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Sebastien
Invité
Anonymous

Rp terminé (tout public)
Mar 25 Avr - 5:38
Sebastien
Sébastien Nadeau
Ancien membre
Depuis le matin que j'avais le pré-sentiment que mon autre côté sera actif, je ne me sentais pas dans mon état. J'avais voulu voir mon psychiatre pour y dire que ça va pas vraiment bien, hélas, il n'y était pas à son bureau. J'avais appris par la suite qu'il était malade auprès du directeur. Il m'a conseillé d'en voir un autre, mais j'ai refusé l'offre. Je ne voulais pas tout à devoir redire à un autre inconnu, encore moins ce que j'ai à l'intérieur. Tout à commencé avec un surveillant qui me confisque mes écouteurs, disant que je n'avais pas le droit. J'y avais dit à propos de mon psychiatre, mais il n'a pas voulu me croire. Toujours la même phrase à la bouche, la preuve, petit papier ou bien que ces juste que je ne veux pas écouter en cours. Même en y disant qu'il est malade, je n'aurai pas accès à ma zone personnelle dans mon esprit. J'ai été à mon cours pareil, jusqu'à ce qu'une fille me renverse son jus de raisin sur mon habit d'école, maintenant une grosse tache de jus de canneberge sur ma chemise. Je lançais un regard noir à la fille qui rigolait en s'excusant et sortis de la classe. La prochaine fois, je verserais mon encre de stylo sur ces vêtements, ou bien la poignardé ... Non, ce n'est pas le temps d'y penser.

J'ai été dans la salle de bains y frotter le plus que je pouvais pour retirer la tache bourgogne sur ma chemise, presque aussi pire que du jus de raisin. Encore plus pire lorsqu'il a été mélangé à de l'alcool, il y en avait une odeur dès que l'eau chaude eue contact avec mon tissu taché. J'allais revenir en cours, mais la porte était fermé, je venais d'y penser que lorsqu'on sort, on n'a pas la possibilité d'y rentrer. Je me suis dit que je suis coincé dans une prison entourée de gens ayant un caractère criminel pour les autres ou pour eux même. Je voulais juste vivre normalement, mais la vie ne m'a pas laissé cette chance. Cette journée était vraiment mal commencée, de toute façon, ils ne peuvent pas appeler mes parents, ma mère est morte et mon père en prison, mes grands-parents sont trop vieux pour se déplacer, il ne reste que moi-même. Mes amis ? Quels amis ? Ils sont tous partis ailleurs et leur parent m'interdit de me parler. Après il faut être heureux, qu'elle vit de cinglé.

Pour en rajouter, j'allais grimper sur le toit pour pouvoir, y accéder, avoir la paix, mais il avait déjà quelqu'un qui ces faits prendre la main dans le sac, donc vaut mieux laissé faire. Mon autre côté voulait faire son apparition, je le ressentais une énergie intense et colérique montée à l'intérieur. J'ai fouillé dans ma poche pour prendre mes écouteurs et ... FUCK ! ... Je hais cette école, pas moyenne d'être tranquille sans se faire passer pour un criminel alors que je veux juste être libre depuis le début. J'étais sensé être en cours, mais je n'en avais pas le goût. J'ai juste le goût de frapper .. Non, rêvé avec de la bonne musique ... Fuck la musique, j'ai un trou du cul qui a pris mes écouteurs, c'est lui que je devrais frapper, si je pouvais reprendre mon stylo pour le poignarder. Ça y est, j'en perds le contrôle. Ça me manque sortir tard la fin de semaine, j'ai l'impression de me faire punir par la raison à laquelle je ne suis pas normal à l'intérieur, on est sensé m'aider, pas m'emprisonner. Je n'aime pas ce lieu, si je me fais expulser, j'irais dans un lieu encore plus pire. J'ai un goût soudain de m'amuser, mais pas de jouer de façon positive.

J'ai senti mon visage afficher un sourire diabolique, mes yeux cessent de cligner, j'ai l'impression de perdre mon corps, finalement, c'est le cas, j'ai perdu le contrôle de mes mouvements, mon esprit ces mi en état neutre, je ne ressens plus rien.


Hmmm, j'ai le goût de me défouler sur quelqu'un. Il a beaucoup de choix dans cette école, il a les surveillants, des élèves, des professeurs, sinon il me reste toujours quelque fenêtre a brisé pour m'amuser, des sentiments a joué avec ? Pourquoi pas ! J'ai tout dans cette école pour être heureux ! Je suis retourné dans le pensionnat, je regardais quelque coups d’œil dans les classes, j'ai trouvé une personne parfaite pour m'amuser avec, il ne reste plus que ...

J'ai pu reprendre ma tête, ma main était presque sur la poignée de portes, mais qu'est-ce que j'allais faire ? J'ai couru en direction de la salle de gym, il avait de gros tapis roulé qui traînaient, j'en ai sauté sur un et je me suis défoulé sur le tapis pendant quelque instant. Le tapis était fait pour la gymnastique, fait pour encaisser des coups, seulement le revêtement arrachais la peau de mes jointures, la douleur et le sentiment de frapper sur quelque chose me faisais sentir plus librement. À la fin, le sang coulait sur le long de mes doigts, ça l'avait creusé dans ma peau et je m'étais rendu à la couche hypoderme, le sang ne voulait pas cesser de couler. Le tapis était intact, sauf des traces de sang dessus, je l'ai retourné pour pas que ça paraisse.

Je m'étais rendu en infirmerie, mais il avait un cours qui s'y passe, j'ai relevé mes manches pour pas me salir et gardé ma veste sur mon épaule, le sang avait coulé le long de mes avant-bras pour revenir sur le bout de mes doigts au fur et à mesure que je bougeais mes bras, je m'étais assis dans le corridor à côté de la porte, j'attendais que le cours finisse pour aller soigné mes blessures. J'ai pu reprendre le contrôle de mon corps, la sensation de douleurs sur mes mains me donnait l'impression de me vider de toute la colère, donc calmée mon autre côté. Son fait du bien, mais pas très chic à voir ... Mes genoux repliés pour y poser mes avant-bras dessus, laissant le sang couler, j'aurais pu aller dans la chambre de bain, mais ça ne me tentait pas, je préférais attendre que sa passe, me perdre dans mes pensées pendant un bon moment. Après on venait me dire que j'allais me faire des amis à l'école, ils ont oublié de me préciser que j'allais les perdre aussi.  
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Invité
Invité
Anonymous

Rp terminé (tout public)
Sam 6 Mai - 14:17
Invité
Naomi Lawford
Ancien membre

04 Mai
2017
Pas besoin d'aide...

Sébastien Nadeau

Ça fait cinq jours que je suis rentrée en Angleterre et trois que j'ai repris les cours à Indarë, et je crois que mon corps ne se remettra jamais du décalage horaire. Je n'ai pas vraiment la sensation d'être rentrée chez moi (soyons honnête une seconde : le Japon me manque. Genre beaucoup.) J'ai appris qu'on avait des étudiants étrangers, d'ailleurs. Pas de Yokuboo, ou en tout cas pas que je sache, mais pour l'effet nostalgique, c'est pas top.
Enfin ça me laisse au moins une excuse pour dormir en cours. "Désolée, rentrer du Japon m'a un peu crevée, il va me falloir un peu de temps pour me réhabituer". Et ça marche.

Bon, je me suis quand même endormie en cours d'anglais ce matin. Et en histoire, à l'instant. C'est pas de ma faute, le Japon a huit heures de plus que nous, du coup quand je me couche à 23h ou minuit, bah j'ai pas sommeil. Je suis déjà à moitié insomniaque de base, et là je rattrape tout en cours. Sauf que... autant ça a marché toute la semaine et avec la prof d'anglais, autant là vu qu'on avait une heure de permanence avant, le prof d'histoire a pas bien digéré mon excuse. C'est une façon adoucie de dire qu'il m'a virée de son cours, et que du coup j'en suis à errer dans les couloirs. J'ai envie de dormir. A cette heure-là... l'infirmier est techniquement dans l'infirmerie de l'ISS. Zut. Ça veut dire que je dois me traîner jusqu'à l'IRS si je veux espérer faire une sieste tranquillement – hors de question que je commence à me justifier.

Mine de rien, quand on est ultra-crevée, c'est pas évident de descendre du deuxième étage au rez-de-chaussée, de traverser la cour, le parc, regarder les dortoirs avec envie même s'ils sont fermés, juste pour atteindre l'IRS et les lits vaguement confortables de l'infirmerie.
Allez, courage, une sieste vaut bien ça.

L'agent de sécurité au niveau de la porte me jette un regard suspicieux en voyant mon uniforme. Il faut que je trouve une raison valable de ne pas être dans mon école à cette heure-là – il sait probablement que l'infirmerie ouverte pour le moment est celle de l'ISS donc je peux même pas dire ça. Heureusement, j'ai un joker familial imparable.

- Je viens voir Martel. Je suis Naomi, sa nièce.

D'un côté, c'est un peu faux. Enfin pour moi, vu que j'ai passé toute mon enfance à la voir tous les jours vu qu'elle était la meilleure amie de ma mère, c'est un peu ma tante. Maman est fille unique, et personne ne tenait plus le rôle de sœur pour elle que Martel. Il fronce les sourcils. Si Martel ne lui a jamais parlé de moi, je ne pourrais pas franchir ces portes. Mais je pense qu'elle s'inquiète assez pour moi pour avoir laissé des directives spéciales à mon encontre, non ?
Oui. Parfait. Il s'écarte pour me laisser passer en me déconseillant de traîner du côté des salles de classes. Comme si j'allais volontairement aller provoquer des gens ! J'ai eu ma dose d'élèves d'IRS pour un bon moment, c'est même pour ça que j'étais partie à l'autre bout du monde.

Bien, maintenant il faut que j'arrive à monter discrètement. Directives spéciales ou pas, si je me pointe dans le bureau de Martel pour lui dire que je me suis fait virer de cours et que j'ai besoin d'un coin tranquille pour faire la sieste, elle va me ramener à l'ISS par la peau du cou. Elle l'apprendra sûrement assez vite pour transmettre l'info à ma mère, mais pour l'instant j'ai une heure de temps libre devant moi. Peut-être même deux : j'enchaîne avec un cours de français et j'ai pas tellement la foi de m'y pointer non plus. On verra bien.

Je profite que les agents de sécurité s'occupent d'un élève en retard (merci mec) pour me précipiter dans les escaliers. J'espère qu'ils ne m'ont pas vue – ça risque d'être difficile à expliquer. Bon, où est l'infirmerie de l'IRS déjà ? J'y vais déjà pas très souvent dans ma propre école, alors dans l'autre... Heureusement que c'est indiqué, pour les pauvres ISS comme moi qui se perdent dans les couloirs. Premier étage à gauche. Très bien, ça m'évite d'avoir à monter un autre escaliers en douce. Ce qu'il faut pas faire pour une sieste, j'vous jure...

Ok, mauvais signe, il y a quelqu'un dans le couloir. L'infirmerie est déjà occupée ? Comment c'est po... Oh non, me dites pas que j'ai choisi la SEULE heure pour qu'il y ait cours !
Eh bah si, visiblement. Génial. Avec un soupir, je m'assois contre un mur. Je me serais sûrement endormie ici sans plus de réflexion si j'avais pas remarqué que le gars en face de moi était juste en train de pisser le sang.
Ok, il y a un truc qui va pas.

- Euh... Pourquoi tu vas pas à l'infirmerie de l'ISS si tu saignes comme ça ? Tu sais que le jeudi aprem c'est là-bas que c'est ouvert, non ?

Non parce que là il est parti pour attendre toute la nuit, l'infirmerie de l'IRS rouvrira pas avant demain matin. C'est l'inconvénient de n'avoir qu'un seul infirmier dans les deux écoles : il est obligé de jongler de l'une à l'autre.
Donc à moins qu'il ait l'intention de soigner ça lui-même, vaut mieux qu'il se bouge de changer d'école.
© Naomi
paroles en #006600
PS : Tu es à l'IRS, tu as une directrice, pas un directeur ^-^
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Sebastien
Invité
Anonymous

Rp terminé (tout public)
Lun 8 Mai - 6:53
Sebastien
Sébastien Nadeau
Ancien membre
J'étais parti dans mes pensées, laissant la douleur et le sang couler sur mes jointures. Je ne voulais pas continuer à vivre ainsi, obligé de se défouler sur un objet pour éviter d'en perdre le contrôle et de faire un meurtre ou un délit par une personne qui prend le contrôle du corps. Ma tête penchée vers le bas, j'ai senti une présence s'approcher qui ma sortie de la bulle, j'ai levé mes yeux cachés par mes cheveux. Elle ne venait pas d'ici, sur et certains vu sa couleur de son habit, une ISS. Elle fait quoi par ici ? Elle doit surement venir à l'infirmerie elle aussi. Elle était plutôt jolie, une blonde au yeux vert. Rare que j'en vois, mais très jolie. Ça voix se promène dans la tête en réveillant mes sens, jusqu’à ce que j'allume que ce qu'elle me dit était bien vrais. J'ai relevé ma tête, montrant ainsi mon visage a la demoiselle assise en avant de moi. Il est vrai que je vais devoir me relever et allé de l'autre côté. J'ignorais totalement ou est-ce qu'il se trouve du côté de l'ISS. De toute façon, ça ne m’intéresse pas de me faire dévisager par mon habit bleu, un IRS dans l'ISS, ça va juste me faire empirer. J'ai jeté un coup d’œil à mes mains, j'avais le sang qui avait commencé à faire une croûte aux alentours des lignes de sang et autour de la plaie. Ça va être long avant que ça guérisse. C'est sûr que je vais en parler à mon psychiatre pour mes écouteurs et de la journée que j'ai eue. Mes yeux se sont détournés vers la demoiselle en avant de moi, sortant ensuite ces mots sans panique.

Je l'ignore où il se trouve, de toute façon si un surveillant m'attrape, ils vont m'envoyer direct a l'infirmerie et ensuite surveillé tous mes mouvements pour éviter que je recommence.

Pourquoi pas faire un tour dans le lit dans l'infirmerie avec pour faire joujou ? À la suite de ces mots a la tête, je le sentis envahir mon corps pour le contrôler, j'ai pu le repousser, mais il m'a donné une de ces maux de tête, j'ai appuyé mon front contre la paume de ma main avec un œil fermé, le temps que ça se calme, lâchant un soupir douloureux. Ce n'est pas ma journée, j'espérais seulement qu'il se passera un truc positif, le seul moment positif dans la journée était ce petit moment dans ma bulle. Le reste sera à suivre. J'ai pu ouvrir mon œil après une douzaine de secondes après le soupir.

Je vais tenter de faire de quoi moi-même ... Disons que ce n'était pas ma meilleure journée.

J'ai laissé ma veste repliée glissé sur mon épaule et tomber au sol, il avait une trace bien visible de jus séché dessus, je n'avais plu le goût de le tenir avec moi, ça ne dérange pas qu'il se retrouve sur le sol, il est déjà sale par la tache dessus. Je l'ignore si ça va partir au lavage ce truc ... Je l'espère bien. J'ai haussé un sourcil en questionnant la demoiselle assise en avant.

Dit donc, qu'est-ce qu'une ISS comme toi fait à l'IRS  ? Je croyais que vous ne pouvez pas passer par ici.

Je me posais cette question depuis son arrivé, en plus qu'elle le savait que c'était fermé. Je croyais bien que tout était verrouillé pour pas nous laisser nous mélanger entre ISS et IRS. Ensuite, une petite lumière s'allume dans ma tête, j'aurais pu me présenter aussi, enfin bon, drôle de moment pour ce présenté, mais reste que ces toujours plaisant connaître nos noms de chacun, même si c'est pour quelque instant, ça peut toujours être utile pour plus tard. J'ai déposé ma main au sol, celui dont je soutenais ma tête avec et j'ai affiché un léger sourire, regardant toujours la demoiselle.

Je m'appelle Sébastien, désolé du moment et de la situation pour ce présenté.

Normalement, j'aurais bien y serrer la main signe de politesse, mais là, je ne peux pas vraiment le faire, je n'ai pas les mains en état d'en serrer d'autre. Ça m'apprendra à me détruire les jointures sur un objet. J'avoue que si je ne l'avais pas fait, je serais surement au poste de police en ce moment.
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Invité
Invité
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Rp terminé (tout public)
Mar 9 Mai - 16:31
Invité
Naomi Lawford
Ancien membre

04 Mai
2017
Pas besoin d'aide...

Sébastien Nadeau

- J'ignore où elle se trouve, de toute façon si un surveillant m'attrape, ils vont m'envoyer direct a l'infirmerie et ensuite surveiller tous mes mouvements pour éviter que je recommence.

Ok, deux choses. 1) C'est un Américain - j'ai vécu assez longtemps dans le pays voisin pour reconnaître leur accent, enfin en tout cas un de leurs accents - et 2) c'est un Potion. Je crois. Je pense, parce que s'il s'est fait ça lui-même, il a clairement dû être casé dans la catégorie des gens "dangereux pour eux-même". Et puis je suis désolée de dire ça, mais il a l'air un peu... bizarre ? Ouais. Ou alors il a des sacrées migraines. Mais bon depuis que je suis ici j'ai rencontré des schizophrènes, des hallucinés et des pyromanes, donc les problèmes mentaux je commence à connaître, c'est limite si c'est pas moi qui aurait besoin d'un petit tour à l'IRS, à force.

Il compte se soigner tout seul ? Ça risque d'être compliqué, avec les mains dans cet état. Ça serait quand même plus simple pour lui d'aller voir l'infirmier ou un médecin mais bon, je peux comprendre qu'il n'ait pas envie qu'on lui pose des questions. Surtout qu'aller à l'infirmerie de l'ISS ça implique de sortir du bâtiment et de traverser les deux cours plus le parc, ça fait beaucoup de risque de croiser quelqu'un, même si à cette heure-là les surveillants de l'ISS ne sont pas trop dans les couloirs.

- Ah si on peut venir, votre bibliothèque, votre cantine et votre infirmerie sont ouvertes aux deux écoles. Enfin techniquement je devrais être en cours, mais le prof d'histoire m'a virée parce que je dormais.

Et j'aurais bien repris ma sieste s'il n'y avait pas eu un cours dans la salle, d'ailleurs. Il faudra que je trouve un moyen de me cacher quand ils sortiront, parce que mon histoire de voir la directrice risque de pas être trop crédible à cet étage. J'espère juste qu'ils ne ferment pas la porte - j'ai pas pensé à ça, mais s'il y a des drogués dans leur école, ils doivent pas laisser les médocs à leur portées.

- Je m'appelle Sébastien, désolé du moment et de la situation pour se présenter.
- Moi c'est Naomi. Tu veux que je t'aide pour... soigner ça ?

Quitte à être là. Bien sûr ça implique de ne pas aller à mon prochain cours vu que d'ici l'ouverture de l'infirmerie pour la fin du cours, l'heure sera passée mais je me sens mal à l'idée de le laisser se soigner tout seul. S'il s'est défoncé les mains, ça va être coton pour faire des bandages...

- Ou alors, je te trouve une cravate et une ceinture rouge et tu te fais passer pour un élève de l'ISS le temps d'aller à l'infirmerie, si c'est ça qui te gêne.

Oui c'est sûrement écrit dans son dossier médical et oui ça risque de m'attirer des problèmes mais des fois, j'ai des éclats d'altruisme comme ça. Enfin je sais pas, vous feriez quoi en voyant un gars se vider de son sang, vous ?
© Naomi
paroles en #006600
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Sebastien
Invité
Anonymous

Rp terminé (tout public)
Mar 9 Mai - 18:27
Sebastien
Sébastien Nadeau
Ancien membre
Je regardais la demoiselle avec qui j'échangeais des mots avec elle. L'état de mes mains la troublait, je pouvais y voir par ces yeux, je l'avoue que ces normal de faire le saut en voyant ceci avec la petite flaque au sol qui s'agrandit très lentement, les gouttes qui tombent au bout de mes doigts. Elle m'apprend des trucs, j'ai jamais vraiment fait un tour au côté de l'ISS, évité d'avoir tout problème, maintenant ça me rassure que je peux y aller pour quelque truc. Sa ma fit sourire de l'entendre dire qu'elle ces faits expulsés de son cours car elle dormait. Classique, je me suis retourné vers ma chemise pour la prendre, la laissée pendre à côté de moi pour y montrer la grosse tache de jus séché.

Tu m'en apprends des trucs, je suis sorti moi-même, car une fille a renversé son jus sur ma veste, mélangé a de l'alcool, ça sent et ça l'a séché en un rien de temps, le surveillant a confisqué mes écouteurs que mon psy ma passé pour m'aider, mon psy n'est pas là et donc voilà, je suis rendu ici.

J'ai déposé ma veste au sol par la suite. C'est là que je me suis présenté et qu'elle ces présenté par la suite. Ça m'a touché de voir qu'elle l'offre son aide pour m'aider avec ces blessures. J'ai toujours guéri par moi-même par ma façon. Ma mère me l'aurait montré, si elle avait survécu à hémorragie pendant ma naissance ou bien mon père s'il n'était pas concentré à me frapper après, mes grands-parents m'en on montré un peu, mais c'était la base que je connaissais déjà donc ça ne m'a pas vraiment servis. D'un côté, je ne veux pas qu'elle manque son prochain cours, je l'ignore si les élèves de l'ISS ce trouve à avoir un certain temps d'absence toléré avant de se faire avertir, nous ces très minimes, j'en parlerais à mon psy des qu'il reviendrait.

Et bien, si ça ne te dérange pas, je ne te force pas non plus, je ne veux pas que t'aie des problèmes en m'aidant.

Alors elle s'appelle Naomi, son nom y va bien, je trouve. Ces par la suite qu'elle a dit sont idée de me trouver une cravate et ceinture rouge, c'est une bonne idée sur le coup, mais je le savais que ça l'aurait plus attiré de problème que d'autre chose, elle est gentille de m'aider au départ, donc je n'irai pas la mettre dans le trouble, j'ai fait un mouvement de non de la tête.

Ça ne me gêne pas, mais je ne veux pas te mettre dans un sale pétrin alors que t'essaie de m'aider, j'aime mieux rester ici.

La cloche sonne, je me suis relevé pour éviter de me faire piétiner par les élèves des qu'ils sortent. Ramassé, ma veste et la remettre sur mon épaule. Je me suis tourné vers la porte à côté. Il avait une fille qui marchait de reculons et son derrière est arrivé sur ma main. Elle ces retourné surprise avec un air choqué, j'ai reçu une de ces gifles qui a résonné dans le corridor. Ma peau de visage insensible, laissant aucune marque, habitué de recevoir des gifles de ce genre. Je vais la tuer la p*te !!! Calme-toi, si tu réagis, elle va juste continuer.

Tu retouches a mon derrière une autre fois et je t'arrache les couilles !

En premier apprend a marché de l'avant, deuxièmement apprend à frapper comme du monde, troisièmement apprend à excuser et après on s'en parlera.

Vous êtes tous pareil, tous des pervers !

Elle est partie par la suite, mon regard n'avais pas changé, ça ne valait pas la peine que je gaspille mon énergie pour cette fille, je devais juste rentrer dans le local, le prof avait sortis avec les élèves juste après, il cherchait un jeune homme avec une trace de mains sur le visage qui sanglote surement après avoir entendu une claque sur le visage comme celle-ci. Ça n'a pas pris de temps qu'il est parti voir plus loin, ces là que j'entre dans l'infirmerie et je fais signe de la tête à Nao de venir. J'étais habitué de manger des coups donc ça ne m'affectait pas. Je regardais un peu partout pour voir ou se trouve la trousse pour ce soigné.
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Invité
Invité
Anonymous

Rp terminé (tout public)
Mar 9 Mai - 20:02
Invité
Naomi Lawford
Ancien membre

04 Mai
2017
Pas besoin d'aide...

Sébastien Nadeau

De l'alcool ? A l'intérieur d'Indarë ? Cette fille va avoir des problèmes si elle se fait choper. Sûrement une alcoolique en dégrisement, ou une pseudo rebelle qui trouve ça amusant de boire entre les cours. C'est l'un ou l'autre. Mais je comprends mieux pourquoi il ne veut pas trop parler à des Castel, manquerait plus qu'il se fasse accuser à la place de la nana.
Il a l'air d'avoir eu son compte de mésaventures pour la journée, la vache. Et du coup il comble ça en se défonçant les mains ? C'est... original.

- Et bien, si ça ne te dérange pas, je ne te force pas non plus, je ne veux pas que t'aie des problèmes en m'aidant.
- T'inquiète, c'est un cours de français que j'ai après, c'est limite ma deuxième langue maternelle.

Bon, j'exagère beaucoup, là, parce que même en vivant dans la capitale du Canada, je suis restée dans un environnement majoritairement anglophone. Ma mère est anglaise et les cours en immersion depuis la primaire c'est bien gentil mais ça n'aide pas toujours à combler la dyslexie, surtout avec une langue comme le français qui a décidé d'avoir des orthographes anarchiques (l'anglais est pas mieux d'un autre côté). Mais bon, exagération ou pas, j'ai jamais raté un seul cours de français et j'ai une bonne moyenne, il devrait me pardonner un peu de retard.

- J'aime mieux rester ici.
- Comme tu veux.

Ca sera plus compliqué (j'ai peut-être porté un costume d'infirmière au bal de Mardi Gras mais je suis loin d'en être une, mais je devrais réussir à gérer s'il faut juste lui bander les mains. Et puis...
Euh, une seconde, il vient de se prendre une gifle ?
J'avoue que j'ai pas trop compris. Ni suivi. La porte s'est ouverte - interclasse de 5 minutes avant que je commence à être en retard - et quelques seconde plus tard une nana le giflait en criant un truc sans aucun sens.

- Vous êtes tous pareil, tous des pervers !

Soupir. Pile le genre de filles qui me tape sur les nerfs. S'il l'avait vraiment tripoté, je dis pas, mais là c'est évident que c'était un accident. Bon et puis, aussi, elle m'a à moitié bousculée en partant et je n'aime pas des masses qu'on me bouscule. Autant dire que si elle avait été à portée, je lui aurais bien balancé un petit coup de pied bien placé pour calmer ses ardeurs.
Ok, s'il y avait pas eu un prof à deux mètres, aussi. Je me contente de marmonner un truc qui ressemble vaguement à "si tu savais mieux placer ton cul tu n'aurais pas ce genre de problème", mais je crois pas qu'elle m'ait entendu. C'est pas grave, ça détend.

Le professeur me lance un regard surpris en apercevant mon uniforme, et je lui retourne juste un grand sourire innocent. Vu qu'il est occupé à chercher la victime de la gifle d'un peu plus tôt, il ne me prête pas plus attention que ça pour le moment, mais je sens que je vais en entendre parler, genre au prochain cours. Pour l'instant, je vais m'assurer que ma nouvelle connaissance ne se vide pas de son sang sur le plancher.
Alors... Je n'ai jamais mis les pieds dans cette infirmerie, et j'espère que le placard à pharmacie n'est pas verrouillé en l'absence du responsable, sinon à part de l'eau je vais pas pouvoir faire grand chose.

Je fouille quelques tiroirs du bureau qui trône au milieu de la pièce jusqu'à trouver ce que je cherchais : un peu de désinfectant, des compresses et un truc qui fera l'affaire pour lui bander les mains. Les médicament doivent être stockés dans un placard à part - compréhensible, vu l'endroit.

- J'ai trouvé ce qu'il faut.

Maintenant il faut que j'arrive à le soigner sans trop paniquer. J'ai pas peur du sang, mais par contre de lui faire mal, beaucoup plus. Je lui fais signe de s'asseoir sur un des lits et j'approche une chaise, prête à entamer mon travail de médecin amateur.
© Naomi
paroles en #006600
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Sebastien
Invité
Anonymous

Rp terminé (tout public)
Mar 9 Mai - 22:18
Sebastien
Sébastien Nadeau
Ancien membre

Je ressentais la zone chaude sur mon visage dû à la gifle, mais aucune douleur. Je me suis senti moins le seul a connaitre le français. J'ai pu apprendre le français rapidement avec mon père, enfin, j'étais obligé, m'enseigner à sa violence m'a poussé à l'apprendre le plus vite possible, je me suis demandé comment ma mère a fait pour sortir avec un imbécile comme lui. Je ne commencerais pas à me questionner sur lui, il m'a déjà détruit la vie ainsi, je vais plus me concentrer sur le présent, là, je dois trouver les trucs pour soigner mes mains, je n'ai pas le goût d'attraper une infection.

Le français, c'est ma deuxième langue, ensuite l'espagnol et l'anglais. Mon père était français, je devais donc parler la même langue que lui, je vivais dans un lieu anglais et les grands-parents a ma mère était espagnol.

Je me suis retourné avec elle en haussant les sourcils, j'avais regardé mon coin et j'avais seulement trouvé une bouteille d'aspirine pour calmer les maux de tête, j'ai pris la petite bouteille blanche et je me suis dirigé vers Nao avec la petite bouteille à la main.

J'ai trouvé de quoi pour mon mal de tête en même temps.

Je suis allé devant le robinet pour laver mes mains, retiré le surplus de sang qui se trouvait sur ma main, plus que le sang s'en va, plus que la plaie paraissait petite, mais plus profonde que prévus. Ça faisait mal, mais je pouvais m'y habituer, comme si j'allais pleurer pour une petite blessure. Je n'aurais pas dit sa si j'avais pu voir mon os dépassé, mais ce n'est pas le cas. J'ai épongé l'eau avec un mouchoir et je me suis dirigé vers Nao, le sang avait arrêté de couler pendant un moment, mais je le sais qu'il va recommencer, mais plus lentement. J'étais tout à fait calme et je regardais les trucs que Nao avait trouvés. Des compresses, désinfectant et des bandages pour mes mains. J'ai hoché la tête pour faire signe a la demoiselle qu'elle les a bien trouvée, tout ce qu'il faut pour soigner, sauf qu'il s'est jamais servi de bandage pour ces blessures, normalement, il les laissait guérir ou bien avec des pansements.

Tu sais comment te servir de tout ça ? J'ai jamais vraiment utilisé tout ça sauf le désinfectant.

Il a un grand homme qui rentre dans la salle, je me suis retourné et c'était mon psy, il voyait mes blessures à mes mains. Il restait avec un air sérieux comme toujours, s'approchant de moi et il tend sa main, il avait récupéré mes écouteurs et il me les redonne. Il avait un petit tatouage sous les yeux que je n'avais pas vraiment remarqué avant.

J'ai confirmé ton absence auprès de la direction, le prochain cours, tu sera avec moi, je te laisse te faire soigner, a tantôt.

Merci, à tantôt ..

J'ai regardé mes écouteurs et les remis dans ma poche, des petits écouteurs blancs sans fil, la batterie était encore bonne, heureusement. Enfin une bonne nouvelle. Mon psychiatre venait à peine de ce montré qu'il est déjà parti. Assez mystérieux, cet homme.

C'est mon psy, heureux que ça ne l'ait pas été une autre personne, en tout cas.

J'ai pris le désinfectant et je les ouvert, en mettant sur mes plaies, je serrais mes dents à la douleur qui envahissait mes jointures. Je me disais qu'au moins ça va guérir plus rapidement.

N'aie pas peur de me faire mal.
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Dim 14 Mai - 21:59
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Naomi Lawford
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04 Mai
2017
Pas besoin d'aide...

Sébastien Nadeau

Ça en fait des langues à connaître en même temps. J'ai un bon niveau en français mais je sais pas si je m'en sortirai si facilement si on me balançais en France sans personne pour m'accompagner. Quoique j'ai réussi à m'en sortir au Japon avec deux mois de cours, après tout. Et lui il parle trois langues, facile. Ça doit être génial d'avoir une famille multilingue et de savoir parler plusieurs langues sans avoir besoin de les apprendre, mine de rien.

Maintenant que j'ai tout mon équipement de soin, il faut que j'arrive à gérer. Je ne me blesse pas souvent, donc je n'ai pas franchement l'habitude. Soupir. Je vais y arriver.
Il a trouvé des médicaments ? C'est vraiment surprenant. Un boîte d'aspirines aussi facile d'accès dans une école pareille, c'est un sérieux risque pour la sécurité des élèves. Si quelqu'un essaye de se suicider en se gavant de médicaments, ils risquent d'avoir des gros problèmes, non ? Je devrais peut-être en toucher un mot à Martel avant qu'un de ses élèves plus instables ne fasse la même découverte.

Assise sur ma chaise, j'attends patiemment qu'il nettoie ses blessures. C'est sympa de sa part, parce qu'avec mes trois pauvres compresses et mon désinfectant, je suis pas sûre que j'aurais pas pu nettoyer tout ça. Depuis combien de temps il est blessé pour que ça ait coulé à ce point ? Ça n'a pas l'air hyper profond, a priori ça ne devrait pas laisser couler des litres de sang en très peu de temps, à moins qu'il soit hémophile. Ouais non, s'il était hémophile il serait à moitié mort, là.
Moi, tant que j'ai pas à jouer les couturières sur un corps humain, je devrais m'en sortir.

- Tu sais comment te servir de tout ça ? J'ai jamais vraiment utilisé tout ça sauf le désinfectant.
- Ça ira. J'ai pris des cours de self-defense.

Alors le lien est pas évident, là comme ça, mais autant j'ai pas l'habitude des blessures du genre sanglant, autant faire des bandages, je m'y connais, même si les miens étaient des bandages de soutien pour ne pas m'abîmer les mains ou les poignets.
J'étais en train d'ouvrir le paquet de compresses quand quelqu'un est entré. Sursaut. Mince, j'ai lâché le sachet. C'est qui, ce gars ? Un prof ? Je ferme un peu ma veste pour cacher mon nœud rouge, même si on voit la couleur de ma jupe à dix kilomètres. Mais il ne s'intéresse pas à moi. Il a l'air trop préoccupé par Sébastien pour se demander ce qu'une élève de l'ISS fait ici plutôt qu'en cours. Parce que vu sa façon de s'exprimer, c'est clairement un Castel.

Il avait parlé de ses écouteurs, tout à l'heure. Je me demande bien pourquoi ce type – son psy, d'après ce qu'il dit – lui donne ça. Moi, la musique, ça m'aide à calmer un peu le flot ininterrompu de pensées qui envahit ma tête 24/24h, mais lui ? Peut-être qu'il entend des voix, ça ne serait pas le premier que je rencontre à en entendre, après tout. Et si la musique fonctionne sur ma propre voix dans ma tête, sa doit fonctionner sur d'autres voix mentale.

Avant que je réalise, il est en train d'asperger du désinfectant sur les mains et, visiblement, il est de ceux à l'alcool. En même temps c'est vraiment qu'on est plus des mômes et qu'ils vont pas nous filer des désinfectants "qui piquent pas".

- N'aie pas peur de me faire mal.

Eh, facile à dire. Enfin bon. J'essaye d'aller doucement, histoire de ne pas lui arracher la peau, et j'étale le désinfectant sur la totalité de ses blessures avant de reposer ma compresse à côté de moi sur la chaise. Puis je déroule lentement la bande. J'ai l'habitude de le faire sur moi, ça devrait être encore plus simple sur quelqu'un d'autre.

- Comment tu t'es fait ça, si c'est pas indiscret ?

J'ai déjà dit que le silence me mettait mal à l'aise ? Le silence me met mal à l'aise. Si on oublie le fait que ça me montre encore plus à quel point je ne peux pas arrêter de penser, je sais pas, ça a tendance à m'angoisser. C'est un peu bizarre comme réaction, je sais. Mais je suis supposée me concentrer comment, si tout autour de moi est assez silencieux pour que j'entende les aiguilles de l'horloge ?
Mon dieu que je hais les horloges.

Soupir. Concentre-toi, il faudrait pas que je serre trop fort et que je lui coupe la circulation du sang non plus. Le but c'est que rien ne puisse aggraver ses blessures, pas qu'il perde temporairement l'usage de ses mains. Alors... couvrir ses phalanges sans lui bloquer complètement les doigts, comme j'apprenais à le faire pour pouvoir enchaîner un coup de poing et une parade. Hm...
Ouais, voilà, ça devrait aller. Normalement, comme ça, il ne devrait pas perdre plus de sang et ses mains devraient rester blanches et pas tourner au bleu.
© Naomi
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Sebastien
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Lun 15 Mai - 7:05
Sebastien
Sébastien Nadeau
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Ça me surprend qu'une demoiselle, venant de l'iss aie appris un cours en self-defence, elle a l'air d'être une fille qui va faire des sorties avec des amies, profiter de sa vie heureuse. Ces là que je le vois qu'on ne doit pas ce fier seulement sur les apparences. Il aura toujours un petit côté caché à l'intérieur de nous. Après la visite du psy, j'ai regardé mes écouteurs pendant un moment puis les remettre dans la poche de pantalon. Je crois qu'une fois que je vais sortir d'ici, je vais toujours les avoir dans mes oreilles, histoire que ça me calme et que je me stabilise totalement.

Après l'alcool sur les mains, ça brûle, mais je me dis que c'est un bon signe, que ça désinfecte. Par la suite, je la regardais faire le bandage. Elle y prenait vraiment soin à ne pas me le mettre trop fort, j'ai pris le temps de bien regarder comment le bandage est placé pour être capable plus tard de le refaire au cas où que ça l'arrive une fois de plus. Mon esprit a sursauté à la question. Je croyais savoir quoi dire pour y répondre, sauf que pour cette fois-ci, tout est relié à mon trouble, j'ai ouvert la bouche pour dire un truc, mais j'ai détourné mon regard et refermé par la suite. Qu'est-ce qu je vais y dire ? Je ne veux pas la mentir non plu. Je crois que je vais être obligé d'y dire. Je ressens la bulle à la gorge qui ne m'aide pas. De toute façon, je ne peux pas toujours le garder pour moi, toujours me renfermer me fait toujours mal à la fin. Toujours des regrets. J'ai pris mon courage à deux mains et je me suis retourné vers elle.
Embrasse-la ! Quoi ?!

En frappant sur un tapis de gymnastique, je n'aurais pas cru que le tissu m'aurait arraché la peau de la main.

La gorge m'a serré, les mots m'ont bloqué. J'ai donc pris une pause, j'ai ressenti les picotements du bandage sur mes jointures. Bon signe, je suppose. Mes mains ont recommencé à reprendre de la couleur, le sang à fini par cesser de couler après le bandage. J'ai regardé ma main de plus près. Je la fermai et l'ouvrais par la suite, le bandage n'était pas trop serré, mais juste assez pour pouvoir tenir en place. La blessure me faisait encore mal, les prochains jours, je vais rester calme avec pour aider la guérison.

Double personnalité, j'ai besoin de la musique pour créer ma bulle et m'aider. Le surveillant me les a confisquées au début de la journée, après les événements, j'avais une seule solution pour m'aider a gardé le contrôle de mon propre corps, je te laisse deviné par la suite quelle était cette solution.

J’avais enfin décidé de tout dire. Le stress ma envahis, j'ai tellement peur de dire ce genre de truc a quelqu'un, surtout lorsque cette personne est à l'Iss, elle doit surement jamais avoir connu ce genre de truc. Elle va surement le dire a tout le monde et je vais passer pour un cinglé ... Hey, je suis à l'IRS, je ne suis pas le seul à avoir ce problème. L'acte est fait, il ne reste plus qu'à attendre la suite, il arrivera ce qu'il arrivera. Sa ma fait du bien d'en parler, mais je ne veux pas non plu qu'elle me prend pour un monstre. Je venais de me rappeler que je n'y ai pas remercié de ce qu'elle ma fait. Ces là que j'affiche un sourire reconnaissant.

Merci de m'avoir aidé, très gentil de ta part.

J'espérais qu'avec ce sourire, ça changera cette image de moi, je ne voulais pas qu'elle pense que je suis une personne qui va juste penser avec ces poings ou bien toujours dépressif. Ces là que je me rends compte que je me disais que je m'en foutais de mon image, mais je fais juste penser a ça, depuis que j'ai tout dit. Je devrais juste laisser le temps allé.
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Ven 9 Juin - 22:44
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Naomi Lawford
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04 Mai
2017
Pas besoin d'aide...

Sébastien Nadeau

Il n'a pas l'air de vouloir me répondre. Boh, au pire tant pis. Tant qu'il ne se vide plus de son sang, surtout sur mes fringues maintenant que sa main est près de moi, ça me convient très bien. Toute façon vu comme il détourne le regard, ça a pas l'air très positif comme raison. Peut-être qu'il s'est battu contre quelqu'un, quoique je pense que ça aurait plutôt été du genre à lui abîmer les articulations qu'à lui arracher la peau.
Et maintenant il me regarde de manière bizarre, et pendant une seconde j'ai eu l'impression de voir quelque chose dans ses yeux... Quelque chose d'un peu flippant, pour dire vrai.
… Si c'est encore un Forge, je rentre au Canada.

- En frappant sur un tapis de gymnastique, je n'aurais pas cru que le tissu m'aurait arraché la peau de la main.

S... Sérieusement ? Il s'est fait ça lui-même ? Il lui est arrivé quoi, pour qu'il en vienne à se détruire les mains sur un tapis de gym – qui ne lui avait rien demandé en plus, j'imagine. Non parce que s'il s'est battu contre un tapis de gym en étant persuadé que c'est le tapis qui a frappé le premier...
Ouhla mais je pars trop loin là. Qui a débranché la logique dans ma tête ?
Enfin au moins j'ai réussi à lui faire un bandage correct. C'est un miracle avec cette foutue horloge qui ne veut toujours pas arrêter son bruit infernal.

- Double personnalité, j'ai besoin de la musique pour créer ma bulle et m'aider. Le surveillant me les a confisquées au début de la journée, après les événements, j'avais une seule solution pour m'aider a gardé le contrôle de mon propre corps, je te laisse deviné par la suite quelle était cette solution.

Wow... Il avait pas l'air de vouloir parler il y a cinq minutes et maintenant... Je... t'avais pas demandé de tout me raconter. Ça me met mal à l'aise, les gens qui me confient leurs problèmes. Enfin je sais pas, s'il y a bien un truc que j'espérais gagner avec toutes les rumeurs débiles qui circulent sur moi, c'est bien que les gens arrêtent de me confier des trucs intimes ou secrets. Paraîtrait que je sais pas les garder (c'est faux, la plupart du temps j'en écoute pas la moitié de toute façon, et puis j'ai autre chose à faire que les raconter après). La vérité c'est surtout que si on me dit pas que c'est secret, ça peut parfois m'échapper, oui.

Enfin bon moi ce que j'en dit c'est que j'ai une coloc suicidaire, l'autre qui invoque des démons, et que depuis que je suis arrivée ici j'ai rencontré un gars qui a tripoté ma poitrine en guise de premier bonjour, une fille qui m'a bouffé la main et un blondinet qui contrôle si peu sa colère que j'ai dû l'empêcher de tuer quelqu'un – entre autre, j'en oublie sûrement. C'est pas un gars qui s'écorche les mains sur des tapies (tant qu'il les pense pas vivants) qui va me choquer. Enfin pas trop.

- Merci de m'avoir aidé, très gentil de ta part.
- J'allais pas te laisser repeindre les couloirs. Le rouge c'est un peu agressif comme couleur, surtout dans une école comme la nôtre.

Oui bon j'essaye de faire des blagues et elles sont sûrement pas drôles, mais on s'en sort comme on peut.
© Naomi
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Sebastien
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Mer 14 Juin - 4:23
Sebastien
Sébastien Nadeau
Ancien membre
J'ai rigolé un peu face à cette petite remarque, j'ai pris un petit moment à examiné les bandages en fermant et ouvrant la main. J'étais bien satisfait de son aide, qu'elle ait prise son temps à m'aider ça m'a touché. Il a surement un truc que je peut bien y faire en retour, pour la remercier. Je l'ignore quoi, je ne la connais pas vraiment, a part qu'elle fait partie de l'ISS vue qu'elle porte du rouge. Mes yeux se sont retournés vers elle.

Je trouve que le rouge, c'est une couleur bien chaleureuse, une belle couleur, enfin, si elle ne sort pas d'un être vivante, sinon je l'ignore comment te le remettre, pour te remercier.

Je dis ça, mais je reste que le rouge sang est une belle couleur. J'avais gardé mon sourire en coin et je me suis étiré, histoire de me dégourdir les bras et les épaules. Je jetais quelque coup d’œil voir si on nous observe, mais il y avait rien, donc j'ai l'esprit tranquille, le prof qui était ici ne semble pas revenir tout de suite donc on a encore le temps un peu de ce parler, faire un peu de connaissance. Cette fille m'intriguait, mais qu'est-ce qu'elle faisait ici du côté de L'IRS ? Une question que je pourrais bien y dire. J'ai passé mes mains dans mes cheveux, les glissés derrière ma tête et m'étirer une dernière fois le dos. Remettre mes mains sur le long de mon corps. J'ai regardé l'horloge pour voir combien de temps, c'était écouler depuis qu'on est arrivé par ici, je me suis retourné vers elle en mettant ma main sur ma hanche.

Sans trop être indiscret à mon tour, tu fais quoi de notre côté ? Ça m'étonne de voir une demoiselle de l'ISS venir du côté de l'IRS avec tous ces fouteurs de trouble et les criminels qui te regarde, sans trop être direct, tu n'as pas peur de te promener par ici avec des criminels qui te fond de l’œil ? Je dis cela, car une jolie blonde au yeux vert ... *Difficile de parler, je suis tellement pas habitué de dire ça, pourquoi je le fait au fait ? Je ne peux pas faire demie tour, c'est trop tard, je vais devoir continuer* Qui passe par ici, j'aurais eu peur qu'on me saute dessus, personnellement.

Enfin finis de dire ce que j'avais à dire, la prochaine fois, je me la fermerais. Je dois plus décourager que d'autre chose en disant cela. Je me sentais mal a laisse de dire ça, je ne suis tellement pas doué pour parler aux filles, enfin, au gens tout court. Je dis plus les filles, car ça me stresse, je ne veux pas avoir une mauvaise image de moi, mais je le sais que c'est peine perdu en voyant mes mains qui pissent le sang avec cet habit bleu, sortant de l'IRS. Je me demande si ça se pratique parlé aux demoiselles, existe-t-il des cours pour ça ? Je serais curieux de savoir, mais qu'elle idée insensé m'a encore passé par la tête ? Je me stresse pour rien, je vais plus faire peur que d'autre chose, pour être une bonne personne, je dois être calme et parlé tranquillement, être respectueux ... Et bah, j'ai presque tout chié. Comme toujours ~ Mais ferme la bordel !
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Rp terminé (tout public)
Mer 21 Juin - 1:23
Invité
Naomi Lawford
Ancien membre

04 Mai
2017
Pas besoin d'aide...

Sébastien Nadeau

Bon, au moins je l'aurai fait rire, ça veut dire qu'il n'est plus dans l'état d'esprit qui l'a poussé à se détruire les mains sur un tapis de gym. C'est positif déjà. Pas que j'aie peur qu'il ait des pulsions de violence sorties de nulle part – j'ai vu pire, au moins c'est sur des objets qu'il se déchaîne – mais si je lui ai fait des bandages pour qu'il aille se refaire les mêmes blessures derrière, ça sert à rien. Donc rigole, oui, s'il te plaît, que j'ai pas fait tout ça sans raison. Si en prime je te remonte le moral, c'est tout bénef.

Et maintenant ? J'ai déjà loupé une grosse partie du cours, c'est même pas la peine que j'essaye d'y retourner. La prof comprendra... je pense. Au pire j'essaierai d'expliquer ce qui s'est passé, même si je doute que ça change grand chose. On me demandera ce que je faisais à l'infirmerie de l'IRS alors que l'infirmier était à l'ISS, et j'aurais quand même des problèmes. Bah, tant pis. La fin de l'année est proche et je n'ai pas séché un seul cours de l'année, ils pourront être indulgents, pour une fois.

Ce que je fais du côté IRS ? Je dois dire que ça me fait sourire. Peut-être que quelqu'un d'autre aurait eu peur d'y aller, en effet. L'uniforme rouge n'était pas toujours bien vu de l'autre côté. Moi... eh bien je sais me défendre. Il y a un mois, j'ai mis à terre un Forge qui pensait me maîtriser facilement parce que j'étais une fille et puis... et puis à bien y réfléchir je côtoie presque plus de gens de l'IRS que de l'ISS. Sûrement une histoire de destin, de karma ou je ne sais quoi d'autre.

- Je t'ai dit que j'avais pris des cours de self-defense, c'est pas quelques Forge qui vont me faire peur.

Ça dépend du nombre exact dans ce "quelques", mais au pire je peux toujours jouer la carte Martel (alias "si tu me touches, tu dégages, en prison sans passer par la case départ"), ou courir jusqu'à trouver quelqu'un qui leur fasse suffisamment peur pour qu'il recule.

- Mais sinon je cherchais un endroit tranquille pour faire une sieste. Dommage qu'il y ait eu un cours à l'infirmerie, j'aurais bien fini ma nuit. Le prof d'histoire a pas trop apprécié que j'essaye pendant son cours.

De toute façon, il part à la retraite à la fin du mois – il se privera sûrement pas de mettre plein de punitions dans les derniers jours, ça lui manquera une fois qu'il sera seul chez lui. Je vais sûrement me manger un avertissement ou un truc du genre. Tant pis. Moi je pars à la fin de l'année, comme ça tout le monde est content.
Enfin sauf mon taux de sommeil qui reste ridiculement bas.
© Naomi
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Sebastien
Invité
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Rp terminé (tout public)
Mer 28 Juin - 1:16
Sebastien
Sébastien Nadeau
Ancien membre
C'est vrai ! Je l'avais oublié, j'y avais déjà posé la question, pourquoi je l'avais oublié dans ce cas ? Sa doit être encore mes troubles qui me jouent des tours. J'ai haussé les sourcils en faisant un signe de tête pour dire que j'avais compris. Heureux pour elle qu'elle sache se défendre. Dommage qu'aujourd'hui, on doit savoir se défendre à cause de certaines personnes qui arrive pas à ce contrôlé, je ne suis pas mieux, mais au moins je me suis défoulé sur moi-même au lieu de sauter sur une personne. Je ne voudrais pas me ramasser du côté des forges. Il ne manquerait plu que me ramasser au plus bas dans l'IRS et me faire surveiller de partout. Encore moins de liberté, une raison de plus de tomber dans la dépression. Ce que je veux absolument éviter toutes ces situations à tout prix.

C'est vrai, désolé, je l'avais oublié, heureux de savoir que tu sais comment te défendre.


Je me suis penché un peu la tête de côté en la regardant dans les yeux, c'est vrai qu'elle semblait fatiguée aussi, la pauvre. Elle a été gentille avec moi, donc j'y offrirais un service de ma part. Si cela pourra être utile. Je finirai par trouver un truc. J'ai toujours été du style donnant donnant. Elle m'aide, je l'aide par la suite vue que j'y en dois une. J'ai regardé mes bandages quelque instants avant de relevé la tête vers elle.

Je vois, cela se voit que tu es fatigué, la peau un peu plus pâle et les yeux vitreux. Sinon je te remercie encore de ce que tu ma fait, je vais prendre soin de mes mains avec ce bandage. Vu que tu m'as aidé, il y a un service que je peux faire pour te rendre service ? Une aide qui sera utile, je peux te laisser te reposer ici, comme ça, tu pourras reprendre ton sommeil dans un lieu plus confortable qu'un bureau en bois dans une classe avec un prof casse-couille.

J'avais tiré la langue, histoire de taquiner un peu. J'avais dit une expression française avec le casse couille, mais elle devrait bien le comprendre vue qu'elle a dit que cela faisait presque partie de sa langue maternelle. Je me suis mis à tout rangé les trucs à leur place. Histoire de garder cela propre et faire comme si personne avait fouillé dans l'infirmerie. Rendre un peu service aussi. Je ne viendrais pas tout salir et partir comme si je n'avais rien fait. J'avais même pris un chiffon et j'ai essuyé ma trace de sang que j'avais laissé au sol, comme ça, tout est correct. Je n'ai pas essuyé la flaque en avant de la porte, de toute façon tout le monde ont marché dedans, donc hors de question que je vais commencer à nettoyer le corridor. J'avais repris un sourire en me retournant vers elle.

Après tout, je t'en dois une à présent, au fait, profite du temps que tu veux, on est près de la fin de l'année, cela ne fera pas trop de mal d'enfreindre quelque règlement, parfois vaut mieux en enfreindre quelque une pour faire le bien.
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Rp terminé (tout public)
Sam 15 Juil - 16:34
Invité
Naomi Lawford
Ancien membre

04 Mai
2017
Pas besoin d'aide...

Sébastien Nadeau

Je me demande ce qu'il pense de tout ça. Du fait que j'ai appris à me battre – enfin de me défendre. La plupart du temps, c'est quelque chose qu'on conseille aux gens qui habitent des quartiers pas très sûrs ou qui sont dehors tard le soir. Alors la proximité de l'IRS est, en soi, un quartier pas très sûr, mais ce sont les producteurs de la série – et ma mère, surtout – qui ont tenu à ce que je sache me défendre, au cas où un jour quelqu'un de mal intentionné me reconnaîtrait et voudrait mettre la main sur l'argent que je n'avais pas encore. Ou juste parce que la célébrité attire des cinglés. Je suis bien placée pour le savoir, et finalement je suis contente qu'ils m'aient fait apprendre toutes ces choses. Je ne sais pas où je serai aujourd'hui sans tout ça.
Sans doute dans cette école, mais avec l'autre uniforme.

Me rendre un service ? Je suis pas du genre à laisser les autres avoir des dettes envers moi, surtout pour quelque chose d'aussi normal et naturel. Et puis surtout... je ne vois pas vraiment quel genre de service il pourrait me rendre, en fait. Je n'aime pas demander des choses aux gens, je préfère les faire par moi-même.

- Je peux te laisser te reposer ici, comme ça, tu pourras reprendre ton sommeil dans un lieu plus confortable qu'un bureau en bois dans une classe avec un prof casse-couille.

Bah, vu que je viens de sécher mon dernier cours de la journée, à choisir...

- Ça ira. Les cours sont finis, je vais juste aller me poser directement dans ma chambre. Enfin dans la salle commune, puis dans ma chambre.

Pourquoi mettre la fin des cours à 15h20 et n'ouvrir les dortoirs qu'à 16h ? C'est un peu... chiant ? Ouais, c'est ça. Mais traîner dans l'infirmerie alors que l'infirmier va sûrement pas tarder à y revenir... non, ça me tente pas plus que ça, surtout que j'y suis depuis des heures où j'aurais dû être en cours, et j'ai la flemme de me justifier. Au moins, même s'il arrive maintenant, il ne viendra pas nous accuser d'avoir mis le bazar dans ses affaires, c'est toujours ça.

- Tu n'as pas besoin de te sentir redevable, tu sais. Je pouvais pas juste te laisser vider de ton sang dans le couloir alors que je sais comment panser des blessures.

J'ai sommeil. Je me relève de ma chaise pour remettre les deux en place, histoire que tout soit exactement comme c'était avant qu'on entre. Normalement, personne ne devrait trop remarquer qu'on est venus ici et qu'on s'est servis dans les placards.

- Si jamais tu as besoin, tu veux mon numéro ? Pour la prochaine fois où tu t'écorcheras les phalanges et où tu auras besoin d'un coup de main.

J'agrémente ma remarque d'un sourire – un peu fatigué, mais ça passe encore. Et puis comme ça s'il tient vraiment à avoir une dette envers moi, il aura un moyen de me contacter.
© Naomi
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Sebastien
Invité
Anonymous

Rp terminé (tout public)
Mar 31 Oct - 5:37
Sebastien
Sébastien Nadeau
Ancien membre
Elle était bien gentille, j'y en dois une ces sur, j'aurais fait sa plus croche de toute façon. J'y ai bien réfléchi à sa demande, j'allais refuser au début, mais si elle aura besoin d'un truc, elle pourra m'écrire aussi. Cela sera une bonne idée. Avoir besoin d'elle aussi ces sur, mais je ne veux pas qu'elle croie que je la prends pour un bouche-trou. Je me suis gratté le derrière de tête pendant un petit moment avant de hocher la tête pour accepter avec le sourire en coin.

Pourquoi pas, je te donnerais le mien aussi tant qu'à y être, comme ça, tu pourras faire de même, cela sera pratique ces sur pour la prochaine fois que je m'écorcherais les mains, ce qui risque d'être dans longtemps, mais à voir comment tu me les à fait, je vais être bon pour les faire moi-même à présent.


Il avait une petite guenille qui traînait au sol que je n'avais vraiment pas vu, en y mettant le pied dessus, la guenille y glisse sous le pied et y fait le grand écart avec les jambes avant de tomber sur le dos, les mains entres les jambes. Je ne m'y attendais tellement pas, j'ai senti le courant passer entre mes jambes, mon corps n'était vraiment pas près de subir ce tel sort. Montrant un doigt dans les airs avant de dire avec un peu beaucoup de douleur dans la voix.

Deux secondes s'il te plaît ...

Je me relève tranquillement, les mains toujours entre les jambes et ce pli en deux. C'était bien une des pires trucs qui pouvaient arriver à un homme aussi agile d'une barre en métal au niveau des jambes. Pour une journée de merde, ça les. J'espère que ça sera le dernier aussi, je m'écorche les jointures et maintenant le sac surprise. Je me relève le dos un bon coup avant de prendre une bonne inspiration et remettre mes mains sur mon bassin. Ce concentrant un peu pour ignorer la douleur des œufs craqué.

Ok ... La, c'est bon, presque .. Il doit y avoir un crayon et un papier quelque part.

J'ai tellement l'air idiot, je l'avoue. Avec tout ce qui m'arrive aujourd'hui, maintenant ça. Montrant un sourire maladroit, cachant la douleur qui parcoure encore son corps pour lui hurler que le restant de famille lui fait mal. Pourtant, je ne suis pas vraiment maladroit, mais la j'en bas des scores, je suis sûr qu'il aura quelque chose de plus pire qui va arriver plus tard, il y a toujours plus pire que ça, une chance que je n'ai pas perdu connaissance tant qu'a y être.
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