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[2017] I dare you to

Sphaérah
Invité
Anonymous

Rp abandonné (tout public)
Jeu 18 Mai - 20:56
Sphaérah
Sphaérah Zammit
Ancien membre
Voilà, j'étais enfin installée a l'Institution et aujourd'hui c'était pour moi , une reprise des cours la journée c'était globalement bien passée mais.. il y avait un petit hic!
Je ne m'étais pas encore fais d'amis! J'avais passé la journée a observer les autre étudiants qui sont pour la plus part.. atypique! M'enfin je dis ça..
On sortait de théâtre et direction les casiers pour changer nos affaires!
C'était quoi le cours suivant.. eh.. mince.. j'ai du perdre mon emplois du temps.
Anglais je crois.. mais quel salle.. ? J'étais plutôt du genre paumée et c'était bien mon genre de me perdre. Je scrutais autour de moi pour voir si je ne repérais pas quelqu'un de ma classe et heureusement pour il y avait un garçon a qui je m'étais fiée pour les salles précédentes qui était lui aussi a son casier, je le suivais donc dans son ombre tout en essayant de mémoriser l'itinéraire. Une fois rentrée en cours je pris place a côté de lui , après tout il avait l'air sympathique et peut être serai-t-il mon premier ami! Je tentais une approche basique qui n'avait pas l'air très concluante.

Il avait plutôt l'air dissipé et affichait un sourire plutôt malin sur son visage la plus part du temps. Hmm il faut que je trouve un autre moyen de l'intéresser. Et là me vint la pire idée. Faire la pitre, pour lui  peut être qu'en l'amusant il s'intéresserai peut être a moi! Alors je faisait des gribouillis des bêtises très enfantines qui serai un crime contre la maturité mais qu'importe j'aurai tout fait pour ne pas me retrouvée toute seule. Puis vint l'ultime épreuve.

-Hmm et si tu jetais une boulette de papier sur le costaud tatoué au fond-

Hmm je l'observais , il était impressionnant il en avait même sur le visage, je l'avais déjà dans les cours précédent et il était pas le genre de personne qu'il fallait embêter il aurai été sage de ne pas... et puis tant-pis je fermais un oeil et mettait avec mon pouce comme pour mesurer la trajectoire en tirant la langue pour me concentré et ne pas le rater ce n'était pas vraiment discret mais au moins j'étais sure de le toucher et d'amuser la galerie. Et Pouf, le petit détritus venait rebondir ridiculement sur sa tête de tueur et je me mettais a gloussé avec mon camarade qui lui riait sûrement de la sauce a laquelle j'allais surement être mangée.
Une fois le cours finit et après m'avoir bien utilisée mon voisin ne m'avait même pas calculé pfuh.. quel ingrat! Bon c'était la fin de ma première journée et je voulais prendre un peu mes marques en commençant par bien m'installée dans mon dortoir , ils n'allaient pas tarder a ouvrir mais.. cette fois là je ne pouvais pas me contenter de suivre quelqu'un pour trouvé mon chemin car tout le monde allait a un endroit différent et par fierté je n'osais demandé a quelqu'un mon chemin.
Après quelques tours en rond j'avais finit par me perdre littéralement et j'étais dans un coin un peu paumé et sombre de l'enceinte d'indare.

-Pfuh où je suis aller me fourrer encore...-

Je me mettais par terre et regardais dans mon sac si j'avais pas des trucs qui auraient pu éventuellement m'aider a retrouver ma route quand tout à coup, une ombre surgit au loin. Je levais la tête et je voyais le grand gaillard au 1001 tatouages qui se dirigeait vers moi alors il m'avait vu? Il savait que c'était moi? Ainsi venait la rédemption j'allais devoir me purger des mes crimes!
Il me regardait! Ohlala qu'est ce que j'allais devenir ,j'étais du genre a pas me laisser faire mais lui.. il était tellement intimidant il dégageait une aura de dominance. Il se rapprochait de plus en plus et je commençais a avoir de plus en plus les chocottes! Sacrée rentrée qu'est ce qu'il allait advenir de moi?
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Dario
Invité
Anonymous

Rp abandonné (tout public)
Jeu 18 Mai - 22:56
Dario
Dario Alvarès
Ancien membre
Depuis quelques jours, Dario passait son temps à ruminer. Le peu d’intérêt qu’il portait aux cours avait complètement disparu. La seule chose qu’il faisait tourner en boucle dans son esprit était le refus de sa libération anticipée que l’assistante sociale lui avait fait parvenir. Cet enfoiré de psy l’avait déclaré encore trop instable, trop violent. Et le juge Mescouillenski avait de toute façon décidé de lui pourrir la vie, alors il allait devoir passer encore un an ici avant de pouvoir refaire sa demande.

Une ligne barrait son front d’un bout à l’autre de son visage, ses yeux étaient renfrognés et sa bouche crispée faisait légèrement remonter son nez. Bref, il était assez facile de voir qu’il ne fallait vraiment pas l’emmerder ces temps-ci. Encore moins que d’habitude.

Ainsi, les élèves de sa classe et ceux qu’il pouvait rencontrer dans les parties communes faisaient des efforts particuliers pour ne pas rester dans ses pattes, et surtout, ne pas croiser son regard qui semblait aussi mortel que celui d’un Basilic ou d’une Gorgone.

Alors qu’il se préparait à fulminer une fois de plus toute la sainte journée, quelque chose attira son attention. Des cheveux oranges et violets sur une nouvelle petite tête qui était assise quelques tables devant lui. Il était difficile de ne pas la remarquer. Curieux, Dario essaya de la voir un peu mieux depuis sa place, sans pour autant trahir son attitude je-m’en-foutiste habituelle.
Les heures passaient, les classes s’enchaînaient et, perdu dans ses pensées, le jeune homme avait fini par complètement oublier cette nouvelle information. Jusqu’au cours d’anglais.

Soulagé de terminer la journée sur une matière un peu moins prise de tête que la normale, l’humeur de Dario s’améliora et il était plus attentif au monde extérieur. Il observait à nouveau la petite nouvelle, la tête appuyée sur l’une ses mains, le regard un peu inexpressif et l’esprit vide. Elle semblait gentille, un peu timide, en retrait. Elle ne devait sûrement pas venir du programme Forge avec ses criminels en tout genre, et si l’habit ne faisait pas le moine, il était prêt à mettre sa main au feu qu’elle venait plutôt du programme Potion et de ses patients aux troubles mentaux.

Son look sortait vraiment de l’ordinaire, avec ces cheveux aux couleurs éclatantes et contrastées, et ce tatouage à l’œil. En plus de tout cela, la jeune fille était définitivement à son goût. Mais voilà qu’elle parlait à ce jean-foutre qui l’insupportait. Une espèce de fils à papa qui était là pour une raison obscure, et qui semblait toujours se croire plus malin que les autres. Dario commençait déjà à se dire qu’elle avait sûrement moins d’intérêt que prévu.

Alors qu’il détournait le regard l’espace d’un instant, un projectile de papier froissé lui arriva en pleine poire, avant de rebondir et de finir sa course sur sa table. Ses réflexes et son impulsivité prirent le dessus et il se mit à chercher le coupable en marmonnant des insultes en espagnol. C’est alors qu’il vit le petit con et la petite nouvelle qui gloussaient comme des pitres. C’était donc eux les coupables.

Patiemment, Dario attendit la sonnerie qui allait marquer la fin de la journée. Quand enfin elle retentit, un petit sourire carnassier s’étala sur son visage. Il n’allait certainement pas laisser passer ça. En silence, il rassembla ses affaires, et décida d’apprendre une leçon aux deux petits lanceurs de papier.

En sortant de la classe, il essaya de repérer le couple d’amis dans les couloirs bondés de monde, mais le fils à papa était introuvable. Seule la nouvelle était facilement visible avec ses cheveux bariolés. Il la prit alors en chasse, bousculant à tour de bras les autres élèves sur son chemin. Mais où allait-elle ? Elle ne partait en direction d’aucun des dortoirs du bâtiment. Il ricana doucement. Elle était sûrement en train de se perdre.

La voilà qui s’engouffrait dans une petite alcôve mal éclairée et jamais fréquentée, et qui en plus ne possédait aucune sortie en dehors de l’entrée devant laquelle se trouvait maintenant le vénézuélien. Elle avait enfin repérée sa présence. Dario s’avança vers elle de façon menaçante, en affichant un air déterminé. Il ne comptait pas vraiment lui faire du mal, pas pour quelque chose d’aussi ridicule, mais il était décidé à lui flanquer la frousse et à lui apprendre à ne plus jamais essayer de l’emmerder. Après tout, s’il laissait passer cela, ce serait la porte ouverte à toutes les sortes de mauvaises blagues à son égard, et il n’allait certainement pas supporter ça.

Il continua d’avancer, et la força à se plaquer contre un mur. Pour l’empêcher de fuir, il tendit son bras devant lui, en posant sa main à gauche du visage de la nouvelle. Un sourire carnassier au coin des lèvres, il s’approcha doucement d’elle, en la laissant s’imaginer le pire. Le garçon gardait tout de même son autre bras prêt  à réagir, des fois que la petite soit réactive et décide de lui filer un coup de genou dans les parties intimes.

Mais alors qu’il avait tout le loisir de la dévisager de prêt, son visage maintenant presque collé au sien, l’ancien gangster se mit à rosir légèrement des joues. Elle était finalement vraiment jolie, et sa façon d’être laissait transparaitre une certaine innocence et une certaine simplicité qui n’avaient pas manqué d’atteindre Dario. Lors de ce moment de flottement, son esprit fit un virage à 180 degré, et il se ravisa sur son idée de vengeance. Effaçant son air menaçant, il lui parla d’un ton beaucoup plus doux que prévu.

- Ce n’est pas très malin de chercher les problèmes pendant son premier jour. Tu pourrais énerver quelqu’un de moins indulgent que moi.

Il affichait maintenant un petit sourire moitié moqueur, moitié charmeur.

- Tu as l’air de t’être complètement paumé. Tu veux que je te fasse faire le tour du propriétaire ? Ou que je te ramène à ton dortoir ? Si tu loupes le couvre-feu ici, tu vas te faire démonter par les surveillants. Crois-moi, ils sont très relou sur le sujet.

Il se redressa et décolla sa main du mur. Il rangea sa main gauche dans la poche et lui tendit doucement celle de droite pour la saluer.

- Moi c’est Dario.
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Sphaérah
Invité
Anonymous

Rp abandonné (tout public)
Sam 20 Mai - 17:07
Sphaérah
Sphaérah Zammit
Ancien membre
Aller! Il faut que je trouve un moyen de m'en sortir vivante! Souviens-toi de chose qui pourrait t'aider dans ce genre de situation.. hmm il faisait comment kung-fu panda.. euh.. raah non il faut trouver quelque chose de plus concret..! Hmm une astuce de grand mère pour se sortir de se genre de situation! Rah.. que me disais ma grand mère...? ~C'est dans les vieux pots qu'on fais la meilleure soupe~ Décidément je n'avais rien pour m'aider a sortir de cette malheureusement situation dans laquelle je m'étais mise. Il était a présent nez à nez avec moi tandis qu'il me bloquait de la seule issue avec son bras. Il rapprochait son visage du mien comme dans les films d'horreurs mais plus il se rapprochait plus sa devenait.. gênant? Il voulait m'embrasser ou quoi? Tiens donc? Il ne bouge plus. Alors je suis sauvée?

Son expression avait totalement changer puis il se mit enfin a parler.

- Ce n’est pas très malin de chercher les problèmes pendant son premier jour. Tu pourrais énerver quelqu’un de moins indulgent que moi.

Je le regardais avec un air de repentie et je me grattais la tête en lui disant

-Bah en faite ce que je visais c'était euh..-

Je faisais une tête de chien battu et je rentrais ma tête dans mes épaules en fermant un oeil et je sortais un :

-Toi..-

presque inaudible, puis il se mit a s'afficher un petit sourire moqueur , il y avait de quoi j'avais l'air ridicule devant lui comme ça.

- Tu as l’air de t’être complètement paumé. Tu veux que je te fasse faire le tour du propriétaire ? Ou que je te ramène à ton dortoir ? Si tu loupes le couvre-feu ici, tu vas te faire démonter par les surveillants. Crois-moi, ils sont très relou sur le sujet.

Au moins il l'avait remarqué et j'avais pas besoin d'aborder quelqu'un pour demander mon chemin! Peut être que j'allais enfin me faire un ami finalement la tension avait l'air d'être retombé et ce garçon avait plutôt l'air sympathique malgré les apparences. Je me grattais davantage derrière la tête et affichait un sourire un peu gêné.

-Le.. le couvre feu? Euh.. c'est que j'ai signé pour mon admission mais.. j'ai pas lus les règles hehe.-

Je regardais le sol pas très fière de moi tout en tournicotant mes chevilles

-Et.. oui je suis complètement perdue.. je voulais me poser au dortoirs mais.. je ne les trouves pas.. et le réfectoire non plus..

Il me tendait sa main puis se présenta à moi

- Moi c’est Dario.

Hmm Dario ? C'était bizarre comme prénom.. m'enfin après je pouvais parler moi aussi. Oh c'est vrai qu'il me tendait la main mais à ce moment là j'avais pas vraiment compris ce que je devais faire avec vu que j'étais encore un peu retournée a cause de la situation, alors je lui ai simplement donner ma main comme on le faisait dans les écoles quand on était petit pour traverser la route. Je replaçais ma mèche derrière l'oreille en lui faisait un petit sourire.

Moi c'est Sphaérah! Ravie de te rencontrer!
Hmm finalement j'avais peut être bien fais de lui jeter cette boule de papier.. sinon il ne sera peut être pas venue m'aborder en y repensant je ne m'étais même pas excusée auprès de lui au fond c'était peut être la chose a faire eheh je suis une génie parfois! Et hop nous étions parti faire le tour du propriétaire et j'en profitais surtout pour observer le jeune homme qui m'intriguais tant, il était vraiment tatoué de partout, c'est pas que je n'aimais pas ça mais il en avait vraiment vraiment beaucoup, ça me brûlait la langue et je ne pouvais me retenir plus longtemps des question.

-Eh donc euuh... les tatouages c'est grave ton délire? Fin.. t'en as vraiment partout on voit pas ça tout les jours!-

Je le regardais de manière très indiscrète car je scrutais les moindres recoins qui laissait paraître un bout de dessin. et puis il avait aussi pas mal de cicatrices, alors c'était un bagarreur c'était peut être pour ça qu'il s'était retrouver ici.

-Et.. euh.. le bout d'oreille qui te manque c'est pour le style?-

Ca faisait bizarre mais en même temps.. moi je trouvais ça classe, plus les gens étaient différents plus ils sont intéressant j'imagine. Je continuais de le scruter a la recherche de nouveaux petit détails , avec lui j'avais de quoi faire!
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Dario
Invité
Anonymous

Rp abandonné (tout public)
Mar 23 Mai - 20:42
Dario
Dario Alvarès
Ancien membre
Le jeune délinquant mettait un point d’honneur à ne pas poser trop de questions personnelles. Il estimait que les gens parlaient d’eux-mêmes quand ils se sentaient prêt. Ainsi, il se contenta de glaner des informations sur sa nouvelle camarade comme il le pouvait : sa façon d’être et de parler mais surtout, ce qu’elle disait.

Si personne ne lui avait rabâché trois fois le règlement intérieur pendant son premier jour, c’est qu’elle ne venait définitivement pas du programme Forge. Il ne restait donc que le programme Potion, celui des personnes à trouble psychologique. Voilà qui rendait la question encore plus personnelle. Le garçon se retenait d’y faire allusion, mais sa curiosité était difficile à intérioriser.
Lorsqu’il tendit la main pour la saluer, la jeune fille prit ça pour une invitation à la tenir, comme s'il allait se promener avec une enfant ou… Une petite amie ? Dario se moqua intérieurement de son imagination un peu trop fertile. C’était certainement une simple habitude d’être tactile avec ses amis, aussi récents soient-ils.

Et voilà que les deux cas sociaux visitaient le centre de redressement, main dans la main. Sphaérah ? C’était un prénom pour le moins étrange, qu’il entendait pour la première fois.

- Sphaérah… ? C’est joli mais, ça vient d’où ?

Une certaine légèreté et un début de bonne humeur relative avait remplacé la morosité du jeune homme. Lui ne faisait pas trop attention à son interlocutrice, se concentrant sur la visite qu’il allait lui faire faire, lançant quelques fois un regard noir à quiconque les dévisageaient un peu trop.

- Du coup ici c’est le deuxième étage du bâtiment principal, où se passent tous les cours d’art et de langue, y compris l’anglais.

Il s’arrêta un instant et tourna la tête vers Sphaérah, qui elle semblait le regarder sous toutes les coutures, et n’avait aucun filtre sur sa curiosité. Il sourit

- J’aime bien les tatouages, ouais, mais c’est surtout par tradition dans les gangs au Venezuela. Tout le monde est tatoué de partout. A chaque nouveau rang, chaque nouveau crime, on avait le droit à un tatouage pour l’afficher. La plupart sont simplement là pour l’appartenance et la loyauté au groupe...

Dario n’hésitait pas à jouer carte sur table. Autant lui dire tout de suite quel genre d’homme il était, il ne voyait pas l’intérêt de mentir à ce sujet. Il regrettait certains de ses crimes, et maudissait la plupart de ses anciens collègues, mais au final il était fier de son passé. Tout cela l’avait endurci, avait fait de lui l’homme qu’il était aujourd’hui. Et après tout, si Sphaérah n’était pas capable de supporter la simple vérité sur ses activités passées, elle ne supporterait de toute façon pas de rester auprès de lui bien longtemps.

- Pour le style ?  - Il éclate de rire un bref instant – Non, c’est une balle qui m’a pris un petit bout en passant près de ma tête. Je l’ai échappée belle ce jour-là, quelques centimètres plus à gauche, et…

Il imita avec ses mains quelqu’un qui se tir dans la tête, bruitage y compris, un sourire narquois sur les lèvres qui avait toujours ce petit côté carnassier un brin effrayant. Se prenant au jeu et bien content de tenir la douce main d’une jolie fille, il se remit en route en lui tirant doucement le bras pour lui indiquer de le suivre à nouveau.

- Aller, viens ! Je vais te montrer les salles du premier étage, juste en dessous !

Cette fois, le jeune homme lui aussi lançait régulièrement des petits regards à sa camarade, l’œil pétillant de curiosité. Lui demander pourquoi elle était là lui brûlait les lèvres, mais il se retint pour le moment.
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Sphaérah
Invité
Anonymous

Rp abandonné (tout public)
Mer 24 Mai - 22:00
Sphaérah
Sphaérah Zammit
Ancien membre
- Sphaérah… ? C’est joli mais, ça vient d’où ?

-Beh jsais po trop.. mes parents devait avoir de l'imagination ou alors mon père devait avoir bu-

Plus je l'observais plus je le trouvais gentil après tout les apparences sont souvent trompeuses j'avais ainsi donc du mal a comprendre pourquoi tout les autre le fuyait comme la peste, en général il suffit d'apprendre a se connaitre.. c'est du moins ce que m'a mère m'avait bien enseigner. Il me montrait chaleureusement chaque recoins mais pourtant.. j'avais du mal a me concentrer il était un objet de distraction bien trop important pour que je m'en détache. Il répondait donc a mes questions.

-Tu faisais partie d'un gang? comme dans les films? Alors tu as commis beaucoup de crimes..?
Et.. tu as.. tuer des gens?-


Il me paraissait d'un coup monstrueux.. ses déclarations m'avaient fais froid dans le dos. Alors ce gars là était un tueur? Et il faisait parti d'un gang.. j'avais un peu de mal a y croire mais il ne s'est pas retrouvé ici par hasard. Et puis s'il venait vraiment du Venezuela alors ce n'était pas impossible tout compte fait.. Je gardais tout de même espoir il ne s'était peut être pas volontairement embrigadé là dedans.. après tout on a pas forcément le choix, mais je me retenais de le lui demandé pas peur de la réponse. De mon autre main je lui tripotais alors l'oreille après que celui-ci m'ai a merveille reproduit les geste de la scène avec une bande son qui lui était propre.

-Oh.. ça a du faire mal.. Tu en as eu de la chance! Enfin.. au final.. Ca te fais mal si on te tire l'oreille?-

Il continuait la visite en me faisant visiter les salles du premier étage, c'était vraiment immense comme j'étais sensée m'y retrouvée toute seule après moi! Sachant qu'après cette visite guidée j'aurai assimilé 20% de tout l'établissement et encore je n'étais vraiment pas très attentive car ce n'était au final plus l'établissement qui m'intéressait mais ce garçon. Je me mis a m'arrêter de marcher tandis que je le retenais avec ma main en le regardant dans les yeux.

-T'aimais ce que tu faisais avant..? Enfin.. ça te dérangeait pas plus que ça de tuer?-
J'étais très mal a l'aise en lui posant ses questions mais j'avais besoin de savoir a qui j'avais réellement a faire, peut être que je m'embourbais dans quelque chose de dangereux en restant avec lui alors je continuais a laisser libre cours  a ma curiosité , il n'avait vraisemblablement rien à cacher alors tant qu'a faire.

-Et... tu penses que tu vas encore tuer des gens? Désolé.. c'est juste que j'aimerai ne pas me retrouvée égorgée un jour au petit matin parce que je t'aurai envoyé un autre objet au visage hehe-

J'essayais de détendre l'atmosphère ainsi que moi même pour éviter de froisser le bonhomme a qui je tenais encore la main. En le regardant de plus près, je commençais a éprouver de la peine pour lui, il était si jeune et avait sûrement vécu déjà tant de choses horribles.. je ne savais pas que l'on pouvait être admis si jeune dans un gang. Peut être qu'il n'a pas eu d'autre choix que de tuer? Il n'est peut être pas quelqu'un de mauvais.. après tout l'homme doit parfois tuer pour survivre ou pour sauver les siens.. au fond ça peut être légitime surtout dans ces conditions.

Je me rapprochais de lui en posant délicatement ma main sur sa joue et en effleurant du doigt les cicatrices de ses lèvres ainsi que celles de ses sourcils. Il me regardait bizarrement et c'était compréhensible j'étais touche a tout faudra s'y habituer!

-Comment tu les as eu? tu t'es battu? Oh si jamais je pose trop de question dit le moi, je ne voudrais pas t'agacer avec tout ça-

Je repris la marche comme pour essayer de passer a autre chose tout en  serrant sa main un peu plus fort et en lui lançant des regards qui pouvaient laisser transparaître une certaine inquiétude de ma part a son égard
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Dario
Invité
Anonymous

Rp abandonné (tout public)
Sam 27 Mai - 18:16
Dario
Dario Alvarès
Ancien membre
En choisissant d’être honnête, Dario avait apparemment ouvert la porte à toutes les questions. Comme il s’y attendait, la demoiselle c’était refroidie… Mais elle n’était pas non plus partie en courant. Elle avait l’air inquiète, mais continuait de poser des questions en restant prêt de lui, preuve qu’il n’était pas si effrayant qu’on voulait bien lui faire croire. Sans préavis, elle se mit à lui tripatouiller l’oreille abimée mentionnée juste avant, provoquant un petit mouvement de recul par réflexe.

- Non… Tuer des gens, c’était très rare au final. C’est arrivé qu’une fois ou deux, quand j’avais pas le choix. L’oreille me fait plus mal depuis longtemps… Mais faut éviter de la toucher sans demander !

Il se saisit un peu fermement de sa main et la baissa doucement pour l’éloigner de son visage. Derrière le ton moqueur un peu forcé de Dario, on pouvait deviner qu’il n’avait pas vraiment apprécié la chose. Envahir son « espace personnel » était quelque chose qu’il ne supportait pas, car par le passé c’était quelque chose qui signifiait souvent se prendre un coup dans la tronche.

Soupirant brièvement, il décida de reprendre la visite, comme promis. Soudain, il sentit que Sphaérah s’était arrêtée de marcher, tirant légèrement le bras raccordé à la main qu’elle tenait toujours. Il s’arrêta et se retourna, plongeant alors son regard dans le sien. Elle le fixait dans les yeux d’une façon soudainement intense, lui demandant s'il regrettait ce qu’il avait fait, et s'il avait prit plaisir à tuer.

Une grimace de mécontentement peu subtile s’étira sur son visage.

- J’aimais l’argent, j’aimais le respect. Tuer… Non, ça ne m’a jamais amusé. J’te l’ai dit, je le faisais que quand c’était ma vie ou celle de l’autre. La plupart des frères se foutaient de ma gueule à cause de ça.

Par habitude, il avait appelé ses anciens collègues « frères », surnom qu’ils se donnaient tous pour donner l’illusion d’une relation profonde qui n’était pas purement basé sur l’appât du gain et de la violence… Mais c’était bien évidemment de l’esbroufe. Ses muscles étaient tendus, et ça se ressentait sûrement sur la main qu’il tenait encore.

- Après ce qu’ils m’ont fait… Non, je ne recommencerai pas. Mais si un jour on en revient à ma vie ou celle d’un autre… Je ne me laisserai pas faire.

Essayant d’apaiser la soudaine tension, il se força à afficher un bref sourire et à parler sur un ton sarcastique :

- N’essaye pas de me butter et on restera bons amis.

Ignorant complètement sa demande de ne pas lui toucher le visage sans crier gare, la demoiselle s’aventurait maintenant sur ses cicatrices, les effleurant avec ses petits doigts délicats, tout en lui posant toujours plus de questions. Il décida de prendre son mal en patience et de faire un effort, et de la laisser faire pour le moment. Apparemment, c’était plus fort qu’elle.

- Ah ça, je me les suis pas faites pendant un atelier d’origami, c’est certain… Mais j’ai du mal à me rappeler exactement.

Pendant qu’il répondait, la nouvelle avait repris la marche, en lui tenant la main toujours plus fermement, avec un air inquiet maintenant qu’elle connaissait la vérité à son propos.

- Les questions me dérangent pas… Mais ça va être à ton tour d’y répondre un peu. Toi t’es là pourquoi ?

Dario avait décidé de laisser de côté son habitude qui voulait laisser les gens parler d’eux même, car il estimait maintenant que l’échange n’était pas très équitable. Lui aussi avait gagné le droit à quelques informations, maintenant. Son expression était redevenue neutre, mais on sentait qu’il prenait du plaisir à continuer cette petite balade.

Sans s’en rendre compte, il caressa doucement la main de Sphaérah avec son pouce, un réflexe malheureux qu’il avait acquis avec sa seule vrai petite amie, dans son pays d’origine.
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Sphaérah
Invité
Anonymous

Rp abandonné (tout public)
Lun 29 Mai - 20:52
Sphaérah
Sphaérah Zammit
Ancien membre
Après avoir eu réponses  à toute mes questions j'étais un peu plus rassurée après tout il ne pouvait pas qu'être un tueur de sang froid comme je m'en doutais c'était légitime , peut être que moi aussi j'aurai dit tuer si un jour il en allait de ma vie ou celle d'un proche? En tout cas il n'avait pas l'air d'apprécier le fait que je le tripote, j'y peux rien c'était pas contrôlé.. m'enfin! Il tentait de détendre l'atmosphère en faisant de l'humour sur certaine des questions indiscrète que je lui posais. Quelque part ça me rassurait qu'il choisisse ce format de réponse je me sentais plus a l'aise. Il venait d'affirmer que les question de le dérangeait pas , au moins ma curiosité compulsive ne l'avait pas froissé, c'est vrai que en y réfléchissant je ne lui avais même pas laisser le temps d'en placer une alors il se mit sûrement a profité de l'occasion pour me demander les raisons de mon arriver a Indare. Autant faire simple et rapide je n'avais pas grand chose a raconter de toute façon.

-Bah les docteurs on dit que j'avais un problème dans ma tête alors.. ils m'ont envoyé ici ou ils pensaient que ça serai le plus approprié a mon traitement-

Je faisais de drôle de mime en enfonçant a moitié mon doigt dans le crâne pour alimenter la réponse. J'étais un peu gênée je n'avais pas grand chose a lui raconter lui qui avait vécu tant de chose, et je ne voulais surtout pas instauré de blanc je voulais malgré tout être son amie je me creusais la tête pour trouver quelque chose a dire mais quoi.. Hmmm réfléchis.. je devrais éviter de lui poser trop de question sinon a la longue il finirait pas s'agacer alors il faudrai que je parle de.. moi? Raahh mais qu'est ce que je pourrais lui dire... Je suis vraiment une nullos en relation sociale..

-Je.. je viens de la campagne alors.. je connais pas grand chose de la ville et encore moins de ces grands établissement , moi j'étais dans des toute petites écoles.. il n'y a qu'en arrivant au lycée que j'ai découvert ce genre d'endroit mais ça n'a été que très bref.. alors je me perds facilement. Je te remercie encore de m'aider a trouvé mes marques et.. puis..-

(Aller prend ton courage a deux mains tu peux y arriver! C'est pas la mort et il n'y a pas de raison qu'il te dise non! Il est gentil au final non? Et puis toute seule tu vois bien que tu ne t'en sortiras pas ici! Vas-y Fonce ALLER!) J'avalais ma salive et je rassemblais toute mes forces pour prononcer ma demande.

-Tu veux bien être mon ami?-

Je devenais toute rouge et c'était facile a discerner vu la pigmentation si pâle de ma peau je n'osais même plus le regarder avant que celui-ci ne se prononce. Peut être que pour lui c'était ridicule et il a l'air sûrement même en rire. Mais pour moi c'était important j'avais besoin de gens autour de moi et les avoir en tant qu'amis était un grand plus , j'avais besoin de leur aide et de leur soutien et pourquoi pas plus? Même si ce garçon avait peut être du sang sur les mains.. pour moi cela ne faisait pas de lui une mauvaise personne , même les animaux que je chéris tant doivent parfois commettre de atrocités pour leur survie. Et pour la mienne , dans ce milieu qui m'était inconnu j'avais clairement besoin de quelqu'un comme lui.
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Dario
Invité
Anonymous

Rp abandonné (tout public)
Mar 6 Juin - 19:09
Dario
Dario Alvarès
Ancien membre
La nouvelle était donc bien là dans le programme potion, pour des troubles mentaux. Mais Dario n’arrivait pas à déterminer si elle était volontairement vague, ou si elle-même ne comprenait pas vraiment la nature de ses problèmes…
Le garçon frottait l’arrière de son crâne à son tour, incapable de trouver une réponse ayant beaucoup de sens face à une telle déclaration.

- Ah… C’est… C’est con de devoir en arriver là. Mais c’est mieux que de rester toute seule et de ne rien n’y faire. Tu verras c’est pas si mal ici. Et si t’es pas un ancien pourri comme moi les surveillants et les profs sont assez cools.

Il y eu un petit flottement, un petit moment de silence gênant. Les deux nouveaux compagnons d’infortunes ne savaient plus trop quoi dire pour relancer la conversation. Soudain, Sphaérah semblait avoir rassemblé son courage et parti pour un petit monologue à propos de son arrivée récente en région civilisée. Un petit sourire en coin se dessina à nouveau sur le visage du jeune hispanique, qui ne connaissait que trop bien ce sentiment.

- J’te comprends, avant d’arriver en Angleterre il y a deux ans, j’avais connu que les coins paumés et les favelas du Venezuela. Ca fait tout drôle de…

La jeune fille lui coupa la parole, et, avec une soudaine force de volonté dans le regard et dans son timbre de voix, lui posa la question la plus innocente que Dario avait jamais entendue de sa vie, si bien qu’il leva un sourcil en affichant un air surpris. La demande sortait de nulle part, et tout comme sa réponse à propos de son état, semblait étrangement naïve pour une fille de cet âge. Apparemment, c’était comme ça qu’elle était, tout simplement. La demoiselle était devenue toute rouge et détournait les yeux comme si elle venait de lui demander la chose la plus embarrassante qui soit.

Dario se retint de toutes ses forces d’éclater de rire. Mais pour une raison qu’il ignorait et dont il n’était pas vraiment conscient, il voulait éviter qu’elle ne se sente encore plus mal que maintenant. Il se frotta la bouche et le menton furtivement pour désamorcer son réflexe moqueur et afficha à nouveau ce sourire mi-charmeur, mi-carnassier qui lui était propre.

- J'me disais qu’on l’était déjà un peu par la force des choses, mais si tu veux, on peut dire que c’est officiel.

Il se rendait compte que cette réponse mêlait une petite part de pitié. La jeune fille avait effectivement l’air d’avoir besoin de rester avec quelqu’un. Mais ça ne le dérangeait pas, et sa réponse était tout ce qu’il y avait de plus sincère. S’il y a bien une chose que Dario n’hésitait pas à faire, c’était à dire aux gens qu’ils l’emmerdaient ou qu’il ne voulait pas rester avec eux. Essayant de la rassurer et de désamorcer sa timidité, il lui tendit à nouveau la main.

- Tu viens ? La visite est pas terminée. Si on traine encore tu vas louper le couvre-feu !
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