuit de noces

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Mer 12 Fév - 23:47
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Eri Tanaka
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La mariée et la nuit de noces

ft. Damen, le 30 juin 2019
"Il parait que j'ai tout : je suis beau, jeune, riche. A un détail près : Je suis beau, jeune, riche et lucide. Et c'est ce détail qui fout tout en l'air." Andrea - Hell


Je l'observe, je détaille son regard jade et ses mèches cendrées, je retiens ce que je vois. Ai-je déjà dis que ma mémoire était meilleure que celle des autres ? Et bien voilà, c'est dit. Après tout, quand, gamine, on me présentait 4 agents, 2 producteurs et 5 photographes... Je n'avais pas le choix que de tout retenir. Et de peur de déplaire à Mère, j'ai une série de carnets avec des noms et des appréciations, des informations importantes. Maintenant, j'utilise mon ordinateur et mon téléphone mais dans le doute, je réécris toujours tout. Enfin, je réécrivais. Depuis que je suis arrivée à Indarë, je n'ai rien écris. Rien d'autres que des chansons. Rien qui ne doive sortir de mon pc.

Il s'éloigne de moi, me laissant fumer une nouvelle bouffée d'air trouble. Cet air si pesant qui s'engouffre dans mes petits poumons. Lorsqu'il revient, il a un rouge à lèvre sombre entre les doigts. Enfin... Sombre... Sur ma peau, beaucoup de couleurs deviennent sombre. Et là, sous la lumière peu violente, je crois voir un rouge assombrit, un bordeaux clair. Peut-être que je suis trop attaquée par l'alcool et par la drogue. Peut-être mais j'en doute.

Ses mains prennent les miennes et écrit dans mes paumes. Une série de lettres que je ne reconnais que lorsque je les lis. "Not yours". Pas le vôtre. Pas la vôtre. Pas la tienne.

- Ça, c'est ce que tu dois montrer au monde en premier.

Moi ? Je ne suis pas à qui ? À lui ? À ma mère ? Aux autres ? Quelque part... Je comprends. Quelque part, je me demande comment cela a pu lui sembler si évident. Serait-il passé par là lui aussi ? Adorable blondinet. On se ressemble sûrement trop. Serait-ce une mauvaise chose ? Absolument. À quel point ? Est-ce important ? Et quand je lui demande comment il voit le monde, il me répond. Une réponse qui me surprend sans me surprendre. Il compare le monde à un jeu. Pour lui... Si je comprends bien... Les gens « normaux » sont ceux en coopération, Mère serait de la seconde catégorie... Et moi...

Sa main coupe court à ma réflexion, ramenant mon esprit au moment présent. Ses lèvres se rapprochent des miennes, sa chaleur semble me parvenir par son sourire. Ou alors c'est l'alcool. Ma tête hoche lentement lorsqu'il s'apprête à poser sa question. Mon regard se détourne de lui pour suivre la trajectoire du joint, mes yeux revenant naturellement dans les siens. Son souffle semble me promettre mille-et-une choses. Quelque chose se déclenche. Quelque chose me dérange. Tu as trop de vêtements. Tu es bien trop attirant. Bien trop près. Oh~ Beau Damen...

- Est-ce que tu veux guérir ? Tu as dit que tu étais malade, et pourtant tu es là, avec moi, à boire et à t'approcher si près de moi.

Mon esprit se calme sous la question. La peau de sa main semble titiller mon bas-ventre avec le doigté d'un pianiste. Bien sûr, sous cette pensée de l'utilisation de ses mains... Mon esprit l'imagine et mon sourire se marque de luxure.

- Je croirais la réponse qui sortira de ta bouche. Est-ce que c'est toi, au plus profond de toi, qui veut guérir, ou est-ce que c'est quelqu'un qui te l'a ordonné ?

Mon regard resta dans le sien. Un instant, mon regard se voilà sous la question. Est-ce que... hein ? Est-ce qu'on me l'a ordonné ? Un peu oui. C'est pour ça que je suis ici après tout. Mes lèvres s'ouvrent sans qu'aucun son n'en sorte. Juste un fin souffle chaud. Je suis bien près de lui. Droguée... Alcoolisée... Est-ce que je veux guérir ?... Il est beau non ? J'ai l'impression qu'il lit en moi. J'ai l'impression qu'il me comprend. C'est idiot... Est-ce qu'au fond de moi... je veux guérir... ? Je me sens inspirée alors que mes doigts passent sous ses côtes. Mon visage se décale pour venir se reposer sur son épaule alors que mes doigts se relèvent en caressant le tissu de sa robe. Arrivés en haut, lorsque je ne fais qu'effleurer son épiderme pour attraper l'ouverture, je me sens presser ma paume contre lui pour abaisser la fermeture, le libérant en partie de son emprise. Mon visage remonte le long de sa gorge, ma langue le tâtant par à coup alors que je remonte vers son oreille. Mon souffle libère quelques paroles tendres.

- J'aimerais juste que ça devienne vivable. Guérir est secondaire. J'aimerais vivre...

Mon visage se décale pour m'amener à ses lèvres si attirantes... desquelles quantités de mots s'imaginent dans mon esprit malade. Certains ont déjà été prononcés... Je peux tout faire. Il me suffit d'avoir une bonne motivation.

- Je te l'ai dis beau blond~ Fais-moi oublier. Par l'alcool. Par la drogue. Par ton corps. Ma voix susurre, ma langue se retenant d'humidifier ses lippes semblant si douces … Dis Damen... Suis-je une assez bonne motivation pour toi~ ?

Mes bras l'enlacent alors que mes lèvres se posent sur les siennes. J'ai besoin de tant... Sa chaleur. Son corps. Son attention. Nos extases. Lui. Juste lui. J'aimerais juste le voir. Et être vue. Pour moi. Pas pour ce que je montre. Dis Damen... Tu peux faire ça... ?


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Damen Irridval
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Situation amoureuse : S'approprier les gens, c'est vulgaire
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Rp abandonné (-18)
Dim 16 Fév - 19:50
Damen Irridval

Elle semble perdue. La question est sûrement trop profonde, trop difficile à assimiler. Quand on a suivi des ordres toute sa vie, savoir les détacher de ce qu'on veut vraiment n'est pas simple. Veut-il vraiment être le gamin sage, bien habillé, avec son costard, ses gants blancs et son sourire parfait ? Pas du tout. C'est pourtant ce qu'il a été jusqu'au collège, le gamin riche qui attire les autres et se comporte comme une diva prétentieuse pour attirer l'attention, les regards et une clique de gens souhaitant être populaire. Parce qu'il était beau, riche et célèbre. Et puis il y a eu Léo. Léo qui était comme lui et qui cherchait un refuge dans la popularité pour combler le néant de sa famille. Qu'est-ce qu'il l'aimait, et qu'est-ce qu'il le détestait, ce gars trop similaire. Et c'est en le côtoyant, puis en ne pouvant plus le côtoyer, que Damen a finir par marquer la différence entre ce qu'il est et ce que les gens attendent de lui. Et effacer la deuxième partie.
Et celle qu'il a en face de lui n'est pas encore capable de voir la séparation, de savoir ce qui est quoi.

Difficile de dire si elle va lui répondre. Difficile quand il sent sa main sur son épaule dénudée, qui fait glisser la fermeture le long de son bras, juste un peu, mais suffisamment pour que les idées qu'elle a en tête se sentent exprimées. Difficile aussi, encore plus, quand il sent sa langue dans son cou, effleurer juste assez sa peau pour qu'avec l'effet de l'alcool en prime, il ressente un frisson. Mais finalement, elle lui répond. D'un souffle à l'oreille qui le laisse mitigé. Entre son cerveau qui tente d'enregistrer sa réponse et son corps qui commence à n'en avoir plus grand chose à faire. Est-ce que c'est vraiment important ? C'est toi qui a posé la question, écoute la réponse, lui lâche son esprit. On s'en fout, elle est sexy et elle te regarde comme si tu étais un cupcake géant, c'est tout ce qui compte, non ? murmure la chaleur qui remonte dans ses veines. Elle est trop près de lui. Elle susurre des mots qui lui donnent envie d'oublier cette conversation. Et l'alcool n'aide pas. La deuxième voix l'emporte finalement au moment où elle passe ses bras autour de lui.

» Largement...

C'est tout ce qu'il a le temps de souffler avant de sentir ses lèvres sur les siennes, puis de s'en emparer. Prendre une partie du contrôle tout en lui laissant la possibilité de le lui voler. Parce qu'il lui a dit de décider. De choisir. Et parce qu'au fond, tant qu'il peut passer avec elle le temps que son corps lui réclame de plus en plus, la manière n'a pas besoin d'être figée.

La main posée dans le bas de son dos se permet de descendre nonchalamment pour passer la ligne de ses hanches et effleurer les courbes perçues sous sa robe. Quand il écarte un peu son visage, ses dents s'attardent sur sa lèvre, l'effleurent comme un avant-goût, mais c'est un regard très sérieux qu'il lui retourne, comme si les mouvement de ses mains étaient totalement indépendant des paroles qu'il va prononcer.

» Juste une chose. Je ne couche pas avec des poupées inertes. Je serai volontiers ta drogue, mais une drogue c'est fait pour enivrer. Si je te laisse enlever ces robes, c'est pour que tu participes.

Il ne sait pas vraiment ce qu'il dit. Son esprit commence à être embrouillé par beaucoup trop de substances, entre ses hormones et l'alcool qui atteint lentement mais sûrement son cerveau. Qu'est-ce qu'il veut exprimer, déjà ? Oui, qu'il n'a pas l'intention d'être juste un connard qui profite de sa nymphomanie pour se vider et qui la laisse dans un état de semi-manque parce qu'elle n'a pas su s'exprimer... quelque chose comme ça. Sa main qui glisse sous sa robe a l'air d'être bien plus cohérente avec lui-même que le moindre mot qu'il essaye de prononcer. Pourtant, alors qu'il s'approche de sa nuque pour laisser ses lèvres entrer dans une danse bien plus intéressante que la parole, il ne peut s'empêcher d'ajouter quelque chose.

» Je veux être la meilleure dose de ta vie...

Un murmure orgueilleux qui se pose sur son cou, comme pour indiquer l'emplacement où l'embrasser. Il ne se fait pas priver, suivant la ligne tracée par son souffle pour goûter encore à sa peau.
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Ven 21 Fév - 17:52
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Eri Tanaka
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- Largement...

Un murmure, un souffle, un baiser. Je n'attends que ça. Mon corps se love contre le sien alors que ses doigts jouent des formes qu'il caresse alors que notre baiser se finit, alors que mon regard se perd dans le sien. Doucement ses mots coupent le silence rouge luxure qui s'abat sur les loges. Mon sourcil se hausse lorsque son sérieux essaie de trancher le désir. Je l'écoute, comme si les brumes du plaisir et les vapeurs d'alcool se dissipaient juste assez pour que sa voix me parvienne. Je ne comprends pas de suite ses propos. M'insulterait-il ? Je n'arrive pas à ne pas murmurer en réponse, comme si ma voix répondait à sa provocation.

- Inerte ? Tu pourrais regretter de ne pas me voir ainsi ~ quant à devenir ma drogue...

Mon corps se love contre le sien, hurlant un « oui » discret bien qu'évident. J'aimerais bien. Mais je suis une Tanaka. Je contrôle ce que je contrôle. Et puis... Et un sourire éclaire mes traits, un sourire presque vainqueur, comme si une évidence s'empare de moi.

- Envire-moi Damen... Je ne sais que danser. Mais je te promets de danser pour toi... sur toi... tant que tu sauras m'enivrer ~

Vile promesse. Mais sans mensonge. J'entends bien garder ces paroles en mémoire et respecter ma parole. Peut-être est-ce une notion perdue. Mais l'honneur de sa personne passe par diverses choses. Avoir une parole fiable en est une. Sa main me fait soupirer alors qu'elle remonte le long de ma cuisse. Que de mots en un si petit geste... Ses lèvres se rapprochent de ma peau, ses mains frôlent l'insolence... Et je me sens frissonner. C'est vrai que personne ne lui a imposé de limites... Il n'a pas de pression externe... Lui... Il ignore à quel point mon corps est important... Et je m'en fous... Mon corps n'importe pas... Seul le sien compte. Mon front vient se poser sur son épaule, une main délaissant son dos pour dévoiler ma gorge et ma nuque.

- Regarde-moi... Essaie donc de me voir vraiment...

Un ton sensuel, un regard implorant une supplice silencieuse, un baiser pour sceller une demande, voilà une partie de moi que ma mère n'acceptera jamais. Étonnamment, me voir si honnête doit lui sembler dérangeant. Être vue. Vraiment. Qu'il me connaissance. Si seulement tout était aussi simple que cela... Et mes mains dévoilent son buste, passant sous les tissus pour découvrir sa peau chaude et si attirante...

J'ai envie de lui parler. J'ai envie de le toucher. Et bientôt, bien trop vite, je ne compte plus ouvrir mes lèvres que pour prendre son goût, ses douceurs et pour lui montrer le plaisir – j'espère - qu'il saura me procurer. Mon corps se relève, lentement, m'éloignant de ses gestes si brûlants, m'éloignant de ses lèvres si tendres... Avec sensualité, je laisse mon dos se cambrer en une danse orientale, dénudant ce corps qui fait toute ma fierté. Je découvre mon buste, cette peau sans défaut que je cache sous mes vêtements. Et la robe se replie sur elle-même, tombant au sol. J'ai chaud... Une vague de chaleur prend mon corps, remplace mon sang et me monte au crâne. Une vague laissant mon sourire devenir plus pervers, mon regard l'imaginant sans ces robes. Je m'approche de lui, lui tendant ma main, repoussant ma tenue de soirée du pied.

- Laisse-moi être ta motivation Damen... et sois ma drogue ~


HRP:


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Damen Irridval
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Rp abandonné (-18)
Dim 8 Mar - 16:30
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Regretter de ne pas la voir inerte, hm... Il peut très bien s'en contenter, sans aucun problème. Ses lèvres s'étirent en un petit sourire en coin avant de se poser sur sa peau. L'enivrer, devenir une drogue... D'ordinaire, il est plutôt du genre à les distribuer mais ça reste dans ses compétences. Il laisse ses doigts se promener sur sa cuisse. La douceur qui se déroule sous la pulpe lui tire un frisson. Il goutte à celle de son cou du bout de la langue. Il sera sa meilleure dose. Maintenant qu'il l'a affirmé, il s'en est presque fait une parole d'honneur. Et elle ne fait que lui donner plus de motivation, avec son parfum, sa chaleur, ses gestes.

Elle ne s'écarte que quelques secondes pour faire glisser sa robe et il sent son cœur s'affoler un peu, sa bouche s’assécher. Trop loin... elle est trop loin de lui... Il veut goûter à sa peau, l'embrasser, la toucher. Son regard est comme envoûté, parcourant son corps sans savoir où s'arrêter. Il ne fait aucun doute qu'il a été conçu pour ça, forgé pour plaire, pour attirer l’œil, manipulé année après année pour qu'on ne puisse en détacher ses prunelles. Mais c'est sur son sourire que Damen s'arrête finalement. Il attrape délicatement sa main dans la sienne, l'effleure du pouce, la porte à ses lèvres. Sa langue s'attarde sur l'articulation de son index, remonte doucement sa phalange avant qu'il laisse ses doigts l'effleurer à leur tour, remonter jusqu'à son poignet, son bras, danser dans le creux de son coude, l'attirer contre lui.

La proximité de son corps n'aida pas la chaleur déjà apporté par l'alcool à descendre du moindre degré, bien au contraire. Il déglutit, commence à explorer son corps de la paume de sa main, la laisse se poser sur sa poitrine, deviner sa forme tandis que l'éclat de son regard et de son sourire change. Quelques secondes de distraction avant que son autre main se fixe derrière sa tête, se mêle à son cheveux et approche son visage pour qu'il puisse s'emparer fiévreusement de ses lèvres. Y faufiler sa langue pour caresser la sienne. Il a perdu le sens des mots que l'alcool lui avait déjà ôté de l'esprit.

Il n'y a pas assez de vêtements par terre à son goût. C'est tout ce qu'il arrive à penser. Ses doigts passent sous son soutien-gorge, esquivant volontairement la partie la plus sensible juste pour la faire mariner un peu, puis glissent autour de son corps jusqu'à atteindre la fermeture qui le séparent de son prix. C'est d'une main experte, déjà trop guidée par l'habitude, qu'il la défait, laissant le tissu se séparer de sa poitrine. Une petite assistance du bout de sa main lui permet d'effleurer cette part de la jeune fille qu'il a évité par taquinerie quelques secondes plus tôt. Oui, c'est déjà beaucoup mieux.

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Lun 9 Mar - 12:55
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Eri Tanaka
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Je vois ses pupilles me fixer lorsque le tissu dévoile mon corps. J'aime ce que j'y lis. L'envie. Le besoin. La luxure. Il voit ce que je lui montre et pas ce que ma mère veut que l'on voit de moi.  Il me voit moi. Et c'est rassurant. Je le laisse mes prunelles discuter silencieusement, espérant qu'il lit ce que je désire. À savoir lui. Dans tous les sens du terme et du corps. Il finit par attraper la main que je lui tends, acceptant sans un mot ma demande. S'il me drogue alors je trouverais le moyen de le faire vivre. Au moins ça m'occupera le temps de voir ma propre fin arriver. Sa main apporte la mienne près de lui, ses lèvres embrassent lentement mes doigts, les baisant avec une douceur que je ne comprends qu'à moitié. J'ai presque l'impression qu'il respecte cette main, qu'il m'offre une attention non feinte. Je le sens, j'aime penser que c'est la douceur qu'il me donne. Peut-être que je suis complètement à côté. Mais sa langue sur mes articulations, ses pulpes qui m'effleurent juste assez pour m'attirer à lui, pour attiser mon envie... Comme s'il y avait besoin...

L'envie. Le désir. La faim. Le besoin. L'oubli. Nous sommes si tristes tous deux... Et c'est pour ça que je me rapproche de lui, que je le laisse découvrir mon corps. Parce que j'ai besoin d'oublier. J'ai besoin de tout oublier. Pendant un instant, alors qu'il attire mon visage près du sien, alors que nos lèvres se rejoignent pour démarrer une danse aussi sensuelle que fiévreuse. Ma langue vient caresser la sienne, découvrant son goût, m'y perdant. Je note sa main qui dessine brièvement mon sein sans s'y attarder.

Je ferme les yeux. Je ne veux voir que lui. Que mon esprit se vide. Que j'arrête de penser... Ou alors je n'ai pas assez de d'alcool ou de drogue en moi. Peut-être. Je réfléchis sûrement trop. Mon corps se cambre lorsque ses gestes l'amènent à mon soutien-gorge. Mes bras se lèvent pour le rapprocher de moi, mon laisser mes lèvres se décaler dans son cou avec lenteur. J'ai faim. Mon bas-ventre chauffe sans s'arrêter. J'en viens à tout oublier. Le besoin d'extase me prend et m'emporte, tel un tsunami d'émotions que je ne sais pas contrôler. La nymphomanie parle pour moi alors que mes monts se découvrent, se libèrent de la prison de tissu que je leur imposais.

- Dam'... Fais m'en... bien plus...

Qu'il ne s'arrête pas. Qu'il entende ce murmure entre demande et supplice. Qu'il continue d'aduler mon corps avant que je n'adule le sien. Qu'il reste. Je ne suis pas avec la bonne personne si j'attends qu'il reste. Mais c'est une pensée récurrente. Aller me coucher, avoir un amant... Je me demande ce que ça fait que de se réveiller accompagnée...

Mes lèvres finissent par se décaler de son cou, embrassant sa gorge, y déposant ma langue. Je ne le laisserait pas jouer seul... J'éloigne mon visage, détaillant ses robes avant de sourire, de ce sourire trop doux contrastant avec mon regard si affamé. Je me connais. Je sais quelle tête j'ai en l'instant. J'ai faim de lui. Je lui vole un baiser avant de décaler un pas, sautillante à ses côtés. Je veux jouer. Je veux le sentir. Je veux le rendre fou. Ça a l'air d'être un bon jeu ça non ? Damen, tu veux jouer avec moi ?

- Tu as bien trop de vêtements...

J'entends mon japonais natal ressortir dans les mots anglais que je prononce. Je l'entends et je ne compte pas m'arrêter. Je me fous de ce qu'il pensera de moi. Je ne peux m'arrêter. Je n'y arriverais pas et, de toutes façons, je ne compte pas m'arrêter. Je ne le veux pas. Mes doigts viennent effleurer ses épaules, ses hanches, son ventre. Je l'enlace longuement, pressant mon corps nu dans son dos. Rapidement, une de mes mains délaissent son bassin pour lui retirer ses barrières de tissu qui restreignent mon envie, mon imagination et ma luxure. Je m'entends rire en me souvenant de son avertissement, continuant de le dénuder, parsemant mes propos de baisers furtifs sur sa peau.

- Je te veux Damen...


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Sam 21 Mar - 19:41
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Bien plus, souffle-t-elle, et Damen laisse ces petits mots l'enflammer davantage, réveiller ses sens. Le goût de sa peau, la chaleur sous ses doigts, le parfum de ses cheveux, la beauté de ses traits et de ses courbes, le son de sa voix... tout cela, et bien plus, forme une lumière qui l'attire comme un papillon vers une flamme. Sauf que nul ne sait lequel des deux se brûlera le plus, ni le premier. Un baiser de plus, une caresse de plus, il laisse son sein glisser sous ses doigts, assez pour la sentir frémir jusqu'à ce qu'elle s'évade après lui avoir offert ses lèvres. Trop de vêtements... un sourire espiègle se dessine sur son visage tandis que sa main effleure la hanche de la jeune fille.

» Toi aussi, souffle-t-il en posant le bout de ses doigts sur le dernier vêtement qui la sépare de la nudité, avant qu'elle se glisse derrière lui.

Le tissu de sa robe est si fin, si délicat qu'il en oublie presque la présence, tant il peut percevoir les mouvement du corps collé contre le sien. Sa lèvre s'attarde sur ses lèvres tandis qu'il se laisse bercer par les sensation sur sa peau, sous sa peau, que ses yeux, fermés pour un instant, le laissent imaginer celle qui fit lentement glisser la robe de mariée qui épouse si étrangement ses formes masculine. Son sourire ne disparaît pas, se brouillant d'émotions illisibles entre la tentation, l'envie et l'expectative. Réfléchir est une option qui s'effiloche à mesure que la nudité se fait une place. Elle est derrière lui, collée à lui, et c'est en se mordillant la lèvre qu'il laisse sa main l'approcher, l'effleurer, caresser la courbe de sa cuisse avant de se faufiler sous le tanga qu'elle porte toujours. Une petite pièce de tissu qui force sa paume à sa coller au bas de son ventre tandis que ses doigts cherchent à l'explorer. Trouvent le point sensible qui lui permettra d'entendre et de sentir son souffle s'affoler contre son dos.

Sa notion du temps s'est brouillée, entre l'alcool et les effluves qui lui viennent autant de lui que de l'extérieur, mais il sait malgré tout que ses caresses s'attardent un instant, jouent avec les sons qu'il cherche à lui tirer et qu'il veut entendre, avant qu'il laisse le tissu reprendre sa place solitaire entre ses cuisses. Avant qu'il se tourne vers elle, pour admirer l'effet de quelques caresses sur son visage. Un début, un simple avant-goût de la promesse qu'il lui a faite et qu'il s'est faite à lui-même. Il vole son souffle en accrochant ses lèvres aux siennes, tandis que ses mains glissent dans le bas de son dos, puis sous son dernier vêtement, pour laisser enfin la nudité reprendre ses droits. Entièrement.

Damen recule de quelques pas, l'entraînant avec lui jusqu'à ce que le froid du mur dans son dos lui tire un frisson. Délaissant le dos de la jeune fille, sa main vient reprendre le ballet entamé plus tôt. Une fleur qu'on voudrait leur interdire en prétendant qu'ils sont trop jeunes, mais qu'il ne saurait se lasser de sentir sous ses doigts. Il sait en prendre soin bien plus qu'il ne le devrait, bien plus que la décence ne l'y autorise ; mais il lui a promis une drogue, et il la lui offrira de chaque parcelle de son corps, de chaque grain de sa peau. Jusqu'à ce que son "je te veux" se transforme en soupirs et fébrilité.

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Dim 22 Mar - 17:10
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"Il parait que j'ai tout : je suis beau, jeune, riche. A un détail près : Je suis beau, jeune, riche et lucide. Et c'est ce détail qui fout tout en l'air." Andrea - Hell



J'entends son souffle. J'entends sa voix qui susurre ces mots prouvant ce que l'air ambiant semble hurler. J'ai envie de lui. Il a envie de moi. Et ni lui ni moi ne nous en cachons. Est-ce une bonne chose ? Peut-être. Est-ce grave ? Je répondrais non. Mère répondrait oui. Question de point de vue je suppose. Mais ses doigts sur moi m'empêchent d'y penser. Ça tombe bien, je refuse de penser à autre chose que lui. Juste lui. Uniquement lui. J'ai vu cette facette qu'il montre. J'aimerais voir bien plus que ça. J'aimerais voir quelque chose que personne ne connaît. Égoïste petite Tanaka. Comme si on s'ouvrait aux autres aussi facilement. Moi la première. Je sens la pression de ses doigts qui caresse le tissu qu'il me reste, je sens son goût qui se propage encore et toujours sur ma langue... Je sens son désir s'affirmer.

Mon esprit s'enflamme. Les pensées s'éteignent, les questions naissent et meurent aussi vite que les éphémères. Et les images restent. Les images que je vois, que je retiens malgré moi. Jamais je n'oublierais ses formes. Jamais je n'oublierais la couleur de sa peau, les frissons que j'attise et que l'alcool m'aide à obtenir. Jamais je n'oublierais sa voix. Jamais. Et je ne le veux pas.

Trop tôt – ou trop tard c'est selon – ses robes finissent par tomber au sol. Tant mieux – ou tant pis. Sa peau est libre de tout tissu et la mienne se repaît de le caresser enfin. Découvrir ses formes et retenir ses réactions, effleurer ou presser, laisser mes ongles titiller... Jouer. Simplement jouer. Un jeu d'adultes entre enfants. Mais quels enfants sommes-nous ? Quel genre d'enfant se laisse aller au stupre et au désir ? Je peux répondre simplement. Nous. Nous autres, enfants cassés, cherchant nos limites  et un plaisir que personne ne peut nous apporter. Nous sommes seuls. Nous sommes tristes. Et nous sommes ensemble. Ça n'a pas d'importance. Tant qu'il est là pour garder mon désir éveillé, je ne m'éloignerais pas de lui. Pas maintenant. Plus maintenant.

Sa douceur, sa chaleur, l'instant me paraît presque parfait. Jusqu'à sentir sa main venir contre ma peau. Je sens mon corps se tendre et mon souffle se couper, je sens mon esprit s'étioler pour laisser l'instinct parler à ma place. Il ne m'aide pas. Il n'aide pas mon esprit à revenir alors que ses doigts dessine ma cuisse pour passer sous le dernier rempart de tissu qu'il me reste. J'entends un faible gémissement passer ma barrière d'émail, mes doigts se pressant un peu plus contre lui en signe de plaisir.

Depuis combien de temps sommes-nous ici ? Combien de temps s'est passé depuis qu'on a échangé notre premier baiser ? Est-ce important ? Non. Si. Ses lèvres me manquent déjà. Mes gémissements se poursuivent alors qu'il cherche le nectar de ma fleur, alors qu'il cherche et trouve ces endroits qui sont la base même de ma maladie. Peu importe... Qu'il continue. Encore. Plus. Il fait le choix de s'éloigner de moi. Ses doigts s'en vont alors que mes lèvres s'ouvrent pour le supplier de continuer. Je refuse de laisser ma voix sortir. Je n'ai pas le temps ni l'envie.

De toutes façons, il se tourne vers moi. Un instant, mon propre visage semble me revenir. Un visage qui doit probablement lui hurler mon envie de lui, un visage souriant. Mon regard doit être pétillant et à la luxure clairement visible, mes joues sont sûrement rougies de désir et mes lèvres sont entrouvertes sous le souffle et l'envie de lui crier de me toucher. Il semble me comprendre et en vient à caresser mon visage. Il l'effleure... Et ma tête se penche pour laisser la douceur me prendre, pour que je sente ses doigts un peu plus sur ma joue. Pourquoi doit-il s'arrêter ?Ah... Pour m'embrasser. Pour couper ma respiration qui s'emballe et s'imposer en moi. Pour caresser mon corps alors que mes bras l'enlacent. Je veux être près de lui. Je veux le garder près de moi. Plus que ça. J'en ai besoin.

Je sens ses bras me tenir contre lui, comme si mon besoin était partagé, comme s'il s'en voulait aussi de m'avoir délaissé. Tant mieux... Je refuse de m'éloigner encore de lui. Une fois pour me dénuder. Une autre peut-être mais pas maintenant. En l'instant, Damen est mien. Que personne ne vienne nous déranger. Je doute d'être en état d'être douce, délicate et sensuelle. Mes lèvres viennent s'entrouvrirent pour intensifier notre étreinte, comme si je voulais le posséder. Étrange sensation grisante. Étrange. Et grisante. J'ignore quand... Mais il finit de me dénuder. Il finit de découvrir mon corps. Je ne sens ni le frais, ni ma nudité. Je sens le mouvement alors qu'il recule, alors qu'il m'amène à lui.

Mes baisers se coupent sous nos pas. Je m'avance, pour le suivre, pour l'embrasser. Et mes propres mains continuent de découvrir son si beau corps, aussi parfait qu'attirant, aussi désirable que... Mon esprit s'éteint sous un soupir emplit de chaleur lorsqu'il me prend de vitesse, retournant dans mon jardin. Naturellement, mon bras gauche passe sous son bras, venant s'accrocher à son épaule pour m'empêcher de tomber. Le droit, lui, se laisse déguster ce gonflement que seul le désir crée. Mon désir a été attisé, le sien se doit de l'être aussi. Je veux devenir folle avec lui et mon corps semble d'accord avec moi. Assez pour que je me sente devenir plus humide encore, plus excitée par ses doigts qui me prouvent son envie de me marquer, de marquer mon esprit, assez pour que je l'appelle "ma drogue". Assez pour que je gémisse son nom en me raccrochant à lui, en me rapprochant de l'objet de mes fantasmes.

Mon bassin se rapproche du sien, laissant juste assez de place à ces doigts pour pianoter sur, en moi. Mes lèvres viennent chercher son cou, si longuement délaissé. Je l'embrasse et le mordille, tentant de restreindre mes gémissements qu'il ne fait qu'accentuer. C'est si bon... Si doux... Si... Si...

- Honey ~

Mon visage se rapproche, vient prendre ses lèvres. Je ne le vois plus. Plus vraiment. Je vois ses réactions, au mieux, trop égoïstement concentrée sur les miennes.



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Mer 15 Avr - 23:39
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Son corps est si proche du sien qu'un regard extérieur s'y laisserai prendre, s'il ne s'attardait pas assez longtemps, penserait qu'ils ont passé une étape de plus. Et pourtant ils en sont encore loin. Pas loin d'y penser, non, tout ce qui aurait pu leur traverser l'esprit n'étant pas lié à leurs corps a depuis longtemps été réduit au silence. Mais c'est encore du bout de ses doigts, de caresses plus audacieuses encore, qu'il joue la mélodie de ses lèvres. Celle qu'il entend contre la peau de son cou tandis que celle-ci se laisse entraîner, attirer par l'émail provocateur.

Son propre souffle s'harmonise au rythme de celui qui remonte à son oreille avant de s'infiltrer dans tout son corps. Assez marqué d'envie et de sensations pour que le pianotement se fasse plus avide, avide d'entendre cette voix s'emporter jusqu'à se briser, emportée par une force plus grande que la conscience et la parole.

Délaissé, son cou cède ses privilèges à ses lèvres, qui accueillent sans hésitation et sans pudeur leurs partenaires déjà moins étrangères sans être pour autant familières. Elles veulent les découvrir, apprendre davantage à les connaître. Sa langue les effleure, goûte à la peau rose avant d'aller chercher une partenaire de danse qui lui ressemble. Il inspire les éclats de son souffle haletant sans la retenir, prêt à la laisser éloigner son visage si l'air vient à lui manquer.

À la seconde où leur lèvres se séparent, il prend le parti de l'imiter et vient mordiller la peau de son cou. Il a envie de la voir craquer, de la sentir fondre, de l'entendre réclamer davantage. Il ne sait plus ce qui l'enivre entre l'alcool ou sa voix, son parfum, l'ardeur de son contact. Il sourit. Peut-être la lueur dans ses yeux, l'expression de son visage. Son autre main, presque vexée de ne pouvoir que la retenir contre lui sans pouvoir participer, caresse délicatement son dos, à la recherche de petits frissons qui combleront sa jalousie envers sa compagne. Qui, elle, ne se prive pas de continuer ses caresses. Il en a décidé seul : c'est elle qui mettra fin à la danse musicale de ses doigts, il ne cessera que si elle réclame un nouveau jeu, ou si elle en lance un.
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Sam 18 Avr - 15:35
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Eri Tanaka
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Parler est secondaire. Respirer n'aurait pas dû l'être non plus. Et pourtant... Pourtant rien que respirer est complexe. Je dois y penser alors que – Dieu merci – il ne semble pas vouloir arrêter ses caresses sur mon corps. Tant mieux. Je refuse de le laisser partir. Je veux me perdre avec lui, je veux voir jusqu'où je peux l'emporter et – toujours plus égoïste – jusqu'où lui peut m'emmener. J'aime ça. J'aime cet instant. J'aime la luxure qui emporte mon corps et mon esprit qui s'étiole... ou qui se réveille. Tout dépend du point de vue. Haha. Comme si j'en avais quelque chose à foutre du point de vue. Pour une fois, j'aime ma maladie. J'aime cet état qui me fait perdre mon jugement et qui rend mon corps bien trop vulnérable à ses doigts. Je n'ai jamais autant aimé ma faiblesse.

Je n'arrive pas à tenir, incapable de lutter contre sa dextérité qu'il me prouve à chaque seconde, incapable de juste vouloir autre chose que lui. Comment en est-on arrivé là ? Je m'en fous. Je me fous de tout. Pas important. Pas important. Arrête de penser. Pour l'amour de la luxure, faites que j'arrête de penser ! Par pitié... Laissez-moi juste déguster ce moment. Déguster ? L'idée naît lentement alors que l'on se perd en un énième baiser avide d'en sentir plus encore. Son souffle, sa langue, ses lèvres... Sa présence me réchauffe. Il me réchauffe. Je me sentirais moins seule si je n'avais pas la certitude d'être dans le mal demain. Tant pis. Plus tard. Bien plus tard.

Il me comprend. J'aimerais qu'il ait décalé ses lèvres par compréhension. Je pense que c'est pour lui-même mais peu importe. Laissez-moi penser que je suis comprise. Et ma voix gémit un peu plus lorsque ses dents mordillent ma peau. Ses doigts... Ses doigts dans mon dos qui ne font que me donner d'avantage envie de l'entendre. Ces sons qui m'emportent toujours plus. Et ma fleur qui devient folle, qui palpite entre ses gestes, pour lui, incapable de s'arrêter. Je m'entends. Je m'entends gémir lentement, et de plus en plus rapide, comme une chanson que je lui dédie.

Je me sens venir... J'ai envie de lui. J'ai envie de bien plus que ses doigts. J'ai... J'entends ma voix qui l'appelle par mes gémissements de plus en plus rapides. Ses doigts se crispent, preuve de mon plaisir, ma main enlaçant son épaule, mes doigts jouant de son pieu avec plus de pression. Jusqu'à lancer mon visage vers le ciel, lui offrir ma gorge. Je pensais que j'hurlerais mon extase. Je le pensais. Et non. Ma voix ne sort pas. Je sens mon corps lui hurler mon plaisir alors que la jouissance m'emporte assez pour que je griffe son épaule.

- J-Je veux... te combler... Je veux... te goûter... Ou te sentir...

Ma voix halète faiblement alors que je viens reprendre ses lèvres. J'ai besoin d'un peu de temps. Savoir ce que je veux faire. Savoir ce que... je veux lui faire. Mon baiser est torride. Je n'essaie pas de le cacher. Je réfléchis. Son corps, son odeur... Je le veux. Je le veux maintenant ! Mais ce n'est pas comme ça que je le veux. Je le veux tremblant, je le veux presque suppliant.

- Assied-toi. Et laisse-moi jouer avec toi ~

Je reprends un baiser rapide, le regard pétillant. Oui … Laisse-moi être une joueuse. Je suis lasse d'être un jouet. C'est excitant. C'est plaisant. Mais là, maintenant, je veux que le jouet ça soit toi. Laisse-moi profiter avec toi Damen. Après tu me rendras de nouveau folle. Mais avant, laisse-moi te montrer que ma langue peut égaler l'agilité de tes doigts, laisse-moi entendre ta voix qui gémit. Laisse-moi diriger mon beau blond. Tu reprendras les rênes bien assez tôt, ne t'en fais pas ~



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Dim 10 Mai - 22:36
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Je te sens frémir. Je te sens sur le point de t'effondrer, comme si j'étais la seule chose à te maintenir à la surface. Et je veux plus. Tellement plus que ça. Je veux être la drogue qui te fera totalement perdre pied et à cause de laquelle la surface ne sera plus jamais la même... Ce sont les derniers mots que son esprit parvient à concevoir avant que tout ne se transforme en halètement, en sons exacerbés par des contacts et des caresses qui ne laissent pas plus de place au silence qu'à la parole.

Y a-t-il mélodie plus agréable que des gémissement ? Instrument plus plaisant qu'un corps humain ? Dans ce monde où la décadence l'a choisi comme représentant, il n'en est pas persuadé. Non, il est persuadé qu'il n'en existe pas. Il n'existe pas de son qui remue autant ses sens que celui d'une voix tremblante et frémissante d'extase à son oreille. Et pourtant... et pourtant ce silence qui accompagne des ongles se plantant dans sa paume parvient à être une musique au moins aussi douce. Les lèvres de l'adolescent s'étirent en un petit sourire alors qu'une voix haletante se presse contre elles, précédents de peu le baiser qui le réduit au silence. Pas un mot, pas un son tandis qu'il laisse ce corps se coller contre le sien, voler son souffle, sa voix et sa chaleur. Même lorsqu'elle parle, elle semble ne pas vouloir lui laisser le loisir de répondre immédiatement. Un baiser rapide lui vole sa répartie. Son regard lui vole le reste. Il sourit. Lui qui lui a affirmé ne pas vouloir d'une poupée inerte, peut-il vraiment lui refuser de reprendre le contrôle ?
Non, la vraie question est : a-t-il envie de le lui refuser ?

Sa réponse se forme lorsqu'il glisse sa main dans la sienne sans essayer d'apaiser la lueur enfiévrée dans son regard, pas plus que le désir qui se dessine partout sur son corps.

» Je t'en prie... Prends les commandes...

Ses lèvres s'étirent un peu plus tandis qu'il y passe sa langue, comme à la recherche du goût des baisers qu'il n'a plus. Alors il accepte d'obéir à un ordre, car il n'y a que ce type de demande qui trouve grâce à ses yeux. Il se laisse entraîner où elle le souhaite, comme elle le souhaite. Si elle ne peut s'empêcher de penser, lui a déjà oublié comment faire. Aucune image n'effleure plus son esprit que la nudité qui se déroule sous ses yeux, et une pointe d'anticipation qui empêche la cohérence de revenir, aussi sûrement qu'une barrière de ronce. Il ne veut pas réfléchir, et rien ne pourra faire revenir la moindre pensée formulée dans sa tête.

» Je te laisse... tous les droits sur moi...

Un souffle et une invitation. Il veut voir ce dont la marionnette est capable quand elle utilise ses fils pour contrôler quelqu'un d'autre. Il veut se laisser surprendre. N'est-ce pas ce qu'il y a d'excitant dans l'inconnu ? Ne pas savoir à quoi s'attendre, ne rien prévoir... ça permet de savourer bien plus pleinement toutes les sensations qu'on y découvre. Oui, il sera un jouet. Car il n'y a rien d'amusant à être tout le temps le joueur...
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Dim 24 Mai - 18:03
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Eri Tanaka
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Sa voix se distingue dans les méandres de l’extase. Elle me parvient, faiblement, et je dois prendre sur moi et me concentrer pour distinguer sa réponse. Ai-je posé une question? Peut-être. Je pourrais le savoir. Je le saurais plus tard. Mais pour l’instant, je m’en fous. Je m’en fous tellement… Vous avez pas idée. Il me dit de prendre les commandes. Je sens ses doigts qui viennent dans les miens et qui semblent hurler son désir. Je ne cherche même pas à cacher mon envie. J’ai besoin de lui. Là. Maintenant… Non… Non non… Pas d’impatience. Je dois lui rendre le plaisir qu’il me procure.

- Avec… plaisir ~

Ma voix roule et j’entends moi-même le japonais ressortir. J’entends ma voix minauder alors qu’il me laisse voir son envie, sa douce langue qui me manque déjà… Et il a l’air de vouloir être embrassé… Il a l’air de vouloir se laisser faire. Il a l’air. Me tromperais-je? Peut-être. Est-ce que j’en ai quelque chose à foutre? Un peu. Au fond de moi, la Eri sobre s’en inquiète. La Eri présente non. J’ai bien trop envie de lui pour me réfréner pour lui. Un autre jour peut-être. À un autre moment sûrement… Mais pour l’instant, mon buste se rapproche de lui pour l’inviter à s’asseoir. Il va avoir besoin de se tenir à quelque chose. Je le veux pantelant. Je veux lui grimper dessus. Je veux qu’il contrôle. Je veux tout et n’importe quoi pourvu que ça soit blond et désirable.

- Je te laisse... tous les droits sur moi...
- Tous…? Tu es sûr de toi…?

Je veux bien avoir tous droits sur toi mon beau Damen… Mais là, les droits et les lois ne m’intéressent pas. Les règles de ton corps bien plus. Souffle-moi ce que tu veux… Mon buste vient se coller au sien alors que mes lèvres se tendent pour effleurer les siennes sans atteindre leur but, ma langue dessinant ses douces attirances avec une lenteur que je me surprends à savoir encore calculer. Bien vite, le regard pétillant, mon visage se décale pour embrasser son cou, descendant le long de sa gorge lentement. Son corps est chaud… Le mien aussi. Et je n’ai pas assez chaud. Je veux me perdre. J’ai besoin de me perdre plus encore…

- Dis Damen… J’ai le droit de te marquer?

Certains disent oui, d’autre non. Moi je demande. Je ne veux pas avoir l’impression de faire plus que ce que mon partenaire veut. Mais qu’il se dépêche… Je n’attendrais pas des heures non plus. Pas quand je sens sa peau défiler sous mes lèvres qui l’embrassent, sous mes dents qui le mordillent par instant, sous ma langue qui dessine les contours de ses courbes.

Bientôt, j’atteins son abdomen. Mes baisers se pressent un peu plus, comme mon envie et mon sang. Je bous. Plus que ça… Je n’ai jamais connu ça. J’ai déjà bu, fumé, j’ai même couché sous cocaïne, alcoolisée. Et aucune peau n’a été aussi délicieuse sous mes lèvres. Pourquoi? Parce que je suis en manque? Parce que Rhum-Vodka est un bon ami pour moi aussi? Peu importe… Mes lèvres s’abaissent encore pour atteindre sa virilité, pour l’embrasser lentement, pour laisser mes lèvres la goûter. D’abord timidement, puis, plus encore. Je devrais le faire patienter. Mais je n’y arriverais pas. Je me connais assez pour ça.

Mes lèvres l’embrassent un peu plus, à la recherche des gémissements que je n’ai pas encore entendu. Je veux l’emporter aussi loin que ce qu’il m’a offert. Je suis une femme qui rend ce qu’on lui offre. Et lui m’a beaucoup offert. Mes jambes se plient et je m’agenouille, venant jouer de mes lèvres dans la simple optique de le rendre aussi fou que possible.



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Rp abandonné (-18)
Ven 26 Juin - 23:38
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Laisser les commandes, céder son corps au mains d'une fille qui, jusque là, n'a fait que laisser des mains l'utiliser. A-t-elle déjà eu l'occasion de se retrouver de l'autre côté de la barrière, de jouer l'autre rôle ? Il n'en est pas certain, mais il lui laissera cette place avec plaisir. Alors qu'il se fait entraîner, qu'elle vient jouer avec ses lèvres dans une provocation presque trop calculée pour l'état dans lequel il l'a mise, il se permet un petit sourire, enroulant une de ses mèches brunes autour de son index. Le droit de le marquer ?

» Je t'ai dit tous les droits, non ?

Il joue les calmes et les stoïques, mais il sent ses lèvres qui le parcourent sans gêne et sans pudeur, ses dents et sa langue qui, parfois, s'invitent dans la danse. Il sent le désir qu'elle exhale autant que celui qui le fait vibrer. Ses yeux se ferment pour savourer le contact humide contre sa peau, des frissons serrant ses muscles à mesure qu'elles descendent le long de son abdomen. L'un d'eux remonte jusqu'à s'accrocher à sa voix, dans un soupir tremblotant proche du gémissement, qui ramène sa main à sa bouche.

» Aaah...

Ses dents se referment un instant sur la base de son petit doigt, qu'elles relâchent rapidement pour laisser sa paume bloquer maladroitement son souffle. Elle s'amuse, il le sait, il le perçoit dans les fibres de son corps qui s'enflamment à chaque effleurement, dans les frémissements qui continuent de grésiller sur sa peau. Damen déglutit, passe sa langue sur ses lèvres asséchées par son souffle haletant. Une de ses mains descend le long de son corps jusqu'à se poser sur sa cuisse, cherchant fébrilement une part de la jeune femme à laquelle s'accrocher, ne serait-ce que pour entremêler ses doigts aux siens.

Malgré la brume qui essaye de s'y inviter, ses paupières s'entrouvrent et ses prunelles glissent vers le bas, tentent de s'approprier la vue de ce qui embrase son bas-ventre. Ses lèvres veulent vaguement esquisser un sourire, ne parviennent qu'à laisser échapper un soupire supplémentaire alors que son pouce vient effleurer la joue de sa partenaire. Réfléchir, penser ? Ce n'est plus vraiment à l'ordre du jour. Ses gestes sont inconscients, instinctifs, portés simplement par les petits électrochocs qui agitent son sang et ses sens et qui viennent, lentement mais sûrement, s'emparer de son souffle et de sa voix.
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Ven 4 Sep - 9:11
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Eri Tanaka
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- Je t’ai dis tous les droits non?

Ne me dit pas ça, beau Damen ~ Ne me laisse pas entendre ta voix qui frémit… Quelle torture! Bel être, bellâtre qui se noie sous mes gestes. Quelle délicieuse tentation tu es… et je n’ai jamais su dire non à un dessert si appétissant. Mais j’ai son accord… Alors je me presse un peu plus, à la recherche de cette voix qu’il ne veut pas laisser sortir. Ce n’est pas grave… J’aurais probablement d’autres occasions de l’entendre chanter pour moi…

Mon regard voit sa main venir à ses lèvres et empêcher un gémissement que j’aurais adoré entendre… Mon partenaire a choisi - comme moi plus tôt - le silence. C’est un parti prit, et il est plaisant ce silence. Il est chargé de ce qu’on ne dit pas. cette chaleur, cette envie. Comme cette main, doucement tremblante, qui tâtonne pour me trouver… Et à qui j’offre mes doigts. J’aime sentir sa peau. J’aime sentir les frissons et la pression de mes propres doigts. Depuis de longues semaines, j’avais oublié ce que je faisais. Là? Oh non… Là je sais parfaitement ce que je veux, comment je le veux.

Ma langue exécute mes pensées, se collant contre sa virilité accueillie chaudement. J'aurais pu rire Je veux sourire et plus de… de lui. Mon esprit m’offre une musique que je me plais à suivre. Plus délicieux encore, sa main vient près de mon visage, effleurer ma peau et s’éloigner alors que ma maladie semblait avoir enfin un avantage. Si cela m’apportait des visages crispés de désir et des voix coupées, haletantes qui chantent mon nom… Oh oui… Je veux voir le blondinet. Dans cet état. Vite.

Il ne m’aide pas à garder mon calme. Il ne m’aide pas et cela ne m’empêche pas de jouer pour lui. J’aimerais voir ce que lui voit, bloqué dans un brouillard au goût de stupre. Comment me voit-il? Me trouve-t-il plus attirante? Moins? Pourquoi sa voix me donne envie de découvrir tous les vices qu’il peut cacher? Peut-être que je me reconnais trop en lui. Peut-être que j’extrapole trop. Mes lèvres se pressent un peu plus.

Si j’étais lui je voudrais exploser.

La musique de ma libido s’accélère et je m’éloigne de sa virilité au point de presque libérer le pieu durcit. Et mon regard se ferme. J’emporte la gourmandise presque trop goulument au fond de moi, lui offrant un instant de désir. Cet instant est pour toi beau blond. Uniquement pour toi… Je m’offre entièrement à son extase, écoutant, cherchant ce moment où il ne pourra pas se retenir… où il se laissera aller…




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Mar 15 Sep - 16:30
Damen Irridval

Ça, tout ça, ce sont les sensations dans lesquelles il pourrait se perdre toute son existence. Ses lèvres et sa langue appellent une chaleur dont il ne saurait se lasser, qui s'infiltre dans son esprit telle des griffes ardentes pour en arracher petit à petit le contrôle, pour tourner toutes ses pensées dans sa direction. Elle, juste elle et la délicieuse torture qu'elle fait lentement remonter de bas de son ventre jusqu'à son cœur pour y distiller des doses de plaisirs qui viennent combler le vide dans sa poitrine. Si c'est ainsi qu'on le soigne, il préfère ne jamais avoir à guérir. La chaleur s'agrippe à sa voix, tirant sur ses sens pour essayer de briser le silence qui, déjà, perd la volonté et la force de résister. Un son à mi-chemin entre le soupir et le gémissement se laisse emporter par les flammes, première flatterie qu'il lui concède alors même qu'une part de lui meurt d'envie de lui en céder davantage encore.

Ses dents se serrent alors qu'une ligne bouillonnante remonte le long de sa colonne vertébrale, forçant ses paupières à abandonner la lumière pour quelques instants et venir adopter une obscurité qui se joint à la chaleur pour sortir sa voix de sa tanière. C'est un soupir emprunt de cette ardeur qui lui échappe tandis que ses doigts affirment leur prise sur ceux de la petite japonaise, qu'elle accentue la pression de ses lèvres, et qu'il sent sa résistance s'effilocher. Est-ce donc si facile de prendre le pouvoir sur un être humain ? Il se laisse consumer, sa tête se penche en arrière comme pour donner plus de voix au gémissement qui parvient à trouver sa place.
Comme pour laisser plus d'ampleur à la sensation de manque qui s'empare brusquement de son corps.

Il parvient à repencher la tête en avant, le temps de croiser son regard avant qu'elle ne ferme les yeux, qu'elle ne mette presque tout aussi brusquement fin à l'attente qui s'était frayé un chemin dans son sang et qui est remplacé par une nouvelle décharge de flammes. Assez intense, assez soudaine pour le prendre au dépourvu et traverser ses barrières sans ralentir, arracher sa voix au silence dans un son plaintif, tremblant et chargé du plaisir qu'elle recherche tant et qu'il se plaisait à essayer de lui cacher malgré sa peau brûlante, son souffle court et les mèches collés à son front par l'invasion de sensations.
Il n'y a plus rien à cacher, maintenant.

Comme s'il n'attendait que ce signal, son corps arrache la dernière barrière de fierté qui lui collait à la peau. Sa respiration perd sa fausse stabilité, entre les tremblements, les coupures et lourdes inspirations qui cherchant à lui redonner l'air qui semble vouloir le quitter à tout prix. Ses lèvres s'étirent en un sourire marqué de luxure alors qu'il y passe sa langue, comme si elle pouvait à elle seule en chasser la moindre trace de sécheresse. Sans avoir conscience des mots qu'il tente de prononcer, il cherche à parler, mais seul un petit hoquet tremblant parvient à s'emparer du son de sa voix. Alors il cesse d'essayer, accrochant juste plus intensément ses doigts aux siens et laissant ses gémissement parler pour lui.
Il veut qu'elle continue. Il veut continuer de brûler.
Jusqu'à ce que son cœur s'enflamme. Jusqu'à ce que son cœur implose.
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Anonymous

Rp abandonné (-18)
Mar 6 Oct - 21:20
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Eri Tanaka
Ancien membre
SEXE :
ÂGE : 16 ans
TAILLE / POIDS : 1m67 / 60 kg
CLASSE : 3°A




La mariée et la nuit de noces

ft. Damen, le 30 juin 2019
"Il parait que j'ai tout : je suis beau, jeune, riche. A un détail près : Je suis beau, jeune, riche et lucide. Et c'est ce détail qui fout tout en l'air." Andrea - Hell

Une petite victoire est une victoire. Ce premier son me ravit. Un son incertain. Je ne sais pas trop s’il soupire ou s’il gémit, s’il tente de parler ou s’il n’a pas contrôler sa voix… J’aime l’idée qu’il ait perdu le contrôle. Cet instant est mien. Il a eu son moment de gloire, c’est mon tour. C’est le jeu. Et je remercie les Dieux de me laisser jouer ainsi. Malgré ma maladie, la luxure m’enveloppe chaleureusement, comme une amie qui n’attend que ma visite. Je ne devrais pas m’y plaire autant… Mais… Mais regardez-le! Regardez-le se cambrer pour moi. Écoutez. Écoutez dont! Sa voix qui halète, qui couine presque… J’aime son chant. J’aime l’entendre devenir fou…

Cette folie ne dure jamais longtemps et pourtant j’aime ces quelques secondes. Que ça soit mon partenaire ou moi, j’essaie de faire durer l’extase. Je les trouve si salvatrices… J’aime l’idée de partager ce sentiment à mes amants. Tout chez lui me crie son plaisir. De son souffle irrégulier aux doigts qui se pressent aux miens, de son membre qui commence à palpiter à sa voix qui chante plus franchement… Tout n’est qu’abandon au plaisir. Je me laisse donc poursuivre.

Je joue de cette sensation, écoutant entièrement le corps du blondinet qui parle. Qui hurle. Qui crie de qu’il veut, ce qu’il aime. Mes doigts viennent enlacer les siens, les gardant serrés, comme une preuve que je suis là, comme pour lui rappeler que je suis là… Égoïstement, un peu pour moi aussi, pour sentir sa présence. C’est bien plus plaisant. Mes lèvres se pressent à leur tour, pour appuyer sur ses palpitations, sur son plaisir.

Je veux le voir… Encore. Encore un tout petit peu. Cet instant où je ne pourrais plus rien retenir… Mes gestes se saccadent, j’accélère jusqu’à sentir cette fraction de seconde où j’aurais la dernière palpitation, où plus rien ne compte. Dès ce moment, mes mouvements s'adoucissent. J’accepte son nectar sans hésitation, curieuse de connaître son goût, curieuse de tout et de rien. C’est un présent, une sorte de cadeau. Je lui offre ce moment, il m’offre sa luxure.

Quelques mouvements encore, un dernier baiser, me laissant le temps d’écouter, de profiter et de déglutir… pas forcément dans cet ordre d’ailleurs. Jusqu’à m’agenouiller. Doucement, talons sous les fesses, je le libère de mon emprise. Notre seul contact réside dans nos doigts enlacés. Et son goût sur mon palais. Je ne saurais le définir, le décrire. Mais il me semble sucré.

Eri - Délicieux Damen ~

Je pourlèche mes lèvres en patientant. Je ne sais pas s’il tient toujours debout. S’il est chaud pour un round deux… Ou s’il a besoin de quelques instants. Dans le doute, je lui rends l’initiative.



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