Cela faisait à présent un mois que nous nous étions installés avec ma famille. Maman avait trouvée un autre travaille en tant que secrétaire. Quant a mon père il avait pus rentrer dans l’armée anglaise. Tout roulait sur des roulettes ! J’avais même réussi à me faire accepter aux cours d’été ! Non que mon niveau est mauvais, mais mes professeurs en France ‘on pas lésinés sur son mon bulletin. Les résultats sont bons, toutefois, comme j’ai tendance à rendre les devoirs en retards les professeurs me détestent. Dites ce que vous voulez à présent, je m’en fiche ! J’ai atteint mon but premier, et mon bonheur et a son comble !
Une gaufre dans la bouche, je prends la route avec mes parents vers l’Institution. Tandis que mâchais, j’entendis ma mère me dire :
- Ombrage, tu as bien tout pris dans ta valise ?
-
Oui Maman, je n’ai rien oubliée…- Chérie, concentre-toi sur la route…
- Voyons Thomas, tu n’as peur de rien a part de moi… Sa en deviens vexant à force !
Laissant mes parents à leur débat habituel, je repassais en boucle la liste de choses à faire :
- Faire les présentations avec la Directrice.
- Prendre un plan de l’établissement
- Déposer ma valise dans ma chambre
- Et repérer la cantine
Le plus important ! J’avais tendance à foncer la tête la première vers ce réfectoire. Dès que la cloche sonnait dans mon ancien lycée, je me précipitais pour aller manger. Mon frère me disait souvent que j’étais un ventre sur patte à l’époque.
Nous sommes finalement arrivés en un seul morceau. Nous avons été accueillis par la Directrice. Elle nous rassura sur le système de sécurité. Il faut dire que la situation était… particulière. Elle nous appris qu’Alex était en voyage en France et qu’il devait rentrer dans quelques temps. Mes parents ne seront alors plus autorisés à entrer dans l’établissement. Après une demi-heure, j’en vins à aller installer mes affaires dans ma nouvelle chambre. Tout était parfait ! Quand je ressortie, mes parents m’attendaient. Ma mère m’embrassa et mon père me serra fort dans ses bras. Je réussie par miracle a ne pas pleurer. En souriant je leurs dis :
-
Allez y a présent ! Ne vous en faite pas, je suis très bien ici ! - On sait mon rouge-gorge ! Mais tu vas nous manquer ! N’oublie pas de nous appeler tous les soirs !
-
Oui promis ! Et c’est ainsi qu’ils partirent. Une petite larme glissa de ma joue. Je me devais de ne pas pleurer ! Très décidée, je me mis à courir jusqu'à la cage d’escalier. Après un peu d’air frais dehors j’irais mieux, assurément ! Seulement, je glissais sur une marche et m’écrasais quelques marches plus bas. Le choc se répercuta dans tous mes os.
-
Aïe ! Je n’aurais pas du courir dans les escaliers … Hm ? Je vis alors que j’étais a moitié en train d’écraser… quelqu’un !
-
J’ai tuée quelqu’un !