Lane Watford

Je suis née dans l'hôpital de Londre, le 9 Février 2002 et depuis, je n'ai jamais quitté cette ville.

Mon enfance est une enfance comme les autres. Enfin non pas exactement, mon père est pdg d'une entreprise mondialement connue ce qui vous donne un apparçu de ma vie, oui je suis ce que vous appelez une gosse de riche. J'ai toujours eu ce que je voulais et je n'ai pas à m'en plaindre. J'avais surtout l'amour d'un père et d'une mère et j'étais une petite fille pleine de joie de vivre.

Niveau étude, j'ai toujours été une bonne élève, je suis souvent conssidérée comme une intello, toujours dans les premiers de la classe.

Il y a deux ans ma mère nous quitta suite à sa maladie, un cancer. Pendant qu'elle était à l'hôpital, je passais tous les jours la voir, je lui racontais tout ce que je faisais et ensemble on écoutait de la musique et chantait. Depuis ce moment-là, la musique est toute ma vie, quand je chante et quand je l'écoute, j'ai l'impression que ma mère est avec moi.

Vivre seule avec mon père était difficile, je ne pouvais pas lui parler de conversation de fille et du coups, j'ai appris à me débrouiller sans mère. Pour lui, c'était différent, il décida de refaire sa vie. J'ai donc maintenant une belle-mère qui fais tout pour régner, elle et moi sommes en guerre, moins je la voit, mieux je me porte. J'ai également hérité d'un demie-frère qui ne pense qu'a joué à ses consoles de jeux vidéos, il est chiant et heureusement.

Depuis la mort de ma mère, je suis devenue plus renfermée, je vous mentirais si je vous dis qu'elle ne me manque pas et j'ai eu de la chance, ça n'a pas affecter mes études.

Mon père voulait me mettre dans une école privé spécial bourge sauf que je refusais immédiatement, je les supporte déjà assez souvent ceux-là. Je proposais à mon père l'établissement Indare et mon père a recracher sa boisson quand je lui dis cela. Un établissement mélangeant enfants normaux et ceux à problèmes n'est pas rassurant, sauf que moi, je pense tout le contraire, ils ont droit d'avoir une vie normale, eux aussi. La société, les a assez mis de côtés et puis qui sait eux et moi, on a peut-être des points en communs.