Histoire
Ma vie est vide, je suis né en Transylvanie, un petit pays de merde avec des parents de merde, et une vie de merde. Vous voulez que je m’explique un peu ? Je suis né dans une famille sans grande conviction, se cantonnant à leur vie banale d’institutrice et d’éleveur de cochon. Moi j’étais leur enfant. Unique certes mais paumé au milieu de cette vie misérable. Mon enfance a été un enfer, se faire réveiller tôt le matin par ce putain de coq, aller dans une école poisseuse ou personne ne me faisait chier car j’avais la tête d’un tueur en série à cause de mon manque de sommeil de mes cheveux noir et de mon sourire malsain. Je ne savais pas à ce moment que ma vie aller être marrante, tellement marrante que certains allaient même en mourir. Ceci n’est pas une blague.
Je pense que mon état a empiré à partir du jour ou mon père, ce gros connard, à commencer à me faire travailler à la ferme après les cours, j’avais six ans il me semble. Ce premier jour, ce FAMEUX jour même, j’ai vu cet enculé de coq. Il me connaissait bien le bougre. Quatre ans qu’il me faisait chier ! Alors ce jour, je l’ai chopé par le cou. Je l’ai déplumé vivant. Je lui ai arraché les ailes avec le premier caillou assez imposant passant par là. Ah si c’est possible, suffit juste de beaucoup taper ! Puis alors qu’il était en train de se vider de son sang dans la boue, j’étais en train de le regarder agonisant dans la boue un grand sourire aux lèvres. Mon premier problème venait de s’envoler. Enfin non parce que dans ailes il allait avoir du mal Ahah ! C’est marrant hein ? Non ? Riez ! Ou vous serez les prochains !
Je ne pouvais pas m’arrêter là, mais je devais prévoir mon avenir avant de réaliser mon fantasme …
Je me suis mis à faire des recherches sur un pays où j’allais pouvoir m’exiler, après il me suffirait de faire les yeux doux dans la rue, de me faire adopter et tout se passerait comme sur des roulettes. L’Angleterre. Pays très bien foutu économiquement, avec une vie plutôt agréable. Tout ce passerait bien là-bas. C’est en sautillant que je me suis rendu dans la chambre de mes parents, sous ce matelas qui avait tellement rembourré de laine était caché plusieurs milliers. Et j’allais refaire ma vie avec ça. Sautillant de nouveau jusqu'au salon, une corde dans la main et un couteau dans l’autre. J’allais tuer mon père, rapidement, il était dangereux. Plus grand que moi, plus fort, contrairement à ma mère qui était chétive. Ils étaient assis tous les deux dans le canapé, regardant la télé et toutes ces émissions abrutissante dans l’espoir d’y voir naître un avenir radieux. « Père, Mère je tenais à vous dire une chose. Je vous hais ! » Un grand sourire aux lèvres la lame de mon couteau trancha profondément la gorge de mon père, alors que ma mère choqué portait ses mains à sa bouche. Elle je lui réservais un sort spécial. J’allais m’amuser avec elle, lui montré à quel point ma vie a été pourris. Plutôt que de l’étouffer jusqu’à l’évanouissement ce qui aurait été bien trop long, j’optai pour une seconde solution, l’assommant violemment à l’aide et la lampe présente sur la petite table en marbre à côté d’elle.
Elle se réveilla attacher, moi devant elle. J’allais la torturer un peu avant de fuir vers ma nouvelle vie, enfonçant lentement la pointe du couteau dans son bras, uniquement de quelques centimètres. L’affublant de plusieurs trous. « Tss, en fait tu me lasse mère. » J’enfonçai donc la lame, lentement dans sa chair, au niveau du cœur, souriant de plaisir en l’entendant crier, en l’entendant supplier jusqu’à qu’elle rende finalement son dernier soupire. Maintenant j’allais devoir jouer la victime et l’enfant perdu à l’aéroport. Mon profil. Un jeune enfant anglais ayant perdu ses parents dans la foule lors de l’embarquement. J’allais devoir convaincre le personnelle et surtout éviter d’avoir besoin de donner un nom.
Je ne me rappelle plus trop de ce passage, mais comme vous pouvez-vous en douter maintenant que je suis directeur de L’ISS, j’ai réussi mon coup et je suis arrivé à Londres là-bas je n’ai pas mis longtemps à faire jouer ma bouille innocente en ma faveur. Dans la rue seul au monde avec uniquement mon sac. Une gentille personne m’a récupéré chez elle, m’a adopté et j’ai refait ma vie de façon beaucoup plus agréable. Cinq ans, c’est les années qui ont passé avant de je me laisse de nouveau aller à ma folie la plus pure. Cela faisait un an que je lorgnais sur une demoiselle de ma classe, mais elle voulait me résister. Grosse erreur de sa part car j’obtiens toujours ce que je veux ! Je l’avais observé depuis un an, j’avais appris ces habitudes par cœur, le chemin qu’elle utilisait pour rentrer chez elle, sa nourriture et ses activités. Notamment le fait que le soir pour rentrer chez elle, elle se plaisait à rester dans un petit parc, et c’est dans ce même parc que je l’ai suivis, puis je l’ai plaqué violemment au sol alors qu’elle regardait des fleurs. Un sourire aux lèvres, mon sac faisant un boucan infernal. Je ne sais pas encore pourquoi mes j’avais pris plusieurs bouteille en verre. Ma main s’abattit violemment sur sa joue, la lui fendant. L’immobilisant fortement d’une main, ma carrure imposante avait visiblement instauré la peur dans ces yeux, si bien que ces gigotements incessants laissèrent place à un tremblement incontrôlable de son corps. Elle avait peur et ça me donner envie de l’effrayer encore plus, sortant une lame de ma trousse, présente dans mon sac, alors que mes dents allèrent marquer son cou, ses lèvres, puis bientôt, au fur à mesure que mes mains retiraient son uniforme ses seins, et son ventre …
Je ne vous fais pas de dessin pour la suite des événements, cependant pour la suite de mon récit je dois vous dire que suite à mon petit plaisir sur ce corps délicieusement vierge, je l’ai tué ♥ Bah oui sinon ce n’est pas marrant, finalement dans ses petites bouteilles j’ai récolté son sang, j’aime le sang, ce léger goût cuivré, différent pour chacun d’entre nous. Ma seule erreur je pense a été de le ramener chez moi alors que j’étais la dernière personne à avoir été en contact avec elle. Ils ont inspecté mon domicile, trouver les bouteilles, et l’arme du crime chez moi, et bizarrement c’est moi et non mon père qu’ils ont accusé.
Mon procès c’est plutôt bien passé, je devais être de base enfermé à vie, et malgré que j’ai été jugé coupable, le psychologue qui a traité l’affaire a réussi à me sortir d’affaire en plaidant la folie (En même temps vu la somme d’argent que mes parents lui ont donné …) Ils ont donc décidé de m’envoyer dans une école, au frais de ma famille bien évidement spécialisé dans le traitement de cas comme le mien. Je dois avouer que j’ai presque vécu l’enfer la bas. A l’époque l’école était bien plus stricte, mais j’ai survécu. Après avoir vue que j’étais devenu plutôt stable mentalement ( YOU FOOL !) Ils m’ont embauché en tant que CPE c’est là que j’ai rencontré l’actuelle dirigeante de Indare. Je me souviendrais pour toujours de nos folies interdites dans mon bureau, alors qu’elle n’était même pas majeure. Nous n’avions que 8 ans de différence, rien de bien grave ! A sa sortie de l’école je l’ai épousé et depuis nous régnons d’une main de fer sur l’école qui a Forgé mon caractère. Que ce soit pour le bonheur ou le malheur des élèves …
.