[2018 - Event Saint-Valentin] Scénario Alexei-Tessa

Bien, bien, bien. Cet événement commence très bien. Déjà, elle se retrouve "associée" avec un parfait inconnu trop âgé pour être un potentiel élève d'Indarë, ce qui évite la possibilité de relayer toute situation gênante. Ensuite, elle va devoir jouer un jeu de rôle grandeur nature dans un quartier entier de londres, totalement redécoré pour coller à un scénario de voyage dans le temps – à choisir, elle aurait préféré voyager dans le futur, mais les moyens ne devaient pas être assez élevées. Et enfin, elle a reconnu la base de l'histoire comme provenant de Doctor Who, et ça lui suffit. Ele qui a toujours détesté la Saint-Valentin y trouvera peut-être un intérêt.

Alors qu'on l'a laissée seule avec son compagnon dans une pièce qu'elle a d'ores et déjà baptisée "Tardis", elle s'adresse à lui avec un sourire, posant sa tablette sur la surface au centre.

» Commençons par la base : je m'appelle Tessa. Et toi ? Puisqu'on est partis pour vivre dans l'action quelques temps, il vaut mieux qu'on sache qu'elle nom appeler si on a besoin d'aide.

Elle serait presque tenter de l'appeler juste "Docteur", mais elle préfère éviter de pousser : s'il ne connaît pas, elle ne veut pas lui imposer son jeu, et il est aussi très bien en restant dans sa tête. Le scénario est déjà assez proche pour satisfaire son esprit SF. Elle attend qu'il se présente avant de hocher la tête.

» Bon, si j'ai bien compris, on va devoir fouiller le quartier à la recherche d'un bidule alien qui aurait répandu un virus. Et rester "en vie" tous les deux. Mieux vaut éviter de se séparer.

Ça ne finit jamais bien et, quitte à être transportée dans un jeu irl, elle préfère le gagner. Pas qu'elle soit mauvaise joueuse, mais perdre n'a jamais été son fort. Elle ne songe pas un instant que ses psys lui auraient probablement interdit de participer, s'ils avaient su, car jouer le rôle d'un couple pouvait s'avérer risqué.
Mais ce n'est qu'un jeu de rôle, elle sait faire la différence entre ce qui est réel et ce qui ne l'est pas.

Bon, tout un quartier de la ville transformé en monde d'une autre époque, et la tablette qu'on leur a donnée mentionnait l'hôpital, c'est donc sûrement qu'ils étaient déjà passés dans le coin dans le scénario. Elle a des souvenirs de l'épisode assez ancrés vu qu'elle passe son temps à regarder cette série, mais elle préfère partir du principe qu'ils ont juste pris la base pour faire leur propre scénario autour – au cas où ils tomberaient sur une fille comme elle, qui connaît trop pour son propre bien.

» Je pense qu'on devrait peut-être trouver en suivant le mouvement, en partant du principe qu'ils se réunissent à proximité, pour le protéger ou quelque chose comme ça. Comme des zombies qui protègent le sujet zéro.

En soit, ça ressemble plus à un jeu de zombies qu'à une histoire de sf ou d'aliens, mais c'est assez commun dans les épisodes, ce type d'ambiance, et s'ils ont cherché un truc avec de l'action c'était le plus simple. Elle prend un instant pour réfléchir.

» Ils sont partout dans les rues parce qu'ils cherchent quelque chose, mais peut-être qu'ils reviennent à leur point de départ. Ça dépend de la nature du virus.

Tessa parcourt le quartier autour d'elle, jeta une regard en coin à la cigarette qu'il allume en se demandant comment il fera pour courir si un de ces trucs surgit de l'ombre, puis elle tourne la tête vers l'endroit qu'il montre.

» L'hôpital ? Pourquoi pas, le scénario en parle... On trouvera peut-être des infos là-bas... ou bien une armée prête à nous tuer. Tu cours vite ?

Elle, oui, c'est d'ailleurs bien sa seule et unique compétence en matière sportive, ça et une absence de vertige très pratique pour tout ce qui concerne l'escalade. Pas que ça soit spécialement utile contre une armée de zombies, cela dit, elle aurait préféré s'y connaître en lutte ou en boxe. Quoique frapper les malades au corps à corps n'est peut-être pas la meilleure solution du monde, tant qu'on ignore comment se transmet le virus.

Spoiler:

Bon, il sait courir vite, c'est un bon point, même si elle espère que les organisateurs ont été assez conciliants pour leur filer des "zombies" lents. Elle n'arrive pas à se rappeler s'ils marchaient ou s'ils couraient, peut-être les deux, dommage qu'elle ne se soit pas fait un binge-watching récemment. Ça aurait été l'occasion de se perdre devant un écran pour une utilité irl. Enfin, pour l'instant, ils erraient à travers le quartier vide. Mauvais signe, en soit : ça pouvait vouloir dire qu'un bombardement se préparait. Qu'avaient-ils prévu, de ce côté-là ? Des bombes à eau ? Rien dans le scénario ne mentionnait l'effet que les bombardements pouvaient avoir, mais elle doute fortement que se recevoir une bombe sur la figure donne de grandes chances de victoire.

L'hôpital de Bloomsbury se profil finalement à l'horizon, lui aussi décoré pour coller au thème – ça a dû coûter une fortune à la ville, cette histoire. Elle se contente d'acquiescer à sa question, mais le rattrape bien vite avant qu'il ne s'avance.

» Attends ! J'ai... trouvé ça, dans la pièce où on a commencé. Je n'ai pas spécialement envie de "tuer" ces gens mais si on a pas d'autre choix...

Elle lui tend une des armes factices déposées dans la salle de départ à leur attention. L'inspiration qu'elle a reconnue rend surprenante la présence de ces armes, mais c'est peut-être pour coller au côté "action" du scénario et ne pas se retrouver entièrement démunis comme dans un film d'horreur. Ce sont des armes de laser game, les personnes qu'ils peuvent "éliminer" doivent donc porter des genre de gilets ou de tenues réagissant au laser, pour savoir qu'ils ont été tués.

Après cela, Tessa le suit en silence dans les couloirs, regardant chaque mur et chaque ouverture pour s'assurer que rien ne surgissait dans leur dos. Elle sursaute lorsqu'ils ouvrirent la porte et se retrouvèrent face à une dizaine d'infectés.

» Euh... Alexei...

Il n'a pas besoin qu'elle le prévienne, reculant déjà à son niveau. Au fond d'elle, sa seule craint est qu'un autre groupe surgisse dans son dos. Elle ignore combien de personnes ont été touchées, et elle n'est pas pressée de le découvrir.

» Courir... oui, une très bonne idée ! lance-t-elle en attrapant la main de son associé du jour avant de s'élancer dans les couloirs.

Elle préfère éviter de le perdre si vite et de perdre le jeu par la même occasion. Quitter l'hôpital ? Si la solution à leur problème est sur place, ça serait dommage. Elle préfère bifurquer et s'arrêter dans un couloir non loin. Pour l'instant, sécurisé. Mais assez dangereux, aussi : les issues sont limitées en dehors d'une fenêtre. Peut-être que retourner dans les rues aurait été une meilleure solution.

» On devrait peut-être sortir... fouiller les rues, revenir plus tard, quand on aura des infos...

Spoiler:

Tessa esquisse une grimace dubitative mais finit par accepter de rester dans l'hôpital. Elle doit bien admettre qu'il y a possiblement quelque chose dans cet hôpital, mais elle ne peut s'empêcher de penser que c'est peut-être juste une fausse piste mise sur la tablette pour leur faire perdre du temps ou mieux les encercler. Elle garde l'idée pour elle pour le moment, ils trouveront peut-être quelque chose et, si jamais ce n'est pas le cas, alors il sera temps de quitter l'hôpital et de trouver un autre endroit à fouiller. Pour l'instant fouiller cet endroit semble le seul indice viable ; ça ne l'empêche pas de se placer dos à lui jusqu'au moment où elle entre dans une pièce à sa suite et ferme la porte, prête à se défendre si l'un des malades fait mine de pointer le bout de son nez. Ensuite de quoi, seulement, elle baisse son arme.

» On va bien trouver quelque chose.

La jeune fille essaye de mettre tout son optimisme habituel dans cette phrase, avant de poser l'arme sur le bureau pour avoir les mains libres. Il y a des étagères autour d'eux, des casiers, et bien évidemment le bureau au centre. C'est probablement la salle d'études d'un médecin. Celui qui, elle l'espère, a étudié les malades. En guise de premier réflexe, pour ne pas paniquer à chaque bruit, Tessa attrape la chaise présente face au bureau pour la coincer sous la poignée de la porte. Puis elle se tourne face à son compagnon de voyage.

» Je vais fouiller le bureau pour voir s'il y a des infos. Regarde dans les étagères. Il doit bien y avoir quelque chose d'utile ici.

Plus elle y pense, plus tout ça ressemble à un escape game géant. Des énigmes et des objets à trouver mais à l'échelle d'une ville au lieu de deux ou trois simples pièces. Ils ne peuvent pas avoir trouvé ce bureau par hasard : si la porte n'était pas verrouillée et la pièce vide, c'était pour qu'ils y entrent. Du moins elle a envie d'y croire, alors elle ouvre le premier tiroir du bureau et commence à fouiller. Il y a des papiers administratifs en vrac mais rien d'utile. Une moue déçue se dessine sur ses lèvres. Elle avait espéré trouver un ordinateur portable, un journal intime ou quelque chose du genre.

» Tu trouve quelque chose ? Il n'y a rien dans le bureau, peut-être dans les casiers ? C'est là-dedans qu'on range les listes de patients, non ?

En fait, elle n'a pas la moindre idée de comment s'appellent ce genre de meuble de rangement pour les dossiers médicaux ou d'autre type, mais au fond d'elle, elle est persuadée qu'ils trouveront des informations sr le patient zéro ou sur la maladie à l'intérieur de ces tiroirs. Rien que savoir comment elle se transmet serait un bon début, histoire de s'en protéger en conséquence, mais l'important reste de savoir qui a été le premier touché. Si l'histoire est similaire à celle qu'elle connaît, c'est en trouvant ce premier malade, probablement un enfant, et sa mère qu'ils pourront tout guérir. En espérant que la mère ne soit pas atteinte, elle aussi.

Les fouilles dans le bureau de l'hôpital avancent bien. En tout cas, Tessa espère vraiment y trouver quelque chose, car elle a la sensation qu'ils ne pourront pas en sortir si facilement. Elle s'imagine déjà les troupes de zombies attendre de l'autre côté de la porte, prêts à lui sauter dessus. Rien de très réjouissant. Même si les informations réunies ici leur permettront peut-être de savoir qui est le patent zéro pour avancer sur le problème, il faudra trouver un moyen pour sortir. Elle n'a pas spécialement envie de tirer ; même si c'est pour de faux, tuer des innocents atteints d'un virus, ce n'est pas sa façon de faire.
À part quand c'est irréversible, mais elle a la certitude que ce n'est pas le cas. Il doit y avoir un moyen de résoudre ce problème.

La jeune fille écoute attentivement la lecture de son camarade de jeu avant de prendre un moment pour réfléchir. L'idée n'est pas mauvaise, mais les symptômes semblent assez étranges, en tout cas pas du genre qui conduirait à avoir un masque à gaz à la place du visage.

» Hm... les zombies cherchent une maman, non ? Il n'y a pas un dossier avec une femme ayant perdu son enfant, ou un gamin dont on a retrouvé aucun parent quand on l'a admis à l'hôpital ?

Après tout, rien ne dit qu'ils ont suivi à la lettre le scénario de l'épisode dont le virus est inspiré – qui, si elle ne dit pas de bêtise, impliquait une mère adolescente se faisant passer pour la sœur du premier gamin contaminé. Mais ça peut très bien être n'importe quelle autre situation impliquant un enfant ayant perdu sa mère. Elle fronce les sourcils en apercevant une mallette dans un coin. Elle a vu la clef un peu plus tôt dans un tiroir du bureau, si c'est la bonne. Tessa sourit lorsque le verrou s'ouvrit. Elle ouvre la mallette pour y découvrir des dossier sur les employés actuels de l'hôpital... ou ce qu'il en reste.

» Eh, j'ai trouvé quelque chose.

Rapidement, elle parcourt du regard quatre ou cinq dossiers. Tous présentent les mêmes symptômes : un masque ayant remplacé leur visage et une recherche désespéré de leur "maman". Elle pose toutes les pages à côté d'elle en déballant le tout jusqu'à ce qu'elle tombe sur un feuille intéressante.

» L'infirmière du garçon amené dans la chambre 405 a commencé quelques jours plus tard à développer les mêmes symptômes que son patient, à savoir une transformation quasi-instantané en créature sortie d'un cauchemar, avec un masque à gaz comme fondu à son visage, lit-elle avant de plier la feuille pour l'emporter avec elle.

Elle se relève en laissant le reste des dossiers par terre. Tout ça ne leur dit pas comment arrêter l'expansion du virus, mais ça donne une autre piste par laquelle commencer.

» Tu as quelque chose sur la chambre 405, dans les dossiers ?

Bon, ça aurait été mieux avec un nom, mais si c'est un gamin paumé qu'ils ont trouvé au milieu d'une rue de Londres en pleine zone de guerre, et dans son état, il y a peu de chance qu'il ait donné des informations sur son identité. Un anonyme, probablement.

Tessa repose le dossier à côté d'elle pour réfléchir tandis que son compagnon cherche un dossier de la chambre 405. Elle ignore ce qu'ils pourraient y trouver de plus, en vérité. Le nom de l'infirmière chargée de lui, peut-être ? Elle doute que ça apporte grand chose. Quand il le trouve et le lui tend, elle le parcourt rapidement du regard. Même symptômes, le masque à gaz soudé au visage, ils pensaient d'abord qu'il s'agissait d'une explosion qui avait fait fusionner la peau et les tissus par fusion, mais le masque semblait après coup faire partie de son visage, comme une transformation étrange. Elle fronce les sourcils en avançant dans le dossier. Les informations qui suivent mentionnent l'endroit où l'enfant a été trouvé.

» Ils disent qu'il se trouvait sous les décombres d'un bâtiment détruit par une bombe. La bombe est toujours sur place, mais ils n'ont pas reconnu sa provenance. Ça pourrait être le truc extraterrestre qui a causé le virus, tu penses ?

Si le gamin a respiré et transporté sur lui un quelconque type de spore extrait de cette bombe... ou quel que soit cet objet, ça expliquerait qu'il ait pu contaminer les personnes proches de lui.

» Il y a l'adresse de l'endroit où ils l'ont trouvé, ajoute-t-elle avec un petit sourire.

Eh bah voilà, ils progressent. Peut-être qu'il y aura des indices sur place, mais la prudence s'impose : ils ne peuvent pas décemment aller sur place sans se protéger du virus. À la question d'Alexei, Tessa secoue la tête.

» Le dossier que j'ai lu tout à l'heure disait que l'infirmière avait développé les mêmes symptômes. Elle doit probablement errer dans les rues comme un zombie à chercher sa maman, elle aussi.

La mère du garçon est-elle morte lors de l'effondrement du bâtiment dans lequel on l'a trouvé ? Dans ce cas, ça fait une raison de plus de se rendre sur place. Trouver sa mère, même si elle est morte, guider le garçon jusqu'à elle... c'est une solution assez violente pour la mentalité d'un enfant, mais c'est peut-être tout ce qu'il faut pour que le virus extraterrestre arrête de se répandre...

Le bruit soudain la fait sursauter elle aussi et elle se relève d'un bon, attrapant au passage la feuille contenant l'adresse où trouver la maison effondrée du gamin. C'est leur seule piste pour le moment, elle ne peut pas la laisser filer.

» Ils nous ont trouvés ?

S'ils se retrouvent piégés ici... Non, ça serait vraiment pas de bol après avoir fait tout ce chemin et réussi à trouver des indices.

» S'ils... s'ils sont derrière la porte, il va falloir qu'on trouve un moyen de sortir...

Seules les armes lui viennent à l'esprit, même si elle n'a pas du tout envie de les utiliser. Si c'est la seule solution, tant pis, elle prendra cette décision : elle ne veut pas perdre pour une question de morale et, même du point de vue interne à l'histoire, s'ils meurent, c'est tout l'espace-temps qui s'effondre et possiblement l'avenir qui sera réécrit pour être peuplé de gens avec un masque à gaz tenant lieu de visage, désespérément à la recherche d'une maman. Pas terrible, comme réalité.

Oh, la fenêtre. Elle n'a effectivement pas pensé à ça avant qu'il la mentionne ; à force de se croire coincée, elle avait complètement occulté son existence. Ça semble effectivement la solution la plus viable, la plus simple. Dommage qu'ils ne soient pas en Amérique, les escaliers de secours lui manquent soudainement. Un déploiement d'échelle et ils se seraient retrouvés en bas sans le moindre problème. Là, ils vont devoir sauter, et Tessa n'est pas sûre d'avoir l'adresse nécessaire.
La réflexion ça va, le parkour un peu moins.

Elle se laisse entraîner jusqu'à la corniche sans regarder en bas – s'il y a bien un moment où elle ne veut pas découvrir un potentiel vertige, c'est maintenant. Elle déglutit malgré tout. Ils ont forcément prévu le coup, non ? Il doit y avoir des matelas cachés, des gens prêts à la réceptionner, n'importe quoi qui l'empêcherait de se blesser si jamais elle glisse ?
Avec une prudence redoublée, elle se déplace le long de la corniche, retenant la pulsion de saisir la main de son compagnon d'infortune, un très mauvais plan pour la rattraper si jamais elle glisse, quand on y réfléchit bien. Mieux vaut qu'il ait ses deux mains libres.

» Ça va. Je tiens.

Assurance copiée sur la sienne, un peu éloignée de la sensation qui lui tiraille légèrement l'estomac. Elle n'a pas vraiment le vertige, mais elle est consciente que leur échappatoire est bancale. Une pierre qui s'effrite, et elle peut finir à l'hôpital.

Tessa ferme les yeux un moment, prend une inspiration et se penche doucement sur le côté pour jeter un œil par la fenêtre, une main tendue vers Alexei en guise d'assurance personnelle, juste pour calmer les battements de son cœur qui n'appréciaient pas d'être ainsi suspendue au-dessus du vide. Avec cette main tendue, elle a l'impression d'être raccroché à quelque chose de stable, bien que ce ne soit pas vraiment le cas.

L'intérieur semble vide. Rien qui la fasse sursauter, en tout as. Ils n'ont sûrement pas prévus qu'ils s'enfuiraient par la fenêtre. Cette idée ne la rassure pas autant qu'elle le devrait : ça implique qu'il n'y a potentiellement aucun garde-fou en cas de chute. Un signe de tête pour lui signifier que la voie est libre, puis elle déglutit. Passe la fenêtre en serrant les dents. Mais rien. Et leur objectif est finalement en-dessous d'eux.

L'idée n'est pas ragoûtante, mais à bien y regarder, les ordures semblent fausses. Ah, peut-être une échappatoire prévue, finalement. Ça suffit à la rassurer assez pour qu'elle se laisse tomber dedans. Ensuite, ils devront partir direction l'adresse du dossier. Chercher une réponse à leurs questions.