AccueilAccueil  Rps et newsRps et news  The Wiesel DenThe Wiesel Den  CalendrierCalendrier  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  MembresMembres  GroupesGroupes  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  


Votez pour le forum

Venez participer à la journée d'introduction des clubs ! Nourriture et activités pour tout le monde ~
Forum fermé. Indarë rouvre ses portes à une nouvelle adresse.

Si vous étiez partenaires et que vous souhaitez revenir dans notre liste, vous pouvez :
- Ajouter votre fiche parmi nos partenaires en passant par cette page : https://indare.forumactif.com/h20-
- Changer notre fiche et nos boutons pour les remplacer par ceux-ci : https://indare.forumactif.com/t84-
- Changer le nom du forum en "Petits secrets d'Indarë"

Pour les anciens membres qui souhaiteraient s'inscrire à la V2, c'est par ici → https://indare.forumactif.com/
Pas mal de choses ont changé donc pensez à lire tous les sujets. J'ai aussi listé le plus gros des modifications dans le MP général envoyé pour l'ouverture.


Le Deal du moment :
WD Green SN350 – Disque SSD interne NVMe M.2 ...
Voir le deal
99.99 €

[2017]Regard au fond de l'Abîme

Krasarc
Invité
Anonymous

Rp abandonné (-18)
Sam 14 Oct - 13:33
Krasarc
Krasarc Orzeïn
Ancien membre
Le moment que tu regrettais tant était arrivé, actuellement il était 13 h 45 nous étions le samedi et tu étais actuellement assied sur une chaise en fer devant l’infirmerie, a coté de toi deux surveillants te regardaient et faisait bien attention a ce que tu ne te sauves pas, tu allais devoir consulter un Psychiatre le temps de recevoir des sanctions adaptées a tes actes... mais comment en étais-tu arrivé la ?

Cela remonte la veille, tu n’arrivais plus du tout a te passer de sang, ta rencontre avec Brook avait réveillé une soif que tu n’avais jamais ressentit auparavant, alors que tu te serais contenté de sang animal il y a quelque mois maintenant tu avais cruellement besoin de sang humain, ainsi cette incapacité a comblé ce manque t’avais rendu dingue et au final tu avais agressé deux étudiantes ainsi qu’un chanteur célèbre venue rencontrer des élèves en ISS, Aprés l’incident des deux étudiantes les surveillant avait été mis au courant de ta situation et c’est en sachant que tes minutes étaient comptées que tu avais céder a l’hystérie, une lame de verre a la main, les surveillants était tomber sur toi alors que tu faisais couler du sang sur le sol, néanmoins il s’agissait de ton propre sang. Le manque te torturait au point que tu serrais la lame de verre beaucoup trop fort t’entaillant la main droite profondément.

Tu te rappelle de ce moment que tu réalisas que tu étais acculé avec plusieurs surveillants qui essayait de te faire poser ton arme, a ce moment tu n’avais toujours pas pu avoir ta dose et c’est la raison pour laquelle tu avais tenté de les planter pour te repaitre de leurs nectars écarlates. Bien évidemment ce n’est pas parce que tu t’appelles Krasarc, que tu es relativement musclée et que tu as vécu dans la rue que tu peux aisément tenir tête à de nombreux surveillant dont le rôle est d’encadrer des personnes violentes. À peine avais-tu donné un coup du vent que tu fus plaqué au sol et maitrisé sur un fond de hurlement de rage sortie de ta gorge.

Ton arme confisquer, tu avais étais mis sous surveillance extrême pendant toute la nuit avant d’être amener a l’infirmerie le temps que la Psychiatre te reçoivent. N’ayant pas d’autre choix que de la boucler et d’obéir ton manque te rendait réellement dingue et tu ne voulais pas entre isoler un jour de plus ! Tu te mordais la lèvre inférieure a sang, comme si que ton propre sang pouvait calmer ton manque alors que tu savais pertinemment que ce dernier ne faisait que te donner encore plus envie.

14 h 5, enfin la Psychiatre arriva, tes deux poignées étant menottée, les surveillants expliquèrent a cette jeune femme aux cheveux bleutés qu’au moindre problème elle n’avait qu’a appelé a l’aide pour que les surveillants débarquent immédiatement, ne pouvant rentrée avec toi durant la consultation, tu croisas le regard de cette femme qui allait soi-disant t’aider durant cette prochaine heure. Cet échange de regard semblait durée une éternité bien qu’il ne s’écoula qu’une simple seconde, néanmoins ce regard que tu lui adressais n’était ni un regard de haine ou de dégout, mais un regard remplis d’un désir malsain, d’un désir d’entaillé sa chair et de se repaitre de son sang, le regard d’un prédateur qui ne pouvait que fixée une belle gazelle.

Une fois de nouveau assied sur la chaise face au bureau de la pédopsychiatre, tu viens retirer ton chapeau borsalino malgré l’entrave des menottes, tu avais particulièrement horreur des psychiatres, estimant qu’il ne s’agissait que de petit intello pensant vous mettre a jours justes grâce a leurs petites études étudiées a l’école, cette prétention avait le don de t’écœurer, une fois face a elle tu te contentais de lui adresser le même regard que précédemment, tu ne comptais pas t’exprimer le premier, tu préférais lui laisser cet « honneur » alors que dans ta tête une seule envie régner, celle de faire couler son sang.
Revenir en haut Aller en bas
Neryssa
Invité
Anonymous

Rp abandonné (-18)
Jeu 19 Oct - 19:48
Neryssa
Neryssa Giatros
Ancien membre
L'Institution Indarë a l'art et la manière de plonger son personnel directement dans le milieu. À peine Neryssa est-elle officiellement titularisée en permettant à un élève de Potion qu'elle a suivi tout l'été d'envisager de retourner en Tradition, qu'elle est chargée d'un cas beaucoup plus ardu et dangereux. Là où son premier sujet n'avait été qu'un pauvre hamster s'entaillant sans comprendre pourquoi, ce lapin-ci semble avoir des envies incontrôlables d'entailler les autres pour se délecter de leur sang. Bien que les situations semblent parfaitement opposées, Neryssa y lit des similarités amusantes. Elle doit les garder en tête pour aborder ce... Krasarc Orzeïn.

Pile à l'heure, note-t-elle en entrant dans l'Infirmerie. C'est son premier et dernier rendez-vous de la journée, ainsi que son initiation en tant que pédopsychiatre officielle de l'Institution. Elle n'est pas anxieuse, bien que le rongeur auquel elle allait faire face la considérerait plus comme une proie qu'une personne à laquelle il devait se confier. Elle a lu son dossier. Elle en sait plus sur lui qu'il n'en sait sur elle ; et peut-être même qu'il n'en sait sur lui-même. Elle connaît le moindre détail. Ce lapin a peut-être une dizaine d'années de peine à purger pour son meurtre, cela lui laisse donc dix ans pour tenter de reprendre la voie de la lumière.

Le Docteur Giatros lui tendra la main, au cœur de l'abysse, pour l'aider à sortir des ténèbres.

Elle ferme la porte doucement, s'installe sur son siège, croise les jambes, détendue. Un mince sourire sur ses lèvres défie le regard animal de ce lapin cannibale.
« Bonjour. » Elle laisse planer un silence, espérant une réponse ; mais elle sait qu'elle n'en aura pas. « Allons, allons... Je suis le Docteur Giatros, pédopsychiatre. » Elle pose le dossier qu'elle tenait sous le bras et l'ouvre devant Krasarc pour lui faire comprendre qu'elle en a lu l'intégralité. « Tout ceci n'étant que paperasse... J'aimerais que tu te présentes de toi-même. Dis-moi qui tu es. »
Revenir en haut Aller en bas
Krasarc
Invité
Anonymous

Rp abandonné (-18)
Ven 20 Oct - 13:51
Krasarc
Krasarc Orzeïn
Ancien membre
Son regard... Son regard t’énervait ! Comment pouvait-elle oser te défiait de la sorte ? Tu avais vraiment horreur des Psychiatres, alors que tu te posas sur ton siège tu essayais de garder ton calme pour ne pas lui sauter dessus, qui sait peut être que sous ton poids elle changerait de regard ? Tu souhaitais réellement l’écraser de tout ton corps pour voir sa réaction, néanmoins tu ne voulais pas aggraver ton cas du coup tu fis de ton mieux pour garder ton calme, cette jeune Psychiatre lâcha donc un « Bonjour » qui te faisait rire intérieurement, bonjour ? Elle t’a pris pour un pote avec qui elle était venue s’amuser ? C’est dommage que le terme « Mauvaisjour » n’existe pas sinon tu lui aurais souhaitais en la gratifiant d’un sourire méprisant. Devenant un peu plus professionnelle,elle balança son nom en posant la pile de dossiers qui parlait de toi, elle souhaitait que tu te présentes toi même ? Quelle formalité ennuyante... la défiant tout comme elle osait le faire avec ton regard tu répondis !

— " Je ne vois pas du tout l’intérêt de ce genre de demande, tu connais mon nom et mon prénom, tu sais pourquoi je suis dans cette institution et je me demande même comment tu as pu accepter tout en sachant qui je suis, serais-tu dénuée d’instinct de conservation. Ou alors peut-être que ce n’est pas faux quand on dit que les psychiatres sont aussi fous que leurs patients ! »

Laissant une minute de silence t’installais tu devinait bien qu’elle n’en dirait que très peu pour l’instant, elle voulait t’analyser, pénétrer dans ta tête pour y desceller tes maux, elle voulait donc te sortir des abimes ? Très bien... dans ce cas, tu tacherais de la conduire jusqu’aux profondeurs abyssales de ton esprit, et la elle comprendra que Nietzsch n’avait pas tord quand il disait qu’a contemplé les abimes, ces derniers vous contemplent également ! Reprenant la parole d’un ton toujours aussi grave tu affirmas.

— " Tu veux en savoir plus sur moi n’est-ce pas ? Tu penses qu’avec plusieurs années d’études, quelque reportage et des examens on peut facilement aider n’importe qui ? À vrais dire moi ça me fait pitié, je ris de toi, car si nous nous étions croisée dans les couloirs comme cette fille sans défense que j’ai abusée, je peux te certifier que tu n’aurais pas défié mon regard comme tu le fais actuellement ! Tu veux me comprendre ? Commence déjà par comprendre que j’ai cruellement besoin de sang ! Et que ce que j’adore le plus au monde c’est de sentir le contact chaud et le gout métallique de ce précieux liquide qui coule dans tes veines, mets-toi dans le crâne que ce n’est pas en m’interdisant de boire que j’irais mieux ! »

Son regard toujours autant insistant t’énervais toujours autant, mais étrangement son attitude te faisait parler encore plus, tu avais envie de lui balancer tout ce qui était en toi pour lui montrer que tu n’étais pas un vieil exercice issu d’un manuel de psycho, tu voulais qu’elle comprenne qu’être en tête à tête avec des personnes comme toi était tout sauf sécurisée

— « Je vois que tu continues encore et toujours a vouloir rentrer dans ma tête, ahana... très bien très bien, de toute façon je dois te voir deux fois par semaine du coup autant que cela sois rapide et intéressant, nous verrons de nous deux qui sera le psychiatre et qui sera le fou dans plusieurs séances ! Je suis sur que tu commences a te dire que mes problèmes viennent de mon enfance et je doute que ce détail soit dans cet énorme dossier que tu tiens, mais je vais être sympa et éclairer ta petite lanterne agaçante, ma mère était une pute et mon père un alcoolique, tu sais ce genre d’alcoolique persuader que ses problèmes viennent de la société et que ce n’est pas sa faute s’il boit, ouais une famille de merde et je me suis barrer dés que j’en avais l’occasion, j’ai trainer dans les rues et piquer de la bouffe pour me maintenir en vie, et je ne te raconte pas le nombre de gueules que j’ai cassé sur mon chemin ! Alors quoi, ça serait juste sa la raison de mon addiction au sang ? Hahaha... »
Revenir en haut Aller en bas
Neryssa
Invité
Anonymous

Rp abandonné (-18)
Ven 20 Oct - 19:12
Neryssa
Neryssa Giatros
Ancien membre
Il est bavard, mais il ne cherche qu'à impressionner. De sa fierté, Neryssa n'en a aucune crainte. Il est méprisant, il se vante de ses méfaits, mais c'est parce qu'il la sous-estime et qu'il la prend pour une incompétente. Sauf qu'elle n'est pas comme les autres ; elle ne traite pas ses patients comme des exercices, mais comme des sujets ; et comme chaque expérience diffère d'une autre, elle adapte son protocole à chacun. L'introduction de Krasarc a donné tous les outils à la doctoresse pour l'aborder aisément. En pensant la repousser et lui faire peur, il n'a fait que susciter en elle un intérêt plus profond. Ce lapin-là n'est qu'un psychopathe ordinaire qui cherche à se convaincre du contraire.

Neryssa l'aime déjà.


« Tu as beaucoup d'a priori, pour quelqu'un qui dit que j'aurais tort d'en avoir à ton sujet. Tant sur moi que sur ma profession. » Elle soutient son regard. Elle ne pliera pas face à lui ; c'est ce qu'il attend. Il ne parlera que s'il est en affrontement avec elle. Elle doit être une rivale. Elle doit être quelqu'un qu'il veut réussir à dominer. Mais il n'y parviendra pas. La force mentale du Docteur Giatros est à toute épreuve. Il agit comme un enfant, il est immature. Il se vante de ses crimes car c'est son moyen d'affirmer qu'il est au-dessus de chacun ; en terme de cruauté, en terme de culot, en terme de sadisme.

Il veut de l'attention. Il veut être reconnu, il veut inspirer la crainte, la terreur. Il mise tout sur l'excès. Sans doute a-t-il déjà rêvé une ou deux fois d'être la une des journaux. C'est un type de psychopathe commun, celui qui cherche la gloire par le sang. Il veut être unique ; c'est pour cela qu'il martèle qu'il n'est pas comme les autres et qu'il ne peut pas être contrôlé.
« Je n'ai pas peur de toi, » déclare-t-elle en ouvrant le dossier à la page listant les crimes de Krasard, photos à l'appui. « Je sais ce dont tu es capable. Je lis dans tes yeux ce que tu as envie de faire. Je suis en pleine possession de mes moyens, et je sais ce que je dois attendre de toi. »

Elle prend les photographies de sang écarlate, de gorges arrachées, de lacérations terrifiantes, sans sourciller. Elle les étale sur la table. « J'ai étudié toutes tes méthodes. Mais la vérité, c'est que je ne suis pas intéressée par tes actes mais par ta personne. » Elle attrape un stylo, son carnet, et commence à griffonner quelques notes tout en continuant. Pourtant, elle ne lit même pas ce qu'elle écrit. Elle continue de fixer son nouveau lapin droit dans les yeux, ne détournant ni ne faiblissant le regard. « Je me moque de ton passé. Dis-moi plutôt pourquoi tu as tant besoin de sang, maintenant, ici, tout de suite. Ne t'en fais pas mon lapin, je n'aurai pas peur. ♥ »
Revenir en haut Aller en bas
Krasarc
Invité
Anonymous

Rp abandonné (-18)
Ven 20 Oct - 20:50
Krasarc
Krasarc Orzeïn
Ancien membre
Tu écoutais attentivement ce que cette psychiatre disait, de toutes tes paroles rien ne semblait la faire fléchir, néanmoins cela ne t’impressionnait guère, bien au contraire tu commençais a croire qu’elle était cette catégorie de Psychiatre dément dont seules les années d’études marquaient la différence entre Psy et Patient, elle ne montrait aucune faiblesse, et continuait de plonger son regard dans le tient, tu avais envie de la briser, tu avais envie de la voir craquer, tu sentais ton cœur battre plus vite, car tu ne souhaitais qu’une seule chose, détruire cette énorme forteresse qui se tenait devant toi avec arrogance.
Elle osa même renvoyer ton attaque en estimant que tu avais les mêmes appriorie que celle dont tu l’accusais a ton égard, néanmoins cela eu l’effet de te faire sourire, tout ceci était purement différent, car toi, tu étais supérieur aux autres, dans ce monde il y a les prédateurs et les proies, toi tu étais un superpredateur !

« Je n'ai pas peur de toi, »

En disant cela, la psychiatre étala les nombreuses photos de tes faits, les nombreux crimes que tu avais commis tout en révélant qu’elle savait ce dont tu avais envie, tu l’écoutais attentivement et alors qu’elle révéla être intéressé non pas par tes actes, mais par toi même tu rigolas doucement, toutes ses photos... toutes ses images... tous ses souvenirs qui ressurgissaient, cela te donnait l’eau a la bouche, un rictus malsain se dessinait sur tes lèvres alors que tu la laissais s’exprimer, pendant qu’elle griffonnait sur sa feuille tu ajoutas tranquillement en la prenant de haut.

— " Oh, mais tu sais, tu as beau savoir et avoir vue ses images en exhibant ton soi-disant courage, je peux te dire que cela est complètement différent quand on vit la scène ! Tu n’as pas peur de moi ? Tu devrais ! N’oublie pas que cette académie regorge de couloir sombre et étroit et que moi je ne dors que très peu la nuit ! Je me ferais un plaisir de tomber sur toi et de voir à quoi ressemblent tes yeux quand arrache ta gorge comme sur les photos ! »

Était-ce de la haine que tu ressentais à son égard ? Pas exactement, c’était bien plus profond que ça ! Personne ne t’avait tenu tête de cette façon ! Personne n’avait fait preuve d’une telle solidité, et cela te donnait beaucoup d’envie ! Néanmoins ton sourire s’effaça à sa prochaine réplique, « Mon Lapin » ? Non seulement elle ne flanchait pas, mais en plus elle ignorait ta domination au point de te comparer à ce vulgaire animal ? Une intense colère s’animait en toi qui étais clairement lisible au travers de ton regard devenu brulant, tu vins prendre ton chapeau pour le poser sur le bureau, tu étais désormais sérieux.

— " Trés bien ! Tu veux plonger dans mes sois disant problème ? Hé bien je vais t’y noyer ! Pourquoi j’ai besoin de sang ? Tu ne peux même pas imaginer le plaisir que c’est ! Sentir cette chair au creux de mes dents se mettre à pulser comme un serpent, ce liquide brulant qui coule le long de ma gorge dont le gout particulier fait frémir mes papilles et mon échine ! Tu ne peux pas imaginer ce que ça fait que de sentir le cœur de ta proie battre a en faire trembler chaque parcelle de son cor ! Un véritable métronome vivant dont tu peux entre le rythme infernal sur chacun de tes doigts ! Au rythme de son cœur, un chant strident sort de la gorge de celui que tu dévores avec comme couplet les plaintes et les jérémiades de ces pauvres créatures impuissante ! Qu’est ce que c’est bon que de sentir la force de ses sacs de sang se vider en même temps que leurs sangs et plus c’est long ! Plus c’est bon ! Rien qu’a sentir la chair sanguinolente contre mes lèvres sa me fait bander ! Et je ne parle pas de métaphore, ça me fait réellement bander ! Au début c’était de petits animaux que je faisais saigner, mais même si le plaisir ressenti était intense je n’ai jamais rien senti de plus fort qu’avec l’homme ! Pour te dire une fois j’ai même commencé à baiser une meuf que j’avais vidée de son sang, je lui en avais laissé assez pour qu’elle puisse rester bien chaude et qu’elle puisse voir ce que je faisais de son cor faible et tu veux que je te dise ? En la pénétrant, j’ai instantanément débandé, n’est-ce pas ironique ? Le troue que j’avais ouvert dans son cou et le sang qu’elle me donnait était mille fois plus excitant que toute la mouille qu’elle pouvait secrété ! Alors tu comprends pourquoi j’ai tant besoin de sang. Parce que c’est une putain de drogue surpuissante ! »
Revenir en haut Aller en bas
Neryssa
Invité
Anonymous

Rp abandonné (-18)
Sam 21 Oct - 12:07
Neryssa
Neryssa Giatros
Ancien membre
La progression de Krasarc vers la menace n'était qu'attendue, aussi Neryssa ne ressentit aucune crainte quand celle-ci fit son apparition. Ce lapin clamait avoir le contrôle de la vie et de la mort pour l'impressionner, mais elle avait la chance de ne pas en avoir peur. Dieu veillait sur elle et la conduisait sur Son chemin ; elle ne faisait que commencer Sa quête. Elle préféra donc afficher un doux sourire amusé. Il semblerait que le fait de l'avoir surnommé affectueusement ait réveillé en lui une hostilité très sérieuse...

Mais il continuait d'agir comme un enfant immature. Tant dans ses propos que dans la manière de les présenter. Il était fier ; fier comme un gamin qui avouerait qu'il a volé ses parents ; fier comme un poète qui viendrait de composer un hymne à la mort. Une fierté mal placée et sanglante, propre à tout psychopathe digne de ce nom. Néanmoins, le fait d'avoir révélé les éléments de l'excitation sexuelle et de l'addiction venaient de changer bien des choses sur le jugement de Neryssa. Ce n'était pas un simple syndrome de Renfield, c'était plus important que ça. C'était une dépendance sexuelle au sang. Un fétiche porté trop loin par un enfant qui n'avait pas éduqué proprement et moralement.

Merveilleux. Un sujet comme celui-là, ça ne se présente qu'une fois dans une vie. Elle griffonne ce qu'elle vient de déduire. Elle doit traiter ce lapin à la fois comme un dépendant sexuel et un schizophrène. Car ce qui le motive à tuer, c'est l'excitation sexuelle provoquée, pas le sang et le meurtre eux-mêmes.
« Tu es bien sûr de toi. » Elle maintient son regard fermement, pas impressionnée une seule seconde par les propos pourtant affreux et écœurants qu'il venait d'étaler. Elle veut tenter quelque chose. Une approche qui devrait le surprendre. « Depuis quel âge es-tu addict au sexe, mon lapin ? » Il déteste être appelé comme ça, mais Neryssa a bien compris l'effet que ça lui fait, et compte bien l'utiliser.
Revenir en haut Aller en bas
Krasarc
Invité
Anonymous

Rp abandonné (-18)
Sam 21 Oct - 13:34
Krasarc
Krasarc Orzeïn
Ancien membre
"Ne tombe pas dans son piège ! " c’est ce que tu te répétais afin de ne pas céder a tes pulsions de colère, elle le fait exprès, elle veut te faire sortir de tes gonds ! Tu le savais bien, car tu utilisais la même technique pour terrasser tes victimes, la colère est bien plus prévisible que la maitrise de soi, si tu cèdes a ses provocations tu feras un faux pas et tu perdras face a ce duel psychologique, a cédé a la colère tu tomberas au stade de simple patient manipulable ! Tu ne te laisserais pas faire, peu importe, le nombre de fois qu’elle utilisera ce mot abject ! Fermant les yeux quelque seconde tu repris une grande respiration, l’excitation procurée par ses souvenirs dévoilés faisait battre ton cœur si vite, des tremblements d’excitation et de manque faisaient vibrer tes mains, tu avais tellement soif...

— " Au sexe ? Tu n’as rien écouté ou tu n’as rien compris ? Le sexe n’est qu’un plaisir infime que j’ai découvert vers mes 16 ans, le plaisir que je te parle c’est celui du sang ! Celui-là a débarqué quand j’avais 11 ans, je voulais savoir ce que c’était que la mort, je voulais savoir la résistance des êtres vivants, il y avait ce chat qui jouait avec moi de temps en temps quand j’attendais sur le pas de ma porte que mon père finissait son pétage de câble, le chat est passer me voir et j’étais à la fois curieux et énerver, une pierre a coté de moi j’ai voulu voir ce que ça faisait de frapper tout comme il le faisait avec moi, a vrais dire j’ai été surpris, je pensais qu’il filait une vingtaine de coups pour retirer la vie a un être vivant et pourtant, je n’ai eu besoin que d’un simple coup sur sa tête pour voir gicler ce nectar écarlate. Au début je ne comprenais pas, un simple cou et il venait de mourir, ce liquide brulant m’avait éclaboussé et tout comme mon propre sang j’ai entrepris de le gouter, c’est la que j’ai commencé a être exciter, cette première sensation était comme un dépucelage pour moi, je venait de boire « la vie » de quelqu’un d’autre, le lendemain j’ai retenter l’expérience avec des petits animaux que je trouvais, c’était tellement excitant, tu leurs tend la main avec un peu de nourriture et ils approchent sans aucune quiétude, un simple coup et les voilà en train de se vider et alors que tu sens leurs vies s’écouler dans ta bouche tu les entends miauler, aboyait ou grincer, le plus marrant c’est que plus tu les vides et plus ils deviennent lents, on dirait presque qu’a boire leurs sangs tu absorbes également leurs temps, c’est comme sa que j’ai réellement commencé a devenir addict au sang »

Cette fois-ci tu ne parlais pas avec le souhait de la terrifier, au contraire tu étais tout simplement sérieux et tu essayais réellement de lui faire comprendre, après tout tu aurais peut-être le droit de boire du sang dans l’académie si tu arrivais à la persuader. Reprenant la parole tu enchainas.

— " Pourquoi ne tentes-tu pas ? As-tu peur de céder à ce plaisir inconnu ? Ne souhaites-tu pas expérimenter cette sensation divine que je ne cesse de te décrire ? Peut être que tu me comprendrais mieux si tu t’abandonnais a ce désir qui existe en toi, ne me fais pas croire que tu n’as pas envie, tu n’es pas du genre a te faire bouffer docilement, j’ai plutôt l’impression que toi aussi tu es un prédateur, aller je me sacrifie même pour l’expérience si tu veux, tu as juste a percer un trou dans ma nuque et venir boire, je sais que tu en as envie. »
Revenir en haut Aller en bas
Neryssa
Invité
Anonymous

Rp abandonné (-18)
Lun 23 Oct - 16:26
Neryssa
Neryssa Giatros
Ancien membre
Il essaye de la convaincre ? C’est intéressant. Il adopte les mécanismes d’un chef de secte, ou alors plutôt d’un dealer cherchant à se trouver de nouveaux clients ; il se trouve peut-être une forme de réconfort dans le fait que l’on puisse lui ressembler. Peut-être souffre-t-il d’une certaine forme de solitude, tous comptes faits ? Il veut qu’on puisse le comprendre pour trouver l’acceptation de quelqu’un, pour parvenir à faire ce qu’il veut sans être rejeté ou condamné. Il aimerait qu’on lui ressemble, qu’on le comprenne, qu’on l’accepte comme tel. Il ne veut pas changer, il veut qu’on s’adapte à lui.

C’est un problème.

Il y a deux types d’addicts : ceux qui en ont honte, et ceux qui en sont fiers. L’un comme l’autre s’auto-détruisent, mais le second type va beaucoup plus longtemps car la dévastation est purement physique. Il ne se rend pas compte du mal qu’il fait et qu’il se fait, et ne cherche pas à le cacher ou à éviter, ce qui rend son esprit beaucoup plus clair. Il incorpore son addiction comme une donnée normale. Ce lapin fait partie de la seconde catégorie ; il a commencé à considérer son goût pour le sang comme une réalité à laquelle il ne peut échapper, une composante de sa personnalité qu’il ne peut pas nier. Il a accepté sa monstruosité et en a fait une partie de lui-même, ce qui lui permet d’être sérieux quand il parle de tout cela… Mais aussi rend la tâche beaucoup plus compliquée.

On ne peut pas enlever une écharde s'il n’y a pas de rejet du corps. La peau incorporera l’intrus comme une nouvelle donnée dans son équation et se construira autour. Pour l’enlever, il faut l’endommager. C’est un processus similaire qui s’applique lorsqu’un dépendant accepte son addiction.


« C’est une offre alléchante, » murmure-t-elle avec un faux air de confession, « Mais il y a des domaines que je préfère ne pas explorer, surtout lorsqu’ils impliquent de faire du mal à l’autre. » Elle maintient son regard planté dans le sien, pour lui indiquer qu’elle garde la tête haute malgré son refus. « Néanmoins… N’éprouves-tu donc de l’empathie, ou tout du moins une forme de respect, que pour ceux qui agissent et pensent comme toi ? »
Revenir en haut Aller en bas
Krasarc
Invité
Anonymous

Rp abandonné (-18)
Mar 24 Oct - 12:53
Krasarc
Krasarc Orzeïn
Ancien membre
Ta discussion avec la Psychiatre avançait plutôt bien, sans t’en rendre compte tu étais devenu bien plus coopératif malgré l’ambiance de défis qui planait constamment autour de vous deux, tu voyais bien que Giatros était attentive, elle buvait tes paroles autant que tu relevais ses moindres réactions, tu remarquas d’ailleurs une légère réflexion après ta proposition, comme tu l’avais penser tu souhaiter voir cette jeune psychiatre tomber avec toi dans les abimes, autant lui faire découvrir le plaisir du sang dans ce cas ! Offre qu’elle avoua trouver alléchante avant que tu ne te demandes si elle était sincère ou si elle se moquait de toi. Réfléchissant un court instant à cette pensée qui vint te déranger tu écoutas la suite de ses propos.

Est-ce la peur qui l’empêchait de succombait a ses plaisirs interdis ? Elle avoua qu’elle ne souhaitait pas explorer certain domaine et celui du sang en faisait partit, elle ne souhaitait pas faire de mal a d’autre ? Sa vision du monde était écœurante, vouloir agir sans causer du tord aux autres était purement répugnant, c’était avec ce genre de discourt pseudo pacifique que le monde tournait aussi mal, tu estimais que la réalité était bien plus dure que ce que les gens pensaient, ces derniers n’on aucun problème pour faire souffrir les autres tant qu’ils ne savent pas a qui ils font du tord, cette pure lâcheté avait le don de t’écœurer, car malgré tous tes défauts tu étais tout sauf lâche.

— " Repugnant ! J’ai horreur des personnes aux visions aussi lâches ! Tu n’as pas envie d’agir si tu fais du mal à l’autre ? Permets-moi de trouver cela particulièrement hypocrite et lâche ! Vous autres vous me bassiner toujours de ses mêmes discours sur le moral et l’éthique, vous prônez l’égalité et estimait que chacun doit vivre sereinement dans le meilleur des mondes ! C’est purement écœurant ! Vous dites tous sa, mais vous n’avez aucune pitié pour le clochard dans la rue qui vous demande une pièce, au lieu de prendre le temps de lui offrir ne serait-ce qu’un regard vous préférez l’ignorer, vous n’avez aucun ne remord pour toute cette bouffe que vous jetez a la poubelle alors que vous connaissez les ravages de la famine ! Vous fermez intentionnellement les yeux sur les milliers de massacres perpétrés par votre pays et vous en venez même à souhaiter la mort de ceux qui luttent contre votre système ! Vous voulez me faire croire que vous agissez de manière a ne faire souffrir personne, mais la réaliser c’est que vous agissez de manière a soulagé votre conscience ! Tu penses profondément pouvoir vivre paisiblement et avoir tout ce que tu veux sans causer le moindre tord a quelqu’un ? Profondément CUPIDE ! Tu vois la différence avec moi c’est que bien que je fasse soufrières les autres pour mon plaisir-personne et ma propre addiction, moi au moins je ne m’en cache pas ! J’assume clairement agir pour mon propre bien même si je dois tuer des innocents ! Mais au moins moi je fais le choix d’assumer mes actes ! Au lieu de me cacher comme vous derrière une muraille de bons sentiments ! »

Tu était profondément écœurer par les propos de la psychiatre qui venait subitement de dégringoler dans le peu d’estime que tu lui offrais, tu ressentais même l’envie de te lever de ta chaise et de partir maintenant tellement tu étais dégouté par ce qu’elle venait de dire, n’était-ce pas d’ailleurs un peu disproportionner comme réaction ? Il est vrai qu’elle n’avait fait que soumets une simple réponse a sa demande et bien qu’elle ne s’était pas avancé sur ce terrain tu avais toi même interpréter sa réponse comme une autre avant de t’emporter, tu reflechissa un court instant comme si tu réalisais l’erreur que tu venais de faire avant de te résoudre, cette soudaine colère n’était en rien un faux pas, tu n’avais en rien commis l’erreur fatale, tu avais simplement laissé parler tes émotions. Un long silence s’installa avant la question de la psy.

— " Hmmm... Je n’ai jamais rencontré quelqu’un qui agit et pense comme moi... néanmoins si cela devait se produire un jour je pense que oui, j’éprouverais forcement du respect pour cette personne similaire, elle me comprendrait et je la comprendrais, avec ce genre de personne nous pourrions aller si loin... tout le monde tombait à genoux face a notre soif insatiable ! Haaaa sa me fait presque rêver... »
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé

Rp abandonné (-18)
Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
Page 1 sur 1
Sujets similaires
-
» [2017] Le bas fond de la vie ~
» [2019] Au Premier Regard...
» [2017] The f**** are you doing ?
» [2017] I want more
» [2017] Welcome to the 404

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Institution Indarë :: Hors-jeu :: Archives :: Rps abandonnés-
Sauter vers: