Chapitre 1 :
Petit Shoichi, tu es née le 14 février 2003, d’une mère allemande, elle était magnifique avec de longs cheveux, de couleur miel qui lui arrêtais au milieu du dos, sauf quand elle les attache en messy-bun. Elle a des yeux magnifiquement taillés en ovale de couleur bleu azure et reflet vert jade avec de longs et épais cils. Ton père était japonais. Petit Shoichi, tu es née le 14 février 2003, d’une mère allemande, elle était magnifique avec de longs cheveux, de couleur miel qui lui arrêtais au milieu du dos, sauf quand elle les attache en messy-bun. Il avait dit à ta mère avant de partir :
Yoichi : je ne suis toujours pas prêt d’être Père… Et je n’en veux pas. Je vais partir à l’étrange travailler, mais je vais toujours payer notre maison pour que tu puisses y vivre.
Tu vis le visage de ta mère, rayonnant avec un sourire aimant en t’observant et elle caressa ta petite tête. Et te chuchota.
Amalia : bienvenue dans ce monde mon petit Shoichi ! Tu es ma petite perle rare avec tes magnifiques petits yeux vairons…
Tu laissas échapper un petit gazouillement en entendant sa voix qui sonnait mélodieuse a tes petites oreilles qui entendaient ces premiers bruits dans ce monde. Ta petite main attrapa celle de ta mère pour placer un de ses doigts dans ta petite bouche.
À tes trois ans, tu étais à la Maternelle, tu apprenais déjà à être un peu indépendant à l’école, tu parlais japonais avec les autres élèves et professeur. Mais a la maison, tu parlais souvent allemand avec ta maman ou japonais quand il y avait des invités. À des moments, tu demandais souvent à ta mère :
« Maman… Où est mon papa ? »Amalia : Il est parti… Travailler à l’étranger…
« Il ne m’aime pas… C’est pour ça qu’il est parti ! »Amalia : Mais … non mon amour ! Qui t'a dit ça !?
Tu regardes le sol avec un petit regard triste en te tanguant vers les côtés.
« Personne… Je me suis dit cela… Je me suis dit cela… »Elle se laissa tomber sur ses genoux et prit le petit Shoichi dans ses bras en se retenant de pleurer.
Amalia : Tes parents... T’aimes !!
Tu entouras le cou de ta mère de tes petits bras pleurnichant avec une petite réponse :
« Moi aussi, je t’aime maman ! »Pendant cette année, ta maman t’apprit que tu allais être le grand frère. Ce qui te remplit de joie. Vous ne seriez plus seules dans cette maison.
La journée de la naissance de ton petit frère avait été longue, tu attendais seule dans la chambre d’hôpital de ta maman en lisant un petit livre. Cela avait été long avant que tu vit revenir à ta mère dans son lit d’hôpital avec un petit paquet dans ses bras. Tu sautas de la causeuse, pour courir vers ta mère.
« C’est mon petit frère !?! »Amalia : Oui Mon chérit… Et il se nomme… Haru!!
Tu grippes sur le lit, te diriges vers ta maman pour t’assoit, regarder le petit paquet et voir le petit visage d’un bambin.
« Mais … Il est… Laid ! »Ta mère te regarda avec une aire surprise et laissa échapper un petit soupire.
Amalia : Shoichi, on ne dit pas ça !!
Tu baissas les yeux et répondu avec une petite voix.
« Désoler… Maman ... »Et tes Années de grand frère commencèrent pour ensuite avoir une nouvelle naissance deux ans plus tard et que le petit bébé se nomme Yukio.
Chapitre 2 :
Quand Yukio eu deux ans, Haru trois ans et que toi tu avais cinq ans. Tu entendis la sonnette de la porte d’entrée, tu couru vers la porte pour l’ouvrir. Tu vis des jambes, alors tu levas la tête un peu trop selon toi.
**Mais il est super grand lui !!**
« Oui… vous voulez voir qui? »L’homme : Je m’appelle Yoichi… j’aimerais voir ta mère! Mon petit…
Tu fis oui de la tête, et la tourna légèrement et cria :
« MAMANNNNNNNN! Il y a un homme a l’entre pour toi !! »Tu entendis ta mère marcher et venir vers toi en figent en voyant l’homme a l’entré.
Amalia : Shoi… va regarder la télévision….
« D’accord !! »Tu inclinas légèrement la tête vers l’homme et couru vers la télévision pour rejoindre tes petits frères qui l’écoutais. Tu entendis ta mère parler peu fort et fermer la porte derrière elle.
Quarante minutes plus tard, tu entendis la porte d’entrée s’ouvrir, tu te levas doucement pour te placer contre le mur et espionné qui rentrais. Ta mère et l’homme rentra en enlèvent leurs souliers, l’homme avais un visage sévère et celle de ta mère paniquer. Les deux se dirigea rapidement vers l’entre du salon ou que tu étais, tu te retournas et couru silencieusement vers le divan et t’assoir entre tes deux petits frères.
Quand ta mère et l’homme se place face a vous. Ta mère leva les yeux vers vous pour regarder ces trois paires de yeux vairon et fit un petit sourire en placent ses yeux sur toi.
Amalia : Les enfants … je vous présente votre père… Il est revenu à la maison !
Elle fit un sourire forcer, ce qui te fit pencher un peu la tête vers le côté.
« Notre père !?? Papa es revenue à la maison !!! Youppiiii!! »Tu sautas du divan en levant les bras dans les aires et sauta dans les bras de l’homme avec un grand sourire chaleureux.
« Papa !!! »Chapitre 3 :
Tes moments commençaient être dur à la maison, te faire réveiller en pleine nuit par les cris de ta mère ou te faire réveiller par tes petits frères qui pleurent du aux pleures et cri de ta mère et tu restais réveiller toutes les nuits du a cette horreur. Tu commençais à l’école à te battre souvent ou manipuler les gens vues que tu voyais ton père le faire si bien à ta mère. Tu voulais la défendre mais elle te faisait toujours le signe de négatif.
A tes débuts de 14 ans ton histoire se gâchas. Le 24 décembre quand tes petits frères dormaient, ton père te demandais de t’assoir sur la chaise qui étais a coté du sapin de noël. C’est là, que ton père t’attacha sur cette dite chaise. Tu paniquais, mais ne faisait pas de bruit pour pas le frustré et il revint vers toi avec ta mère qui gigotais en se tenant les cheveux que ce dernier tenait.
Tu avalas ta salive avec misère, tu sentais des larmes montées dans tes petits yeux de couleurs.
« Maman… Père que …va tu lui faire !?! »- Gore:
Il te regardait avec un sourire en laissant tomber ta mère face à toi.
Yoichi : Ta garce de mère le mérite…
Tu le vis commencer à torturer ta mère en face de toi, pendant vingt minutes avant qu’il décide d’attacher ta pauvre mère sur une chaise elle aussi, tu voyais bien qu’elle était en piteuse état. Il commença à la taillader un peu partout sur le délicat. Le sang de ta mère qui est si pâle, son sang gicle dans tous les sens. L’odeur vient te dégouter et il y a même que quelque goutte qui te tombe dans la bouche qui hurle d’arrêter.
Tu perds les pédales, quand tu vis le dernière souffle de ta mère. Le temps s’arrête et tu entendis mécaniquement les paroles de ton père.
Yoichi : Bon… Allant tuer ces deux batards…
Tu pousses un cri et réussis enfin à te libérer, par miracle quand tu pensais aux visages de ces deux petits frères souriants a froid et ensanglante, tu voulais venger ta pauvre mère qui étais sur le plancher sans vie. Tu voulais protéger tes frères a tous prit. Alors, que ton père se dirige tranquillement vers les escaliers,
Tu lui saute dessus, commence à le tabasser avec tous tes forces pour finir de le taillader avec le couteau qu’il avait pris pour ta mère et de lui arracher le cœur de la poitrine. Et le prend dans tes mains ensanglantées pour jeter le cœur au sol et le piétiner d’un de tes pieds. Tu plongeas ta main libre dans le ventre de ton père pour attraper ses tripes et les sorties. Les tripes fraichement sorties, tu attachas le cou de ton père d’un coter et l’autre en hauteur pour qu’il soit pendu.
Shoichi, tu revins as toi quand tu regardais autour de toi en cherchent deux petits corps qui n’étais pas la… Tu courus vers la première chambre celle de Haru et ouvrit la porte d’un coup sec. Et vue tes deux frères en pleurs et apeurer.
« Haru… Yukio .. Sortez tous de suite … de la maison! Et ne passer pas par le salon… CET UN ORDRE »
Ton regard était triste, vide et ta voix tremblotais. Tu les suivais et jusqu’à l’entrer pour observer qu’il met bien leurs manteaux et bottes. Tu ouvris la porte, Yukio et Haru faisait non de la tête.
Haru : On ne … sort pas sans toi… Je t’en supplie! » Il secouait la encore la tête et serrant Yukio par la main
.
Yukio : Grand … frère j’ai peur !!
Tu déposes ton téléphone dans la main de libre à Haru et te mis sur tes genoux et leurs donnas un câlin au deux en même temps.
« Je vous aimes… je vous en supplie … Sortez tous de suite! Haru, appelle-les secoures… dans 20 minutes! »
Ils sortirent après un instant, tu fermas la porte en laissent une marque de sang sur la porte et te retournent avec des larmes qui te coulais sur les joues. Tes pieds commencent à se diriger vers la cuisine, ouvrit le garde-manger prit d’une main tremblante de l’huile à frire et commença et cherche dans les tiroirs pour un briquet que tu trouvais enfin. Tu plaças ces deux derniers sur la chaise que tu avais été attacher et te dirigeas vers le corps de ton père pour voler sa montre qui t’avais toujours donné envie d’avoir. Tu tournes ton regard vers le corps de ta mère et pleura quelque seconde en te dirigent vers elle et place ta tête sur ses genoux.
« Maman… Je snif… suis désoler… de ne pas snif t’a snif voir sauver snif plus tôt… J’ai pue … snif sauve Haru snif et Yukio sniff… ! Je t’aime !! Ne m’abandonne pas snif Nous avons besoin… de toi !!»
Tu levas les yeux vers son visage inerte, pour te relever et commença à la détacher. Tu la pris dans tes bras, pour te diriger tranquillement, monter les escaliers étais durs mais tu réussis enfin à atteindre la chambre de ta mère. Tu appuyas ton dos contre le mur et donna un grand coup de pied dans la porte. Elle s’ouvrit avec un grand bruit de fracas, tu pénétras dans la pièce et déposa avec difficulté ta mère sur le lit. La déplacent pour qu’elle soit confortable et l’observe pour ensuite caresser une dernière fois le visage de ta mère en déposent un baiser sur son front. Et sorti de la chambre et te déplaça avec des pas lourds vers la chaise pour prendre l’huile. Tu remuas ta main pour bien lancer l’huile sur ton père, laisse tomber la bouteille sous les pieds de celui-ci et tourna ton corps pour attraper le briquet. Tes yeux observent la scène qui est devant toi, après trois soupires-tu lanças le briquet allumer sur ton père.
Ton corps ne voulait point bouger jusqu’à ce que tu voies très bien qu’il ne pouvait plus bouger et tu tournas le talons en attrapent le couteau puis courra vers la porte de sortie. Quand tu sortis de la porte tu ne t’enfargeais dans rien, tombas sur tes genoux pour vomir et levas les yeux vers tes frères qui étais à trois mètres de toi. Ta main qui s’était bien agripper au couteau le lâcha sur le sol et tu te donnas un élan pour courir une dernière fois vers ces deux êtres que tu aimais. Tes bras les entouraient et tranquillement tu pouvais entendre les sirènes de plusieurs voitures venir vers votre direction.
Haru glissa ton téléphone dans ta poche de pyjama et te chuchota.
Haru : On t’aime...snif merci snif!Ce soir-là, tu fus accusé de Patricide aux premiers degré et tentative détruire des preuves. Pendant le procès tu vis des visages que tu ne connaissais guère qui disait être des ta familles, mais qu’il te pointait du doigts et criait.
« Meutrier… Monstre! Sans cœur…»
Ton avocate avait réussi d’allégir ta peine en rappellent que tu étais encore un simple enfant qui essayais de défendre ces frères. Le juge déclara, que tu serais envoyé dans une Institution pour mineur dangereux et vue qu’il n’y avait pas d’assez bien que tu saurais envoyer à Londres dans une des leurs. Et que tes frères seraient envoyés en adoption dans ce coin-là
Ta première année fut difficile dans cette école, une fin d’année dans une école qui parle anglais et une chance tu savais te débrouiller un minimum dans cette langue. Ton année avait été dure en plus que beaucoup d’élèves te rappelle tes titres et que tu te souviens la séparation que tu vivais sans savoir si tes deux frères te détestait.