Comme bloqué dans des années que j'ai pas connus je vois tous en noir et blanc, je vois mon avenir dans un polaroid y'a d'quoi me rendre dément.
l'essence de mon existence reste caché comme si ma raison d'être ici restait à prouvé.
Embrigadé par les conneries médiatiser je vois des mecs qu'pense qu'à tiser c'est hype de fumé. De s'enfumer pas b'soin de planer pour moi ceci n'est pas la réalité.
J'ai qu'16 années même pas grandis dans un quartier n'empêche pas de voir la merde se propager j'ai rien à représenter si ce n'est une vie gâché.
Quand moi je trace mon avenir eux rageusement agite leurs gomme, j'ai pas caché mes désirs au point d'finir aphone.
Le futur est monotone les fleurs de baudelaire dans la fraîcheur d'un automne.
L'horloge n'arrête pas son tic mécanique alors que nos vies de plus en plus sont plastiques.
Marcher pas droit c'est maladroit titube mais garde le cap très peu reconnus comme un héros sans cape.
Le jeu du miroir, le premier qui vois le monstre sortir du tiroir.
On s'voile la face ou évite son reflet, car dans sa face à face la vérité est dur à supporter.
Au parlement tous les miroirs sont brisés t'inquiète donneur de leçon indigeste qui d'un geste massacre des indigènes sans gênes.
Je googlise la vie et le résultat ne me satisfait guère, face à l'en-tête je m'entête le résumé est trop amère.
Tout est vain donc tu choisis le vin avant la fin c'est fin t'es fière de foncé dans le ravin gamin?
Je fais la morale mais j'ai pas de courage non plus.
Le genre qui se cache au fond de la chorale pas peur d'être reconnus.
Je veux pas être une lumière alors je vous chante mes parts d'ombre, l'engourdissement de l'hiver l'espoir au bout d'une fronde.
J'affronte le titan de la vie et ses bras sont des aiguilles, elles tournent à l'infinis ainsi ouroboros naquis non rien d'acquis.
Empoisonné par mon propre venin une course poursuite contre le malin, la facilité d'un rien et l'incertitude du lendemain.
Passez son temps à attendre un miracle dans l'fond d'une chambre, agir pour vaincre souffrir pour convaincre.
Triste histoire qui se répète entonnoir à l'envers qui se manifeste.
Artiste amnésique. Une venus d'argile fébrile qui tremble face au poids de l'encre indélébile.
Je vois beaucoup d'incertitude dans les yeux de ma mère, je vois beaucoup d'inquiétude face à mon futur linéaire.
Toujours rêvé d'être le meilleur pour voir la fierté apaisé son cœur.
La voie principal n'était pas pour moi, je suis ce genre de gamin qui à déçu plus de cent fois.
Je marierais ciel et terre pour que mon futur prospère, jugé talentueux par mes paires j'aimerais pouvoir rendre fière mère et père.
Mais qu'est-ce qu'un écrivain sans encre ? La rédemption inaperçus d'un cancre.
Les rêves inavoués qui sous ta peau sont gravés, pour eux ta vie tu a voué ainsi ton cas c'est aggravé.
La faucheuse à la montre déréglé, maître ralentis par un orgueil insensé qui depuis ne l'a jamais lâché alors sur les murs de mon cœur j'ai tagué. Le souffle ne s'échoue qui si on l'a abandonné.
J'ai peu d'espoir mais je continus de prier, le ciel vers lui toujours le regard tournée.
L'édifice est fragile mais se consolide comme un ver construit de peur sa chrysalide.
Aliéné ou juste alien, je regarde la lune avec un étrange sentiment de peine.
Jetez moi une pierre serait le plus gros des blasphèmes des vaillants je n'ai guère l'emblème égoïsme irrationnel poussant à arracher les chrysanthèmes,
voler de l'encre pour écrire un vulgaire poème, à l'aube de ma vie j'appuie sur ma gorge la pointe de l'aiguille, je couds mes cordes vocales à mon instinct animal, mon cœur meurtris à mon cerveau d'incompris. Les bribes de mon écrit à mon plus ancien manuscrit,
les pages d'un codex j'arrache sur un coup de tête je m'étouffe avec l'arête perdu au milieu de la tempête, en quête de sentiment en fait j'enquête et perds la tête face à tous ces gars sous amphet, l'amphithéâtre à un goût âpre lors que le public et de marbre, l'art et l'écorce du plus puissant des arbres.
A sa branche se balance trop de fils indigne dur de faire la différence là ou le mimétisme prime. Lassant de voir des clones qui copie des clones eux même clone d'un homme qui fait l'aumône.
C'est teinté de temps tous ça au fond de mon être, mes pensés sont plus solide que l'armature d'un hêtre. On reçoit plus de soutiens là ou on en attends le moins. Ces charognes se nourrissent des échecs de leurs prochains. Si je suis le suivant sur la liste c'est que j'aurais réussis ma vie d'artiste. Jamais je ne resterais dans le mutisme j'ai trop de haine qui s'agite la parole est plus précieuse qu'un prisme . Lien de la musique --->
https://www.youtube.com/watch?v=PU3FvZXaxbw